Utilisateur:Juliettes/anatomie du chat2

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Morphologie[modifier | modifier le code]

La tête[modifier | modifier le code]

Comme chez la plupart des mammifères, chez le chat c'est tête qui est le plus sujet à des variations, on y trouve ainsi de nombreux repères important sur le plant morphologique et esthétique. Le stop est le point centrale de la tête qui marque une séparation entre le crâne et la face. Selon les chats il peut former une marche très nette comme chez le persan, ou au contraire être casiment absent, comme chez le siamois. En avant du stop, l'espace se trouvant jusqu'à la truffe s'appelle le chanfrein, tandis que celui qui se trouve à l'arrière du stop et qui va jusqu'aux oreilles s'appelle le front. Ses caractéristiques sont particulièrement utile pour décrire la morphologie de la tête du chat et sont souvent utilisé pour les standards de races. Cependant ont utilise aussi la distance qui séparent les arcades zygomatiques, relief osseux très nets, palpables entre l'oeil et l'oreille, pour définir la largeur de la tête, paramètre complémentaire au deux précédente.

Les yeux[modifier | modifier le code]

Les yeux sont placés dans un plan relativement antérieur pour un carnivore[A 1], ils ont une forme en amande plus ou moin marqué selon les races. Contrairement aux autres espèces domestique, la couleur des yeux est un élément important dans la description de certaines race. Cette couleur est le plus souvent jaune-orangé, vert ou bleu et est particulièrement visible en pleine lumière lorsque la pupille est le plus contractée.

Les oreilles[modifier | modifier le code]

Alors que chez le chiens, la forme des oreilles peut prendre des position relativement nombreuse, chez le chat, celle-ci reste relativement uniforme d'une race à l'autre. On observe cependant quelque différence selon la taille de la tête qui peut faire varier l'écartement. Il existe aussi une mutation génétique chez le scottish fold qui provoque le replis des oreilles à leur pointe. Le pavillon est très mobile et est plus ou moins recouvert de poil selon les races, mais il y est toujours plus court que sur les autres parties du corps.

La truffe et les vibrisses[modifier | modifier le code]

La truffe est toujours humide et plus ou moins pigmentée. Elle est séparé de la bouche par le philtrum, là où les deux lèvres supérieures fusionnent incomplètement. Ces lèvres portent les vibrisses sur quatre à cinq rangées. On en retrouve aussi au-dessus des yeux et sous la bouche. Ces longs poils poils très innervés à la base, ont un rôle tactile primordial dans les mouvement de la tête et de la gueule.

La dentition[modifier | modifier le code]

 v · d · m  Formule dentaire
mâchoire supérieure
1 3 1 3 3 1 3 1
1 2 1 3 3 1 2 1
mâchoire inférieure
Total : 30
Denture commune aux Felidae

Le chat adulte compte en tout 30 dents, soit pour une demi-mâchoire: trois incisives, une canine, trois prémolaires et une molaire au maxillaire, deux prémolaires et une molaire à la mandibule. Les incisive sont très petites et ont un rôle mineur. Les incisives centrales sont appelées les pinces tandis que les latérales sont les mitoyennes et les plus latérales sont nommées les coins. On trouve en arrière de la dentition les prémolaires et les molaires ainsi qu'une paire de dents particulières au carnivore, les carnassières, constitué de la troisième prémolaire supérieur et de la première molaire inférieur. Ces dents sont de véritable cisailles naturelles et les plus importantes chez le chat domestique car les canines ne lui servent plus à tuer leurs proies. Les dents présentes avant les carnassière sont dites précarnassières tandis que celles en arrière sont les tuberculeuse. Comme chez tout les mammifères, la dentition adulte est précédée d'une dentition lactérale composé de 26 dents, les molaires étant absente. Cette première dentition apparait vers trois semaines pour les incisive et les canines et vers sept pour les prémolaires. Ces dents sont remplacé vers l'âge de 4 à 7 mois.

