« Renard roux » : différence entre les versions
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Le Renard roux a un corps allongé avec des membres relativement courts par rapport à sa taille. Sa queue, qui est plus longue que la moitié de son corps<ref name="s472"/> (elle représente généralement 70% de la taille de son corps<ref name="lariviere">{{Harvsp|Larivière|Pasitschniak-Arts|1996|p=}}</ref>), est longue, duveteuse et touche le sol lorsqu’il est debout. Elle se termine par une petite touffe de poils blancs. |
Le Renard roux a un corps allongé avec des membres relativement courts par rapport à sa taille. Sa queue, qui est plus longue que la moitié de son corps<ref name="s472"/> (elle représente généralement 70% de la taille de son corps<ref name="lariviere">{{Harvsp|Larivière|Pasitschniak-Arts|1996|p=}}</ref>), est longue, duveteuse et touche le sol lorsqu’il est debout. Elle se termine par une petite touffe de poils blancs. |
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Le Renard roux a un crâne étroit et allongé avec un museau fin et une boîte crânienne peu développée. Il a une petite bouche, armée de 42 dents. Ses canines sont longues et pointues. Elles sont concaves, contrairement à celles du chien par exemple. Ses pupilles sont ovales et verticales<ref name="s472"/>. Elles comportent des [[membrane nictitante]]s, mais qui ne bougent que lorsque les yeux sont fermés. Les pattes avant ont cinq doigts quand les pattes arrière n’en n’ont que quatre, et sont dépourvues d'[[Ergot (mammifère)|ergot]]s<ref name="h409">{{Harvsp|Harris|Yalden|2008|p=409}}</ref>. |
Le Renard roux a un crâne étroit et allongé avec un museau fin et une boîte crânienne peu développée. Il a une petite bouche, armée de 42 dents. Ses canines sont longues et pointues. Elles sont concaves, contrairement à celles du chien par exemple<ref name="h408">{{Harvsp|Harris|Yalden|2008|p=408}}</ref>. Ses pupilles sont ovales et verticales<ref name="s472"/>. Elles comportent des [[membrane nictitante]]s, mais qui ne bougent que lorsque les yeux sont fermés. Les pattes avant ont cinq doigts quand les pattes arrière n’en n’ont que quatre, et sont dépourvues d'[[Ergot (mammifère)|ergot]]s<ref name="h409">{{Harvsp|Harris|Yalden|2008|p=409}}</ref>. |
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=== Dimorphisme sexuel === |
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=== Fourrure === |
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La fourrure du Renard roux est dense, douce, soyeuse et relativement longue, notamment en hiver. Elle est très longue, dense et duveteuse chez les renards du nord, mais plus courte, clairsemée et grossière chez les renards vivant plus au sud<ref name="s472"/>. |
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Généralement, le pelage du renard est roux, mais il peut varier du jaune-beige, au marron foncé. Les parties latérales du museau, la gorge, le ventre et le bout de la queue sont blancs, alors que la truffe et le bout des pattes sont noires. |
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Sa mâchoire possède 42 dents dont 20 dents sur la partie supérieure de la mâchoire et 22 sur la partie inférieure<ref>http://animal.cheloniophilie.com/Fiches/Renard-roux.php</ref>. |
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Son pelage est généralement roux, mais comporte des variations suivant les sous-espèces. Il peut varier du jaune-beige au marron foncé. Les parties latérales du museau, la gorge, le dessous du ventre et l'extrémité de de la queue sont blancs ou du moins plus clairs. On observe aussi des coloration beaucoup plus sombres, comme chez les renards charbonniers d'Amérique du Nord qui n'ont aucune trace de blanc, ou certains renards argentés avec une fourrure noire parsemée de longs poils blancs<ref>{{lien web | url=http://www.larousse.fr/encyclopedie/vie-sauvage/renard_roux/178182 | éditeur=Encyclopédie Larousse | consulté le=5 mars 2012 | titre=Le Renard Roux}}</ref>. |
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== Écologie et comportement == |
== Écologie et comportement == |
Version du 5 mars 2012 à 21:52
Règne | Animalia |
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Embranchement | Chordata |
Classe | Mammalia |
Ordre | Carnivora |
Famille | Canidae |
Genre | Vulpes |
Répartition géographique
Statut CITES
Le renard roux (nom scientifique Vulpes vulpes, mot latin vulpinus), ou renard commun, est l'espèce de renard la plus répandue en Eurasie, en Amérique du Nord, en Afrique du Nord et en Australie. C'est un mammifère au museau pointu, aux oreilles droites et à la queue touffue (souvent roux et blanc). Son pelage est en général roux. Il habite principalement dans des terriers creusés par les blaireaux ou les lapins. L'espèce est classée dans l'ordre des Carnivora mais il a un régime alimentaire omnivore à prédominance carnivore et se nourrit surtout de rongeurs et de lapins mais aussi de poissons et de fruits.
L'homme le chasse pour sa fourrure, pour le plaisir et aussi parce que le renard est un des vecteurs de la rage et de l'échinococcose alvéolaire. Une campagne de vaccination anti-rabique a rapidement permis d'éradiquer la rage d'Europe de l'Ouest. En Europe les chasses à courre sont progressivement interdites depuis le XXe siècle.
Description
Biométrie
Le Renard roux est la plus grande espèce du genre Vulpes[1]. Toutefois, il est nettement plus léger qu’un chien de taille similaire. Les os de leurs membres, par exemple, pèsent 30% de moins pour une même unité de volume que ceux d’un chien de taille similaire[2]. Le Renard roux présente des variations importantes de taille suivant les individus, le sexe, l’âge et l’origine géographique. En moyenne, les adultes mesurent 35 à 40 cm de haut au garrot et 58 à 90 cm de long sans sa queue qui mesure elle entre 32 et 49 cm[3]. Les oreilles mesurent 7,7 à 12,5 cm et les pattes arrières 12 à 18,5 cm. Ils pèsent entre 2,2 et 14 kg, les femelles étant généralement 15 à 20 % moins lourdes que les mâles[4]. Les mâles adultes ont un crâne mesurant 129 à 167 mm, tandis que celui des femelles mesurent entre 128 et 159 mm[5]. Les empreintes des pattes avant mesurent 60 mm de long et 45 mm de large, tandis que celles des pattes arrière mesurent 55 mm de long pour 38 mm de large. Les Renards roux d’Amérique du Nord sont généralement plus légers, avec un corps très allongé par rapport à leur poids et présentent un haut degré de dimorphisme sexuel. Les Renards roux britanniques ont un corps plus ramassé et plus massif que les spécimens continentaux[6].
Aspect général
Le Renard roux a un corps allongé avec des membres relativement courts par rapport à sa taille. Sa queue, qui est plus longue que la moitié de son corps[7] (elle représente généralement 70% de la taille de son corps[8]), est longue, duveteuse et touche le sol lorsqu’il est debout. Elle se termine par une petite touffe de poils blancs.
Tête
Le Renard roux a un crâne étroit et allongé avec un museau fin et une boîte crânienne peu développée. Il a une petite bouche, armée de 42 dents. Ses canines sont longues et pointues. Elles sont concaves, contrairement à celles du chien par exemple[9]. Ses pupilles sont ovales et verticales[7]. Elles comportent des membrane nictitantes, mais qui ne bougent que lorsque les yeux sont fermés. Les pattes avant ont cinq doigts quand les pattes arrière n’en n’ont que quatre, et sont dépourvues d'ergots[10].
Dimorphisme sexuel
L'aspect général du mâle et de la femelle diffère peu. La femelle est légèrement plus petite et lus légère. Elles ont également un crâne plus petit que celui du mâle, qui comporte également des régions nasales plus grandes et des canines plus longues[11]. Son crâne se distingue de celui d’un chien par son museau fin, ses prémolaires moins crowded et ses canines plus fines et au profil concave et non convexe. Les femelles ont trois paires de mamelons[7], mais des individus en ayant 7, 9 ou 10 paires ne sont pas rares[10]. Les testicules des mâles sont moins grandes que celle du Renard arctiques[12].
