Abdallah Sadouk

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Abdallah Sadouk
Abdallah Sadouk en 2014
Naissance
Activités
Formation
Maître
Abdellah Fekhar, Thami El Kasri Dad, Emmanuel Auricoste, Jean-Marie Granier

Abdallah Sadouk est un artiste peintre, sculpteur, graveur et lithographe marocain né le 25 décembre 1950 à Casablanca.

Biographie[modifier | modifier le code]

Institut national des beaux-arts de Tétouan

Abdallah Sadouk naît en 1950 à Casablanca[1]. Après l'obtention du diplôme de l'Institut national des beaux-arts de Tétouan où, de 1967 à 1969, il est l'élève d'Abdellah Fekhar en dessin et de Thami El Kasri Dad en sculpture, il poursuit ses études à Paris, dans l'atelier d'Emmanuel Auricoste à l'École nationale supérieure des arts décoratifs de 1970 à l'obtention du diplôme de décorateur et sculpteur en 1976, ensuite à l'École nationale supérieure des beaux-arts où sa fréquentation de l'atelier de Jean-Marie Granier aboutit à un diplôme en arts plastiques et dessin. Une licence en arts plastiques couronne enfin l'année 1979-1980 qu'il passe dans l'atelier de Paul-Armand Gète à l'Université Paris 1 Sorbonne.

Sa carrière commence en France, jusqu'à ses premières expositions au Maroc en 1995, 1999 et 2002[2]. Sa vie se partage alors entre la province d'Al Haouz de Marrakech, où il installe un atelier en 2007, Casablanca et la région parisienne. « Il y a, constate Véronique Barre une nécessité de déracinement chez Sadouk. Vivre et travailler à Paris furent en quelque sorte la condition du rattachement à sa propre tradition[3] ».

Sadouk demeure un paysagiste abstrait[4] ; les références à ce qu’on pourrait appeler un « cubisme impressionniste » sont toujours présentes dans ses toiles, qui gomment le détail pour dévoiler les lignes de force d’architectures ou de bords de mer baignés de lumière.

Sadouk est également sculpteur, sur bois, sur métal, sur pierre. On peut voir notamment, à Casablanca, la grande façade du siège de la T.G.C.C.[2], qu'il a habillée de sculptures sur métal en 2015-2016[5].

Les œuvres de Sadouk, enracinées dans la culture berbère saharienne, sont résolument modernes : « C'est, estime Edmond Amran El Maleh, le jeu des plans, des figures géométriques qui donne naissance a des structures complexes ; la couleur, la gradation des nuances à dominante ocre sont soumises à ce jeu générateur dont elles forment et informent la matière. On est là bien proche des conceptions du cubisme. Mais ici la référence à l'architecture, à l'environnement naturel, à tout cet art d'inspiration berbère, est sensible »[6]. Farid Zahi, pour sa part, situe Abdallah Sadouk dans un univers qu'il nomme « l'appel du visible, où le réalisme figuratif est stylisé, symbolisé, nuancé. Il y a dans ces œuvres comme une attraction pour la mémoire révélatrice d'un attachement inébranlable à l'émerveillement instantané face à ce qui risque de disparaître »[7].

Expositions[modifier | modifier le code]

Expositions personnelles[modifier | modifier le code]

L'Aube hivernal 2 - Acrylique sur toile 80x100 2010
Mon Village-Fusain et crayon 48X63cm.2010
  • 1985 : Galerie Nadar, Casablanca.
  • 1987 : Galerie Hugo, Paris[8].
  • 1989 :
    • Espace 13, Théâtres13, Paris.
    • Le sacre de la lumière, Galerie Nadar, Casablanca.
  • 1991 : L’espace 17, Bastille, Paris.
  • 1993 : Rabat au pas des siècles et des saisons - Galerie Marsam, Hyat Regency, Rabat[8].
  • 1995 : Galerie Al Manar - Casablanca[9].
  • 1996 : Maison de la Sarre, Paris 16e.
  • 1997 : Espace 1789, Saint-Ouen[8].
  • 1999 : Galerie Al Manar, Casablanca[9].
  • 2000 : Folie d’Encre, Saint-Ouen.
  • septembre 2002 : Galerie Al Manar, Casablanca[9].
  • 2004 : Abdallah Sadouk - Peintures récentes, maison Lou Dumont, Gevrey-Chambertin.
  • 2008 : Galerie Venise Cadre, Casablanca.
  • Mai-juin 2011 : Paysages de villes, Galerie Delacroix – Institut français, Tanger[10].
  • 2014 : Abdallah Sadouk - Rétrospective, So Art Gallery, Casablanca[2],[11],[12],[13],[14],[15]

