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Mediolanum Aulercorum
Oppidum d'Évreux
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Vestige gallo-romain du mur d'enceinte entourant l'oppidum de Mediolanum Aulercorum[1].
Localisation
Pays France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Évreux
Canton Évreux-1
Site archéologique Oppidum
Coordonnées 49° 03′ 31″ nord, 1° 08′ 56″ est
Altitude 58 à 146 m
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Mediolanum Aulercorum
Mediolanum Aulercorum
Histoire
Antiquité Période gallo-romaine
Haut Moyen Âge Période Mérovingienne
Internet
Inrap [2]
Sources
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[6]

Le site de Mediolanum Aulercorum, cité d'Évreux au cours de l'antiquité gallo-romaine est fondée à la fin du Ier siècle av. J.-C.[7]. Le complexe antique est localisé au Sud de la commune ébroïcienne[7].

Le Mediolanum situé à Évreux est notamment mis en évidence par une inscription retrouvée au cours d'investigations archéologiques et attribuée au début du IIe siècle apr. J.-C. Cet objet épigraphique, dont le texte est écrit en langue latine et gravé sur un linteau de pierre, évoque l'ancienne cité ébroïcienne comme étant la capitale des Aulerques Cénomans au cours de la période antique. Celle-ci succède ainsi à l'autre complexe urbain régional Gisacum (l'actuelle ville du Vieil-Évreux) et dont l'assise est à l'Âge du fer[8],[9].

Implantée dans les marges de la cité gallo-romaine, au lieu-dit du « Clos au Duc », une nécropole se déploie au sein d'un vaste périmètre et dont les limites précises n'ont pas été encore clairement définies[7]. Ce cimetière gallo-romain, mis en place au début du Ier siècle apr. J.-C., connaît une utilisation constante jusqu'au IVe siècle[7].

Localisation[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Pour les linguistes, le toponyme Mediolanum, est un terme récursif qui fait tradionellement référence aux éléments géographiques de « plaine médiane », ou « milieu de la plaine », ou encore, « plaine du milieu »[10]. Toutefois, certains spécialistes, comme le philologiste Georges Dottin (1863-1928), ont mis en évidence que le suffixe de déclinaison latine "-lanum" de Mediolanum serait étroitement associé au mot breton « lan », se traduisant par les termes « église », « sanctuaire », ou encore « terre consacrée »[10]. Globalement, Mediolanum, mot d'origine latine, se révèle au sein d'une aire géographique clairement délimitée. Il s'agit de l'ensemble des territoires celtiques (à l'exception de l'Ibérie), et de koinè (ou culture) celte, soit un zone qui englobe la Gaule Chevelue, la Belgique, l'Armorique, la Bretagne insulaire, la Cisalpine et la Transalpine[10]. Par ailleurs, l'adjonction du terme Mediolanum à certains complexes urbains celtes, correspond à une période allant de la fin l'époque hallstattienne « D » / début de celle La Tène « A »[Note 1] (Ve siècle av. J.-C.), jusqu'à la fin du Ier siècle av. J.-C.[10]. Outre le cadre strictement topographique, trois autres facteurs apparaissent déterminer le choix de dénommination de certaines villes protohistoriques ou antique sous le toponyme Mediolanum : il s'agit des contextes géologique, pédologique et hydrographique[10]. Ainsi, de nombreuses cités dont le nom est Mediolanum ou un dérivé de ce terme, sont fréquemment signalées dans les bassins hydrographiques du Rhône, de la Loire, et de la Seine[11],[12].

Grâce à la carte de Peutinger, il est actuellement possible de distinguer une importante quantité d'oppida gauloises dont l'appellation se rapporte à Mediolanum : c'est notamment le cas de cités telles que Mediolanum Santonum (l'actuelle Saintes) appartenant à la civitates des Santones, Mediolanum Aulercorum (pour la ville d'Évreux), Mediolanum Biturigum (l'actuelle Châteaumeillant département du Cher) appartenant au territoire des Biturii Cubi[13].

