« Renard roux » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Ben23 (discuter | contributions)
Ben23 (discuter | contributions)
Ligne 25 : Ligne 25 :
Le Renard roux a un corps allongé avec des membres relativement courts par rapport à sa taille. Sa queue, qui est plus longue que la moitié de son corps<ref name="s472"/> (elle représente généralement 70% de la taille de son corps<ref name="lariviere">{{Harvsp|Larivière|Pasitschniak-Arts|1996|p=}}</ref>), est longue, duveteuse et touche le sol lorsqu’il est debout. Elle se termine par une petite touffe de poils blancs.
Le Renard roux a un corps allongé avec des membres relativement courts par rapport à sa taille. Sa queue, qui est plus longue que la moitié de son corps<ref name="s472"/> (elle représente généralement 70% de la taille de son corps<ref name="lariviere">{{Harvsp|Larivière|Pasitschniak-Arts|1996|p=}}</ref>), est longue, duveteuse et touche le sol lorsqu’il est debout. Elle se termine par une petite touffe de poils blancs.
==== Tête ====
==== Tête ====
Le Renard roux a un crâne étroit et allongé avec un museau fin et une boîte crânienne peu développée. Il a une petite bouche, armée de 42 dents. Ses canines sont longues et pointues. Elles sont concaves, contrairement à celles du chien par exemple. Ses pupilles sont ovales et verticales<ref name="s472"/>. Elles comportent des [[membrane nictitante]]s, mais qui ne bougent que lorsque les yeux sont fermés. Les pattes avant ont cinq doigts quand les pattes arrière n’en n’ont que quatre, et sont dépourvues d'[[Ergot (mammifère)|ergot]]s<ref name="h409">{{Harvsp|Harris|Yalden|2008|p=409}}</ref>.
Le Renard roux a un crâne étroit et allongé avec un museau fin et une boîte crânienne peu développée. Il a une petite bouche, armée de 42 dents. Ses canines sont longues et pointues. Elles sont concaves, contrairement à celles du chien par exemple<ref name="h408">{{Harvsp|Harris|Yalden|2008|p=408}}</ref>. Ses pupilles sont ovales et verticales<ref name="s472"/>. Elles comportent des [[membrane nictitante]]s, mais qui ne bougent que lorsque les yeux sont fermés. Les pattes avant ont cinq doigts quand les pattes arrière n’en n’ont que quatre, et sont dépourvues d'[[Ergot (mammifère)|ergot]]s<ref name="h409">{{Harvsp|Harris|Yalden|2008|p=409}}</ref>.


=== Dimorphisme sexuel ===
=== Dimorphisme sexuel ===
Le dimorphisme sexuel est plus marqué au niveau du crâne que chez le [[Renard corsac]], avec des femelles qui ont un crâne en moyenne plus petit que celui des mâles, avec des régions nasales plus grandes et un palais plus dur, et des canines plus longues<ref name="s478">{{Harvsp|Heptner|Naumov|1998|p=478}}</ref>. Son crâne se distingue de celui d’un chien par son museau fin, ses prémolaires moins crowded et ses canines plus fines et au profil concave et non convexe<ref name="h408">{{Harvsp|Harris|Yalden|2008|p=408}}</ref>. Les femelles ont trois paires de mamelons<ref name="s472">{{Harvsp|Heptner|Naumov|1998|p=472}}</ref>, mais des individus en ayant 7, 9 ou 10 paires ne sont pas rares<ref name="h409"/>. Les [[testicule]]s des mâles sont moins grandes que celle du [[Renard arctique]]s<ref name="s341">{{Harvsp|Heptner|Naumov|1998|p=341}}</ref>.
L'aspect général du mâle et de la femelle diffère peu. La femelle est légèrement plus petite et lus légère. Elles ont également un crâne plus petit que celui du mâle, qui comporte également des régions nasales plus grandes et des canines plus longues<ref name="s478">{{Harvsp|Heptner|Naumov|1998|p=478}}</ref>. Son crâne se distingue de celui d’un chien par son museau fin, ses prémolaires moins crowded et ses canines plus fines et au profil concave et non convexe. Les femelles ont trois paires de mamelons<ref name="s472">{{Harvsp|Heptner|Naumov|1998|p=472}}</ref>, mais des individus en ayant 7, 9 ou 10 paires ne sont pas rares<ref name="h409"/>. Les [[testicule]]s des mâles sont moins grandes que celle du [[Renard arctique]]s<ref name="s341">{{Harvsp|Heptner|Naumov|1998|p=341}}</ref>.


=== Fourrure ===
=== Fourrure ===
La fourrure du Renard roux est dense, douce, soyeuse et relativement longue, notamment en hiver. Elle est très longue, dense et duveteuse chez les renards du nord, mais plus courte, clairsemée et grossière chez les renards vivant plus au sud<ref name="s472"/>.
Généralement, le pelage du renard est roux, mais il peut varier du jaune-beige, au marron foncé. Les parties latérales du museau, la gorge, le ventre et le bout de la queue sont blancs, alors que la truffe et le bout des pattes sont noires.