Expositions collectives[modifier | modifier le code]

La Grande Ville-Taille directe sur pierre de Taza 214 × 296 cm.2015
  • 1974 : École nationale supérieure des beaux-arts, Paris[16].
  • 1978 : Présence du dessin, Académie des Beaux-arts, Institut de France, Paris.
  • 1979 : Galerie Régine Lussan, Paris.
  • 1980 : Peintures marocaines, Palais des Congrès, Paris.
  • 1981 : Festival international de la peinture, Cagnes-sur-Mer.
  • 1982 :
    • Vingt peintres du Maghreb, I.C.E.I. et Fondation post-universitaire internationale, Paris.
    • Société des Artistes Français, Grand Palais, Paris[16].
  • 1985 :
    • Valence 85 - Tendances de l’art marocain contemporain, Valence.
    • Foire internationale de Rennes, 1985.
  • 1986 : À la rencontre du dessin, Galerie Nadar, Casablanca.
    • Young Artists From Europe - International Art Exposition, Jacob Javis , Convention Center, New York.
    • Foire Internationale de Rennes[16].
  • 1987 : 3e Salon de l’estampe, Ville d’Avray : Prix spécial du Jury, France. -Galerie “Peinture Fraîche” Paris, France.
  • 1988 :
  • 1990 : Palais des Congrès, Marrakech.
  • 1992 : Afrique Emoi - Art contemporain d’Afrique, Centre André-Malraux, Chambéry.
Château de Saint-Ouen
  • 1993 :
  • 1994 : Artistes Arabes résidant en France, Musée d’art moderne, Amman, Jordanie.
  • 1995 :
    • Fragments d’imaginaire, Institut français de Casablanca.
    • Peintres du Maroc, B.M.C.E., Paris.
  • 1997 :
    • Galerie “Peinture Fraîche” , Paris.
    • Printemps du Maroc, Bordeaux ».
    • 33e Salon de Saint-Ouen (Premier Prix).
    • Espace Actua BMCI, Casablanca.
    • Rencontre Inter arabe et méditerranéenne, Rabat.
  • 1998 :
    • Peintres du Maroc, Busigny, Lille et Paris.
    • Exposition d’art contemporain Itinéraire 98, Levallois-Perret.
  • 1999 : Peintres en partage. Espace des Blancs-manteaux “Le temps du Maroc”, Paris.
  • 2000 : 150 petits formats, Galerie Peinture Fraîche , Paris.
  • 2001 :Maroc Contemporain - Peintures et livres d’artistes, Stapelhuis Dépôt, Bruxelles.
  • 2005 :
    • De la genèse à l’œuvre « peintures sculptures, château de Saint-Ouen.
    • Dialogue entre deux rives - Peinture, poésie, château de Saint-Ouen.
  • 2007 : Convergences - Peintures, S.G.M.B., Casablanca[17].
  • Décembre 2010 - mai 2011 : Nature et paysage, Espace d'art - Société générale, Casablanca[18].
  • Mars 2015 : Cinquante ans de peinture au Maroc, Musée de la Palmeraie, Marrakech[19].
  • Juin-juillet 2016 : L'art de la tolérance, Galerie Bab Rouah, Rabat[20].
  • Septembre-octobre 2016 : So Art Gallery, Casablanca.
  • Juin-juillet 2019 : Vingt ans, une œuvre, Galerie d'art L'Atelier 21, Casablanca[21],[22].
  • Janvier-février 2020 : Estampes d'artistes dans la collection Attijariwafa Bank - Regard sur un métier d'art, espace d'art Actus, Casablanca[23].
  • Novembre 2021 - juillet 2022 : L'art, un jeu sérieux, Musée d'Art contemporain africain Al-Maaden, Marrakech[24].
  • 2022 : La collection du printemps 2, So Art Gallery, Casablanca.
  • Décembre 2022 - janvier 2023 : Im'Press - Estampes,, Gallery Kent, Tanger[25].
  • mars 2023 : Forêts, mairie du 8e arrondissement de Paris.

