Wikipédia:Oracle/semaine 29 2016

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Le nom de la ville Douaouda dans l'API[modifier le code]

Bonjour, je n'ai etudié que 4 ans de français, il y a maintenant plus que 30 ans. Je prie que vous me pardonniez des barbarismes.

Dans la wikipédia anglais, ici on nous a demandé, comment se prononce le nom de la ville Douaouda en Algérie avec une transcription dans l'alphabet phonétique international.

Je chercherai une réponse ici, ou on peut répondre en anglais où se trouve la question originale.

Avec notre solidarité, merci beaucoup.

Medeis (discuter) 18 juillet 2016 à 05:03 (CEST)[répondre]

J'ai pris la liberté (ou est-ce un idiome strictement anglais?) de corriger quelques petites fautes d'orthographie, pour l'honneur des anglophones! —Tamfang (discuter) 18 juillet 2016 à 10:08 (CEST)[répondre]
Sûrement comme ça s'écrit (en français) : duauda.
Confirmé par la page arabe avec l'extension Firefox "S3.Google Translator" qui a une option pour prononcer les mots (en arabe دواودة).
Je ne lis pas l'arabe, et utilise le copier-coller et les outils sur mon ordinateur--Serged/ 18 juillet 2016 à 12:15 (CEST)[répondre]
En anglais on a dit que /ua/ et /au/ sont impossible en arabe, donc ce doit être /d(u)wawuda/ ou quelquechose de pareil. Ainsi, Medeis vient ici (ou içi) en espérant trouver une résolution plus définitive. —Tamfang (discuter) 21 juillet 2016 à 02:56 (CEST)[répondre]

Bonjour,

Je découvre l'article Phytohémagglutinine et j’apprends qu'on en trouve dans les haricots et qu'elle est toxique si l'on consomme des haricots crus ou mal cuits. Tout en sachant que « L'intoxication peut être consécutive à l'ingestion de cinq haricots crus seulement, avec de premiers symptômes apparaissant en trois heures. ». Or ça m’étonne puisque je me souviens qu'étant enfant, j’ai pu passer pas mal de temps à manger sitôt cueillis les haricots du jardin... J'adorais ça d'ailleurs. Et j'en mangeais bien plus de 5... Et je n’ai pas souvenir avoir vu des nausées ou vomissements dans les heures qui suivaient. Alors en cherchant un peu ailleurs j'ai à peu près trouvé la même chose, hormis peut-être ici où il est indiqué que « des substances toxiques qui, chez certains, peuvent avoir des effets néfastes ». Donc, est-il possible que certains individus ne présentent pas de symptômes même en en mangeant plus de 5 ?

J'ajoute que ceci me surprend d'autant plus qu'il ne me semble pas que cela fasse partie des règles élémentaires de danger que l'on enseigne aux enfants. Je connais « méfie-toi des champignons, en particulier s'ils sont rouges et blancs », « ne mange pas les petites baies rouges sauvages » ou encore « ne cueille pas trop près du sol à cause des renards » mais jamais je n’ai entendu parler d'une mise en garde relative aux haricots crus...

Donc si les Pythies savent un peu plus ce qu'il en est =/ Merci bien, --Floflo (discuter) 18 juillet 2016 à 19:09 (CEST)[répondre]