Sa mâchoire possède 42 dents dont 20 dents sur la partie supérieure de la mâchoire et 22 sur la partie inférieure<ref>http://animal.cheloniophilie.com/Fiches/Renard-roux.php</ref>.
Son pelage est généralement roux, mais comporte des variations suivant les sous-espèces. Il peut varier du jaune-beige au marron foncé. Les parties latérales du museau, la gorge, le dessous du ventre et l'extrémité de de la queue sont blancs ou du moins plus clairs. On observe aussi des coloration beaucoup plus sombres, comme chez les renards charbonniers d'Amérique du Nord qui n'ont aucune trace de blanc, ou certains renards argentés avec une fourrure noire parsemée de longs poils blancs<ref>{{lien web | url=http://www.larousse.fr/encyclopedie/vie-sauvage/renard_roux/178182 | éditeur=Encyclopédie Larousse | consulté le=5 mars 2012 | titre=Le Renard Roux}}</ref>.


== Écologie et comportement ==
== Écologie et comportement ==

Version du 5 mars 2012 à 21:52

Crâne

Le renard roux (nom scientifique Vulpes vulpes, mot latin vulpinus), ou renard commun, est l'espèce de renard la plus répandue en Eurasie, en Amérique du Nord, en Afrique du Nord et en Australie. C'est un mammifère au museau pointu, aux oreilles droites et à la queue touffue (souvent roux et blanc). Son pelage est en général roux. Il habite principalement dans des terriers creusés par les blaireaux ou les lapins. L'espèce est classée dans l'ordre des Carnivora mais il a un régime alimentaire omnivore à prédominance carnivore et se nourrit surtout de rongeurs et de lapins mais aussi de poissons et de fruits.

L'homme le chasse pour sa fourrure, pour le plaisir et aussi parce que le renard est un des vecteurs de la rage et de l'échinococcose alvéolaire. Une campagne de vaccination anti-rabique a rapidement permis d'éradiquer la rage d'Europe de l'Ouest. En Europe les chasses à courre sont progressivement interdites depuis le XXe siècle.

Description

Biométrie

Le Renard roux est la plus grande espèce du genre Vulpes[1]. Toutefois, il est nettement plus léger qu’un chien de taille similaire. Les os de leurs membres, par exemple, pèsent 30% de moins pour une même unité de volume que ceux d’un chien de taille similaire[2]. Le Renard roux présente des variations importantes de taille suivant les individus, le sexe, l’âge et l’origine géographique. En moyenne, les adultes mesurent 35 à 40 cm de haut au garrot et 58 à 90 cm de long sans sa queue qui mesure elle entre 32 et 49 cm[3]. Les oreilles mesurent 7,7 à 12,5 cm et les pattes arrières 12 à 18,5 cm. Ils pèsent entre 2,2 et 14 kg, les femelles étant généralement 15 à 20 % moins lourdes que les mâles[4]. Les mâles adultes ont un crâne mesurant 129 à 167 mm, tandis que celui des femelles mesurent entre 128 et 159 mm[5]. Les empreintes des pattes avant mesurent 60 mm de long et 45 mm de large, tandis que celles des pattes arrière mesurent 55 mm de long pour 38 mm de large. Les Renards roux d’Amérique du Nord sont généralement plus légers, avec un corps très allongé par rapport à leur poids et présentent un haut degré de dimorphisme sexuel. Les Renards roux britanniques ont un corps plus ramassé et plus massif que les spécimens continentaux[6].

Aspect général

Red fox (left) and corsac fox (right) yawning

Le Renard roux a un corps allongé avec des membres relativement courts par rapport à sa taille. Sa queue, qui est plus longue que la moitié de son corps[7] (elle représente généralement 70% de la taille de son corps[8]), est longue, duveteuse et touche le sol lorsqu’il est debout. Elle se termine par une petite touffe de poils blancs.

Tête

Le Renard roux a un crâne étroit et allongé avec un museau fin et une boîte crânienne peu développée. Il a une petite bouche, armée de 42 dents. Ses canines sont longues et pointues. Elles sont concaves, contrairement à celles du chien par exemple[9]. Ses pupilles sont ovales et verticales[7]. Elles comportent des membrane nictitantes, mais qui ne bougent que lorsque les yeux sont fermés. Les pattes avant ont cinq doigts quand les pattes arrière n’en n’ont que quatre, et sont dépourvues d'ergots[10].

Dimorphisme sexuel

L'aspect général du mâle et de la femelle diffère peu. La femelle est légèrement plus petite et lus légère. Elles ont également un crâne plus petit que celui du mâle, qui comporte également des régions nasales plus grandes et des canines plus longues[11]. Son crâne se distingue de celui d’un chien par son museau fin, ses prémolaires moins crowded et ses canines plus fines et au profil concave et non convexe. Les femelles ont trois paires de mamelons[7], mais des individus en ayant 7, 9 ou 10 paires ne sont pas rares[10]. Les testicules des mâles sont moins grandes que celle du Renard arctiques[12].

Fourrure

La fourrure du Renard roux est dense, douce, soyeuse et relativement longue, notamment en hiver. Elle est très longue, dense et duveteuse chez les renards du nord, mais plus courte, clairsemée et grossière chez les renards vivant plus au sud[7].

Son pelage est généralement roux, mais comporte des variations suivant les sous-espèces. Il peut varier du jaune-beige au marron foncé. Les parties latérales du museau, la gorge, le dessous du ventre et l'extrémité de de la queue sont blancs ou du moins plus clairs. On observe aussi des coloration beaucoup plus sombres, comme chez les renards charbonniers d'Amérique du Nord qui n'ont aucune trace de blanc, ou certains renards argentés avec une fourrure noire parsemée de longs poils blancs[13].