Contributions bibliophiliques[modifier | modifier le code]

Abdellatif Laâbi
Tahar Bekri

Parallèlement à ses activités dans le domaine des arts plastiques (peinture et sculpture), Abdallah Sadouk a collaboré avec des poètes et réalisé plusieurs livres d'artiste.

  • 1984 : Andalousies – Portfolio, texte d'Abdelkébir Khatibi enrichies de huit sérigraphies originales signées par quatre peintres marocains et quatre peintres espagnols, atelier Marsam, Rabat.
  • 1993 : Rabat au pas des Siècles et des Saisons, texte de Maurice Druon, quatre dessins et quatre sérigraphies. Edition Marsam, Rabat.
  • 1997 : Imago, poèmes de Fatima Chahid et peintures d'Abdallah Sadouk, Édition Marsam, Rabat.
  • 2001 : Pollen, poèmes de Khireddine Mourad, éditions Al Manar, Neuilly-sur-Seine (tirage courant précédé de trente exemplaires de tête, rehaussés d’aquarelles originales d'Abdallah Sadouk)[26].
  • 2002 : Petit Musée Portatif, poèmes d'Abdellatif Laâbi, tirage courant précédé de dix-huit exemplaires de tête, rehaussés de dix-huit dessins originaux d'Abdallah Sadouk)[27],[28],[29],[30],[31].
  • Un Pays m’est nécessaire, poème manuscrit d'Abdellatif Laâbi rehaussé d’une aquarelle d'Abdallah Sadouk, douze exemplaires uniques au format 25 × 15 cm, sur Vélin d’Arches, format accordéon, collection « Corps écrit », Editions Al Manar, Neuilly-sur-Seine[32].
  • 2006 : Jessica l’après-midi, d’Alain Gorius, éditions Al Manar, édition originale limitée à cent exemplaires numérotés sur Vélin d’Arches, intervention d'Abdallah Sadouk.
  • 2014 : Il pleut du sable sur Paris de Monique Enckell (tirage courant précédé de vingt exemplaires numérotés de tête, rehaussés d’aquarelles originales d'Abdallah Sadouk, éditions Al Manar, Paris[33].
  • 2018 : Désert au crépuscule de Tahar Bekri, couverture d'Abdallah Sadouk, éditions Al Manar, Paris.
  • 2022 : Le Pier de C. d'Isabelle Junca, douze exemplaires numérotés rehaussés de trois peintures originales d'Abdallah Sadouk, éditions Al Manar, Neuilly-sur-Seine.

Collections publiques[modifier | modifier le code]

Drapeau du Maroc Maroc[modifier | modifier le code]

Palais royal, Rabat

France[modifier | modifier le code]

Drapeau de la Jordanie Jordanie[modifier | modifier le code]

Citations[modifier | modifier le code]

Dits d'Abdallah Sadouk[modifier | modifier le code]

« En dehors du côté sacralisant de la lettre arabe, je porte mon intérêt, en tant que peintre, à sa structure qui se modifie pour son autonomie. Je remplis mes toiles jusqu'à saturation, ensuite j'élimine et je nettoie le support qui devient une espèce de palimpseste chargé de suggestions interminables. Comme le monde est plein d'accumulations qui ne cessent de se reproduire, je ne cesse à mon tour de faire, défaire et refaire. Je ne suis que le témoin du chaos quotidien de mon époque »

— Abdallah Sadouk[39]

« Mon sujet principal est le paysage urbain, il est en perpétuelle mutation, il se modifie sans cesse afin d'être habitable et à la dimension de l'homme, je traduis cette métamorphose de différents modes d'expression, avec le dessin, l'aquarelle, la peinture et la sculpture. Les fragments qui constituent l'espace sont une somme d'éléments calligraphiques, du signe et des motifs ornementaux extraits de l'architecture. »

— Abdallah Sadouk[15]

Réception critique[modifier | modifier le code]

Un architecte de la lumière[modifier | modifier le code]