Salut Floflo. Je suppose que tu parles des haricots verts pour tes souvenirs enfantins (perso, je les mange encore crus, parfois, et je suis loin de l'enfance...) et que la toxine dont tu parles se trouve dans les haricots secs. Selon le degré de maturation une même plante peut être parfaitement digeste ou parfaitement toxique. Probablement, le haricot vert, immature, doit contenir beaucoup moins de phytohémagglutinine, tant en proportion sur extrait sec qu'en quantité sur poids équivalent, que le haricot sec, récolté au-delà de la maturité et nettement plus sec, comme l'indique son nom, jusqu'à moins de 20% d'humidité. >O~M~H< 18 juillet 2016 à 21:09 (CEST)[répondre]
De plus, c’est pas le même cultivar qu’on mange en vert ou en sec, non ? rv1729 19 juillet 2016 à 09:37 (CEST)[répondre]
L’article lié supra et qui fut la source de cette question semble confirmer cette réponse : « On en trouve les plus fortes concentrations chez les haricots rouges et chez certains haricots blancs, on en trouve aussi, en plus faible quantité chez divers types de haricots verts et chez d'autres variétés de Phaseolus vulgaris, ainsi que dans les fèves (Vicia faba). » rv1729 19 juillet 2016 à 09:39 (CEST)[répondre]
J’ai trouvé des articles scientifiques [1] [2] qui comparent les concentrations de PHA dans divers cultivars de haricots secs, aucun n’ayant pris la peine de considérer les haricots verts... il s’agit d’articles publiés par des agronomes du monde hispanophone, ce qui biaise clairement les centres d’intérêts. rv1729 19 juillet 2016 à 09:49 (CEST)[répondre]
D'après l'article anglophone, on en trouve surtout dans les en:Kidney bean (haricots rouges ?) et les en:Navy bean (haricots blancs ?) et en petite quantité dans d'autres variétés. Par ailleurs, je vois souvent des gens manger des fèves crues (j'ai même goûté, c'est légèrement sucré) sans qu'ils tombent raides morts... --Serged/ 19 juillet 2016 à 11:10 (CEST)[répondre]
Le principal problème posé par les fèves est le favisme, qui est surtout préoccupant pour les porteurs d'une certaine anomalie génétique, si je ne me trompe. — Ariel (discuter) 19 juillet 2016 à 11:16 (CEST)[répondre]
La gourgane ou fève des marais se consomme également crue, notamment à Malte où on en trouve des marchands ambulants qui vendent des gousses à écosser, c'est délicieux ! - Cymbella (discuter chez moi) - 19 juillet 2016 à 12:54 (CEST)[répondre]
Il y a peut-être aussi une question de composition aromatique, beaucoup de solanacées contiennent de la solanine mais sa toxicité est variable, sa concentration plus ou moins importante comptant certes mais pas elle seule, exemple en est la consommation de tomates vertes en condiment ou en confiture. >O~M~H< 19 juillet 2016 à 13:54 (CEST)[répondre]
Je ne comprends pas ce qui est supposé modifier la toxicité, à part la concentration ? rv1729 19 juillet 2016 à 15:17 (CEST)[répondre]
Moi non plus je ne comprends pas, rv, par contre je constate. Pour prendre un autre exemple, le curare n'est pas une molécule simple ni unique, il existe plusieurs curares au sens de molécules actives, et plusieurs curares au sens de composés, et selon le composé, à même dose une même molécule active sera tantôt mortelle, tantôt non. Je ne sais plus où je l'ai lu mais ce dont je me souviens est qu'il s'agissait d'une publication sérieuse, qui spécifiait qu'à dose équivalente la phytohémagglutinine sera mortelle dans une pomme de terre, et ne le sera pas dans une tomate. C'est ainsi. Si tu le préfères reste avec ton incrédulité, quant à moi je continuerai à consommer les tomates vertes et à éviter les pommes de terre de même couleur... >O~M~H< 20 juillet 2016 à 11:05 (CEST)[répondre]
Je te demande pardon d’avoir osé te demander des éclaircissements sur un point qui m’apparaissait (et m’apparaît toujours) quelque peu obscur. Passe une bonne journée. rv1729 20 juillet 2016 à 11:17 (CEST) Pssst, « solanine », concentration de solanine dans les tomates, etc.[répondre]
À mon âge avancé, j’attends toujours avec impatience la saison des petits pois et surtout des fèves, pour les croquer tout crus. Il semblerait donc que l’espèce Homo sapiens (plus ou moins) ruralis dont je fais partie soit mieux immunisée contre les Toxines que son lointain cousin Homo sapiens (idem) civitatis --Morburre (discuter) 19 juillet 2016 à 16:05 (CEST)[répondre]
Blague à part, je pense que c’est clair : dans les haricots verts et dans les fèves, il y en a beaucoup moins que dans les haricots secs (en particulier les haricots rouges) et il n’y a pas de danger. rv1729 19 juillet 2016 à 21:22 (CEST)[répondre]