Fourrure
La fourrure du Renard roux est dense, douce, soyeuse et relativement longue, notamment en hiver. Elle est très longue, dense et duveteuse chez les renards du nord, mais plus courte, clairsemée et grossière chez les renards vivant plus au sud[7].
Son pelage est généralement roux, mais comporte des variations suivant les sous-espèces. Il peut varier du jaune-beige au marron foncé. Les parties latérales du museau, la gorge, le dessous du ventre et l'extrémité de de la queue sont blancs ou du moins plus clairs. On observe aussi des coloration beaucoup plus sombres, comme chez les renards charbonniers d'Amérique du Nord qui n'ont aucune trace de blanc, ou certains renards argentés avec une fourrure noire parsemée de longs poils blancs[13].
Écologie et comportement
Comportement social
Alimentation
Il est omnivore, mais il se nourrit surtout de petits mammifères (campagnols, souris, écureuils, petits lapins), mais aussi d’oiseaux, de grenouilles, de poissons, d’insectes, de petits fruits et de charognes. Son alimentation varie au cours des saisons, l'été par exemple, les cerises, les fraises, les baies et les glands font partie de son menu quotidien. Certains renards et leur portée ont déjà été observés en train de se nourrir de touladis (truite de lac) pesant de 1,5 à 3 kg qu’ils capturaient en sautant directement de la berge sur un banc de poissons nageant en eaux peu profondes[réf. nécessaire].
Quoique souvent considéré comme nuisible, il peut aussi avoir des aspects utiles puisqu'il consomme entre 6 000 et 10 000 rongeurs par an [14]
Reproduction
Le renard roux atteint sa maturité sexuelle vers l'âge de 10 mois. Les mâles et les femelles sont habituellement monogames. La période de reproduction a principalement lieu entre la mi-janvier et la mi-février. La mise bas a lieu de mars à mai. La portée compte d’un à dix renardeaux ; la moyenne étant de cinq. Les petits sont aveugles à la naissance et n’ouvrent les yeux qu’à la deuxième semaine. Ils sont sevrés à 4 ou 5 semaines[réf. nécessaire].
Comportement
Le renard roux symbolise depuis longtemps la ruse et l'habileté : de fait il agit avec perspicacité, pouvant revenir par exemple sur ses propres traces s'il est chassé par une meute de chiens. Mais à l'inverse, il peut se montrer très imprudent en passant sans s'arrêter devant des cachettes sûres. Malgré sa petite taille, le renard peut courir vite et atteindre une vitesse maximum de 38 km/h[réf. nécessaire].
Perceptions sensorielles
Prédateurs et parasites
Locomotion
Le Renard roux est très agile, et peut réaliser des bonds de deux mètres au-dessus de clôtures. C’est aussi un bon nageur[15]. Sa queue lui sert de balancier. Ils courent à une vitesse de 6 à 13 km/h, pouvant atteindre au maximum 50 km/h. Quand il marche à pas normal ils ont un stride de 25 à 35 cm[16].
