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« Dynastie Xia » : différence entre les versions

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== Rois de la dynastie Xia ==
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# [[Yu le Grand|Da Yu]] 大禹 (ou [[Yu le Grand]]) (-2205/-2197)
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# [[Qi (empereur)|Qi]] 启 (-2197/-2188)
# [[Qi (empereur)|Qi]] 启 (-2197/-2188)

Version du 3 juillet 2014 à 08:22

Territoire supposé de la mythique dynastie Xia

La dynastie Xia (en chinois : 夏朝 ; en pinyin : xia cháo) trouve sa source dans l'historiographie chinoise, en particulier le Classique des documents (Les chapitres existant dans la version chinoise actuelle sont : Yao (1), Shun (4), Xia (4), Shang (11), Zhou (38), soit un total de 58) : ces textes les plus anciens de historiographie chinoise, concernent la politique et l’administration des souverains de l’antiquité chinoise, depuis Yao. Cet empereur mythique aurait chargé Gun (鯀), père de Yu le Grand, de lutter contre les inondations. Yu le Grand est le premier monarque légendaire chinois de la Dynastie Xia .

Les textes du Classique des documents proviennent pour la plupart de la cour royale de Zhou[1], la dynastie Xia aurait été la première des Trois dynasties (三代, sān dài) de la Chine pré-impériale : les Xia, les Shang et les Zhou. Selon ces textes la dynastie Xia aurait donc été fondée par Yu le Grand, elle aurait eu le pouvoir de 2205 à 1767 avant notre ère selon la chronologie traditionnelle chinoise, ou de 2070 à 1570 avant notre ère selon d'autres chronologies.

La communauté scientifique[2] internationale en dehors de la Chine considère cette dynastie comme un mythe d'origine qui pourrait avoir été composé au premier millénaire avant notre ère, sous la dynastie Zhou, précisément pour des raisons propres à cette dernière dynastie.

Les textes

Selon l’historiographie traditionnelle chinoise d'autres sources viennent compléter les informations succintes du Classique des Documents : le Shiji (composé entre 109 et 91 avant l'ère commune par Sima Qian il commence par le passage intitulé Les Trois Souverains et les Cinq Empereurs (en), suivi d'une partie sur les Xia, les Shang et les Zhou) et les Annales de bambou (premier original connu datant du royaume de Wei - pendant la période des Trois Royaumes (220-380 de notre ère) : la dynastie Xia aurait été la première de l’histoire de la Chine. Elle aurait régné de 2205 à 1767 avant l'ère commune.
On peut toutefois avoir quelques doutes sur cette tradition, car la première mention des Xia qui se trouve donc dans le Classique des documents - Shujing - (« Livre des Documents »), ouvrage qui date du début du Ier millénaire av. J.-C. selon la plupart des spécialistes, est donc très postérieur au règne supposé des Xia. Le document en question qui concerne cette dynastie s'appelle le « Serment de Tang ». C'est le discours que Tang, le fondateur de la dynastie Shang, aurait prononcé devant ses troupes pour les encourager à se battre contre le dernier souverain des Xia. Tang expliquait pourquoi ce roi devait être renversé. Ce document a été rédigé par des annalistes de la dynastie Zhou, qui a remplacé celle des Shang vers -1046. Il s'agit sûrement d'une œuvre de propagande : les Zhou expliquaient qu'ils avaient renversé les Shang pour la même raison que les Shang avaient renversé les Xia. Ils disaient avoir été eux-mêmes d'anciens vassaux des Xia. L'un de leurs ancêtres avait dû se réfugier chez les Barbares parce qu'un mauvais souverain des Xia avait supprimé sa charge.
  • Plus problématique, aucune source écrite antérieure au Shu Jing ne mentionne les Xia, par contre un document de la même époque vient d'être découvert en 2003[3]. Il s'agit d'un vase de type xu, le Bingong xu[4], qui est daté par les experts du milieu des Zhou de l'Ouest. Il témoigne de la haute estime dans laquelle Yu le Grand était tenu à cette époque, et comme cette dynastie Zhou se référait à des héros situés dans une époque antérieure à leurs ennemis, les Shang, le renversement des Shang apparait comme un acte de restauration d'une époque héroïque et devenait d'autant plus légitime. Tous les textes de l'époque des Zhou, ou antérieurs, ont été préservés sur dans les bronzes chinois ou sur des os, ou des écailles de tortues, oraculaires.
Les écrits oraculaires étant tournés vers la prédiction de l'avenir remontent à la fin du IIe millénaire av. J.-C. sous l'époque des Shang. Et les historiens en ont conservé une quantité immense. Mais, tournés vers l'avenir, aucun ne fait allusion à un fait ou à un ennemi antérieur et ne peut donc renseigner sur une dynastie qui les aurait précédé[5]. Donc cela pose le problème de savoir à quelle période auraient, éventuellement, existé les Xia ou s'il s'agit plutôt d'un mythe, éventuellement d'un mythe fondateur[6]. On remarque aussi que, selon la tradition et la mythologie chinoise, Yu le Grand, le fondateur de la dynastie Xia, est présenté par les textes chinois comme un souverain de l'âge du bronze. En effet, il aurait fondu des chaudrons en bronze. L'âge du bronze ne commence en Chine qu'après 1900 avant l'ère commune, avec la dynastie Shang et dans la culture précédente : la culture d'Erlitou. Cette époque correspond, en effet, à l'apparition des bronzes coulés en plusieurs moules dans la culture d'Erlitou. Laquelle technologie du bronze est apparue, sous une forme différente, coulée en deux moules, dans les zones de commerce avec les populations de l'Ouest au sein de la culture de Qijia,, plus à l'Ouest, à proximité et dans le corridor du Hexi vers 2000 avant notre ère, essentiellement au Gansu. C'est donc une époque de la préhistoire de la Chine particulièrement complexe, on le voit. Si dynastie Xia il y a, elle aura du se situer dans cette période, et les archéologues cherchent donc autour de la culture d'Erlitou, voire sur le site même, ce qui en ferait une capitale « royale ». C'est une culture qui a des « racines » par certains points avec la culture de Longshan, tandis qu'ailleurs Erlitou rencontre la culture Shang, à l'ouest du Henan et au sud du Shanxi[7].
Cependant cette recherche n'est pas qu'académique, elle croise aussi des enjeux politiques[8].