Bonjour à tous. Merci pour vos réponses Émoticône sourire Effectivement, il s'agissait d'haricots verts que je mangeais sitôt cueillis. Les petits pois aussi j'en raffolais d'ailleurs... Tant-mieux alors Émoticône A+ ! --Floflo (discuter) 19 juillet 2016 à 23:27 (CEST)[répondre]

Je ne suis pas doué pour les haricots, mais en cherchant des images sur commons, il me semble que les catégories sont soit rattachées à la bouffe (cassoulet, chili con carne), soit tous des Phaseolus vulgaris même pour les fèves rouges, les fèves blanches et les jaunes. Bertrouf 20 juillet 2016 à 18:33 (CEST)[répondre]
Oui (mais pas pour les fèves, pour les haricots rouges, blancs, jaunes, etc), ce sont bien tous des cultivars d’une même espèce — comme les différentes variétés de piment et de poivron, de betteraves, etc. rv1729 22 juillet 2016 à 18:31 (CEST)[répondre]
C'est plus clair, merci. Bertrouf 25 juillet 2016 à 11:12 (CEST)[répondre]

Formule de la gigue (en parlant de latence) ?[modifier le code]

Bonjour les Wikiistes de l'été boréal. Je crois comprendre ce qu'est la Latence (informatique), et je comprends que la Gigue (informatique) exprime la variation de cette latence mais il y a plusieurs manières d'exprimer une variation. Ex : l'écart moyen (en valeur absolue) à la moyenne ou beaucoup plus utilisé l'écart-type. Est-ce un de ces deux calculs qui est réalisé (automatiquement) ou encore un autre ? J'ai lu https://en.wikipedia.org/wiki/Jitter (jitter=gigue) sans lire d'éclaircissement (on y montre une jolie courbe de Gauss ce qui ferait pencher la balance du coté de l'écart-type, mais je ne comprends pas bien le texte l'accompagnant). J'ai parcouru des bouts du net en vain ; toutes les pages reprennent les mêmes blablas. Je vous remercie pour votre attention.--Jojodesbatignoles (discuter) 19 juillet 2016 à 13:49 (CEST)[répondre]

La seule référence officielle est la RFC3393, qui définit le jitter comme la différence de latence entre deux paquets sélectionnés dans une série de paquets. La RFC note que la sélection peut être faite de plusieurs façons, notamment : deux paquets consécutifs, deux paquets avec latences minimale et maximale (cf partie 2.5). Dans la pratique si je devais calculer une telle mesure j’utiliserais un estimateur robuste de la dispersion, par exemple la MAD. rv1729 19 juillet 2016 à 15:13 (CEST)[répondre]

Rogneugneu, nom di Djou, tabernacle ![modifier le code]

Sacrament tower ou Ornate tabernacle de l'église St-Jacques de Louvain (Belgique)

Salut les Pythies ! Ayez pitié d'une humble infidèle qui se demande depuis 2 heures comment s'appelle le meuble placé derrière l'autel qui comporte un tabernacle et une "niche" où se place l'ostensoir pendant certaines messes, le tout étant surmonte (à Hermalle-sous-Huy) d'une croix avec un Christ ? L'entièreté du meuble se nomme-t-il tabernacle ? Quel est le nom précis de cette fichue niche ?! Merci pour vos lumières divines ou non ! Égoïté (discuter) 19 juillet 2016 à 16:31 (CEST)[répondre]