Galerie
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Renard roux, Danemark -
Renardeau roux dans une forêt de Haute-Normandie -
Renard roux dans l' Ardenne belges -
Renard roux, Canada
Classification
Taxonomie
Origines et évolution
Le Renard Roux est considéré comme le membre du genre Vulpes le plus spécialisé et le plus évolué, en comparaison des renards Afghan, corsac et Bengal fox, notamment vis-à-vis de sa taille et de son adaptation à un régime carnivore. Le crâne de l’espèce montre des traits un peu plus neotenous et son aire faciale est plus développée[5]. Il n’est toutefois pas aussi bien adapté à son régime carnivore que peut l’être le Tibetan fox[17]. Le Renard roux est originaire d’Eurasie, et a évolué à partir de Vulpes alopecoides ou de l’espèce chinoise très proche V. chikushanensis, ces deux espèces ayant vécu durant le Middle Villafranchian[18]. Le plus ancien spécimen fossilisé de Vulpes vulpes a été découvert à Barany, en Hongrie, et date d’il y a entre 3,4 et 1,8 millions d’années[19]. L’espèce d’origine était certainement plus petite que l’espèce courante, tout comme les animaux retrouvés fossilisés sont plus petits que les populations modernes[18]. Le plus ancien spécimen de l’espèce moderne date du milieu du Pléistocène, à proximité de traces de peuplements humains. Cela a conduit à la théorie suivant laquelle le Renard roux était utilisé par les premiers hommes comme source de nourriture et pelts[20]. Le Renard roux est arrivé relativement tard sur le continent nord-américain, un peu après la Wisconsian glaciation. Ainsi on n’a retrouvé aucun indice de la présence de cette espèce en Amérique du Nord avant le Sangamonian. Des fossiles datant de cette ère ont été retrouvés dans l’extrême nord du continent dans des dépôts Sangamonian dans les Fairbanks District et à Medicine Hat. Des fossiles datant du Wisconsian ont été découverts dans 25 sites différents dans l’Arkansas, la Californie, le Colorado, l’Idaho, le Missouri, le Nouveau-Mexique, le Tennessee, le Texas, la Virginie et le Wyoming.
Sous-espèces
En 2005[21], 45 sous-espèces différentes sont reconnues. En 2010, une autre sous-espèce est découverte dans la vallée de Sacramento suite à des analyses d’haplotypes à partir d’ADN mitochondrial[22].
Il y a un fort brassage génétique entre les différentes sous-espèces, de nombreux cas de croisements étant connus. Par exemple les renards britanniques se sont croisés à des renards venus d’Europe continentale[23]. Ces mêmes renards européens ont été introduits dans certaines parties des États-Unis au cours du XVIIIe siècle[24].
Les sous-espèces de Renard roux peuvent se diviser en deux catégories[25] :
- Northern foxes: De grands renards à la couleur vive
- Southern grey desert foxes: Ils incluent les sous-espèces asiatiques griffithi, pusilla et flavescens. Leurs caractéristiques sont intermédiaires entre les Renards roux du nord et d’autres espèces de renards plus petites. Leur crâne est plus proche de celui des espèces primitives que celui des renards du nord[17]. Ils sont nettement plus petits que les renards du nord, leur taille maximale n’atteignant pas la taille moyenne de ceux-ci[26].
Red foxes living in Middle Asia show physical traits intermediate to the northern and southern forms.[27]
Sous-espèce | Trinomial authority | Description | Aire de répartition | Synonymes |
---|---|---|---|---|
Middle Russian fox[réf. nécessaire] Vulpes v. vulpes |
Linnaeus, 1758 | Une grande sous-espèce mesurant 70 à 90 cm de long pour 5 à 10 kg. Le crâne des grands mâles peut atteindre 163,2 mm. Sa fourrure est rouge vif avec une ripple blanchâtre et jaune bien visible on the lower back[28]. | Districts boisés du nord et du centre de la partie européenne de l’ancienne Union soviétique, au sud jusqu’aux steppes et à l’est jusqu’à l’Oural. On le trouve aussi en scandinavie et en Europe de l’Ouest et Centrale | alopex (Linnaeus, 1758) communis (Burnett, 1829) |