Écologie et comportement

Comportement social

Alimentation

Il est omnivore, mais il se nourrit surtout de petits mammifères (campagnols, souris, écureuils, petits lapins), mais aussi d’oiseaux, de grenouilles, de poissons, d’insectes, de petits fruits et de charognes. Son alimentation varie au cours des saisons, l'été par exemple, les cerises, les fraises, les baies et les glands font partie de son menu quotidien. Certains renards et leur portée ont déjà été observés en train de se nourrir de touladis (truite de lac) pesant de 1,5 à 3 kg qu’ils capturaient en sautant directement de la berge sur un banc de poissons nageant en eaux peu profondes[réf. nécessaire].

Quoique souvent considéré comme nuisible, il peut aussi avoir des aspects utiles puisqu'il consomme entre 6 000 et 10 000 rongeurs par an [14]

Reproduction

Le renard roux atteint sa maturité sexuelle vers l'âge de 10 mois. Les mâles et les femelles sont habituellement monogames. La période de reproduction a principalement lieu entre la mi-janvier et la mi-février. La mise bas a lieu de mars à mai. La portée compte d’un à dix renardeaux ; la moyenne étant de cinq. Les petits sont aveugles à la naissance et n’ouvrent les yeux qu’à la deuxième semaine. Ils sont sevrés à 4 ou 5 semaines[réf. nécessaire].

Comportement

Le renard roux symbolise depuis longtemps la ruse et l'habileté : de fait il agit avec perspicacité, pouvant revenir par exemple sur ses propres traces s'il est chassé par une meute de chiens. Mais à l'inverse, il peut se montrer très imprudent en passant sans s'arrêter devant des cachettes sûres. Malgré sa petite taille, le renard peut courir vite et atteindre une vitesse maximum de 38 km/h[réf. nécessaire].

Perceptions sensorielles

Prédateurs et parasites

Locomotion

Le Renard roux est très agile, et peut réaliser des bonds de deux mètres au-dessus de clôtures. C’est aussi un bon nageur[15]. Sa queue lui sert de balancier. Ils courent à une vitesse de 6 à 13 km/h, pouvant atteindre au maximum 50 km/h. Quand il marche à pas normal ils ont un stride de 25 à 35 cm[16].

Galerie

Modèle:Message galerie

Classification

Taxonomie

Origines et évolution

Comparaison entre un crâne de Renard roux (à gauche) et de Rüppell's fox (à droite). On peut noter l’aire faciale plus développée du premier.

Le Renard Roux est considéré comme le membre du genre Vulpes le plus spécialisé et le plus évolué, en comparaison des renards Afghan, corsac et Bengal fox, notamment vis-à-vis de sa taille et de son adaptation à un régime carnivore. Le crâne de l’espèce montre des traits un peu plus neotenous et son aire faciale est plus développée[5]. Il n’est toutefois pas aussi bien adapté à son régime carnivore que peut l’être le Tibetan fox[17]. Le Renard roux est originaire d’Eurasie, et a évolué à partir de Vulpes alopecoides ou de l’espèce chinoise très proche V. chikushanensis, ces deux espèces ayant vécu durant le Middle Villafranchian[18]. Le plus ancien spécimen fossilisé de Vulpes vulpes a été découvert à Barany, en Hongrie, et date d’il y a entre 3,4 et 1,8 millions d’années[19]. L’espèce d’origine était certainement plus petite que l’espèce courante, tout comme les animaux retrouvés fossilisés sont plus petits que les populations modernes[18]. Le plus ancien spécimen de l’espèce moderne date du milieu du Pléistocène, à proximité de traces de peuplements humains. Cela a conduit à la théorie suivant laquelle le Renard roux était utilisé par les premiers hommes comme source de nourriture et pelts[20]. Le Renard roux est arrivé relativement tard sur le continent nord-américain, un peu après la Wisconsian glaciation. Ainsi on n’a retrouvé aucun indice de la présence de cette espèce en Amérique du Nord avant le Sangamonian. Des fossiles datant de cette ère ont été retrouvés dans l’extrême nord du continent dans des dépôts Sangamonian dans les Fairbanks District et à Medicine Hat. Des fossiles datant du Wisconsian ont été découverts dans 25 sites différents dans l’Arkansas, la Californie, le Colorado, l’Idaho, le Missouri, le Nouveau-Mexique, le Tennessee, le Texas, la Virginie et le Wyoming.

Sous-espèces

Fichier:Redfoxskull.jpg
Crâne d’un northern fox
Crâne d’un southern grey desert fox

En 2005[21], 45 sous-espèces différentes sont reconnues. En 2010, une autre sous-espèce est découverte dans la vallée de Sacramento suite à des analyses d’haplotypes à partir d’ADN mitochondrial[22].

Il y a un fort brassage génétique entre les différentes sous-espèces, de nombreux cas de croisements étant connus. Par exemple les renards britanniques se sont croisés à des renards venus d’Europe continentale[23]. Ces mêmes renards européens ont été introduits dans certaines parties des États-Unis au cours du XVIIIe siècle[24].