Et bien oui, pour moi le tabernacle est tout le meuble, et l'armoire s'appelle Armoire eucharistique, nommée elle aussi tabernacle par métonymie (ou synecdoque, j'avoue que je les confonds). Bertrouf 19 juillet 2016 à 17:20 (CEST)[répondre]
je connaissais wikt:rogntudju et wikt:screugneugneu, mais pas Rogneugneu Émoticône sourire. Bertrouf 19 juillet 2016 à 17:25 (CEST)[répondre]
Merci Bertrouf. Donc il y aurait 2 armoires eucharistiques superposées formant le tabernacle de l'église saint-Martin : celle du bas pour la pyxide et/ou le ciboire, celle du dessus pour présenter l'ostensoir à la vue de tous. J'ai trouvé que l'appellation armoire liturgique existe sur WP en mais les images ne correspondent pas à ce que je cherchais.
Pour rogneugneu, c'est un melting pot (= mélange en Brusseleer) tout à fait personnel des deux termes que tu cites, créé par paresse (c'est plus facile à prononcer). Bisous Égoïté (discuter) 19 juillet 2016 à 19:28 (CEST)[répondre]
Et moi je ne connaissais que wikt:scrogneugneu (donc à mi-chemin entre vous deux Émoticône) Amclt, --Floflo (discuter) 19 juillet 2016 à 23:32 (CEST)[répondre]
Aumbry se traduirait plutôt cellier, mais correspond à une armoire murale plutôt qu'à une armoire dans un mobilier dédié. Je ne sais plus où j'ai lu qu'on n'avait plus le droit d'y ranger les hosties maintenant et qu'il fallait un tabernacle. Et qu'en plus le tabernacle ne soit pas posé sur l'autel. Bertrouf 20 juillet 2016 à 10:41 (CEST)[répondre]
En tout cas, pour moi, tout ce meuble s'appelle une tour eucharistique --Le ciel est par dessus le toit (discuter) 27 juillet 2016 à 22:09 (CEST)[répondre]

Existe-t-il d'autres outils que le test de Turing pour savoir si on a affaire à un interlocuteur avec une conscience ou à une machine ?[modifier le code]

Ceci n'est pas un test de Turing ! (mais ça a quand même un rapport avec...)

Bonjour, Existe-t-il d'autres outils que le test de Turing pour savoir si on a affaire à un interlocuteur avec une conscience ou à une machine au téléphone ou sur internet voire dans la vraie vie ? Je me pose cette question en raison de doutes qui proviennent d'expériences personnelles où j'ai trouvé que mes interlocuteurs avaient des comportements soit très stéréotypés soit des comportements trop parfaits comme s'ils avaient un coup d'avance comme aux échecs. En plus, j'ai lu cet article dont je vous joins le lien et dans lequel un homme de 24 ans explique que son travail consiste à entraîner un chatbox à se comporter comme un humain. L'auteur de l'article se veut rassurant mais j'ai le sentiment que les performances en terme d'intelligence artificielle sont bien plus avancées que ce qu'on nous en dit. Ce qui me pose question, c'est le fait de ne pas savoir à qui on a à faire. http://rue89.nouvelobs.com/2016/07/04/raphael-24-ans-plume-dune-intelligence-artificielle-264487 Pour l'instant, j'utilise mon discernement pour déterminer qui est mon interlocuteur et je serais très contente de tester d'autres outils si vous en connaissez. Avec mes remerciements pour votre réponse éclairante.

