Soulomès

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Soulomes)

Soulomès
Soulomès
L'église Sainte-Marie-Madeleine.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes du Causse de Labastide-Murat
Maire
Mandat
Christian Pons
2020-2026
Code postal 46240
Code commune 46310
Démographie
Population
municipale
135 hab. (2021 en augmentation de 17,39 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 38′ 01″ nord, 1° 35′ 41″ est
Altitude Min. 271 m
Max. 450 m
Superficie 7,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Causse et Vallées
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Soulomès
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Soulomès
Géolocalisation sur la carte : Lot
Voir sur la carte topographique du Lot
Soulomès
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Soulomès

Soulomès est une commune française, située dans le centre du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Vers et par un autre cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Causses du Quercy, qui a depuis 2017 le label de géoparc mondial Unesco, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « vallées de la Rauze et du Vers et vallons tributaires ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Soulomès est une commune rurale qui compte 135 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 082 habitants en 1806. Ses habitants sont appelés les Soulomessois ou Soulomessoises ou Soulomésiens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Cartographies de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
  • 1Carte dynamique
  • 2Carte Openstreetmap
  • 3Carte topographique
  • 4Carte avec les communes environnantes

Située sur une crête (altitude 434 mètres au niveau de l'église), la commune est l'un des points culminants du Causse central.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Soulomès[1]
Cœur de Causse
Soulomès[1] Caniac-du-Causse
Les Pechs du Vers

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 036 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lunegarde à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 828,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].

La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[10]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[11],[12]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[13],[14].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « vallées de la Rauze et du Vers et vallons tributaires »[16], d'une superficie de 4 807 ha, présentant, en zone alluviale, un intérêt majeur pour des prairies de fauche souvent riches en orchidées (Dactylorhiza sesquipedalis, Orchis laxiflora, ponctuellement Coeloglossum viride) et constituant le biotope de Lycaena dispar[17].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[18] : la « vallée du Vers » (3 782 ha), couvrant 11 communes du département[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Soulomès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[20],[I 1],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36 %), prairies (35,3 %), forêts (23,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Soulomès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Vers. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[25]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[26],[23].

Soulomès est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Soulomès.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[28]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 100 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 100 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Soulomès serait peut-être basé sur les mots sol et òme qui signifieraient qu'il ne restait qu'un seul habitant après la guerre de Cent Ans ou sur Soulomies qui indiquerait que ce lieu était au centre des terres des templiers[31].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1160, l'Ordre du Temple y implanta une commanderie dont on peut voir quelques vestiges attenant à l'église (mais ils ont été remaniés au XIXe siècle). Les vestiges anciens sont visibles à l'intérieur (c'est une habitation privée). Une porte permet la communication directe entre l'église et l'ancienne commanderie.

La métairie de Lolmède était une dépendance de cette commanderie, qui a été par la suite remaniée au XVIIIe siècle (tour d'escalier en vis rasée, construction d'un escalier droit, suppression des fenêtres à meneaux et mise en place de fenêtres à linteaux cintrés au goût du jour, etc.). La date 1787, effacée par l'érosion, est inscrite sur le linteau au-dessus de la porte d'entrée.

De l'époque médiévale subsistent les latrines (face nord de la maison), des traces d'ouvertures murées datant de l'ancien escalier à vis. Les fondations de la tour d'escalier subsistent dans le sol devant l'entrée de la maison.

N.B.: Cette demeure remarquable fut celle du maire Jean-Baptiste Lalo (maire de 1871 à 1915!) qui y fit bâtir une immense grange voûtée couverture par une toiture en ardoises, pas de style régional mais de style bavarois.Les incendies puis l'abandon firent peu à peu tomber l'édifice en ruines.

En 1995, des travaux d'électrification du village de Soulomès mirent au jour une nécropole du IXe siècle regroupant une vingtaine de sarcophages (un sarcophage double est exposé dans l'église).

Un cimetière jouxtait l'église jusqu'au XIXe siècle[32].

Soulomès et Saint-Sauveur-la-Vallée formaient initialement une seule et même commune mais furent séparées en 1865, Saint-Sauveur-la-Vallée ayant choisi d'avoir sa propre école en raison de la distance qui empêchait de nombreux enfants de se rendre à celle de Soulomès[33].

De l'ancienne seigneurie de Nougayrols subsistent des restes du château médiéval (sur une petite route menant à Saint-Sauveur) et les armes de la famille de Nougayrols sculptées sur la clé de voûte d'une chapelle latérale de l'église Sainte-Marie-Madeleine.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[34]
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1798 Bernard Cazard    
1798 1799 Guillaume Andrieu    
1799 1800 Pierre Balaye    
1800 1830 Bernard Cazard    
1830 1843 Jean Besse    
1843 1869 Pierre Balaye    
1869 1871 Pierre Salgues    
1871 1915 Jean-baptiste Lalo    
1915 1929 Jean Delpech    
1929 1945 Charles Rossignol    
1945 1965 Henri Marty    
1965 2008 René Cazal    
2008 2014 Albert Perie    
2014   Christian Pons    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

En 2021, la commune comptait 135 habitants[Note 4], en augmentation de 17,39 % par rapport à 2015 (Lot : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5094991 082994895795810910861
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
769805432462470458441432370
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
334287274217210185172161152
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
137135131128129107114117118
2018 2021 - - - - - - -
122135-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 4] 6,9 % 14,7 % 4,9 %
Département[I 5] 7,3 % 8,9 % 9,6 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 61 personnes, parmi lesquelles on compte 75,4 % d'actifs (70,5 % ayant un emploi et 4,9 % de chômeurs) et 24,6 % d'inactifs[Note 5],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 7]. Elle compte 15 emplois en 2018, contre 13 en 2013 et 19 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 43, soit un indicateur de concentration d'emploi de 34,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,4 %[I 8].

Sur ces 43 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 7 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 93 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

12 établissements[Note 6] sont implantés à Soulomès au [I 11]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 41,7 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 12 entreprises implantées à Soulomès), contre 14 % au niveau départemental[I 12].

Agriculture[modifier | modifier le code]

1988 2000 2010 2020
Exploitations 15 12 6 5
SAU[Note 7] (ha) 806 978 969 627

La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[39]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 4]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 9] (15 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 627 ha[41],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Sainte-Marie-Madeleine[modifier | modifier le code]

Église Sainte-Marie-Madeleine, fondée en même temps que la commanderie, avec un clocher porche de style gothique.

Le Presbytère a été inscrit au titre des monuments historiques en 1925[42]. L'église a été classé au titre des monuments historiques en 1944[42]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[42].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Soulomès » (consulté le ).
  5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Soulomès » (consulté le ).
  9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Soulomès » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Soulomès et Lunegarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lunegarde » (commune de Lunegarde) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Lunegarde » (commune de Lunegarde) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur parc-causses-du-quercy.fr (consulté le ).
  11. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur parc-causses-du-quercy.fr (consulté le ).
  12. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le ).
  14. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Soulomès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « site Natura 2000 FR7300910 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Soulomès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF la « vallée du Vers » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Soulomès », sur Géorisques (consulté le ).
  24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  25. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  27. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  29. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Soulomès », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  31. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1,‎ , p. 117 (lire en ligne)
  32. « Patrimoine Midi Pyrenées: l'église Sainte Marie Madeleine (Soulomès) » (consulté le ).
  33. Dépliant touristique de la commune - Office de Tourisme de Labastide-Murat
  34. « Les maires de Soulomès », sur Site francegenweb, (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  40. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  41. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Soulomès - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  42. a b et c « Eglise et presbytère », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[40].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :