Ronssoy

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Ronssoy
Ronssoy
Salle communale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC de la Haute Somme
Maire
Mandat
Michel Bray
2020-2026
Code postal 80740
Code commune 80679
Démographie
Gentilé Les Ronssoyens
Les Ronssoyennes
Population
municipale
582 hab. (2021 en diminution de 0,68 % par rapport à 2015)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 58′ 58″ nord, 3° 09′ 38″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 147 m
Superficie 7,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Péronne
Législatives [5e circonscription de la Somme
Localisation
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Ronssoy
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Ronssoy
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Ronssoy

Ronssoy est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Cette commune picarde, située à 22 km au sud de Cambrai et à 17 km au nord-est de Péronne, est aisément accessible par l'autoroute A26.

Nature du sol et du sous-sol[modifier | modifier le code]

Le sol de la commune est argilo-siliceux pour moitié, argilo-calcaire pour le quart et calcaire pour un dernier quart[1].

Relief, paysage, végétation[modifier | modifier le code]

Le Ronssoy est située sur la ligne de partage des eaux entre l'Escaut et la Somme, à la limite entre les collines d'Artois et celles de Picardie[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Il n'y a aucun cours d'eau qui traverse la commune. La nappe phréatique est située à 65 m de profondeur[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 733 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épehy à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records EPEHY_SAPC (80) - alt : 117m, lat : 50°00'04"N, lon : 3°07'17"E
Records établis sur la période du 01-01-1988 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,3 3,1 4,8 8,2 10,9 12,8 12,8 10,3 7,7 4,3 1,8 6,6
Température moyenne (°C) 3,4 4 6,9 9,8 13,2 16,1 18,3 18,3 15,2 11,3 6,9 4 10,6
Température maximale moyenne (°C) 5,7 6,8 10,7 14,7 18,2 21,2 23,7 23,9 20 14,9 9,5 6,2 14,6
Record de froid (°C)
date du record
−13,9
01.01.1997
−13,4
07.02.1991
−12,4
13.03.13
−4,6
08.04.03
−2
03.05.21
1,6
05.06.12
4,5
03.07.11
4,8
20.08.14
0,6
30.09.18
−4,4
29.10.1997
−8,8
23.11.1998
−14,4
18.12.10
−14,4
2010
Record de chaleur (°C)
date du record
14,3
09.01.15
18,1
26.02.19
24,1
31.03.21
26,6
20.04.18
31,2
27.05.05
34,5
18.06.22
41,1
25.07.19
37,4
12.08.03
34,4
15.09.20
28,3
01.10.11
18,8
02.11.20
15,8
07.12.00
41,1
2019
Précipitations (mm) 63,5 57,5 55,1 44,8 62,7 62,6 60,5 68,6 55,2 69,8 70,1 82,4 752,8
Source : « Fiche 80271002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ronssoy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,6 %), zones urbanisées (10,3 %), forêts (4,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat[modifier | modifier le code]

La commune du Ronssoy présente un habitat groupé. Le village du Ronssoy et celui de Lempire dans le département de l'Aisne présentent une continuité du bâti.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La localité est desservie par la ligne d'autocars no 48 (Épehy - Villers-Faucon - Péronne) du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

On trouve dans les textes anciens : Roinsoi, Rosseium, Rossoy, Ronsseium puis Ronssoy[1], attesté sous les formes Roinscetum en 1170, Runsoi en 1177, de Ronseio en 1212[15].

Le nom Ronssoy serait issu du latin Roncia, roncus, signifiant « lieu rempli de ronces »[1], de l'oïl ronçoi « buisson , touffe de ronces »[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Age[modifier | modifier le code]

Au début du XIIe siècle, il y avait au Ronssoy un château dépendant de la famille de Coucy. En 1214, Robert et Roger du Ronssoy étaient deux frères, Roger étant porte-étendart de Coucy à la Bataille de Bouvines. Il existait une maladrerie au Ronssoy[1].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1595, Léonor de Hallewin, sieur de Ronssoy gouverneur du château de Doullens, fut blessé au cours du siège de cette ville. Il mourut à Arras des suites de ses blessures.

Avant 1698, Le Ronssoy était une paroisse dont dépendait Templeux-le-Guérard ; l'abbé de Honnecourt nommait à la cure. Les habitants ayant embrassé le protestantisme après la Révocation de l'édit de Nantes en 1685, la cure fut transférée à Templeux-le-Guérard jusqu'au concordat de 1801.

Au XVIIIe siècle, la terre du Ronssoy appartenait à la deuxième branche de la famille de Vendeuil[16].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Il existe au Ronssoy, un chemin dit : « chemin des cosaques », témoignage de leur passage dans la commune en 1815.

En 1870-1871, au cours de la guerre de 1870, la population subit des réquisitions de la part de l'ennemi.

