Aiglun (Alpes-Maritimes)

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Aiglun
Aiglun (Alpes-Maritimes)
Aiglun.
Blason de Aiglun
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté de communes Alpes d'Azur
Maire
Mandat
Anthony Salomone
2020-2026
Code postal 06910
Code commune 06001
Démographie
Gentilé Aiglenois
Population
municipale
93 hab. (2021 en augmentation de 8,14 % par rapport à 2015)
Densité 6,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 51′ 30″ nord, 6° 54′ 54″ est
Altitude Min. 373 m
Max. 1 541 m
Superficie 15,37 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vence
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Aiglun
Liens
Site web aiglun06.fr

Aiglun est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune apparaît pour la première fois dans les textes vers 1200, sous la forme Ayglezuni. Il est constitué du mot latin Aquila, aigle, et du gaulois dunum, hauteur, et signifierait la hauteur de l’aigle[1].

Eiglù en provençal.

Histoire[modifier | modifier le code]

Dans une charte de 1039, l'abbaye Saint-Victor de Marseille reçoit des biens à Aiglun.

On ne trouve ensuite de citations d'Aiglesunum ou d'Aigledunum qu'au XIIIe siècle.

Isnard du Bar, de la maison de Grasse, commandeur de Saint-Jean-de-Jérusalem, prieur de Capoue, Grand sénéchal de Provence, a reçu de la reine Jeanne, en récompense de ses services, les terres du Mas et d'Aiglun, le . Il a fait donation de la terre d'Aiglun à son cousin Pons des Ferres, le . La famille de Grasse perdit provisoirement ses fiefs dans le comté de Nice au moment de la dédition de Nice car elle est restée fidèle aux comtes de Provence.

En 1388, le village d'Aiglun se retrouve sous la protection des Savoie, comme le reste de la région, lors de la dédition de Nice à la Savoie le , formant les Terres neuves de Provence, qui deviennent le comté de Nice en 1526.

La famille de Grasse vend le fief d'Aiglun aux frères Georges et Claude Malopera en 1562. Les frères Vincent et Barthélemy Caissotti acquièrent les fiefs du Mas et d'Aiglun en 1584[2]. Le fief d'Aiglun passe ensuite aux Fabri en 1634, aux Claretti en 1670, aux Bonetto en 1673, aux Blanchi de Saint-Sauveur-sur-Tinée en 1754.

Lors du traité de Turin du , elle devient française (le royaume de France et celui de Sardaigne procédèrent à des rectifications de frontière, et par conséquent a lieu un échange de territoires). Le fief revient à la Couronne. La commune dépend alors de la viguerie de Grasse.

En 1790, au moment de la création des départements, la commune fait partie du département du Var.

Avec le rattachement du comté de Nice à la France, en 1860, Aiglun, avec l'ensemble de l'arrondissement de Grasse, est rattaché au nouveau département des Alpes-Maritimes, le .

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Aiglun est un village perché de la vallée de l'Estéron, dans le haut-pays grassois, au centre-ouest du département des Alpes-Maritimes à 20 km au nord de Grasse et 11 km au sud de Puget-Théniers[3].

Hameaux :

  • Hameau de Vascogne,
  • Hameau des Lones.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Commune membre du Parc naturel régional des Préalpes d'Azur, dans les Préalpes de Grasse.

Les principaux sommets de la commune sont[4] :

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone de sismicité moyenne[7],[8].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

La clue d'Aiglun.
Cascade du Végay depuis Aiglun.

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[9] :

Logo des sites naturels français Site classé (1933) La cascade du Végay à Aiglun, chute du vallon de Végay, affluent de l'Estéron, est un site classé parmi les sites et monuments naturels de caractère artistique, historique, scientifique, légendaire ou pittoresque du département des Alpes-Maritimes par arrêté du [12],[13].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 072 mm, avec 6 jours de précipitations en janvier et 4,3 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Mas », sur la commune du Mas à 5 km à vol d'oiseau[16], est de 9,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 236,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 32,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13,5 °C, atteinte le [Note 1],[17],[18].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[19]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la départementale RD 10 qui la traverse d’Est en Ouest[4].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Communauté de communes Alpes d'Azur.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Aiglun est une commune rurale[Note 2],[21]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[22],[23].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[24],[25].

La commune dispose d'une carte communale[26],[27].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (81,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7,4 %), prairies (2,1 %)[28].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[29],[30]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2005 Irène Montiglio SE  
2005 2014 Charles Bremond DVD  
2014 15 décembre 2018 Didier Nicolas SE Employé
15 décembre 2018 2020 Mario Morales    
2020 En cours Anthony Salomone SE Indépendant

Budget et fiscalité 2019[modifier | modifier le code]

Mairie et auberge.

En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[31] :

  • total des produits de fonctionnement : 170 000 , soit 1 908  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 101 000 , soit 1 140  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 44 000 , soit 489  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 99 000 , soit 1 112  par habitant ;
  • endettement : 8 000 , soit 89  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 16,53 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,20 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 34,41 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation[32].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

En 2021, la commune comptait 93 habitants[Note 4], en augmentation de 8,14 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
240203261250266248351366380
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
344286286272268218187241175
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1501521421001151101239590
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
5850709491106949089
2018 2021 - - - - - - -
9393-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[37] :

  • Écoles maternelles et primaire à Roquesteron, Gréolières,
  • Collèges à Puget-Théniers, Saint-Vallier-de-Thiey, Saint-Martin-du-Var
  • Lycées à Vence, Nice, Valdeblore.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[38] :

  • Maison de santé à Roquestéron
  • Médecins à Puget-Théniers, Entrevaux, Bouyon,
  • Pharmacies à Entrevaux, Saint-Vallier-de-Thiey,
  • Hôpitaux à Puget-Théniers, Villars-sur-Var.