Dans le cas de l'ancienne cité antique d'Évreux, le toponyme "Mediolanum Aulercorum, apparaît pour la première fois dans les textes du géographe grec Ptolémée (90-168)[Note 2],[14]. Le nom de la ville est ensuite mentionné dans l'Itinéraire d'Antonin, en 384 apr. J.-C., puis au cours du XIIIe siècle par Konrad Peutinger dans sa "Tabula Peutingeriana" (passage « I, B1 »)[14].

Le mot Aulercorum est identifié comme étant une déclinaison latine de Aulerci, nom donné par les romains aux tribus constituant le pagus gaulois des Aulerques. Selon le celtologue Venceslas Kruta, cet ethnonyme, se traduisant en latin par Aulerci, pourrait se traduire par l'expression « ceux qui sont loin de »[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Découvertes et fouilles[modifier | modifier le code]

Les fortifications gallo-romaines[modifier | modifier le code]

La nécropole[modifier | modifier le code]

Implantée dans les marges de la cité gallo-romaine, au lieu-dit du « Clos au Duc », une nécropole se déploie au sein d'un vaste périmètre et dont les limites précises n'ont pas été encore clairement établies[7]. Ce cimetière gallo-romain, mis en place au début du Ier siècle apr. J.-C., connaît une utilisation constante jusqu'au IVe siècle[7]. Le complexe funéraire, est placé à flanc de coteau, et se développe en parallèle de la via romana qui raccorde la métropole de Mediolanum Aulercorum à celle d'Autricum (actuelle ville de Chartres)[7]. Le cimetière est par ailleurs encadré par la rue Saint-Louis, la gare SNCF qui désert Évreux et le quartier dit « Du Buisson »[7]. Ainsi, l'ensemble de la nécropole éburovice se matérialise sous forme triangulaire. Les premières prospections archéologiques de la nécropole du « Clos au Duc » sont effectuées à partir du XIXe siècle[7].

Les investigations menées depuis , ont mis en évidence de nombreuses sépultures à incinération attribuées au Ier siècle apr. J.-C. et d'autre part, des tombes, datées du IIe au IVe sièclee, qui elles sont majoritairement dite à « inhumation »[7]. Ces découvertes témoignent d'un changement significatif du rite funéraire[7].

Les ateliers de foulons[modifier | modifier le code]

L'antique cité ébroïcienne possède une importante réputation de ville productrice de tissus. Cette activité économique, développée dès la période gallo-romaine, sous le règne de l'empereur Antonin (86-161), est pérennisée jusqu'au cours du Moyen-Âge[16]. Ce secteur industriel de Mediolanum Aulercorum est notamment spécialisé dans la confection de draperies en laine[16]. Un artéfact, sous la forme d'une inscription épigraphique et retrouvée lors d'fouilles de sauvetage a clairement démontrer l'implantation d'ateliers d'artisans-foulons au sein même du complexe urbain gallo-romain : celle-ci évoque l'existence de foulonniers éburovices au cours du IIe siècle apr. J.-C.[16].

L'activité de fabrication de tissus en laine du site antique d'Évreux apparaît étroitement associée à au voisinage de terres agro-pastorales spécialisées dans l'élevage des moutons[8]. La matière première, la laine, est ensuite acheminée au sein d'atelier pourvus de métier à tisser. Ces ateliers d'artisanat constituent généralement des bâtiments dépendants de structures d'habitats à vocation domestique[8]. Le foulonnage, ainsi que le filage, sont ainsi réalisés au sein même des habitats urbains ou péri-urbains de Mediolanum Aulercorum[8].

L'inscription des foulons[modifier | modifier le code]

L'inscription a été mise en évidence au milieu du XIXe siècle, le , lors de fouilles effectuées aux environs du Château d'Évreux, en lieu et place de l'actuel Hôtel de Ville ébroïcien[8].

