2011 par pays au Proche-Orient
Apparence
Chronologies
2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 Décennies : 1980 1990 2000 2010 2020 2030 2040 Siècles : XIXe XXe XXIe XXIIe XXIIIe Millénaires : Ier IIe IIIe |
Les événements par pays de l'année 2011 au Proche-Orient et dans le monde arabe.
Tout le Proche-Orient
Premier trimestre
Deuxième trimestre
Troisième trimestre
Quatrième trimestre
Algérie
Arabie saoudite
Azerbaïdjan
Bahreïn
Égypte
Émirats arabes unis
Les Émirats arabes unis (EAU) sont un État fédéral regroupant sept émirats mitoyens, Abou Dabi, Ajman, Charjah, Doubaï, Foudjaïrah, Ras el-Khaïmah et Oumm al-Qaïwaïn.
Irak
Iran
- : inauguration officielle de la centrale nucléaire de Bouchehr, pièce essentielle du programme nucléaire de l'Iran.
Israël
Jordanie
Koweït
Kurdistan
Liban
- Mercredi : la démission de 11 ministres provoque la chute du gouvernement de Saad Hariri.
- Lundi : Saad Hariri, qui s'était maintenu aux affaires courantes, cède la fonction de président du Conseil des ministres libanais à Najib Mikati, chef du gouvernement pour la seconde fois.
Libye
Maroc
Oman
Palestine
Qatar
- Vendredi : début de la participation de l'aviation qatarie à l'intervention militaire de 2011 en Libye sous l'égide de l'Organisation des Nations unies (ONU),
Syrie
- Mardi : manifestation à Deraa. Début d'un mouvement de contestation qui débouchera sur la guerre civile syrienne.
- Vendredi : annonce de la formation de l'Armée syrienne libre, mouvement armé dirigé contre le régime de Bachar al-Assad.
- Jeudi : création du Conseil national syrien, coalition politique en exil qui vise à coordonner l'opposition syrienne à l'extérieur ; elle sera officialisée les 1er et à Istanbul (Turquie).
Tunisie
Turquie
- : nouvelle vague d'arrestations, dont plusieurs journalistes, dans l'affaire du complot Ergenekon. Le lendemain, plusieurs milliers de journalistes manifestent à Ankara et à Istanbul pour protester contre les atteintes à la liberté d'expression[1].
- : élections législatives. Le Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur), au pouvoir depuis 2002, l'emporte avec 49,8 % des voix. Le Parti républicain du peuple (CHP, gauche laïque) descend à 26 %, le Parti d'action nationaliste (MHP, droite nationaliste) est en hausse avec 13 %. Le Parti de la paix et de la démocratie (BDP, pro-kurde), bien que désavantagé par le mode de scrutin, double son nombre de sièges.
- : démission collective du chef d’état-major, le général Işık Koşaner, et des commandants de l'armée de terre, de l'aviation et de la marine[2].
- : une série d'attaques des rebelles kurdes du PKK fait 23 morts parmi les militaires turcs dans la province de Hakkari[3].
Yémen
Références
- (fr) La 18e vague d’arrestations de l’affaire «Ergenekon» soulève de vives inquiétudes en ce qui concerne la liberté des médias en Turquie par Jean Marcou, Observatoire de la vie politique turque, 6 mars 2011.
- (fr) Historique : l’état-major de l’armée turque claque la porte ! par Jean Marcou, Observatoire de la vie politique turque, 30 juillet 2011.
- (fr) Les attaques de Hakkari ramènent la question kurde au premier plan de l’actualité politique turque par Jean Marcou, Observatoire de la vie politique turque, 23 0ctobre 2011.