Saint-Viaud

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Saint-Viaud
Saint-Viaud
La mairie de Saint-Viaud.
Blason de Saint-Viaud
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Estuaire
Maire
Mandat
Roch Chéraud
2020-2026
Code postal 44320
Code commune 44192
Démographie
Gentilé Vitaliens
Population
municipale
2 764 hab. (2021 en augmentation de 14,83 % par rapport à 2015)
Densité 85 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 15′ 22″ nord, 2° 01′ 06″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 51 m
Superficie 32,63 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Saint-Nazaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Brevin-les-Pins
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Saint-Viaud
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Saint-Viaud
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Saint-Viaud
Liens
Site web http://www.saint-viaud.fr/

Saint-Viaud est une commune de l'Ouest de la France située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays Nantais.

Saint-Viaud comptait 2 360 habitants au dernier recensement de 2014. Les habitants de la commune s'appellent les Vitaliens.

Logo de la commune[modifier | modifier le code]

L'actuel logo date de 2015

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation de la commune de Saint-Viaud dans le département de la Loire-Atlantique.

Saint-Viaud est situé au sud de l'estuaire de la Loire, à 17 km à l'est de Saint-Nazaire, à 4 km au sud de Paimbœuf et à 40 km à l'ouest de Nantes.

Les communes limitrophes sont Paimbœuf, Corsept, Saint-Père-en-Retz, Chaumes-en-Retz et Frossay.

Selon le classement établi par l'Insee en 1999, Saint-Viaud est une commune rurale non polarisée (cf. Liste des communes de la Loire-Atlantique).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 796 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Viaud est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Nazaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

La commune, bordée par l'estuaire de la Loire, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[12]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,8 %), prairies (29,6 %), terres arables (26,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones urbanisées (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %), forêts (0,9 %), mines, décharges et chantiers (0,8 %), zones humides intérieures (0,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Saint-Viaud est attesté sous sa forme latine Sanctus Vitalus dès 1123[16].

Le nom de Saint-Viaud viendrait de Saint Vital (Sanctus Vitalus en latin). Au VIIIe siècle, saint Vital (ou Viau ou Viaud)[17], ascète irlandais, se serait retiré sur le mont Scobrit, sur lequel il bâtit un ermitage à partir duquel le bourg actuel se développa[18].

La commune a été baptisée[Par qui ?] Sant-Widel-Skovrid en breton[19], signifiant « Saint-Viaud-Scobrit », Scobrit étant le nom du mont sur lequel est bâti le bourg actuel.

Histoire[modifier | modifier le code]

  • 847 : Les reliques de Saint-Vital sont transportées à Tournus près d'Autun en Bourgogne devant les invasions normandes.
  •  : Les insurgés de Vue, Frossay et Saint-Viaud vont attaquer la commune de Paimboeuf où réside la garnison républicaine.
  •  : Napoléon 1er s'arrête sur l’île du Carnet en se rendant à Paimboeuf[20].
  • 1856 : l'église actuelle est finie d'être construite.
  • De 1917 à 1919 est implanté sur la commune au lieu-dit « la Ville en Bois » un centre d'aérostation maritime construit par la marine française. Les dirigeables surveillaient la façade atlantique de l'île d'Oléron à Belle-Île. Le , le centre est cédé à l'US Navy et devient la Naval Aerostation de Paimboeuf. Près de 500 marins américains et 4 dirigeables sont présents à la fin de la Première Guerre mondiale. Grâce à l'action des dirigeables aucun convoi américain en provenance des États-Unis qui débarquèrent à Saint-Nazaire ne fut coulé[21].
  •  : Tragédie de la Brosse. Il s'agit du dernier fait militaire de la Seconde Guerre mondiale sur le territoire français. La grange où étaient déposées les armes des prisonniers allemands explose faisant 7 victimes, soit 5 FFI du Limousin, le receveur de Saint-Viaud et un facteur de Paimboeuf[22]. Le responsable de la section des FFI, André Desorteaux, petit-fils du maire d'Oradour-sur-Glane qui pense dans un premier temps que les Allemands avaient piégé la grange, évite que les prisonniers stationnés dans le champ d'à côté ne soient massacrés[23].
  • 1978 : Création de l'usine Zircotube.
  • 1979 : Les bras de Loire sont comblés près des îles du Carnet pour lancer le projet d'une centrale nucléaire au Carnet[24].
  • 2000 : Intégration de l'usine Zircotube au sein de la Compagnie européenne du zirconium (CEZUS).