Les sous-espèces de Renard roux peuvent se diviser en deux catégories[25] :

  • Northern foxes: De grands renards à la couleur vive
  • Southern grey desert foxes: Ils incluent les sous-espèces asiatiques griffithi, pusilla et flavescens. Leurs caractéristiques sont intermédiaires entre les Renards roux du nord et d’autres espèces de renards plus petites. Leur crâne est plus proche de celui des espèces primitives que celui des renards du nord[17]. Ils sont nettement plus petits que les renards du nord, leur taille maximale n’atteignant pas la taille moyenne de ceux-ci[26].

Red foxes living in Middle Asia show physical traits intermediate to the northern and southern forms.[27]

Sous-espèce Trinomial authority Description Aire de répartition Synonymes
Middle Russian fox[réf. nécessaire]
Vulpes v. vulpes

(Nominate subspecies)

Linnaeus, 1758 Une grande sous-espèce mesurant 70 à 90 cm de long pour 5 à 10 kg. Le crâne des grands mâles peut atteindre 163,2 mm. Sa fourrure est rouge vif avec une ripple blanchâtre et jaune bien visible on the lower back[28]. Districts boisés du nord et du centre de la partie européenne de l’ancienne Union soviétique, au sud jusqu’aux steppes et à l’est jusqu’à l’Oural. On le trouve aussi en scandinavie et en Europe de l’Ouest et Centrale alopex (Linnaeus, 1758)

communis (Burnett, 1829)
lineatus (Billberg, 1827)
nigro-argenteus (Nilsson, 1820)
nigrocaudatus (Billberg, 1827)
septentrionalis (Brass, 1911)
variegates (Billberg, 1827)
vulgaris (Oken, 1816)

British Columbian fox
Vulpes v. abietorum

Merriam, 1900 Similaire à V. vulpes alascensis, mais avec un crâne plus léger, plus long et plus fin[29] Colombie britannique et probablement sud-est de l’Alaska, aux États-Unis sitkaensis (Brass, 1911)
Northern Alaskan fox
Vulpes v. alascensis

Merriam, 1900 De grande taille avec une longue queue, de petites oreilles et une fourrure golden-fulvous[30] Andreafsky Wilderness, Alaska, USA
Eastern Trans-Caucasian fox
Vulpes v. alpherakyi

Satunin, 1906 Petite sous-espèce qui pèse en moyenne 4 kg, avec un crâne de 132 à 139 mm de long chez le mâle et 121 à 126 mm chez la femelle. La fourrure est gris rouille ou marron rouille avec une bande couleur rouille plus vive sur le dos. The coat is short, coarse and sparse[31] Geok Tepe, AralskModèle:Disambiguation needed, Kazakhstan
Anatolian fox
Vulpes v. anatolica

Thomas, 1920 Smyrna, Asie mineure occidentale, Turquie
Arabian fox
Vulpes v. arabica

Thomas, 1920 Dhofar and The Hajar Mountains, Oman
Atlas fox
Vulpes v. atlantica
Wagner, 1841 Atlas Mountains, Mila Province, Algeria algeriensis (Loche, 1858)
Labrador fox
Vulpes v. bangsi

Merriam, 1900 Proche de V. vulpes fulva, mais avec des oreilles plus petites et des taches noires moins prononcées sur les oreilles et les pattes[32] L'Anse au Loup, Strait of Belle Isle, Labrador, Canada
Barbary fox
Vulpes v. barbara
Shaw, 1800 Barbary Coast, Afrique du nord-ouest acaab (Cabrera, 1916)
Anadyr fox
Vulpes v. beringiana
Middendorff, 1875 Sous-espèce de grande taille. C’est la plus vivement colorée en Europe, avec sa fourrure saturated bright-reddish and almost lacking the bright ripple along the back and flanks. The coat is fluffy and soft.[33] Shore of the Bering Strait, north-eastern Siberia anadyrensis (J. A. Allen, 1903)

beringensis (Merriam, 1902)
kamtschadensis (Brass, 1911)
kamtschatica (Dybowski, 1922)
schantaricus (Yudin, 1986)

Cascade Mountain fox
Vulpes v. cascadensis
Merriam, 1900 Une sous-espèce à la petite queue et aux petites dents, avec une fourrure plutôt jaune. It is the commonest form producing "cross" varieties[34] Cascade Mountains, Skamania County, Washington, USA
North Caucasian fox
Vulpes v. caucasica
Dinnik, 1914 Une grande sous-espèce dont la couleur peut varier du rougeâtre au rouge gris, voire au gris. La fourrure est courte et coarse. Cette sous-espèce pourrait être issue de croisements entre V. vulpes stepensis et V. vulpes karagan[35] Près de Vladikavkaz, Caucasus, Russia
European fox
Vulpes v. crucigera

Bechstein, 1789 Cette spus-espècede taille moyenne avec un pelage yellowish-fulvous ou marron rougeâtre n’a pas de marques blanchâtres sur l’arrière du dos. La queue n’est pas grise[36]. Il se distingue de V. vulpes vulpes par sa taille légèrement plus petite, ses petites dents et ses prémolaires plus espacées. Les renards présents en Grande-Bretagne (et en Australie) are usually ascribed to this subspecies, though many populations there display a great degree of tooth compaction not present in continental European populations[37] Toute l’Europe, à l’exception de la Scandinavie, l’Espagne et quelques îles de la mer Méditerranée. Il a été introduit en Australie et en Virginie alba (Borkhausen, 1797)

cinera (Bechstein, 1801)
diluta (Ognev, 1924)
europaeus (Kerr, 1792)
hellenica (Douma-Petridou and Ondrias, 1980)
hypomelas (Wagner, 1841)
lutea (Bechstein, 1801)
melanogaster (Bonaparte, 1832)
meridionalis (Fitzinger, 1855)
nigra (Borkhausen, 1797)
stepensis (Brauner, 1914)