L’idée qui sous-tend le test de Turing c’est que le seul moyen de savoir si son interlocuteur est conscient, c’est justement la conversation. C’est en quelque sorte un postulat, mais il paraît raisonnable. À mon avis les performances des meilleurs candidats au prix Loebner démontrent qu’on est encore très loin d’une machine qui pourrait soutenir une vraie conversation. Sur ce site vous pourrez vous faire une opinion par vous-même en regardant la transcription des conversations robotiques : les questions sont écrites à l’avance ce qui facilite grandement la tâche à la machine, qui peut répondre au coup par coup sans avoir à « saisir » un enchaînement logique, bref, à suivre la conversation. rv1729 20 juillet 2016 à 13:32 (CEST)[répondre]
Le test de Turing ou tout autre test de ce genre ont cependant une limite, ils ne peuvent différencier que des humains et des ordinateurs dont chacun aurait le comportement propre à son espèce. Or, si l'on a affaire à un humain se comportant comme un ordinateur, on considèrera avoir affaire à un ordinateur. Je pense précisément à tous ces appels commerciaux qu'on reçoit de plus en plus souvent, où l'appelant à une guideline tel que quelle que soit la voie qu'emprunte la conversation il doit, selon les consignes, la ramener vers le sujet de son appel, ce qui ne le différencie alors pas d'un ordinateur puisque si les questions de l'appelé sortent de la guideline les réponses commencent à devenir humainement incohérentes. >O~M~H< 20 juillet 2016 à 17:20 (CEST)[répondre]
Tu veux dire que quand j’ai recommandé à la publicitaire de se chercher un vrai boulot, utile à la société, en fait j’ai perdu mon temps à parler à un ordinateur ?! Grasyop 20 juillet 2016 à 17:55 (CEST)[répondre]
Est-ce qu'elle a dit "Slip de bain" ? Sourire diabolique Bertrouf 20 juillet 2016 à 18:40 (CEST)[répondre]
On gagnerait beaucoup de temps à apprendre aux humains à parler comme des machines, Orwell l'avait bien compris, les seuls qui se soient sérieusement mis à pratiquer la novlangue (newspeak) ce sont les représentants politiques. PytiBot --Doalex (discuter) 21 juillet 2016 à 20:38 (CEST)[répondre]
Pas mal de « journalistes » aussi. Mais sinon, à ce que je comprends, on continue à évoquer l'intelligence artificielle à propos de "trucs" informatiques consistant essentiellement à repérer des chaînes de caractères dans un texte, et à utiliser des batteries de réponses toutes faites, mais on pourra commencer à parler sérieusement lorsque la « machine » (le programme) disposera d'une représentation interne réaliste du monde dans lequel nous vivons. Mais le sujet est trop vaste. Syrdon (discuter) 22 juillet 2016 à 08:33 (CEST)[répondre]
Pour revenir à la question, le contexte et de ce fait le comportement des « interlocuteurs » ont leur importance. On peut toujours dresser un (ro)bot à répondre « correctement » dès lors que le contexte est très limité (support technique par exemple). Quand on arrive sur un site où censément on interagit avec un être humain via un chat, si celui-ci implique des questions et des réponses stéréotypées, difficile alors de différencier un humain d'un automate, d'autant plus si le concepteur de l'automate a prévu que l'humain tentera de piéger son interlocuteur pour déterminer si c'est une machine qui lui répond.
Un automate de ce genre ne répond pas au propos tenu qui, censément, est syntaxiquement correct, il cherche dans la phrase des mots-clefs et produira une phrase qui semble correspondre à celle émise. Si l'automate est suffisamment robuste il parviendra à détecter une phrase syntaxiquement ou sémantiquement incohérente et puisera cette fois dans le stock de réponses exprimant l'incompréhension. Il peut donc aussi être prévu pour détecter les questions-pièges et émettre une réponse assez ambigüe (sibylline, humoristique ou ironique) pour donner le sentiment d'une réponse « naturelle ». Pour en avoir testé, j'ai pu constater que certains automates prévus pour un contexte limité restent « interactifs » un temps assez long sans qu'on puisse jamais douter, si l'on n'est pas prévenu que ce sont des robots, qu'on a affaire à une interaction avec un humain. >O~M~H< 22 juillet 2016 à 11:14 (CEST)[répondre]

informations sur l'expression, adage ou proverbe « les princes n'épousent pas les bergères »[modifier le code]

Bonjour à tous !