Le tronc[modifier | modifier le code]

L'encolure, qui relie la tête et le tronc présente peu de repère, cependant le tronc est très utile pour la compréhension des bases de l'anatomie et de la physiologie. Le garrot est un des point de repère les plus utilisé pour mesurer la taille. On trouve ensuite le dos, le rein puis la croupe. L'hypocondre ou arc costal est une ligne qui unit l'arrière des dernières côtes, elle sépare le thorax de l'abdomen. "note". Les extrémités des membres peuvent être plus ou moins rondes selon les races, ces différences sont généralement plus marqué au postérieurs. Contrairement au chien la queue marque peu de différence d'une race à l'autre, si ce n'est une différence de taille, les persans ont par exemple une queue plus petite que les autres races. La seul modification important qui est à noter est la mutation génétique présente chez le Manx, qui n'a pas de queue.

Squelette et muscles[modifier | modifier le code]

Comme tous les carnivores, la dernière prémolaire supérieure et la première molaire inférieure forment les carnassières. Celles-ci permettent au chat de déchirer sa nourriture, grâce à des muscles puissants fixés aux parois latérales de son crâne, et de l’avaler sans la mâcher. De plus, la mâchoire du chat est munie d’articulations solides qui ne lui permettent de mâcher que dans le sens vertical, mais possèdent l’avantage de maintenir l’effet de ciseaux des carnassières en toutes circonstances. L’os hyoïde est entièrement ossifié, ce qui permet au chat de ronronner mais pas de rugir[1].

Le squelette est composé de 250 os. Les vertèbres du cou sont courtes, et la colonne vertébrale est très souple[1], elle est constitué de sept cervicales, treize thoraciques, sept lombaires, trois sacrées soudées et une vingtaine de vertèbres coccygiennes. La morphologie des vertèbres présente une spécificité . La clavicule des chats, de petite taille comme pour tous les félins, est reliée au sternum par un unique ligament : cela lui confère une grande souplesse, les épaules pouvant bouger indépendamment l’une de l’autre[1]. Les vertèbres caudales prolongent la colonne, leur nombre est variable en fonction des races. La queue joue un rôle dans l’équilibre.

Les chats sont digitigrades. Les pattes antérieures se terminent par cinq doigts pourvus de griffes rétractiles constituées de kératine, mais seuls quatre doigts touchent le sol, le pouce restant à l’écart. Les pattes postérieures, plus longues que les pattes antérieures, se terminent par quatre doigts également pourvus de griffes rétractiles[1]. Des cas de polydactylie existent et certains standards de races de chat l’admettent dans les concours[A 2]. Les coussinets ou pelotes, sont constitués d’une membrane élastique qui confèrent une marche silencieuse[2].

Les muscles du dos sont très souples et ceux des pattes postérieures sont puissants. Ces spécificités confèrent à l’animal une grande souplesse et une détente ample lors des sauts : il peut notamment sauter à une hauteur cinq fois supérieure à sa taille[3]. À la course, sa vitesse moyenne est de 40 km/h et il met 9 secondes pour faire 100 m, mais il n’est pas un coureur de fond et il se fatigue assez vite[3]. Contrairement à ce que l’on peut penser, tous les chats savent très bien nager et ils n’hésiteront pas à se jeter à l’eau s’ils y sont contraints[4].

Un chat pèse en moyenne entre 2,5 et 4,5 kg et mesure de 46 à 51 cm sans la queue, de 20 à 25 cm de long. Le record de poids et de taille est détenu par Himmy, un chat castré australien qui, à sa mort en 1986, pesait 21,3 kg pour 96,5 cm de longueur totale et un tour de taille de 84 cm[5].

Système digestif[modifier | modifier le code]

Anatomie des organes vitaux du chat

Contrairement à l’homme, le chat mastique peu et le processus de digestion commence directement dans l’estomac. Celui du chat est de petite taille (environ 300 millilitres) mais il possède un pH très acide qui est également utile comme moyen de prévention des infections digestives[6]. Son intestin est plutôt court (environ un mètre pour l’intestin grêle et de 20 à 40 centimètres pour le gros intestin), typique du chasseur de petites proies. Ces dimensions expliquent pourquoi le chat doit manger fréquemment mais en petites quantités (entre 10 et 16 repas journaliers)[7]. Le système digestif du chat est également peu adapté à la diversité alimentaire, qui lui vaut généralement des diarrhées et vomissements.

Enfin, le transit digestif du chat est rapide, entre 12 et 14 heures[6].