Trans-Baikal fox
Vulpes v. daurica
Ognev, 1931 Une grande sous-espèce. Sa ligne dorsale est claire, dull yellowish-reddish avec une strongly developed white ripple et des greyish longitudinal stripes sur l’arrière des membres. The coat is coarse but fluffy[33] Kharangoi, 45 km west of Troizkosavsk, Siberia ussuriensis (Dybowski, 1922)
Newfoundland fox
Vulpes v. deletrix
Bangs, 1898 Sous-espèce au pelage très clair, avec une fourrure jaune paille à doré ou buff-par endroits. La queue est dépourvue de son point noir terminal habituel. Les pattes et les griffes sont très développées [32] Bay of St. George, Newfoundland, Canada
Ussuri fox
Vulpes v. dolichocrania
Ognev, 1926 Sidemi, southern Ussuri, south-eastern Siberia ognevi (Yudin, 1986)
Vulpes v. dorsalis J. E. Gray, 1838
Turkmenian fox
Vulpes v. flavescens

Fichier:Vulpesflavescensis.jpg

J. E. Gray, 1838 Une petite sous-espèce, avec un crâne infantile et un pelage uniformément gris. Le corps mesure entre 49 et 57,5 cm pour 2.2 à 3,2 kg[38] Nord de l’Iran cinerascens (Birula, 1913)
splendens (Thomas, 1902)
Virginia fox
Vulpes v. fulvus

Desmarest, 1820 Sous-espèce plus petite que V. vulpes vulpes, avec une tête plus petite et plus effilée, une queue plus courte et un pelage plus clair qui contraste un peu plus avec celui des membres, blanchâtre ou plus sombre[39] Est du Canada et est des États-Unis pennsylvanicus (Rhoads, 1894)
Afghan red fox
Vulpes v. griffithi

Blyth, 1854 Une sous-espèce légèrement plus petite que V. vulpes montana, avec un pelage argenté plus extensively hoary[40] Kandahar, Afghanistan flavescens (Hutton, 1845)
Kodiak fox
Vulpes v. harrimani
Merriam, 1900 Uen grande sous-espèce avec une énorme queue et une fourrure coarse, proche de celle du loup sur la queue et l’arrière du dos. Les poils de la nuque et des épaules sont plus longs et forment une sorte de crinière[41] Kodiak Island, Alaska
Southern Chinese fox

Vulpes v. hoole

Swinhoe, 1870 [42] Near Amoy, Fukien, sud de la Chine aurantioluteus (Matschie, 1907)
lineiventer (Swinhoe, 1871)
Sardinian fox
Vulpes v. ichnusae
Miller, 1907 Une petite sous-espèce aux toutes petites oreilles[36] Sarrabus, Sardinia, Italy. Il a peut-être été introduit dans les English Midlands[43]
Cyprus fox

Vulpes v. indutus

Miller, 1907 Cape Pyla, Cyprus
Yakutsk fox
Vulpes v. jakutensis

Ognev, 1923 Une sous-espèce assez grande mais moins que V. vulpes beringiana. Le dos, la nuque et les épaules sont marron rouille, alors que les flancs sont d’un jaune rougeâtre plus vif [33] Taiga, sud de Yakutsk, dans l’est de la Sibérie sibiricus (Dybowski, 1922)
Japanese fox

Vulpes v. japonica

Ognev, 1923 Japon
Karaganka fox

Vulpes v. karagan

Erxleben, 1777 Sous-espèce plus petite que V. vulpes vulpes. La fourrure est courte, coarse de couleur jaune sable clair ou gris jaunâtreref name="s501"/> Kirghiz Steppes, Khirgizia, Russia ferganensis (Ognev, 1926)

melanotus (Pallas, 1811)
pamirensis (Ognev, 1926)
tarimensis (Matschie, 1907)

Kenai Peninsula fox

Vulpes v. kenaiensis

Merriam, 1900 Une des plus grande sous-espèce nord-américaine, avec une fourrure plus douce que V. vulpes harrimani[41] Péninsule de Kenai, en Alaska
Trans-Caucasian montane fox
Vulpes v. kurdistanica

Satunin, 1906 Une sous-espèce à la taille intermédiaire entre V. vulpes alpheryaki et V. vulpes caucasica. Sa fourrure est jaune pâle ou gris clair, parfois même marron rougeâtre. Elle est plus fluffier et plus dense que celle des autres sous-espèces caucasiennes [31] Gelsk Valley, nord-est de la Turquie alticola (Ognev, 1926)
Wasatch Mountain fox
Vulpes v. macroura

Baird, 1852 Similar to V. vulpes fulva, but with much longer tail, larger hind feet and has more extensive blackening of the limbs[44] Wasatch Mountains, near Great Salt Lake, Utah, USA
Hill fox
Vulpes v. montana