Je m'interroge sur l'origine de l'expression de l'expression, adage ou proverbe « les princes n'épousent pas les bergères. » Quelqu'un aurait-il des informations à ce sujet ? --Polmars • Parloir ici, le 22 juillet 2016 à 12:00 (CEST)[répondre]

L'expression figure dans Les Contes de ma mère l’Oye avant Perrault de Charles Deulin (1879) et cela semble être (avec les rois au lieu des princes) le titre original d'un film muet de 1910, Les bergères n'épousent pas les rois, (article) (pourquoi ce renversement dans le titre ? aucune idée). Mais c'est probablement plus ancien, lié en tout cas aux contes de fées, surtout "à la française". Syrdon (discuter) 22 juillet 2016 à 12:30 (CEST)[répondre]
Ah, mieux : expression proverbiale déjà signalée en 1743 dans le Dictionnaire complet françois et hollandois (non, rien à voir avec qui-vous-savez) de Pieter Marin, à l'article "Bergère" : Ce n'est plus le tems que les Rois épousent les Bergères (t'is de tijd niet meer dat Koningen Harderinnen trouwen)... Syrdon (discuter) 22 juillet 2016 à 14:43 (CEST)[répondre]
J'ai cherché côté Charles Perrault (1628-1703) ou Madame d'Aulnoy (1650-1705), mais si on trouve bien des histoires de rois ou de princes intéressés par des bergères (La Marquise de Salusses ou la Patience de Griselidis (1691 ; horrible conte !) pour le premier, ou Le Rameau d'Or (1698) pour la seconde, on ne voit pas qui a dit le premier que ces choses-là n'arrivent plus. En revanche, Richelieu (1595-1642) aurait dit que "si l'on pouvait voir des rois épouser des bergères, il serait malséant que des reines épousassent des bergers !". Donc il faut sans doute remonter plus loin encore (peut-être à l'Antiquité ?) Syrdon (discuter) 22 juillet 2016 à 15:44 (CEST)[répondre]
Merci beaucoup Syrdon (d · c · b) pour ces renseignements précieux. Cordialement, -- Polmars • Parloir ici, le 22 juillet 2016 à 21:28 (CEST)[répondre]

Expression « vendanges tardives » utilisée dans le sens de « mariage tardif »[modifier le code]

Bonjour à tous !
L'expression « vendanges tardives », couramment utilisée en viticulture, concerne la production d'un vin spécifique réalisée à part de raisins récoltés très tardivement. Elle pourrait également avoir un sens particulier, remontant peut-être au XVIIIe siècle, pour désigner un mariage entre deux personnes très âgées pouvant avoir vécu ensemble auparavant pendant de nombreuses années. Quelqu'un pourrait-il me confirmer l'utilisation de cette expression dans ce sens spécifique, et me donner des renseignements sur son origine (québécoise, ou autre ?).
--Polmars • Parloir ici, le 22 juillet 2016 à 12:14 (CEST)[répondre]

Il y a sûrement une réponse à ta question, Polmars, serait-elle négative. Mes quelques recherches sur Internet n'ont rien donné, ce qui n'est pas significatif mais du moins indicatif, disons, je n'ai pas trouvé d'emploi métaphorique de « vendanges tardives », dans le sens que tu indiques ou dans quelque autre sens. >O~M~H< 24 juillet 2016 à 18:58 (CEST)[répondre]
C'est parce que je ne trouvais pas de réponse à cette question que je suis venu la poser ici. Je n'ai certes aucune certitude à ce sujet, mais j'ai entendu parler de cet usage très spécifique de cette expression, et je souhaitais en savoir plus. Merci, en tout cas Olivier Hammam de t'être penché dessus pour essayer de m'apporter une réponse. Cordialement, -- Polmars • Parloir ici, le 24 juillet 2016 à 19:07 (CEST)[répondre]

Classement des sports par nombre de licenciés dans le monde?[modifier le code]

Bonjour à tous,

Par curiosité, je cherches un classement (si possible exhaustif) des sports les plus pratiqués dans le monde par nombre de licenciés. Il s’avère que je ne trouve presque aucun classement de ce type, a part quelques top 10 mais généralement ces top 10 prennent en compte la popularité des sports avec leurs fan base.

