Breurey-lès-Faverney

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Breurey-lès-Faverney
Breurey-lès-Faverney
Mairie de Breurey-lès-Faverney depuis le parvis de l'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Vesoul
Intercommunalité CC Terres de Saône
Maire
Mandat
Jean Marchal
2020-2026
Code postal 70160
Code commune 70095
Démographie
Gentilé Bruérois, Bruéroises [1]
Population
municipale
616 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 45′ 24″ nord, 6° 07′ 58″ est
Altitude Min. 215 m
Max. 415 m
Superficie 19,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vesoul
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Port-sur-Saône
Législatives 1re circonscription de la Haute-Saône
Localisation
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Breurey-lès-Faverney
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Breurey-lès-Faverney
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Breurey-lès-Faverney
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Breurey-lès-Faverney
Liens
Site web https://breureylesfaverney.fr/

Breurey-lès-Faverney est une commune française, située dans le département de la Haute-Saône en région Bourgogne-Franche-Comté. Les habitants se nomment les Bruérois et Bruéroises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Breurey-lès-Faverney appartient au bassin de vie de Port-sur-Saône qui regroupe 15 communes.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Mersuay, Auxon, Équevilley, Faverney, Fleurey-lès-Faverney, Provenchère, Flagy et Le Val-Saint-Éloi.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Breurey-les-Faverney est situé au fond de la vallée de la Creusotte.

Le village forme ainsi le fond d'une espèce d'amphithéâtre (plateaux et coteaux boisés à l'est, au sud et à l'ouest, descendant vers le nord/nord-ouest) largement ouvert sur la vallée de la Lanterne.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est drainée par la Creusotte, ruisseau qui traverse la commune du sud au nord-ouest avant de se jeter dans la Lanterne (elle-même affluent de la Saône).

La Creusotte, qui est donc un sous-affluent du Rhône, est elle-même alimentée par d'autres ruisseaux, tels que la Petteuse qui y conflue au nord du village.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 050 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montureux-lès-Baulay », sur la commune de Montureux-lès-Baulay à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −25 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Breurey-lès-Faverney est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vesoul, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,8 %), prairies (17,1 %), terres arables (13,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,1 %), eaux continentales[Note 4] (4,4 %), zones urbanisées (2,6 %), cultures permanentes (1,2 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 318, alors qu'il était de 304 en 2013 et de 284 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 77,9 % étaient des résidences principales, 8,3 % des résidences secondaires et 13,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,6 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Breurey-lès-Faverney en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Saône et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8,3 %) supérieure à celle du département (6,2 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,2 % en 2013), contre 68,7 % pour la Haute-Saône et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Breurey-lès-Faverney en 2018.
Typologie Breurey-lès-Faverney[I 1] Haute-Saône[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 77,9 83 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8,3 6,2 9,7
Logements vacants (en %) 13,8 10,8 8,2

Histoire[modifier | modifier le code]

Certaines découvertes archéologiques attestent d’un peuplement de la vallée de la Creusotte (ruisseau qui traverse le village avant de rejoindre la Lanterne) dès le néolithique (environ - 2500). Le village tirerait son nom de la présence d’une « villa » du haut Moyen-âge (c’est-à-dire entre le 5e et le 10e siècles).

La dédicace d’une église primitive à Saint Laurent - « typique de la première évangélisation » - indiquerait que la paroisse de Breurey fut créée avant le 10e siècle[15].

Du 10e au 14e siècles Breurey appartient aux sires de Faucogney auxquels succède la famille de Vergy. Au cours des deux siècles suivants (« Moyen Age finissant »), le village, comme toutes les cités comtoises, souffre de grandes calamités : guerres, pandémies, crises alimentaires… La guerre franco-espagnole (1595-1598), la guerre de dix-ans (1634-1644) puis la conquête françaises (1674-1678) apportent leur lot de dévastations et de ruines.

Le rattachement de la Franche-Comté à la France (1678) va engendrer une transformation des institutions franc-comtoises et, par incidence de la vie des communautés locale : pris entre les habitants (la population et ses échevins) d'une part et l'autorité royale d'autre part, le seigneur voit de plus en plus son autorité battue en brèche.

Au 16e siècle, la seigneurie de Breurey appartient à la famille d’Andelot puis, au 17e siècle, par mariages et héritages, aux comtes de Wiltz. Au début du 18e siècle, les biens (et les droits qui vont avec) sont démantelés et cédés à la famille de Rozière, mais aussi à certains bourgeois enrichis et à plusieurs établissements religieux déjà implantés à Breurey : abbayes de Faverney et de Bithaine, chanoinesses de Remiremont…

« Comme beaucoup de villages de France, Breurey a traversé la Révolution sans émeutes, sans "bruit" pourrait-on dire, mais non sans difficultés. Ce qui frappe c'est la cohésion de la communauté rurale et l'âpreté des plus habiles à profiter des transformations sociales. Par contre on s'intéresse peu aux questions politiques[16] ». Les difficultés principales vécues par la population sont dues : à la mise en place de la nouvelle organisation administrative (élection d’un maire et d’un conseil général – ancêtre du conseil municipal, création d’une garde nationale…) ; à la mise en œuvre de la constitution civile du clergé - 1790 - (pour une population attachée à ses prêtres) ; aux guerres de la Révolution - 1792 - (recrutement des volontaires, réquisitions…)[17].

Après la Révolution française, le nombre des habitants de Breurey augmente rapidement. D'après le dictionnaire des communes, le village compte 980 habitants en 1790, 1208 en 1815 et 1385 en 1852.