Pearson, 1836 Distinguished from V. vulpes vulpes by its smaller size, proportionately smaller skull and teeth and coarser fur. The hairs on the sole of the foot are copiously mixed with softer woolly hairs.[45] Himalaya alopex (Blanford, 1888)

himalaicus (Ogilby, 1837)
ladacensis (Matschie, 1907)
nepalensis (J. E. Gray, 1837)
waddelli (Bonhote, 1906)

Sierra Nevada red fox or High Sierra fox
Vulpes v. necator

Merriam, 1900 Externally similar to V. vulpes fulvus (having a short tail), but cranially more like V. vulpes macroura[44] High Sierra, Californie
Nile fox
Vulpes v. niloticus

E. Geoffroy Saint-Hilaire, 1803 Une petite sous-espèce mesurant entre 76.7 et 105,3 cm, sans la queue de 30.2 à 40,1 cm de long. Il pèse entre 1.8 et 3,8 kg. It is ruddy to grey-brown above and darker on the back of the neck. The flanks are greyer and tinged with buff.[46] It is larger than V. vulpes arabica and V. vulpes palaestina.[47] Egypt aegyptiacus (Sonnini, 1816)

anubis (Hemprich and Ehrenberg, 1833)
vulpecula (Hemprich and Ehrenberg, 1833)

Turkestan fox

Vulpes v. ochroxantha

Ognev, 1926 Aksai, Semirechye, eastern Russian Turkestan, Kirgizia
Palestinian fox
Vulpes v. palaestina

Thomas, 1920 Ramleh, near Jaffa, Israel
Korean fox
Vulpes v. peculiosa
Kishida, 1924 Korea kiyomassai (Kishida and Mori, 1929)
White footed fox
Vulpes v. pusilla

Blyth, 1854 Légèrement plus petit que V. vulpes griffithii[48]. Il ressemble au V. bengalensis, mais s’en distingue par sa longue queue et ses pattes blanches[49] Salt Range, Punjab, Pakistan leucopus (Blyth, 1854)

persicus (Blanford, 1875)

Northern Plains fox
Vulpes v. regalis

Merriam, 1900 La plus imposante sous-espèce américaine, avec de très grandes oreilles et une longue queue. Elle est de vouleur jaune doré avec des pattes noires [50] Elk River, Sherburne County, Minnesota, USA
Novia Scotia fox
Vulpes v. rubricosa
Bangs, 1898 Une grande sous-espèce avec une queue longue et massive et des dents et un rostre plus grands que V. vulpes fulva. It is the deepest coloured form[51] Digby, Nova Scotia, Canada bangsi (Merriam, 1900)

deletrix (Bangs, 1898)
rubricos (Churcher, 1960)
vafra (Bangs, 1897)

Sakhalin fox
Vulpes v. schrencki

Kishida, 1924 Sakhalin, en Russie
Iberian fox
Vulpes v. silacea

Miller, 1907 De taille équivalente à V. vulpes vulpes mais avec de plus petites dents et des prémolaires plus espacées. La fourrure est dull buff, sans teinte jaunâtre ou rougeâtre. The hind quarters sont marqué de blanc tandis que la quaue est gris claire[52]. Péninsule ibérique
Kurile Island fox
Vulpes v. splendidissima
Kishida, 1924 North and central Kurile Islands, Russia
Steppe fox
Vulpes v. stepensis
Brauner, 1914 Une espèce légèrement plus petite que V. vulpes crucigera, avec une pelage plus clair et une fourrure plus courte et plus coarser. Les spécimens des montagnes de Crimean ont une fourrure brighter, fluffier et plus dense[35] Les steppes près de Kherson, en Russie krymeamontana (Brauner, 1914)

crymensis (Brauner, 1914)

Tobol'sk fox
Vulpes v. tobolica
Ognev, 1926 A large subspecies with yellowish rusty or dirty reddish fur with a well-developed cross, and often black area on the belly. The coat is long and fluffy[53] Obdorsk, Tobolsk, Russia
Northern Chinese fox
Vulpes v. tschiliensis

Matschie, 1907 Légèrement plus grand que V. vulpes hoole. À la différence des autres renards chinois il est de taille équivalente à V. vulpes vulpes[54] Peiping, Chihli, nord-est de la Chine huli (Sowerby, 1923)

Selon Mammal Species of the World (version 3, 2005) (25 janv. 2011)[55] :

