Hiyoshi-taisha

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Hiyoshi-taisha
Nom en kanas
ひよしたいしゃVoir et modifier les données sur Wikidata
Localisation
Localité
Coordonnées
Culte
Type
Taisha, Hiyoshi shrine (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Religion
Sannō (d), Sannō Shintō (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Dédié à
Ōyama kui no kami (en), ŌmononushiVoir et modifier les données sur Wikidata
Architecture
Style
Histoire
Patrimonialité
Trésor national
Site historique du Japon (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Carte
Higashi Hongū (bâtiment de dévotion à l'est).
Honden de Nishi Hongū (bâtiment de dévotion à l'ouest).

Le Hiyoshi-taisha (日吉大社?) (ou Hie-taisha) est un sanctuaire shinto situé dans la ville de Ōtsu au Japon. Il fait partie de la liste des vingt-deux sanctuaires. Il est dédié au kami Ōkuninushi.

Le bâtiment de dévotion de l'ouest (西本宮, nishi hon-gū?) et le bâtiment de dévotion de l'est (東本宮, higashi hon-gū?) sont classés trésors nationaux dans la catégorie des sanctuaires par l'agence pour les Affaires culturelles[1]. Ce sanctuaire est à la tête du septième plus grand réseau de sanctuaires shinto du Japon avec quelque 4 000 affiliés.

Histoire[modifier | modifier le code]

La plus ancienne mention du Hiyoshi-taisha figure dans le Kojiki, composé au VIIIe siècle. À l'époque médiévale, le Enryaku-ji incite le sanctuaire à inclure une certaine partie de l'essence du bouddhisme.

Les bâtiments du sanctuaire sont incendiés lorsqu'Oda Nobunaga détruit le Enryaku-ji en 1571. Les édifices existants sont construits dans le dernier quart du XVIe siècle.

Mireia Trius et Pedro Alcalde sont les premiers étrangers qui se sont mariés en 2008 selon le rite shintoïste au temple.[réf. nécessaire]

Galerie d'images[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (ja) Agence pour les Affaires culturelles, « 国指定文化財 データベース »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Database of National Cultural Properties,‎ (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • « Hie-jinja », dans Dictionnaire historique du Japon, vol. 8 : Lettre H (2), Tokyo, Librairie Kinokuniya, Maison franco-japonaise, (lire en ligne), p. 130-131.
  • (en) John Breen et Mark Teeuwen, A New History of Shinto, Malden et Oxford, Blackwell Publishing, , p. 67-128.
  • Hieizan Rekishi no Sampomichi, Kōdansha, 1995 (ISBN 4-06-198105-6).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]

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