Il s'agit d'une épigraphie à caractère publique et collectif[8]. À l'instar des autres inscriptions datées de la même époque (période antonienne) et au sein de cette même région (la Gaule du Nord-Ouest), elle est employée comme principal « moyen de communication » au cœur du complexe urbain de Mediolanum Aulercorum[8]. L'inscription dite « des foulons » se révèle être un texte administratif et édiliaire dont l'objectif est d'informer les populations autochtones[8]. D'autre part, elle semble constituer un témoignage des différents niveaux hiérarchiques existant à l'échelle locale[8]. Outre l'évocation de l'activité économique de foulonnage, ce texte épigraphique mentionne également la mise en place d'un bâtiment balnéaire, une piscine, construite à l'usage exclusif des artisans-foulonniers[8].

Ce témoignage scriptural antique est constitué de parties fabriquées en pierre de type calcaire. Le premier fragment, le plus important en terme de taille, mesure 68 centimètres de long pour 65 de large. Le second possède quant à lui, une longueur de 50 centimètres, pour une largeur de 28 centimètres[8]. La cassure nette entre les deux parties du linteau de pierre montre que celui-ci aurait été intentionnellement scié ou brisé[17]. Toutefois, de récentes analyses réalisées sur l'objet révèlent qu'il pourrait avoir été fabriqué non pas d'un seul et unique tenant, mais de deux[17].

L'ensemble des caractères, chacun mesurant 6 centimètres, sont inclus dans un cadre rectangulaire dont il demeure certaines traces sous la forme de traits peu marqués d'une largeur de 9 cm[17]. Le texte se présente gravé sur 6 lignes. Par ailleurs, certains des caractères typographiques sont espacés de motifs qui représentent des feuilles[17]. En voici la traduction littérale :


« Publius Suillius, fils de Publius [...] a fait don de l'ouvrage de la piscine, avec l'autorisation de Pacatus, homme très illustre, légat d'Auguste, et à la suite d'un décret du conseil des décurions, pour les usages des foulons de Mediolanum. »

— Élisabeth Deniaux, , p. 56[17].

Les autres vestiges[modifier | modifier le code]

Conservation muséographique[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Autrement dit : l'époque au cours de laquelle le territoire celte connaît son appogée[10].
  2. Plus précisément, les termes Mediolanum Aulercorum sont mentionnés par Ptolémée dans les passages « II, 8, 9 » et « II, 8, 11 » son œuvre Géographie[14].

Références[modifier | modifier le code]

  1. groupe
  2. « La nécropole antique d'Évreux : Chronique de la fouille », sur site officiel de l'Inrap (consulté le ).
  3. Jean-Baptiste Colbert de Beaulieu, « Aulerques et Redons : méthodologie, classement, histoire. », dans Jean-Baptiste Colbert de Beaulieu, Notices de numismatique celtique armoricaine., vol. Tome 66, numéro 1, Annales de Bretagne, (DOI 10.3406/abpo.1959.2073, lire en ligne), pages 39, 40 et 58.
  4. Deniaux Elisabeth, « L'activité des foulons d'Evreux et le contrôle impérial à l'époque d'Antonin. », dans Élisabeth Deniaux et al., Cahier des Annales de Normandie : Recueil d'études en hommage à Lucien Musset., vol. 23, (DOI 10.3406/annor.1990.4024, lire en ligne), pages 53 à 68.
  5. Martin Szewczyk, « Apollon au Vieil-Évreux : de Lugus à saint Taurin. », Dialogues d'histoire ancienne, vol. 39, no 2,‎ , pages 213 à 240 (lire en ligne, consulté le ).
  6. Jean-Michel Desbordes, « Un problème de géographie historique : le Médiolanum chez les Celtes. », Revue archéologique du Centre de la France, vol. tome 10, no fascicule 3 et 4,‎ , pages 187 à 201 (DOI 10.3406/racf.1971.1736, lire en ligne, consulté le ).
  7. a b c d e f g h i j et k Pluton-Kliesch 2006, p. paragraphe 2.
  8. a b c d e f g h i j et k Deniaux 1990, p. 54.
  9. Deniaux 1990, p. 55.
  10. a b c d e et f Desbordes 1971, p. 187.
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  12. Desbordes 1971, p. 188 à 190.
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  14. a b et c Desbordes 1971, p. 190.
  15. Kruta 2000, p. 72.
  16. a b et c Deniaux 1990, p. 53.
  17. a b c d et e Deniaux 1990, p. 56.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

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Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]