Yu le Grand

De nombreuses informations ont été transmises au sujet de Yu le Grand, or elles le rattachent parfois aux peuples qui vivaient en Asie centrale durant la haute Antiquité, notamment aux Tokhariens. Sur ce point un autre texte ancien mentionne Yu le Grand : le Shanhai jing (Livre des Montagnes et des Mers)[9], pour l'essentiel une description des territoires et des plantes ou des animaux que l'on peut rencontrer. La version actuelle est essentiellement celle des Han (206 avant - 220 de notre ère), commentée sous les Jin par Guo Puzeng (276-324). Dans ce texte on lit qu'Yu est le fils de Baima (Cheval Blanc), qui est lui-même le fils de Luoming (Chameau Brillant, animal qui évoque plus l’Asie centrale que la Chine). Ce dernier est le fils de Huangdi, l’Empereur Jaune, or cette divinité est l’ancêtre mythique d’un peuple que les Chinois appelaient les Quanrong.

Yu le Grand est connu pour avoir permis aux eaux des fleuves de Chine de s'écouler. En construisant des digues, son père Baima, également appelé Gun, les avaient bloquées. On peut démontrer que, derrière cette histoire, se cache le mythe indo-européen du combat contre le serpent ou le dragon obstructeur des eaux, qui est vaincu par un dieu guerrier (comme Huangdi) ou un roi. Gun n'est pas considéré comme un dragon par les textes chinois, mais il est assimilé à un cheval et les dragons chinois ont souvent une tête de cheval. Selon Marcel Granet, Yu et son fils Qi paraissent être des doublets de Huangdi.

D'après les textes chinois, le nom du fief de Yu, Xia, est devenu celui de sa dynastie. Ce nom signifie « été ». Or Huangdi aurait créé une danse appelée Xianzhi, qui était exécutée au solstice d'été sur un tertre carré placé au milieu d'un lac. Ce tertre représentait sûrement la Terre, à laquelle les rois indo-européens étaient intimement liés. Yu était un fondeur (comme son fils Qi et comme Huangdi), puisqu'il aurait fabriqué neuf chaudrons tripodes en bronze, qui devinrent des symboles du pouvoir des empereurs de la Chine antique. Ces chaudrons étaient également emblématiques des populations nomades de l'Asie centrale.