Pelage[modifier | modifier le code]

Chat au pelage mi-long

Les types de pelages sont nombreux, car très variables en fonction des races. Le pelage du chat est composé de poils longs (jarre) et portant les marques de la robe (taches par exemple). En dessous se trouvent les poils plus courts (bourre), puis le duvet. Cette organisation permet une bonne isolation du corps[3]. Il existe des poils longs, courts, frisés, et même crépus. Certaines races, comme le sphynx, sont presque dépourvues de poils : un très léger duvet recouvre le corps, ainsi que la queue[3].

La robe d’un chat est composée d’une ou plusieurs couleurs qui forment diverses combinaisons (les motifs) appelés patrons : certains individus présentent de larges taches, d’autres des rayures ou des mouchetures, d’autres encore un pelage uni[3]. La robe peut aussi avoir une pigmentation plus foncée vers les extrémités du corps (robes colourpoint, mink et sépia). L’alliance des différentes couleurs et des patrons donnent toutes les variations de fourrure possibles pour un chat. La couleur de la fourrure du chat peut prendre de nombreuses teintes (noir, blanc, bleu, roux…), plus ou moins diluées ou foncées. Les mâles pour des raisons génétiques ne peuvent avoir qu’une seule ou deux couleurs à la fois (sauf exceptions) ; seules en principe les femelles peuvent en comporter trois : ce sont les robes écaille de tortue et calico[8]. Un effet désigne une teinte aux reflets changeants due à la variation de clair et de foncé sur la longueur du poil (robes chinchilla, shaded, smoke ou cameo).

Les sens[modifier | modifier le code]

Prédateur crépusculaire (coucher et lever du soleil) à l’origine, le chat possède des sens très développés. Il perçoit son univers différemment des humains, et on lui a même prêté des pouvoirs surnaturels. Il existe ainsi de nombreuses légendes de chats ayant prédit des tremblements de terre ou autres catastrophes. L’explication la plus probable est que son oreille est apte à percevoir des vibrations inaudibles pour les humains[3].

L’ouïe[modifier | modifier le code]

De 60 à 80 % des chats blancs aux yeux bleus sont sourds[9]

Son ouïe est particulièrement sensible dans les hautes fréquences : il perçoit des ultrasons jusqu’à 50 000 Hz alors que l’oreille humaine est limitée à 20 000 Hz[10]. Son pavillon en cornet peut être orienté grâce à vingt-sept muscles, ce qui lui permet de pivoter chaque oreille indépendamment pour localiser avec précision la source d’un bruit et sa distance[3].

La surdité des chats blancs fait aujourd’hui débat. Cette surdité serait liée à la couleur blanche (gène « W »). Schématiquement, on peut dire que tous les chats blancs sont génétiquement sourds en général. Cette anomalie, bien que présente au niveau génétique, ne s’exprime pas systématiquement chez tous les chats. Ainsi, soit la tare reste cachée et l’oreille se développe normalement, soit la tare se manifeste et dans ce cas la dégénérescence est complète : le chat est totalement sourd de l’oreille atteinte. Sachant qu’un chat a deux oreilles et que l’anomalie n’affecte pas toujours les deux oreilles de la même manière, trois cas se présentent : la surdité est bilatérale, unilatérale ou absente[9].

Il est en effet démontré que l’allèle W, à l’origine de la couleur « blanc dominant », est directement responsable d’une dégénérescence de l’oreille interne, occasionnant la surdité. Le chaton naît normal mais vers l’âge d’une semaine, son oreille interne, au lieu de continuer à se développer subit des altérations progressives. La dégénérescence est généralement complète à trois semaines[9].

La vue[modifier | modifier le code]

Gros plan sur l’œil d’un chat
Le tapetum lucidum des yeux du chat réfléchit la lumière.

La vue est son sens primordial. Son champ de vision est plus étendu que celui des humains : l’angle de vision binoculaire est de 130°, pour un champ de vision total de 287°, contre seulement 180° chez l’homme[11], ce qui reste cependant loin du record absolu du monde animal.

L’intensité lumineuse influence la forme de la pupille : allongée en fente étroite en pleine lumière, elle se dilate en un cercle parfait à la pénombre. Contrairement à une idée répandue, il est incapable de voir dans le noir complet. Il est toutefois beaucoup plus performant que l’œil humain dans la pénombre. La nuit, l’aspect brillant des yeux est dû à une couche de cellules de la rétine, appelée tapetum lucidum, qui agit comme un miroir et renvoie la lumière perçue, ce qui la fait passer une seconde fois dans la rétine et multiplie ainsi par deux son acuité visuelle dans l’obscurité[3].