Cultes[modifier | modifier le code]

Au XIVe siècle, Aiglun n'était pas encore pourvu d'une église et c'est celle de Sigale qui servait de paroissiale aux deux communautés[39].

Paroisse catholique, Paroisse Sainte-Marie-des-Sources[40], Diocèse de Nice.

Sports[modifier | modifier le code]

La commune est réputée pour ses sites de canyons et d'escalade[41]. La Paroi Dérobée est le plus connu avec de grandes voies comme Ali Baba ou les Quarante Voleurs.

  • Canyoning
  • Escalade
  • Circuits à vélo "Les boucles d'Azur"
  • Randonnées sur le GR4, La Maralpine
  • Base Rope
  • Trail
  • Rallyes d'Antibes et de Grasse

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Vignes.
  • Oliviers
  • Elevages

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • La route des clues[42].
  • La Maralpine

Commerces[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Forteresse troglodyte.
Église Saint Raphaël.
  • Le village est connu des grimpeurs pour ses raides parois de plus de 200 mètres, offrant des itinéraires de haute difficulté. La clue d'Aiglun est également prisée des amateurs de canyoning.
  • La forteresse troglodyte[46] dite « château d'Aiglun »[47], plus vaste de France, construite à proximité du village au-dessus de la sortie de la clue, utilise une grotte prolongée par une vire qui permet l'accès à une source, et semble avoir eu un rôle de refuge, plutôt que de poste de guet, à l'époque troublée du XIVe siècle[48],[49].
  • Église Saint Raphaël du XVIIIe siècle[50].
  • Chapelle de Notre-Dame, XVIIXe et XIXe siècles[51].
  • Chapelle Saint Joseph, XVIIXe et XIXe siècles, dans le hameau de Vascogne[52].
  • Plaque commémorative sur le mur de la maison à gauche de la mairie[53].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Fanny Robiane. Fille de Joseph Robin, qui fut maire d'Aiglun au début du XXe siècle, cette actrice française de théâtre est décédée en 1982 à Aiglun, où elle s'était retirée et où elle a laissé de riches archives (livres dédicacés, notamment par Armand Godoy, Jean Richard-Bloch et d'autres ; documents iconographiques ; coupures de presse, etc.). Son souvenir reste vivace chez les Aiglenois qui l'ont connue et des projets sont en cours pour l'honorer. Une association culturelle subventionnée entre autres par la commune et le Conseil général a lancé depuis 2004 des « Rencontres Fanny Robiane » consacrées au théâtre, à la poésie, à la musique et autres manifestations culturelles ponctuelles courant toute l'année. Parfois, ces manifestations sont réalisées en collaboration avec l'Université de Nice.
  • Roland Fortin est un acteur qui a vécu à Aiglun, connu pour Les frères Pétard (1986), Série noire (1984) and Last Game (2004).
  • Au vieux cimetière du village repose Edmond Joullot, né en 1896 à Paris et mort à Aiglun en 1956. Il était parolier et auteur dramatique, ce qui témoigne d'une longue tradition culturelle aiglenoise. Il était le fils d'Eugène Joullot (1872-1941). Il a également utilisé le pseudonyme Max Pila. Il est notamment l'auteur du texte de l'Expérience du Major Dick (1934).

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Aiglun Blason
D’azur à l’aigle d’argent empiétant un poisson du même[54].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne)., § 2725, p. 173
  2. Henri Costamagna, Michel Derlange, Les Niçois dans l'histoire, p. 47, Privat, Toulouse, 1988 ; p. 295.
  3. Calcul de la distance entre Aiglun et d'autres communes
  4. a et b « Carte topographique d’Aiglun, IGN » sur Géoportail.
  5. Pic de Fourneuby
  6. Les Crêtes de Fourneuby
  7. Didacticiel de la règlementation parasismique
  8. Dossier Départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-Maritimes
  9. L'eau dans la commune
  10. La clue d’Aiglun
  11. ZNIEFF 930012690 Clue d'Aiglun
  12. « Aiglun : cascade du Végay », sur developpement-durable.gouv.fr.
  13. « Arrêté du 6 novembre 1933 », sur developpement-durable.gouv.fr.
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Aiglun et Le Mas », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Le Mas », sur la commune du Mas - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Le Mas », sur la commune du Mas - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  21. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  23. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. Carte Communale
  27. Zonage
  28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  29. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008
  30. Liste des maires depuis 1870
  31. Les comptes de la commune
  32. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Établissements d'enseignements
  38. Professionnels et établissements de santé
  39. Aiglun, Trésors du patrimoine
  40. Les paroisses du Diocèse de-nice
  41. sites d'escalade d'Aiglun
  42. La route des clues
  43. Auberge de Calendal Aiglun
  44. « La charte Bistrot de Pays », sur Bistrot de Pays.
  45. Fédération nationale des bistrots de pays
  46. Forteresse rupestre d'Aiglun
  47. Abri forteresse
  48. Edmond Rossi, « Aiglun, un village à découvrir », sur Pays d'Azur, .
  49. Paul Courbon, « La forteresse d'Aiglun », sur Chroniques souterraines.
  50. Église Saint Raphaël Aiglun
  51. Chapelle de Notre-Dame Aiglun
  52. Chapelle Saint Joseph Vascognes Aiglun
  53. Plaque commémorative, sur geneawiki.com/
  54. Dominique Cureau, « Les Monts d'azur : Aiglun », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]