Les autres souverains

Ce que l'on rapporte au sujet des successeurs de Yu est encore fortement mythique. Son épouse était identifiée à une montagne, puisqu'elle s'appelait Tushan « Mont Tu ». Parfois aussi, on considère qu'Yu était marié à la déesse Nüwa, d'origine tokharienne. Avant de donner naissance à Qi, le successeur de Yu, Tushan se transforma en une pierre, qu'il fallut fendre. Qi fit rechercher du métal dans les monts et les rivières et le fit fondre au mont Kunwu. Sur cette montagne située à l'ouest de la Chine, on trouvait du cuivre rouge qui servait à fabriquer d'excellentes épées. Les Quanrong offrirent au roi Mu de la dynastie Zhou une épée appelée Kunwu. À l'ouest de la Chine, il y avait aussi un mont Kunlun (avec le même caractère kun), qui était la résidence de Huangdi.

Le fils de Qi fut Taikang. L'archer Yi, personnage mythologique ressemblant beaucoup à Héraclès, le contraignit à l'exil alors qu'il effectuait une partie de chasse. Yi était le seigneur de Qiong. Il fut tué par son épouse Fufei (identifiable à la déesse Nüwa) et l'amant de celle-ci, Zhuo de Han. Au roi Taikang, avait succédé son frère cadet Zhongkang, puis le fils de celui-ci, Xiang. Les fils de Zhuo de Han et de Fufei, Yao et Xi, assassinèrent Xiang. La reine Min, qui était alors enceinte, parvint à prendre la fuite et à se réfugier chez le prince de Reng. Son fils Shaokang naquit chez ce prince et devint le chef des pasteurs. Plus tard, il se rendit chez le prince de Yu, dont il épousa deux filles. Il vengea son père en tuant Zhuo de Han et ses deux fils puis il monta sur le trône, rétablissant la dynastie Xia.

On raconte encore que Jie, le dernier souverain des Xia, fut un tyran débauché. Ses vices étaient exacerbés par la belle Meixi, l'une de ces impératrices fatales qui ont parsemé l'histoire de la Chine. Selon Liu Xiang, auteur du Ier siècle av. J.-C., Jie fit creuser dans son palais un grand bassin rempli de vin. Il disposa également des marches d'escalier en viande cuite sur le versant d'une colline et suspendit aux arbres des morceaux de viande séchée. Chaque jour, il participait avec ses femmes à des orgies sur ce bassin de vin, où il se promenait en barque, et dans cette « forêt de viande ». Tang, le souverain d'un royaume situé au sud du Shandong, le vainquit à Mingtiao, au nord de l'actuelle ville de Kaifeng au Henan, et fonda la dynastie Shang. Fait prisonnier, Jie mourut de maladie trois ans plus tard.

Un récit très douteux est celui de ce renversement des Xia par les Shang : le personnage de Jie ressemble beaucoup trop à l'archétype du mauvais souverain pour être vraisemblable. Il est très probable que le mythe du bassin de vin et de la forêt de viande aient été des souvenirs des banquets fastueux auxquels l'aristocratie, et la famille royale en particulier, se livrait à l'époque des Shang. On sait que de très grandes quantités de vin et de viande étaient consommées. Les aristocrates étaient considérés par les gens du peuple comme des « mangeurs de viande ». Cet aspect mythique met en question l'éventuelle existence de cette dynastie dans l'histoire.

Les Xia ont-ils existé ?

Si tout ce que l'on raconte au sujet de Yu le Grand et ses proches successeurs est mythique, peut-on en déduire que la dynastie des Xia n'ait jamais existé ? Pas forcément, car des mythes ont très bien pu être rattachés à une dynastie réelle. De nombreuses dynasties ont un fondateur légendaire. Les Xia ont peut-être régné dans les provinces maritimes du Shandong et du Zhejiang. C’est en effet dans ces provinces que se situe l’essentiel de la geste de Yu. Dans l’Antiquité, les souverains du royaume de Qi, au Shandong, se disaient descendre de l’empereur Shao Kang des Xia. La tombe de Yu est localisée dans les Monts Kuaiji, sur la municipalité de Shaoxing, dans la province du Zhejiang. Les curieux liens mythologiques des Xia avec l'Asie centrale demanderaient alors à être expliqués. Par ailleurs il est faut de prétendre que des os oraculaires font allusion à une dynastie Xia, et à sa conquète par les Shang[10]. Mais il n'est pas imposssible que les habitants de la culture d'Erlitou ne se soient jamais considérés comme « Xia » et que ce soit une pratique de leurs ennemis qui se serait transmise jusqu'aux Zhou[11].