« Abdallah Sadouk, depuis ses intuitions initiales jusqu’au présent épanouissement de formes et de couleurs, procède comme un explorateur élargissant son domaine et sa quête. Il n’oublie rien de son port d’attache, du milieu physique et spirituel où se sont forgées ses interrogations de base, mais ses allers-retours construisent des cercles toujours plus vastes d’identité et d’altérité. »

— Xavier Gizard, Président de la Ferme du Buisson, Torcy, 1992

Sadouk ou le sacre de la lumière[modifier | modifier le code]

« Dans cette peinture, la lumière n'est pas une présence environnementale, rebelle ou contraignante, impliquant des accommodements ou des servitudes imposées. La lumière est un marteau central dans la quasi-totalité des tableaux. Domestiquée, intégrée à l'œuvre, cette lumière au lieu d'englober la structure picturale, de l'extérieur, elle la travaille du dedans, l'irradie et fusionne avec elle[40]. »

« Les tableaux de Sadouk sont architecturaux. Les paysages semblent dressés dans l’espace. Ils sont quasi-sculpturaux. Et cette sculpture se voit, se palpe, impose avec netteté sa présence dans les tableaux. Rien d’étonnant à cela, Abdallah Sadouk a commencé sa vie de plasticien comme sculpteur[41]. »

Paysages de villes de Abdallah Sadouk[42][modifier | modifier le code]

« (...) Abdallah Sadouk allie savamment l’imprécis de la vibration au précis de la construction. »

— Marie-Christine Vandoorne[42]

« (...) Quand l'artiste superpose les zones urbaines et naturelles, il semble suggérer une succession temporelle aussi bien que spatiale, une accumulation d’existences dont le passage demeure, imaginaire, dans l’interstice laissé entre les murs. »

