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Jarménil

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Jarménil
Jarménil
Le pont sur la Vologne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Intercommunalité Communauté d'agglomération d'Épinal
Maire
Mandat
Dominique Pagelot
2020-2026
Code postal 88550
Code commune 88250
Démographie
Gentilé Chamérois(es)
Population
municipale
459 hab. (2021 en évolution de +0,66 % par rapport à 2015)
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 06′ 51″ nord, 6° 34′ 21″ est
Altitude Min. 352 m
Max. 647 m
Superficie 5,10 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Pouxeux
(banlieue)
Aire d'attraction Épinal
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Remiremont
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Jarménil
Géolocalisation sur la carte : France
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Jarménil
Géolocalisation sur la carte : Vosges
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Jarménil
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Jarménil

Jarménil est une commune française située dans le département des Vosges, en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Chamérois, d'une forme ancienne du nom du village (Chaméry).

Géographie

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Localisation

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La commune est à 1,0 km de Pouxeux, 4,1 de Eloyes et Cheniménil et 4,2 de Arches[1].

Jarménil est située au confluent de la Vologne avec la Moselle.

Situation géographique de Jarménil.
Communes limitrophes de Jarménil
Archettes Cheniménil
Jarménil Xamontarupt
Pouxeux Éloyes

Géologie et relief

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Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Forêt communale de Jarménil[2].

Hydrographie et les eaux souterraines

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La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Moselle, la Vologne[3] et le ruisseau du Ruxelier[4],[Carte 1].

La Moselle, d’une longueur totale de 560 kilomètres, dont 315 kilomètres en France, prend sa source dans le massif des Vosges au col de Bussang et se jette dans le Rhin à Coblence en Allemagne[5].

La Vologne prend sa source à plus de 1 240 mètres d'altitude, sur le domaine du jardin d'altitude du Haut-Chitelet, entre le Hohneck et le col de la Schlucht, et se jette dans la Moselle sur le territoire communal, à 358 m d'altitude[6],[7].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Jarménil.

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 094 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 10,6 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Roulier_sapc », sur la commune du Roulier à 7 km à vol d'oiseau[10], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 000,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,1 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18,3 °C, atteinte le [Note 1],[11],[12].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Au , Jarménil est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pouxeux[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[16],[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Épinal, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[17]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,8 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %), prairies (11,4 %), zones urbanisées (1 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Jarménil, nom de personne germanique Gehardt + mené (maison de famille du chef)[21],[22].

Carte postale ancienne montrant la roche du Crapaud à Jarménil.

Avant la Révolution, le village fait partie de la seigneurie de Jarménil (cette petite seigneurie comprenait le village actuel et une partie de celui de Mossoux)[23].

Le premier recensement connu date de 1664. Il est donc postérieur à la guerre de Trente Ans qui a décimé la population de la Lorraine). Il s’agit en l'occurrence du rôle (la liste) des conduits (chefs de famille) qui payent l’aide de la Saint-Rémy (impôt qui doit être annuellement acquitté le 1er octobre, jour de la Saint-Rémy).

Cette aide était un impôt direct levé au moyen d’une taille, c'est-à-dire une répartition. À Jarménil, celle-ci est fixée, en 1664, à 30 francs à répartir sur tous les conduits. (ceux-ci étant alors douze et la population totale de l’ordre de cinquante habitants).

En 1698 à l'occasion d'un nouveau recensement, Jarménil compte 109 bouches 109 habitants soit le double du recensement de 1664). À cette époque, les seigneurs mettaient à disposition de leurs sujets des installations indispensables à la communauté (moulins en particulier) moyennant finance. Ils accordaient également des droits de chasse et de pêche.

«  Les habitants doivent à chacun des deux co-seigneurs une taille ordinaire (l’impôt) qui vaut 6 francs et 8 gros payée en 2 termes (à la Saint-Georges pour 3 francs et 4 gros et à la Saint-Remy autant), les seigneurs perçoivent les hautes moyennes et basses amendes, confiscations et toutes sortes de cens en grains, poules, chapons et deniers. Les seigneurs ont droit de haute, moyenne et basse justice, droit de mainmorte, de troupeau et de messagerie. Il existe aussi un droit de pêche dans la rivière de Vologne et dans toute l’étendue de la seigneurie pour 2 francs pescheurs qui ont pouvoir à tous les 4 temps de l’année de parcourir la dite rivière en peschant jusqu’au-dessous de Bruyères sans aucune rétribution qu’au seul seigneur qui leur a établi un droit pour entretenir 2 nassiers à prendre des poissons toute l’année dans la rivière de Moselle. »

En 1688, l’abbé de Chaumousey Antoine de Lenoncourt[24] possédait les deux quarts et demi de la Seigneurie de Jarménil[25] et l’autre quart et demi restant de la seigneurie passera vers 1690, des mains des héritiers de Jean Claude de Bay à Jean-François Humbert, comte de Girecourt.

Politique et administration

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Budget et fiscalité 2022

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Mairie-école.