En revanche, il semblerait (cela est encore discuté) que le chat ne perçoive pas la couleur rouge et que, d’une manière générale, il distingue très mal les détails. Sa vision est granuleuse sur les images fixes tandis qu’un objet en mouvement lui apparaît plus nettement (par exemple une proie en mouvement)[3].

Une particularité de l’œil du chat est qu’outre les paupières inférieure et supérieure, il est protégé par une troisième paupière, la membrane nictitante. Celle-ci se ferme à partir du bord inférieur du coin interne de l’œil vers l’extérieur. Quand elle ne se referme pas complètement, c’est souvent le signe d’un problème de santé chez le chat (troubles digestifs, parasitisme le plus souvent ou entérite)[3]. Les chats peuvent avoir les yeux de différentes couleurs comme bleus, verts, jaunes, marrons…

L’odorat[modifier | modifier le code]

Gros plan sur le nez du chat.

L’odorat a une grande importance dans la vie sociale du félin pour délimiter son territoire. Par ailleurs, c’est son odorat développé qui lui permet de détecter la nourriture avariée et empoisonnée. Il possède deux cents millions de terminaux olfactifs, contre cinq millions pour l’homme[12].

Le goût[modifier | modifier le code]

Le sens du goût est développé chez le chat, moins que chez l’homme cependant : chez le chat adulte, on compte 250 papilles comptant 2 000 bourgeons gustatifs[13]. Contrairement au chien, le sens gustatif du chat est localisé à l’extrémité de la langue, ce qui lui permet de goûter sans avaler. Il est sensible à l’amer, à l’acide et au salé, mais non au sucré[3].

Le toucher[modifier | modifier le code]

Son sens du toucher est également bien développé. Ses vibrisses (moustaches, mais il y en a aussi aux pattes, sous le menton, les sourcils) lui indiquent la proximité d’obstacles, même dans l’obscurité totale, en lui permettant de détecter les variations de pression de l’air. Celles-ci lui permettent aussi de mesurer la largeur d’un passage. Il ne faut surtout pas les couper car le chat serait déstabilisé. Les coussinets garnissant ses pattes sont très sensibles aux vibrations et sa peau est constellée de cellules tactiles extrêmement sensibles[3].

Autres sens[modifier | modifier le code]

Organe de Jacobson[modifier | modifier le code]

L’organe de Jacobson est un véritable sixième sens. Comme le chien ou le cheval, le chat est capable de goûter les odeurs à l’aide de son organe voméro-nasal. Il retrousse ses babines pour permettre aux odeurs de remonter par deux petits conduits situés derrière les incisives jusqu’à deux sacs remplis de fluide dans les cavités nasales chargées de concentrer les odeurs[3].

L’équilibre lors d’une chute : l’organe vestibulaire[modifier | modifier le code]

Son organe vestibulaire est également particulièrement développé, lui conférant un bon sens de l’équilibre. Ceci explique l’étonnante faculté qu’ont les chats de se retourner rapidement pour retomber sur leurs pattes lors d’une chute[3].

Si un chat fait une chute de deux mètres et plus (si tel n’est pas le cas, sa technique ne marche pas) alors qu’il est sur le dos, il peut se retourner afin d’amortir cette chute. En effet, il tourne d’abord sa tête en direction du sol, entraînant les pattes avant puis les pattes arrières[14]. Le chat se retrouve alors le ventre en direction du sol et prend une position qui ressemble à celle d’un écureuil volant. Il ne lui reste qu’à courber le dos et dès qu’il se rapproche du sol, il rassemble ses pattes, comme s’il était sur terre. Cependant cela ne le sauve pas forcément mais rend juste la chute moins grave. Parfois, cela ne suffit pas et c’est la mort[15].

Différences morpho-anatomiques : les races de chat[modifier | modifier le code]

En France, un chat de race est un chat ayant un pedigree[16]. Les registres d’immatriculation des spécimens sont maintenus par différentes associations comme les américaines TICA, l’ACFA et le CFA, la française LOOF, deux fédérations internationales, la FIFé et la WCF ou encore la GCCF britannique. Ces associations permettent l’inscription des spécimens sur des critères d’origines génétiques strictes. Ainsi tout animal dont les géniteurs ne sont pas inscrits est écarté. Ces inscriptions sont payantes.