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'or à la croix de sable, chargée sur les quatre bras d'un cordon de Saint Vital d'argent.
Commentaires : Ce blason évoque le blasonnement du pays de Retz : d'or à la croix de sable, rappelant l'appartenance de Saint-Viaud au pays de Retz ; le cordon de Saint Vital est une cordelière. Blason conçu par M. Ferrand en 1946.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790 1791 Jean Lequimener Sans étiquette Prêtre recteur
1791 1794 Vincent Bécard Sans étiquette  
janvier 1794 décembre 1794 Jean Morice Sans étiquette  
1794 1795 Jacques Avril Sans étiquette  
1795 1803 Valentin Augot Sans étiquette  
1803 1813 Henri-René Riou Sans étiquette  
1813 1830 Amand Reliquet de Lepertière Conservateur et Royaliste Propriétaire du château du Pé au Midy
1830 octobre 1846 William Leray Sans étiquette Propriétaire du château du Plessis Grimaud
octobre 1846 mars 1848 Amand Reliquet de Lepertière Conservateur et Royaliste Propriétaire du château du Pé au Midy
mars 1848 septembre 1848 Justin Vallée Sans étiquette  
septembre 1848 août 1852 Amand Reliquet de Lepertière Conservateur et Royaliste Propriétaire du château du Pé au Midi
août 1852 novembre 1868 Justin Vallée Sans étiquette  
15 novembre 1868 20 mai 1888 Narcisse Prosper Richard Sans étiquette Entrepreneur de travaux publics
20 mai 1888 5 avril 1903 François Boquien Sans étiquette Notaire
5 avril 1903 10 mai 1925 Adolphe Jollan de Clerville Conservateur Médecin, président du Conseil général de la Loire-Inférieure
10 mai 1925 7 octobre 1945 Louis Jollan de Clerville Conservateur Industriel nantais
7 octobre 1945 26 octobre 1945 Joseph Guimard Sans étiquette Commerçant
26 octobre 1945 27 mars 1965 Auguste Boutin   Artisan Charpentier Menuisier
27 mars 1965 14 mars 1971 Francis Fillaud   Directeur de la Laiterie de Saint-Père en Retz
1971 2001 Fernand Bouchereau RPR Directeur d'école
mars 2001 mars 2014 André Barreau[Note 3] Sans étiquette Artisan électricien
mars 2014 En cours Roch Chéraud Sans étiquette chargé d'affaires Économie Sociale et Institutionnels
Les données manquantes sont à compléter.

Le , les habitants de la commune de Saint-Viaud sont les premiers de Loire-Atlantique à pouvoir s'exprimer sur la réunification et l'Assemblée de Bretagne lors d'une votation organisée par le collectif Dibab. Pour pouvoir participer au scrutin, il fallait avoir au moins 16 ans et pouvoir justifier sa domiciliation dans la commune. Il y a eu 336 votants sur 1 566 inscrits sur les listes électorales, ce qui représente un taux de participation de 20 %. Les participants s'exprimant à 75 % pour une Bretagne à cinq départements et à plus de 80 % pour la fusion des conseils départementaux et du conseil régional[25].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 2 764 habitants[Note 4], en augmentation de 14,83 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6781 1941 4401 3321 6271 5751 6121 6161 702
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8231 7441 6151 5881 6071 6681 7541 7101 672
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6141 5541 4961 4911 4331 3701 3601 3841 417
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 4881 5081 3591 5761 7131 8402 0462 1062 336
2018 2021 - - - - - - -
2 5642 764-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 299 hommes pour 1 265 femmes, soit un taux de 50,66 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,58 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
0,6 
5,7 
75-89 ans
6,0 
14,1 
60-74 ans
13,7 
18,5 
45-59 ans
18,7 
22,8 
30-44 ans
22,9 
14,4 
15-29 ans
16,0 
24,1 
0-14 ans
22,2 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
5,9 
75-89 ans
8,5 
15 
60-74 ans
16,3 
19,5 
45-59 ans
18,9 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,5 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La pierre Cantin est surmontée d'une croix en pierre (1845) dédiée à saint Vital.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Réélu en 2008.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-Viaud et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  13. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 32.
  17. « Saint Vital le 16 octobre », sur vendee.catholique.fr (consulté le ).
  18. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Saint-Viaud ».
  19. Le breton a été parlé dans la commune jusqu'au IXe siècle. Voir l’article consacré au breton de la Loire-Atlantique.
  20. « Les origines de Saint-Viaud », sur www.saint-viaud.fr (consulté le ).
  21. « La Ville en Bois, pays des dirigeables », sur www.saint-viaud.fr (consulté le ).
  22. « HISTOIRE - Roch CHERAUD - Michel GAUTIER », sur chemin-memoire39-45paysderetz.e-monsite.com (consulté le ).
  23. « Mémoire. L’ordre du Mérite pour le citoyen d’honneur de Saint-Viaud », Ouest-France.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « La période contemporaine », sur www.saint-viaud.fr (consulté le ).
  25. Saint-Viaud : 75 % de oui pour la réunification, mais faible participation, Christophe Turgis, France 3 Pays de la Loire, .
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Viaud (44192) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
  32. « Le Plessis-Grimaud, une propriété se découvre », Ouest-France.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).