— Marie-Christine Vandoorne[42]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Vos artistes, Abdallah Sadouk
  2. a b et c Bouthaïna Azami, L'espace transcendé, Casablanca, Editions So Art Gallery, , 270 p. (ISBN 978-9954-39-450-2)
  3. Véronique Barre, « A. Sadouk, La quiétude et le double regard », Horizons maghrébins, n° 20-21,‎
  4. Saïd Afoullous, « Sadouk, paysagiste abstrait », Aujourd'hui le Maroc,‎
  5. « Abdallah Sadouk transforme la grande façade du siège de la T.G.C.C. en une monumentale œuvre d'art », Le 360, 9 décembre 2016
  6. Edmond Amran El Maleh, cité par Azzouz Tnifass, « Les ombres du monde », Le Temps du Maroc, n° 183,‎
  7. Farid Zahi, Une collection émergente - présentation de la collection de l'Académie du royaume du Maroc, éditions Marsam, 2002.
  8. a b et c Morrocan now, Artistes ; Abdallah Sadouk
  9. a b et c Africultures, Événements - Abdallah Sadouk - Peintures récentes, septembre 2002
  10. Institut français de Tanger, Abdallah Sadouk, présentation de l'exposition, 2011
  11. « Hommage à la palette de Abdallah Sadouk à So Art », Le Matin, 9 octobre 2014
  12. Bouthaima Azami, « Fascinants paysages d'Abdallah Sadouk », Le 360, 26 octobre 2014
  13. « Exposition : le parcours d'Abdallah Sadouk », Le Reporter, 27 octobre 2014
  14. Siham Jadraoui, « Exposition "L'espace transcendé" à Casablanca : une rétrospective de l'œuvre d'Abdallah Sadouk », Aujourd'hui le Maroc, 4 novembre 2014
  15. a et b « Mon sujet principal est le paysage urbain », entretien avec Abdallah Sadouk, Al Bayane, 12 novembre 2014
  16. a b et c Dictionnaire Bénézit; Gründ, 1999, vol.12, p. 168.
  17. Kenza Sefriouri, « L'exposition Convergences à Casablanca », Bab-el-Med, 22 février 2008
  18. Abdelali Najah, Les arts plastiques au Maroc, Le Lys bleu éditions, 2020.
  19. Fondation Benchaabane, Cinquante ans de peinture au Maroc, présentation de l'exposition, mars 2015
  20. Fondation Hassan II pour les Marocains vivant à l'étranger, L'art de la tolérance, présentation de l'exposition 2016
  21. « Exposition : Vingt ans, une œuvre », Les Éco, 18 juin 2019
  22. « Exposition : vingt-et-un artistes marocains retraçant les vingt ans de règne du roi Mohammed VI », Femmes du Maroc, 27 juin 2019
  23. a et b Fondation Attijariwafa Bank, Estampes d'artistes dans la collection Attijariwafa Bank, présentation de l'exposition, 2020
  24. Musée d'Art contemporain africain Al-Maaden, L'art, un jeu sérieux, présentation de l'exposition, 2021
  25. Philippe Guiguet-Bologne, ''Im'Press, Gallery Kent, 2022
  26. Khireddine Mourad, Pollen, Neuilly-sur-Seine, Editions Al Manar, , 64 p. (ISBN 2-913896-12-X)
  27. Abdellatif Laâbi, Petit Musée portatif, Neuilly-sur-Seine, , 78 p. (ISBN 2-913896-14-6)
  28. Thierry Guichard, « Poésie : l'hôte généreux », Le Matricule des anges, juin 2002
  29. « Causerie de poésie et de peinture : un musée portatif », Le Matin, 25 septembre 2002
  30. « Laâbi nous ouvre sa maison », Aujourd'hui le Maroc,
  31. Khalid Lyamlahy, « A boundless creative ferocity : the Souffles generation, Moroccan poetry and visual art in dialogue - Abdellatif Laâbi : mobility and multilingual aesthetics », dans, sous la direction de Jane Hiddleston et Wen-Chin Ouyang, Multilingual literature as world literature, Bloomsbury Academic, 2021
  32. a et b Bibliothèque francophone multimédia, Limoges, "Un pays m'est nécessaire" dans les collections
  33. Monique Enckell, Il pleut du sable sur Paris, Neuilly-sur-Seine, Editions Al Manar (ISBN 9782364260320)
  34. Académie du royaume du Maroc, "Lumière bleue" dans les collections
  35. Rabia Boujibar, Musée Mohammed VI : art moderne et contemporain, Fondation nationale des musées, Rabat, 2014.
  36. « Récits d'une collection - Les trésors du ministère de la Culture », Diptyk, hors-série, février 2022
  37. Amine Boushaba, « L’Artorium ou l’histoire de l’art à portée de main », L'Économiste, n°5184, 8 janvier 2018
  38. Galerie nationale des beaux-arts de Jordanie, Abdallah Sadouk dans les collections
  39. Mounir Adil, « Portrait du peintre Abdallah Sadouk : le paysagiste de tous les temps », Libération, 9 octobre 2014
  40. Issiali Aarab, « Sadouk ou le sacre de la lumière », Al Maghrib-Maroc, Maghreb Agence Presse,‎
  41. Aziz Daki, « La leçon de Sadouk », Aujourd’hui Le Maroc, n° 216,‎
  42. a b et c Marie-Christine Vandoorne, « Paysage de villes », catalogue d'exposition, Institut français de Tanger,‎

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, dessinateurs et graveurs, vol.12, Gründ, 1999.
  • Farid Zahi, Une collection émergente - Présentation de la collection de l'Académie du royaume du Maroc, éditions Marsam, 2002.
  • Farid Zahi, D'un regard, l'autre - L'art et ses médiations au Maroc, collection « Regards obliques », éditions Marsam, 2007.
  • Marie Christine Vandoorne, Paysage de villes d'Abdallah Sadouk, éditions de l'Institut français de Tanger, 2011.
  • Rabia Boujibar, Musée Mohammed VI : art moderne et contemporain, Fondation nationale des musées, Rabat, 2014.
  • Bouthaïma Azami, L'espace transcendé - Abdallah Sadouk, quarante ans de peinture, éditions So Art Gallery, Casablanca, 2017.
  • Abdelali Najah, Les arts plastiques au Maroc, Le Lys bleu éditions, 2020.
  • Claudia Esposito, « Traces of Souffles : on cultural production in contemporary Morocco », Contemporary French Civilization, volume 45, n°3-4, 2020.
  • Khalid Lyamlahy, « A boundless creative ferocity : the Souffles generation, Moroccan poetry and visual art in dialogue » dans, sous la direction de Jane Hiddleston et Wen-Chin Ouyang, Multilingual literature as world literature, Bloomsbury Academic, 2021.

Filmographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]