Les chats de race sont une minorité et ne représentent selon l’AFIRAC que 5 % de la population totale des chats[17]. Tous les autres chats domestiques, ceux ne possédant pas de pedigree, sont considérés comme chats de gouttière, appelés également chats de maison.

Le nombre de races reconnues varie du simple au double selon ces organisations[A 3]. Certaines sont très anciennes, comme le siamois ou l’angora turc, d’autres ont été créées plus récemment, comme le ragdoll ou le peterbald. L’homme a également procédé à des hybridations entre chats domestiques et petits félins, ce qui a donné naissance à des races telles que le bengal.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Ceci est dut au faite que la face du chat est plus développer que le loup et la fouine par exemple, qui ont eux, les yeux rejetés plus latéralement.
  2. La TICA, l’ACFA et la CFA admettent la polydactylie chez le Maine Coon par exemple.
  3. Le nombre de races reconnues varient selon les associations félines : 42 pour la FIFé, 63 pour le LOOF, 54 pour la TICA et 39 pour le CFA par exemple.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Peter Jackson et Adrienne Farrell Jackson (trad. Danièle Devitre, préf. Dr Claude Martin, ill. Robert Dallet et Johan de Crem), Les Félins : Toutes les espèces du monde, Turin, Delachaux et Niestlé, coll. « La bibliothèque du naturaliste », , 272 p., relié (ISBN 978-2603010198 et 2-603-01019-0), « À propos des félins », p. 7-24
  2. Rémy Marion (dir.), Cécile Callou, Julie Delfour, Andy Jennings, Catherine Marion et Géraldine Véron, Larousse des félins, Paris, Larousse, , 224 p. (ISBN 2-03-560453-2 et 978-2035604538, OCLC 179897108)., « De la tête aux pieds : un équipement efficace », p. 119-125
  3. a b c d e f g h i j k l m et n « Anatomie du chat » (consulté le )
  4. « Tout sur la psychologie du chat » de Joël Dehasse - Deuxième partie « le chat et ses comportements », les comportements locomoteurs
  5. Le livre Guinness des records 1999 [« Guinness book »], Guinness Éditions, 286 p. (ISBN 2-911792-10-8[à vérifier : ISBN invalide]), « Le monde naturel », p. 120-121
  6. a et b L’Encyclopédie du Chat Royal Canin, tome 3, édition Aniwa Publishing
  7. Cf. Le Traité Rustica du chat, éditions Rustica - Chapitre trois, le chat, anatomie, physiologie et développement
  8. Précisions sur les aspects génétiques liés à la robe des chats (quality-cat-care.com)
  9. a b et c (en)« White Cats, Eye colours and Deafness » (consulté le )
  10. Rémy Marion (dir.), Cécile Callou, Julie Delfour, Andy Jennings, Catherine Marion et Géraldine Véron, Larousse des félins, Paris, Larousse, , 224 p. (ISBN 2-03-560453-2 et 978-2035604538, OCLC 179897108)., « Une physiologie de chasseur », p. 126
  11. Rémy Marion, Catherine Marion, Géraldine Véron, Julie Delfour, Cécile Callou et Andy Jennings, Larousse des Félins, LAROUSSE, , 224 p. (ISBN 2-03-560453-02[à vérifier : ISBN invalide])
  12. Christiane Sacase, Les Chats, Solar, coll. « Guide vert », , 256 p. (ISBN 2-263-00073-9), « Comprendre et connaître le chat », p. 17-32
  13. Dr Bruce Fogle (trad. Sophie Léger), Les chats, Gründ, coll. « Le spécialiste », , 320 p. (ISBN 978-2-7000-1637-6), p. 208
  14. Cf. Le Traité Rustica du chat, éditions Rustica
  15. Cf. Science & Vie Junior, hors série no 67.
  16. Selon la loi du 6 janvier 1999, chapitre II, article 276-5. Extrait ici
  17. Chiens, chats et compagnie sur le site de l’Association française d’information et de recherche sur l’animal de compagnie


*Catégorie:Animal domestique

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