Loin de la succession des régimes et des agitations politiques, de profondes transformations du village sont entreprises au XIXe siècle : amélioration et création de voies de communication (chemins, rues, escaliers…) ; réparation et implantation de fontaines ; couverture du ruisseau (la Creusotte) au centre du village permettant l'aménagement de la grande place (place du Rondey, aujourd'hui place Joly-de-Colombe) ; construction de l'imposante maison commune (mairie écoles) dominant la place à l'est…

Dès la fin du XIXe siècle, la population baisse pour atteindre 816 habitants en 1906...

Comme toutes les communes de France, Breurey va perdre nombre de ses fils lors de la grande tuerie de 1914-1918 : sur le monument aux morts du village, trente-huit noms sont gravés.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Port-sur-Saône[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Port-sur-Saône porté de 17 à 46 communes

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Haute-Saône.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Breurey-lès-Faverney n'était membre d'aucune intercommunalité à fiscalité propre jusqu'en 2013.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, et dans le cadre du schéma départemental de coopération intercommunale approuvé en décembre 2011 par le préfet de Haute-Saône, et qui prévoit notamment la fusion de plusieurs intercommunalités dans une nouvelle à laquelle Bourguignon-lès-Conflans, Breurey-lès-Faverney et Vilory sont rattachées[19], la commune est membre depuis le de la communauté de communes Terres de Saône.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1891 1892 Claude François Nonnotte   Premier adjoint, officier de l'état civil de la commune
1892 1896 Armand Guenot PRRRS  
1896 1908 Joseph Butzé    
1908 1919 Armand Guenot PRRRS  
1919 1935 Arthur Fouillet    
1935 1946 Louis Heiny    
1944 1946 Ernest Deleyrolle    
1946 1965 Raoul Gaston Fouillet    
1965 1977 René Margaine    
1977 1979 René Garniaux    
1979 mars 1983 Hubert Thomas    
mars 1983 septembre 2011[20] Gilbert Dumont RPR Enseignant à Besançon
Démissionnaire
septembre 2011 octobre 2015[21] Jean Marchal   Démissionnaire
janvier 2016[22] mai 2020[23] Karine Fougou    
mai 2020[24] En cours
(au 9 mars 2023)
Jean Marchal   Cadre de Retraité

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 616 habitants[Note 5], en stagnation par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0531 0761 1451 2441 2811 3531 3681 3701 385
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1131 1191 0921 1111 061989956886859
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
827816831653635577575532456
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
434372367420510509521579632
2021 - - - - - - - -
616--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Depuis 1998, sur un terrain de 55 hectares, Emmanuel Guenot élève pour leur viande des bisons américains. Soixante dix animaux dont une trentaine de femelles peuvent être observés[28].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église de Breurey-lès-Faverney.
  • château de style Louis XIII, situé dans un parc de six hectares (château de la Presle, situé sur un coteau et entouré d'un grand parc).
  • Fontaine-lavoir du Rondey en atrium toscan à double péristyle (1830).
  • Vaste place centrale à jets d'eau.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean Vaugien (1916-1975), officier français qui a participé à la libération de la France, y est né. Une rue du village porte son nom.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Breurey-lès-Faverney Blason
Échiqueté d’azur et d’argent, au chevreuil d’or brochant.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. https://www.habitants.fr/haute-saone-70
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Breurey-lès-Faverney et Montureux-lès-Baulay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Montureux-lès-Baulay », sur la commune de Montureux-lès-Baulay - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Montureux-lès-Baulay », sur la commune de Montureux-lès-Baulay - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vesoul », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Georges Rech, Village de Breurey-les-Faverney : son patrimoine de caractère, (Plaquette de présentation du village),
  16. Thérèse Madiot - "Études sur un village haut-saônois".
  17. Emile Claudinot, Les paysans de l'an II. Chronique de la Révolution française dans une commune rurale. 1789-1804, Vesoul, Ancienne imprimerie Cival,
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. « Arrêté préfectoral du 23 décembre 2011, portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 5-6.
  20. « Breurey-la-libérée… : Il faudrait avoir raté nos comptes rendus de conseils municipaux depuis l’été 2008 pour ne pas comprendre le soulagement général ressenti à Breurey-lès-Faverney depuis la démission, rendue publique lundi, de Gilbert Dumont, élu maire depuis 28 années. Le maire intérimaire a dû attendre jeudi pour récupérer les clefs », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « S’il a tenu trois années après le rapport de la CRC, c’est que l’homme tenait bien les rênes, grâce longtemps à son classeur de ménage remplaçant le registre légal à pages numérotées. C’est à Breurey qu’on a vu des séances de conseil levées avant d’être ouvertes ! Celui qui porta en 1994 les couleurs du RPR aux cantonales de Port « était pro-té-gé », répète volontiers le maire intérimaire, Bernard Albietz ».
  21. « La démission du maire a été acceptée par la préfecture », L'Est républicain, édition de la Haute-Saône,‎ (lire en ligne) « En septembre 2011, Jean Marchal a été élu maire de Breurey-lès-Faverney en cours de mandat. Il n’était alors plus conseiller depuis 2008. Puis il a été réélu en mars 2014 ».
  22. « Breurey-lès-Faverney : Karine Fougou élue maire », L'Est républicain, édition de la Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
  23. « Karine Fougou laisse son siège de maire, libre », La Presse de Vesoul,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. MAff - Herve FERRAND, « Les bisons de Bacara - Bisons de Bacara »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur bisons-elevage.com (consulté le ).