Merci d'avance et cordialement Matvo9 (discuter) 20 juillet 2016 à 13:57 (CEST)[répondre]

Salut, Matvo9. Alléché par le titre, je me suis dit que la page « Le TOP 20 des sports qui comptent le plus de licenciés et le TOP 50 des plus diffusés à la TV » devait répondre à ta question. Manque de pot, deux mots importants sont absent de ce titre : « en France ». Du fait, ça n'est pas représentatif des sports comptant mondialement le plus de licenciés, par exemple le cricket et le hockey sur glace en sont absent.
Ah ben voilà ! « L’information inutile du vendredi : classement des sports les plus pratiqués dans le monde », où l'on trouve bien le cricket (en deuxième) mais pas le hockey, cela quelle que soit la surface : au début des années 1970 le hockey sur gazon était plus populaire que le cricket dans le sous-continent indien, ce qui est d'une aide précieuse, avec l'engouement chinois, pour figurer dans le Top 10. La liste date de 2002 et très probablement le football (celui non américain) a du gagner deux ou trois places, pour la raison justement qu'en Inde mais encore bien plus en Chine il y a eu ces derniers lustres une politique volontariste de promotion de ce sport. >O~M~H< 23 juillet 2016 à 17:29 (CEST)[répondre]

Recherche reportage FR2 sur Donald Trump[modifier le code]

Bonjour,

Je recherche un reportage du JT du soir de France 2 sur Donald Trump, qui résumait son parcours dans la primaire républicaine, y compris ses insultes. Il me semble que dans ce JT se trouvait également Bruno Le Maire mais sur la vidéo où ce dernier apparaît je ne retrouve plus le reportage. Pourriez-vous donc me le retrouver, s'il vous plaît ?

Cordialement

Question pas très encyclopédique... Vous avec cherché sur Pluzz ? --Serged/ 23 juillet 2016 à 13:14 (CEST)[répondre]
Sinon, y'a Slate et ses 141 citations sourcées de Trump. Bertrouf 26 juillet 2016 à 08:51 (CEST)[répondre]

Papier superposé[modifier le code]

Bonjour,

Je cherche à savoir si un mot existe pour ce concept. Deux feuilles de papier (ou plus) qui, quand elles sont superposés, forment un dessin ou une forme original. Le seul exemple concret qui me vient en tête est dans Iron Man 1, quand Robert Downey Jr. dessine le plan de son armure dans sa prison afghane sur plusieurs feuilles séparément mais qui une fois mises les une sur les autres et éclairés, dessinent l'armure. Sur cet image il y a plusieurs feuilles les une sur les autres.

Je sais pas si c'est très claire, et je ne sais pas non plus si cette technique a vraiment un nom.

Merci d'avance,

--Woozz un problème? 24 juillet 2016 à 17:25 (CEST)[répondre]