Cependant la plupart des archéologues chinois, travaillant à partir des mêmes traditions textuelles[6], voient en la culture d'Erlitou, (1900-1500 avant l'ère commune), un vestige de la dynastie Xia. Mais en l'absence d'information écrite il est impossible de trancher. Cette culture ayant été découverte au Henan leur raisonnement est simple : cette culture est antérieure à la dynastie Shang, elle devrait donc correspondre aux Xia. D'autres voyant dans la culture d'Erlitou les prémices de la dynastie Shang, orientent leurs recherches plus avant sur des sites datés entre Erlitou et la culture de Longshan. Mais les archéologues chinois les plus reconnus au niveau international ne s'appesantissent pas sur ces recherches[12] et reconnaissent l'impossibilité de prouver l'existence d'une telle dynastie. LI Liu (de l'Université Stanford) rappelle la position défendue en Occident selon laquelle l'invention de cette pseudo-dynastie aurait été le fait des Zhou afin de justifier par le mandat du Ciel, le renversement de la dynastie Shang, qui, elle, a bien existé[13].

La communauté scientifique, en dehors de la Chine, considère la « dynastie Xia » comme un récit mythologique[14] , voire un mythe fondateur [6] construit à une toute autre époque, Robert Bagley, professeur à l'université de Princeton, suggère que ce mythe se serait constitué au cours du premier millénaire avant notre ère (au cours de la période correspondant à la dynastie Zhou) et dans un contexte qui en aurait justifié la construction[N 1]. Des découvertes archéologiques faites à la fin du XXe siècle semblent conforter cette hypothèse, selon cet auteur.

LI Liu [15]fait aussi allusion à un texte de Lothar von Falkenhausen[16], de 2007, qui propose que l'attachement de nombreux archéologues chinois à l'existence de la dynastie Xia, relèverait d'une attitude « politiquement correcte », et elle en profite pour faire l'histoire du concept depuis l'ère Mao [17].

Rois de la dynastie Xia

Document de référence : Henri Cordier : Histoire de la Chine[18]

  1. Da Yu 大禹 (ou Yu le Grand) (-2205/-2197)
  2. Qi 启 (-2197/-2188)
  3. Tai Kang 太康 (-2188/-2159)
  4. Zhong Kang 仲康 (-2159/-2146)
  5. Xiang 相 (-2146/-2118)
  6. Shao Kang 少康 (-2118/-2097)
  7. Zhu予 (-2097/-2040)
  8. Huai 槐 (-2040/-2014)
  9. Mang 芒 (-2014/-1996)
  10. Xie 泄 (-1996/-1980)
  11. Bu Jiang 不降 (-1980/-1921)
  12. Jiong 扃 (-1921/-1900)
  13. Jin (-1900/-1879)
  14. Kong Jia 孔甲 (-1879/-1848)
  15. Gao皋 (-1848/-1837)
  16. Fa 发(-1837/-1818)
  17. Jie Gui 癸 (-1818/-1767)

Les capitales de la dynastie Xia

Les capitales de la dynastie Xia furent :

Note sur la chronologie

En 1995, la Chine a lancé un vaste projet visant à établir une chronologie rigoureuse pour les trois premières dynasties de son histoire, celle des Xia, des Shang et des Zhou (jusqu'à -841 pour cette dernière). L'idée était de recouper des datations au carbone-14 et des données astronomiques, concernant en particulier des éclipses, avec tout ce que les inscriptions des Shang et des Zhou pouvaient nous apprendre. Environ 200 chercheurs y ont participé et les résultats obtenus servent à présent de références aux universitaires chinois. Les dates proposées pour les Xia vont de -2205 à -1767. Les Shang auraient régné de -1766 à -1112.

Le problème est que ce projet fait encore appel à l'historiographie traditionnelle et n'est donc que partiellement scientifique.

Notes et références

Notes

  1. Robert W. Bagley : « Chapter 3. Shang Archaeology » in : Michael Loewe and Edward L. Shaughnessy 1999 et brièvement évoqué dans : Gilles Béguin, Ma Chengyuan (dir.) 1998, p. 61