À la fin du XIXe siècle, il existait au Ronssoy une exploitation de phosphate et une activité industrielle de tissage à la main de coton, laine et soie, sur métier Jacquard[1].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Comme la plupart villages de la région, Le Ronssoy est sorti meurtri de la Grande Guerre car le village a été entièrement détruit: "Ronssoy, dernière commune du département entièrement libérée, est pareillement démolie de fond en comble, sauf une ferme auberge épargnée par miracle"[17].
Au début de la Première Guerre mondiale, en août 1914, des éléments de l'armée britannique ont traversé Ronssoy lors de la retraite vers le sud et les Allemands arrivent au Ronssoy[18]. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en mars 1917. Le front se situant à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Péronne, les habitants ne percevaient que le grondement lointain des canons. L'activité des occupants consistait principalement à assurer le logement des combattants et l'approvisionnement en nourriture. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien. En février 1917, le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seraient détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. Par la gare de Villers-Faucon, tous les habitants furent évacués dans des wagons à bestiaux dans le nord de la France et en Belgique. En mars 1917, avant le retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin[19], les maisons sont pillées et incendiées, le village est systématiquement détruit. L'église[20], la mairie, les écoles et toutes les maisons sont dynamitées et les arbres sciés à 1 m de hauteur.
Le village, vidé de ses habitants, reste occupé par les Allemands ; il sera le théâtre de nombreux combats en mars, avril et août 1917[21]. Les ruines du village seront plusieurs fois reprises par chaque camp. Le Ronssoy et les environs de Lempire ont été le théâtre de violents combats en mars 1918 lors de la Bataille du Kaiser (offensive du printemps allemande connue sous le nom d'opération Michael. Ce n'est que vers le 19 septembre 1918, lors de la bataille de la ligne Hindenburg que Le Ronssoy sera définitivement libéré par les britanniques[22]. Plusieurs chars Mark V furent neutralisés au Ronssoy par les mines, les 29 et 30 septembre 1918, lors de l'attaque de la ligne Hindenburg par la 27e division américaine. Dans le cimetière militaire reposent les corps des soldats britanniques tombés lors des combats de 1917 et 1918 au Ronssoy. Peu à peu, les habitants évacués revinrent s'installer dans les ruines du village et alors démarra une phase de reconstruction qui durera une dizaine d'années. De 1260 habitants avant la guerre en 1911, Le Ronssoy n'en comptait plus que 651 en 1921, soit pratiquement la moitié.
Sur le Monument aux Morts sont écrits les noms des 56 soldats du Ronssoy morts pour la France[23].
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions[24], la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le 27 octobre 1920[25].

Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Le village du Ronssoy ayant été totalement détruit pendant la Première Guerre mondiale fut reconstruit durant l'entre-deux-guerres.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989 En cours
(au 31 mai 2020)
Michel Bray   Réélu pour le mandat 2020-2026[26]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 582 habitants[Note 3], en diminution de 0,68 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0129871 0901 0831 2981 4381 4661 5381 512
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6081 6451 6001 5841 5561 5171 4201 4051 385
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2811 3101 260651754771740638714
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
716696636654624612545577587
2021 - - - - - - - -
582--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école primaire communale compte 71 élèves à la rentrée scolaire 2017[31].

Économie[modifier | modifier le code]

Activités économiques et de services[modifier | modifier le code]

L'activité dominante de la commune reste l'agriculture.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean-Louis Desjardins, né le 16 août 1775 au Ronssoy, décédé en 1862, lieutenant d'infanterie sous le 1er Empire, chevalier de la Légion d'honneur en 1805 ( Samariens sous l'Empire).
  • Anatole Vély, artiste peintre né au Ronssoy en 1838, décédé en 1882.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Ronssoy Blason
De sinople à la branche de ronce d'argent; au chef du même chargé de trois lionceaux de sable, lampassés de gueules et couronnés d'or[32].
Détails
Armes parlantes.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f et g Leconte, Notice géographique et historique sur la commune de Ronssoy, coll. « Archives départementales de la Somme », 1897-1899 (lire en ligne).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Ronssoy et Épehy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Epehy_sapc » (commune d'Épehy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Epehy_sapc » (commune d'Épehy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  15. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1257.
  16. ttps://books.google.fr/books?id=KSyjkJPfPmoC&pg=PA583&lpg=PA583&dq=Le+Ronssoy+abbé+decagny+arrondissement+de+péronne&source=bl&ots=bELuzn86sG&sig=rPjPxI20tHstv_ntRci2njSwn6w&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwj9o7iyoP3ZAhXrLMAKHZM7BS4Q6AEIOTAD#v=onepage&q=Le%20Ronssoy%20abb%C3%A9%20decagny%20arrondissement%20de%20p%C3%A9ronne&f=false
  17. « La guerre en 1917 : les crimes allemands : dans la Picardie dévastée / Maurice Thiéry ; préface de S. Pichon,... » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
  18. (en) « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  19. « Carte des positions 16 mars 1917 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  20. « La Picardie historique et monumentale. Tome VI. Arrondissement de Peronne » Accès libre, sur Gallica, 1923-1931 (consulté le ).
  21. « La Guerre mondiale : bulletin quotidien illustré » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
  22. « La Presse » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
  23. « Rechercher dans le fonds iconographique », sur geneanet.org (consulté le ).
  24. « Carte spéciale des régions dévastées. 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest] / [Service géographique de l'armée] » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
  25. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  26. « Ronssoy: un sixième mandat pour Michel Bray », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Les 15 conseillers élus dès le 1er tour au sein d’une équipe fortement renouvelée et rajeunie ont unanimement reconduit Michel Bray dans ses fonctions de maire. Une fonction qu’il exerce sans interruption depuis 1989 ».
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. L'école sur le site du ministère de l'Éducation national.
  32. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=20693

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]