Je suppose qu'il s'agit de la même technique que le fait d'avoir 3 parchemins nécessaires pour voir les coordonnées du trésor dans Le Secret de La Licorne (Tintin) ? (ouf, une image !) --Floflo (discuter) 24 juillet 2016 à 17:34 (CEST)[répondre]
On dirait bien! --Woozz un problème? 24 juillet 2016 à 17:42 (CEST)[répondre]
C'est plus ou moins la technique du calque, non au sens premier de « copie » ou « reproduction » mais selon l'usage du mot dans des domaines techniques (architecture, ingénierie) puis pas dérivation en informatique, où l'on nomme calque une feuille (et en infographie une feuille virtuelle) comportant une partie du dessin produit et par extension le dessin qu'on y place, terme qui tient de l'aphérèse et de la métonymie : « calque » pour « papier calque » (bien que les feuilles utilisés ne soit pas toujours en papier calque) et « calque » pour « dessin sur du papier calque ». >O~M~H< 24 juillet 2016 à 18:28 (CEST)[répondre]
P. S. On peut aussi assimiler le procédé à de la stéganographie, je ne me rappelle plus le terme mais il me semble bien y en avoir un pour la méthode consistant à masquer, non pas un message littéral mais une image, généralement en surchargeant l'image à cacher avec une encre effaçable ou au contraire en en dessinant une partie avec de l'encre sympathique. Le cas d'une image à reconstituer avec une série de calques en serait une variante. >O~M~H< 24 juillet 2016 à 18:39 (CEST)[répondre]
Comme dans TNT en Amérique ? Sinon, oui le calque, n'importe quel utilisateur d'AutoCAD vous le confirmera. Bertrouf 25 juillet 2016 à 11:24 (CEST)[répondre]
Dans les logiciels de dessin, on appelle ça des calques. On pourrait préciser calques de surcharge pour différencier d'un calque de copie, mais je ne sache pas que l'expression soit d'un usage commun. -- Jean-Rémi l. (discuter) 25 juillet 2016 à 21:10 (CEST)[répondre]
C'est comme tu dis, pas d'un usage commun, du moins avant l'apparition des logiciels de DAO, mais comme souvent avec les applications informatiques, le vocabulaire ne vient pas de rien, et le terme de calque dans cette acception était largement en usage dans les métiers où l'on faisait du dessin, artistique ou technique. >O~M~H< 25 juillet 2016 à 22:55 (CEST)[répondre]
L'utilisation de calques pour ajouter une information a un plan existant sans vraiment l'ajouter, comme par exemple des remarques ou demandes de modification se faisait en bureau d'étude avant l'arrivée de la DAO. Mais pas pour coder ou cacher l'information, simplement pour séparer les informations. Je me rappelle, jeune dessinateur, poser un calque sur mon plan pour que l'ingénieur y inscrive ses demandes puis poser ce calque sous le plan pour les mettre au propre et enfin archiver le calque pour si on me demande pourquoi c'est comme si et pas comme ça, je puisse prouver que l'idée farfelue n'est pas de moi. C'était utilisé dans le bâtiment pour séparer les plans d'étage tout en gardant les mêmes colonnes, séparer les diffèrent corps de métier, etc. --CQui (discuter) 26 juillet 2016 à 10:05 (CEST)[répondre]
Héhé, j'ai faillit oublier, quand j'était encore au lycée, probablement en 1983, j'était allé a un salon du matériel de bureau d'étude et j’y avait vu des tables à dessin rétroéclairées au néon justement pour travailler avec des piles de calques… --CQui (discuter) 26 juillet 2016 à 10:09 (CEST)[répondre]
Je suppose que c’est une des raisons principales pour lesquelles le dessin technique se faisait sur calque... Ceci dit l’utilisation « à la Licorne » (comme dit Floflo) a peut-être en effet un nom spécifique, mais je sèche. rv1729 26 juillet 2016 à 11:31 (CEST)[répondre]
Possible que l'on puisse parler de symbole ou symbolon au sens propre, c'est-à-dire un objet divisé en deux parties et qui n'a de valeur ou de sens qu'en réunissant ces deux parties. >O~M~H< 26 juillet 2016 à 12:32 (CEST)[répondre]
Sur ma table à dessin qui était top niveau en 1980 il y a, allumée, ma table lumineuse bricolée provisoirement à la même époque (4 lames de parquet, un fond contreplaqué, une plaque de plexi dessus, deux petis néons dedans dont un grillé depuis 2005, dont je me sers toujours pour travailler avec des papiers qui ne sont pas calques mais c’est toujours des calques. Un coup de chapeau admiratif au type qui a fait ça avec des parchemins, pas très réputés pour leur transparence. J’espère qu’il n’avait pas un néon grillé. --Morburre (discuter) 26 juillet 2016 à 14:19 (CEST)[répondre]
C’est du vélin... [3] rv1729 26 juillet 2016 à 14:42 (CEST)[répondre]
Ah ouais tant qu’à faire, on fait classe, puisqu’il y a un trésot à la clé. --Morburre (discuter) 26 juillet 2016 à 19:18 (CEST) Bah ouais, le Chevalier de Haddoque c’est pas de la bibine ! rv[répondre]
Message par transparence, codage par superposition ? Syrdon (discuter) 27 juillet 2016 à 09:15 (CEST)[répondre]