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[26] :

  • total des produits de fonctionnement : 278 000 , soit 575  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 287 000 , soit 594  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 45 000 , soit 93  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 146 000 , soit 303  par habitant.
  • endettement : 398 000 , soit 823  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 6,99 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 41,86 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 21,51 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • Cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 850 [27].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1867 1870 Melchior Alcide Febvrel Conservateur Maître de forges, agriculteur et propriétaire à Saint-Nabord
Ancien député des Vosges (1849 → 1852)
Conseiller général de Plombières-les-Bains (1848 → 1852)
Président du conseil général des Vosges (1848 → 1849)
? ? Père de Jean-Baptiste Amet   Propriétaire agricole
? ? Jean-Baptiste Amet   Propriétaire agricole
? ? Antoine Amet[28]   Conseiller d'arrondissement
Les données manquantes sont à compléter.
? mars 2001 Jean-Pierre Balland    
mars 2001 mars 2008 Michèle Robin    
mars 2008 janvier 2020
(décès)
André Huc (1934-2020)   Entrepreneur (location de chapiteaux)
janvier 2020 En cours
(au 19 janvier 2021)
Dominique Pagelot[29] SE Retraité

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 459 habitants[Note 5], en évolution de +0,66 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
208377369443482522518522613
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
600600623553564600526522466
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
467454458446388334387356362
1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021
353355342423425425439474459
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Établissements d'enseignements[34] :

  • Écoles maternelles et primaires à Pouxeux, Cheniménil, Éloyes, Docelles, Archettes.
  • Collèges à Éloyes, Remiremont, Le Tholy.
  • Lycées à La Baffe, Remiremont.

Professionnels et établissements de santé[35] :

Entreprises et commerces

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Agriculture

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  • Élevage de chevaux et d'autres équidés[38].
  • Élevage d'autres animaux.
  • Hébergements et restauration à Pouxeux, Cheniménil, Archettes, Saint-Nabord, Docelles, La Baffe, Épinal.
  • Commerces et services de proximité.

Culture locale et patrimoine

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Lieux, monuments, patrimoine mobilier

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  • Il n’y a pas d’église et les habitants dépendaient de la paroisse de Pouxeux, dédiée à Saint Gorgon et Saint Nabord ; elle-même annexe d’Éloyes, doyenné de Remiremont, Diocèse de Toul puis de Saint-Dié[39].
  • Vue prise vis-à-vis du pont de Jarménil par Marc Jean-Antoine (dessinateur) (1774-1845)[40], au Musée Charles de Bruyères[41].
  • Monument commémoratif :
Plaque commémorative faisant office de monument aux morts sur le mur de l'école communale[42].

Patrimoine naturel :

Roche de la Beuche-nos-Pierres[45].
  • Saut du Brot", "Saut du Broc" ou encore "Broc de la Saulx"[46],[47].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Armes inconnues[49].

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Pierre-Henri Mathieu, La Seconde Guerre mondiale dans la région d'Éloyes, Épinal, Association de recherches archéologiques et d'histoire d'Éloyes et dans ses environs, , 513 p. (ISBN 2-9513453-1-3), chapitre XII p.277 à 284 : Jarménil-Pouxeux.
  • Pierre-Henri Mathieu, La vie rurale et son patrimoine, l’eau, la forêt et l’agriculture de montagne dans la région d’Éloyes, Épinal, Association de recherches archéologiques, histoire et patrimoine d'Éloyes et de ses environs, , 654 p. (ISBN 2-9513453-2-1), IIe partie : L'eau, la forêt, la vie à la campagne puis détail des recherches présenté dans chaque commune, p. 343 à 352 : Jarménil.

Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Pouxeux comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Jarménil » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Situation géographique
  2. Aménagement de la forêt communale de Jarménil
  3. La Vologne
  4. « Fiche communale de Jarménil », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  5. Sandre, « la Moselle »
  6. Sandre, « la Vologne »
  7. La Vologne, sur http://www.avuxon.fr/
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Jarménil et Le Roulier », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Le Roulier_sapc », sur la commune du Roulier - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Le Roulier_sapc », sur la commune du Roulier - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 de Pouxeux », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Jarménil ».
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Épinal », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Toponymie de Jarménil, sur http://crehangec.free.fr/
  22. Toponymes Jarménil, sur https://toponymes.fr/
  23. Seigneurie de Jarménil, XII H 21, p.47
  24. À Chaumousey
  25. Seigneurie de Jarménil. 12 H 21 (1688-1726)
  26. Les comptes de la commune
  27. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  28. L'Est républicain, [1]
  29. Données locales commune : Jarménil
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Établissements d'enseignements
  35. Professionnels et établissements de santé
  36. Paroisse "Notre Dame des Chênes"
  37. Diocèse de Saint-Dié
  38. Élevage de chevaux et d'autres équidés
  39. Paroisse "Notre Dame des Chênes"
  40. Notice no M0540002832, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture Vue prise vis-à-vis du pont de Jarménil
  41. « Musée municipal Charles de Bruyère », notice no M0540, sur la plateforme ouverte du patrimoine, Muséofile, ministère français de la Culture.
  42. Plaque commémorative sur le mur de l'école communale.
  43. La tête du chien
  44. La Roche du Crapaud - Le Pont sur la Moselle
  45. Roche de la Beuche-nos-Pierres
  46. Grès Lités du Saut-du-Brot
  47. Saut du Broc
  48. Jean Baptiste Laurent, né à Jarménil le 21 avril 1837, Dictionnaire biographique des Vosges, Henri Jouve.
  49. Ancien nom : Chaméry, disparu au XVIIe siècle