Bad Bonn
| Type | Salle de concerts |
|---|---|
| Lieu | Guin, Suisse |
| Coordonnées | 46° 51′ 42″ nord, 7° 10′ 49″ est |
| Nb. de salles | 1 |
| Direction artistique | Daniel Fontana |
| Site web | badbonn.ch |
Le Bad Bonn est une salle de concerts située à Guin, dans le canton de Fribourg, en Suisse. Sa spécialité est la musique alternative et on y organise chaque année le festival Bad Bonn Kilbi.
Description[modifier | modifier le code]
Le Bad Bonn, littéralement « bain de Bonn », tire son nom d'une station thermale immergée sous le lac de Schiffenen[1]. Daniel Fontana et Patrick Boschung en sont les administrateurs depuis 1998[1].
Bad Bonn Kilbi[modifier | modifier le code]
Kilbi signifie littéralement Bénichon, cette fête traditionnelle fribourgeoise[1]. Daniel Fontana en fait une version alternative en organisant une manifestation musicale au Bad Bonn depuis 1990[1]. Sur les trois jours de son édition 2016, le Bad Bonn Kilbi attire 7 500 spectateurs[1]. La programmation au fil des ans a notamment présenté Aphex Twin en 2010[2], Queens of the Stone Age en 2011[3], Metronomy en 2012[4] ou Grizzly Bear en 2013[5].
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- (de + en + fr) Patrick Boschung, Daniel Fontana, Stefanie Mauron, Adeline Mollard et Katharina Reidy, Bad Bonn Song Book, Edition Patrick Frey, , 528 p. (ISBN 978-3-905929-98-0)[6]
Lien externe[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Tamara Bongard, « Le Bad Bonn se livre un peu », La Liberté, (lire en ligne)
- « Vidéo: Découverte du festival alternatif Bad Bonn Kilbi, qui fête sa 20ème année ce week-end », sur Play RTS (consulté le )
- « Queens Of The Stone Age Live au kilbi - Musique, Chronique, album », sur www.lordsofrock.net (consulté le )
- (en) « Metronomy », sur justbecause.ch, (consulté le )
- « Grizzly Bear : le printemps et l’olympe – Kilbi | Link-Art », sur www.link-art.org (consulté le )
- Olivier Horner, « Un livre pour célébrer les 25 ans du Bad Bonn, temple des musiques alternatives », Le Temps, (lire en ligne)