  • sous-espèce Vulpes vulpes abietorum
  • sous-espèce Vulpes vulpes alascensis
  • sous-espèce Vulpes vulpes alpherakyi
  • sous-espèce Vulpes vulpes anatolica
  • sous-espèce Vulpes vulpes arabica
  • sous-espèce Vulpes vulpes atlantica
  • sous-espèce Vulpes vulpes bangsi
  • sous-espèce Vulpes vulpes barbara
  • sous-espèce Vulpes vulpes beringiana
  • sous-espèce Vulpes vulpes cascadensis
  • sous-espèce Vulpes vulpes caucasica
  • sous-espèce Vulpes vulpes crucigera
  • sous-espèce Vulpes vulpes daurica
  • sous-espèce Vulpes vulpes deletrix
  • sous-espèce Vulpes vulpes dolichocrania
  • sous-espèce Vulpes vulpes dorsalis
  • sous-espèce Vulpes vulpes flavescens
  • sous-espèce Vulpes vulpes fulvus
  • sous-espèce Vulpes vulpes griffithi
  • sous-espèce Vulpes vulpes harrimani
  • sous-espèce Vulpes vulpes hoole
  • sous-espèce Vulpes vulpes ichnusae
  • sous-espèce Vulpes vulpes indutus
  • sous-espèce Vulpes vulpes jakutensis
  • sous-espèce Vulpes vulpes japonica
  • sous-espèce Vulpes vulpes karagan
  • sous-espèce Vulpes vulpes kenaiensis
  • sous-espèce Vulpes vulpes kurdistanica
  • sous-espèce Vulpes vulpes macroura
  • sous-espèce Vulpes vulpes montana
  • sous-espèce Vulpes vulpes necator
  • sous-espèce Vulpes vulpes niloticus
  • sous-espèce Vulpes vulpes ochroxantha
  • sous-espèce Vulpes vulpes palaestina
  • sous-espèce Vulpes vulpes peculiosa
  • sous-espèce Vulpes vulpes pusilla
  • sous-espèce Vulpes vulpes regalis
  • sous-espèce Vulpes vulpes rubricosa
  • sous-espèce Vulpes vulpes schrenckii
  • sous-espèce Vulpes vulpes silacea
  • sous-espèce Vulpes vulpes splendidissima
  • sous-espèce Vulpes vulpes stepensis
  • sous-espèce Vulpes vulpes tobolica
  • sous-espèce Vulpes vulpes tschiliensis
  • sous-espèce Vulpes vulpes vulpes

Selon NCBI (25 janv. 2011)[56] :

  • sous-espèce Vulpes vulpes japonica

Rapports entre le renard et l'homme

Renard des villes

Il semble que des populations de renards « urbains » soient plus fréquentes depuis quelques décennies, peut-être en raison d'un habitat qui leur est devenu plus favorable par rapport aux campagnes agricoles intensives. À Londres, le London Ecology Unit a accompagné un programme de protection du Renard. Une étude récente a montré qu'à Nantes ils étaient presque toujours cantonnés aux espaces verts plutôt qu'aux jardins et que leur nourriture (étude du contenu des crottes) variait selon les lieux qu'ils fréquentent, mais était peu anthropisée[57]. A Bruxelles, le renard roux est une espèce protégée au même titre que tous les mammifères. Il a réussi à s’adapter à l’environnement urbain bruxellois où il a trouvé de la nourriture en suffisance (notamment sous la forme de déchets)[58].

Domestication

L'adoption de renards et fennecs comme animaux de compagnie semble avoir existé de longue date et ponctuellement, mais elle est déconseillée dans la plupart des pays, hors élevage, eu égard à la mauvaise réputation sanitaire de l'animal sauvage qui était vecteur de la rage (avant les campagnes de vaccination), et est fréquemment parasité par des tiques ou des puces et véhicule des parasites qu'il peut transmettre à l'homme, notamment par ses excréments (parasites tels que l'échinococcose qui est également véhiculé par les chiens et parfois par les chats). Les marques odorantes du renard ont aussi été un frein à une grande proximité avec l'Homme.

Dimitri Konstantinovich Belyaev a passé plusieurs années à sélectionner des renards roux afin d'étudier la domestication. Il a obtenu des animaux dociles avec des particularités physiques différentes des renards roux sauvages.

Chasse au renard

Chasse aux renard dans la Sarthe dans les années 1950.

Les renards ne présentent aucun risque pour la population : ils n’agressent pas l’homme et rarement les animaux domestiques (volaille si elles ne sont pas enfermées et chats domestiques) et la rage vulpine a été éradiquée officiellement en France depuis 1998, grâce à une distribution massive d'appâts vaccinaux. La vaccination est d'ailleurs le seul procédé efficace d'éradication de la rage et le seul responsable de la disparition totale de la pathologie en France et en Belgique. Il n'y a donc plus de raison de pourchasser le renard en tant que vecteur potentiel de la rage[réf. nécessaire]. L'échinocoque est un ver qui transmet la maladie de l'échinococcose alvéolaire. Le porteur de cette maladie est, en général, le renard et le chien. L'homme peut se contaminer en ingérant des œufs du parasite qui va ronger le foie. Ces œufs existent dans les excréments du renard (mais pas dans les urines). On les retrouve sur les végétaux et les baies sauvages accessibles aux renards et aux chiens et souillés par leurs déjections. Les œufs d'échinocoques sont détruits par la cuisson. N'oubliez pas l'échinococcose alveolaire qui est responsable de la mort de 59 personnes en France ces dernières années et de la contamination de plus de 400 personnes.[réf. nécessaire] Les renards peuvent cependant représenter une nuisance, notamment pour les propriétaires de poulaillers. Ils peuvent aussi localement fouiller les poubelles à la recherche de nourriture.

La chasse au renard permet également de limiter l'impact du prédateur sur les populations de petits mammifères déjà amoindries par l'influence de l'homme dans certaines zones [réf. nécessaire].

Chiens et chats errants, rats, fouines et corvidés sont autant responsables du pillage des poulaillers ou de l'éventration des poubelles que le renard. Pour éviter de telles nuisances, il est possible d'aménager les poulaillers de manière à limiter les possibilités d'accès par les animaux prédateurs. Structures en dur, grillage suffisamment haut, couvrant et partiellement enterré suffisent bien souvent à éviter toute attaque [réf. nécessaire].