Références

  1. Jacques Gernet, Le Monde chinois. 1. De l'âge du bronze au Moyen Âge, Armand Colin, « Pocket », 1972, rééd. 2005, p. 118, qui recoupe Robert W. Bagley cité en référence et dont l'un des textes essentiels sur cette question est consultable en ligne sous la rubrique, ci-dessous, « Lien externe ».
  2. Rober Bagley (en), professeur à l'Université de Princeton en est un représentant de notoriété internantionale.
  3. LI Feng 2013, p. 50-51
  4. Page dédiée à ce bronze sur bronzeschinois.wordpress.com
  5. LI Feng 2013, p. 51
  6. a b et c Danielle Elisseeff 2008, p. 38
  7. LI Feng 2013, p. 52
  8. LI Feng 2013, p. 52, qui se réfère au texte de LI Liu de 2009 "Academic freedom, Political Correctness, and Early Civilization in Chinese Archaeology : The debate on Xia-Erlitou Relations", cité en bibliographie.
  9. Rémi Mathieu, Etude sur la mythologie et l'ethnologie de la Chine ancienne : Traduction annotée du Shanhai jing, Paris, Collège de France, Institut des hautes études chinoises : Diffusion De Boccard, 1983 (ISBN 2-85757-030-9) Deux volumes: 141 pages et 1217 pages.
  10. LI Feng 2013, p. 51.
  11. LI Feng 2013, p. 53.
  12. LI Liu and XINGCAN Chen 2012, p. 259-262 : Search for the Xia dynasty : à propos de la culture de Xinzhai, en particulier
  13. LI Liu : Academic freedom, Political Correctness... 2009, p. 832 de la version téléchargeable.
  14. Olivier de Bernon 2013, p. 199
  15. Cité par LI Feng 2013, p. 65 in Selected reading.
  16. Anthopologue de formation, Lothar von Falkenhausen enseigne à l' Université de Californie à Los Angeles, et c'est l'un des spécialiste de l'ancienne Chine mondialement reconnus : sur le site de UCLA
  17. LI Liu : Academic freedom, Political Correctness... 2009, p. 833 de la version téléchargeable.
  18. page de téléchargement du texte sur "chineancienne" Doc PDF ou Word : page 110 : Deuxième dynastie : Chang ou Yin (1766-1122): Ces chiffres sont donnés d’après Mailla et Mathias Tchang. . Et le même sur Gallica [1]. 1920-21

Bibliographie

  • Document utilisé pour la rédaction de l’article Gilles Béguin, Ma Chengyuan (dir.), Rites et festins de la Chine antique : Musée Cernuschi, Paris, Findakly, , 189 p. (ISBN 2-87900-365-2) Exposition Musée Cernuschi, Paris, 1999.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article Olivier de Bernon (dir.), Trésors de la Chine ancienne : Bronzes rituels de la collection Meiyintang, Musée des arts asiatiques Guimet. Mare & Martin, , 197 p. (ISBN 979-1-0920-5416-3, Marie-Catherine Rey) Exposition Musée national des arts asiatiques - Guimet, Paris, 2013.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article Danielle Elisseeff, Art et archéologie : la Chine du néolithique à la fin des Cinq Dynasties (960 de notre ère), Paris, École du Louvre, Éditions de la Réunion des musées nationaux (Manuels de l'École du Louvre), , 381 p. (ISBN 978-2-7118-5269-7) Ouvrage de référence, bibliographie et Sites Internet.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article (en) Michael Loewe and Edward L. Shaughnessy (dir.), The Cambridge history of ancient China : From the origins of civilization to 221 B.C, Cambridge, U.K. ; New York, Cambridge University Press, , 1148 p. (ISBN 0-521-47030-7) : Autres tirages : 2004, 2006, 2007. - (ISBN 978-0-521-47030-8)
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article (en) LI Feng, Early China : A Social and Cultural History, Cambridge et New York, Cambridge University Press, , 345 p. (ISBN 9780521895521) 24 cm , noir et blanc.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article (en) LI Liu and XINGCAN Chen, The Archaeology of China : From the Late Paleolithic to the Early Bronze Age, Cambridge et New York, Cambridge University Press, , 310 p. (ISBN 978-0-52181184-2), 24 cm , noir et blanc.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article (en) LI Liu, Academic freedom, Political Correctness, and Early Civilization in Chinese Archaeology : The debate on Xia-Erlitou Relations, Cambridge : Antiquity Publications, , 931-943 p., Version en ligne à télécharger sur le site de Latrobe University : [2]. : Actualité du débat (qui fait aussi référence à Sima Qian, auteur du Shiji).

Voir aussi

Lien externe

  • Robert Bagley / SHANG ARCHAEOLOGY sur harvard.edu in : Cambridge Histories Online © Cambridge University Press, 2008 (mais le texte original semble avoir été composé autour de 1998 : Bagley fait allusion à la découverte d'Anyang "il y a soixante dix ans", or Anyang, le site, a été découvert en 1928.)

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