États sardes de terre-ferme

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Les États sardes de terre-ferme ou États de terre-ferme (en italien : Stati Sardi di terraferma) est l’expression qui désignait à partir de 1720 la partie non insulaire du royaume de Sardaigne.

En effet, en vertu du traité de Londres (1718), le titre de roi de Sardaigne est conféré aux ducs de Savoie et princes de Piémont, jusqu’à la proclamation du royaume d'Italie. En 1847 intervient la fusion parfaite entre ces États et l’île de Sardaigne.

Composition territoriale[modifier | modifier le code]

États sardes, avec l’île de Sardaigne en cartouche (1839)

En opposition au précédent royaume de Sardaigne (1324-1713), composé de la Sardaigne et îles environnantes, les « États de terre-ferme  » sont les suivants :

Carte des États de terre-ferme en 1858.

Après le congrès de Vienne, la république de Gênes, comprenant le fief du marquisat de Finale. Après 1848, les Villes libres de Menton et Roquebrune sont placées sous leur protection.

Article connexe[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]