Concernant les poubelles éventrées, la part qui incombe au renard est difficile à déterminer. Le renard est attiré par la nourriture. Par conséquent, moins on laisse traîner de nourriture à l'extérieur, moins on risque d'être ennuyés par les renards. Il est ainsi recommandé par exemple de ne pas laisser de nourriture pour le chien ou le chat dans le jardin[réf. nécessaire].

La chasse au renard en France est règlementée (consulter les panneaux préfectoraux et les fédérations de chasse locales). Elle peut se pratiquer au fusil (nécessite un permis de chasse), au piège (mais nécessite un permis de piégeage) ou à coure (équipage de vènerie). L'emploi d'appâts empoisonnés est strictement interdit. Un vaccin oral contraceptif en direction des renards femelle est à l'étude [réf. nécessaire].

Statut de protection

Vulpes vulpes n'est pas une espèce menacée.

Le renard roux est inscrit sur la Liste d'espèces susceptibles d'être classés nuisibles en France.

Notes et références

  1. Sillero-Zubiri, Hoffman et MacDonald 2004, p. 129
  2. Macdonald 1987, p. 122–23
  3. Jost, p. 15
  4. [1] (2011).
  5. a et b Heptner et Naumov 1998, p. 480
  6. Sillero-Zubiri, Hoffman et MacDonald 2004, p. 130
  7. a b c et d Heptner et Naumov 1998, p. 472
  8. Larivière et Pasitschniak-Arts 1996
  9. Harris et Yalden 2008, p. 408
  10. a et b Harris et Yalden 2008, p. 409
  11. Heptner et Naumov 1998, p. 478
  12. Heptner et Naumov 1998, p. 341
  13. « Le Renard Roux », Encyclopédie Larousse (consulté le )
  14. La Hulotte n°33/34, page 35
  15. Sillero-Zubiri, Hoffman et MacDonald 2004, p. 132–33
  16. Macdonald 1987, p. 36
  17. a et b Heptner et Naumov 1998, p. 482
  18. a et b Kurtén 1968, p. 115–16
  19. (en)H. O'Regan, « PaleoDatabase collection No. 35369 », Liverpool John Moores University, (consulté le )
  20. Spagnesi et De Marina Marinis 2002, p. 222
  21. Modèle:MSW3 Wozencraft
  22. (en)Benjamin N. Sacks, Mark J. Statham, John D. Perrine, Samantha M. Wisely et Keith B. Aubry, « North American montane red foxes: expansion, fragmentation, and the origin of the Sacramento Valley red fox », Conservation Genetics, vol. 11, no 4,‎ , p. 1523–1539 (DOI 10.1007/s10592-010-0053-4)
  23. Dale 1906, p. 140
  24. Feldhamer, Thompson et Chapman 2003, p. 511
  25. Heptner et Naumov 1998, p. 473
  26. Heptner et Naumov 1998, p. 490–92
  27. Heptner et Naumov 1998, p. 479
  28. Heptner et Naumov 1998, p. 496
  29. Merriam 1900, p. 669
  30. Merriam 1900, p. 668
  31. a et b Heptner et Naumov 1998, p. 499
  32. a et b Merriam 1900, p. 667
  33. a b et c Heptner et Naumov 1998, p. 499–500
  34. Merriam 1900, p. 665
  35. a et b Heptner et Naumov 1998, p. 497–98
  36. a et b Spagnesi et De Marina Marinis 2002, p. 221
  37. Harris et Yalden 2008, p. 411
  38. Heptner et Naumov 1998, p. 501–2
  39. Merriam 1900, p. 663
  40. Pocock 1941, p. 121
  41. a et b Merriam 1900, p. 670–71
  42. Allen 1938
  43. Dale 1906, p. 6
  44. a et b Merriam 1900, p. 664
  45. Pocock 1941, p. 111
  46. Hoath, Richard, A Field Guide to the Mammals of Egypt, American Univ in Cairo Press, 2009, ISBN 9774162544
  47. Osborn et Helmy 1980, p. 376
  48. Pocock 1941, p. 123–4
  49. Pocock 1941, p. 129
  50. Merriam 1900, p. 672
  51. Merriam 1900, p. 666
  52. Miller, Gerrit Smith (1912) Catalogue of the mammals of Western Europe (Europe exclusive of Russia) in the collection of the British museum, British Museum (Natural History). Department of Zoology.
  53. Heptner et Naumov 1998, p. 501
  54. Allen 1938, p. 353
  55. Mammal Species of the World (version 3, 2005), consulté le 25 janv. 2011
  56. NCBI, consulté le 25 janv. 2011
  57. étude sur les renards urbains de Nantes
  58. "Le renard" sur le site de Bruxelles Environnement

Références taxonomiques

Bibliographie

  • DUHAMEL, A., et L. GAUDREAU. « Fin et rusé comme un renard roux » dans Forêt Conservation, magazine de l’AFQ et des clubs 4 H du Québec, Québec (Québec), 1981, p. 23-29.
  • Denis-Richard Blackbourn, Le Renard roux, Éveil éditeur, coll. « Approche », Saint-Yrieix-sur-Charente, 1999, 84 p., ISBN 978-2-84000-021-1.

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Taxinomie

Divers

Modèle:Lien AdQ Modèle:Lien AdQ Modèle:Lien AdQ Modèle:Lien BA