British Columbian fox Vulpes v. abietorum |
Merriam, 1900 | Similaire à V. vulpes alascensis, mais avec un crâne plus léger, plus long et plus fin[29] | Colombie britannique et probablement sud-est de l’Alaska, aux États-Unis | sitkaensis (Brass, 1911) |
Northern Alaskan fox Vulpes v. alascensis |
Merriam, 1900 | De grande taille avec une longue queue, de petites oreilles et une fourrure golden-fulvous[30] | Andreafsky Wilderness, Alaska, USA | |
Eastern Trans-Caucasian fox Vulpes v. alpherakyi |
Satunin, 1906 | Petite sous-espèce qui pèse en moyenne 4 kg, avec un crâne de 132 à 139 mm de long chez le mâle et 121 à 126 mm chez la femelle. La fourrure est gris rouille ou marron rouille avec une bande couleur rouille plus vive sur le dos. The coat is short, coarse and sparse[31] | Geok Tepe, AralskModèle:Disambiguation needed, Kazakhstan | |
Anatolian fox Vulpes v. anatolica |
Thomas, 1920 | Smyrna, Asie mineure occidentale, Turquie | ||
Arabian fox Vulpes v. arabica |
Thomas, 1920 | Dhofar and The Hajar Mountains, Oman | ||
Atlas fox Vulpes v. atlantica |
Wagner, 1841 | Atlas Mountains, Mila Province, Algeria | algeriensis (Loche, 1858) | |
Labrador fox Vulpes v. bangsi |
Merriam, 1900 | Proche de V. vulpes fulva, mais avec des oreilles plus petites et des taches noires moins prononcées sur les oreilles et les pattes[32] | L'Anse au Loup, Strait of Belle Isle, Labrador, Canada | |
Barbary fox Vulpes v. barbara |
Shaw, 1800 | Barbary Coast, Afrique du nord-ouest | acaab (Cabrera, 1916) | |
Anadyr fox Vulpes v. beringiana |
Middendorff, 1875 | Sous-espèce de grande taille. C’est la plus vivement colorée en Europe, avec sa fourrure saturated bright-reddish and almost lacking the bright ripple along the back and flanks. The coat is fluffy and soft.[33] | Shore of the Bering Strait, north-eastern Siberia | anadyrensis (J. A. Allen, 1903) beringensis (Merriam, 1902) |
Cascade Mountain fox Vulpes v. cascadensis |
Merriam, 1900 | Une sous-espèce à la petite queue et aux petites dents, avec une fourrure plutôt jaune. It is the commonest form producing "cross" varieties[34] | Cascade Mountains, Skamania County, Washington, USA | |
North Caucasian fox Vulpes v. caucasica |
Dinnik, 1914 | Une grande sous-espèce dont la couleur peut varier du rougeâtre au rouge gris, voire au gris. La fourrure est courte et coarse. Cette sous-espèce pourrait être issue de croisements entre V. vulpes stepensis et V. vulpes karagan[35] | Près de Vladikavkaz, Caucasus, Russia | |
European fox Vulpes v. crucigera |
Bechstein, 1789 | Cette spus-espècede taille moyenne avec un pelage yellowish-fulvous ou marron rougeâtre n’a pas de marques blanchâtres sur l’arrière du dos. La queue n’est pas grise[36]. Il se distingue de V. vulpes vulpes par sa taille légèrement plus petite, ses petites dents et ses prémolaires plus espacées. Les renards présents en Grande-Bretagne (et en Australie) are usually ascribed to this subspecies, though many populations there display a great degree of tooth compaction not present in continental European populations[37] | Toute l’Europe, à l’exception de la Scandinavie, l’Espagne et quelques îles de la mer Méditerranée. Il a été introduit en Australie et en Virginie | alba (Borkhausen, 1797) cinera (Bechstein, 1801) |
Trans-Baikal fox Vulpes v. daurica |
Ognev, 1931 | Une grande sous-espèce. Sa ligne dorsale est claire, dull yellowish-reddish avec une strongly developed white ripple et des greyish longitudinal stripes sur l’arrière des membres. The coat is coarse but fluffy[33] | Kharangoi, 45 km west of Troizkosavsk, Siberia | ussuriensis (Dybowski, 1922) |
Newfoundland fox Vulpes v. deletrix |
Bangs, 1898 | Sous-espèce au pelage très clair, avec une fourrure jaune paille à doré ou buff-par endroits. La queue est dépourvue de son point noir terminal habituel. Les pattes et les griffes sont très développées [32] | Bay of St. George, Newfoundland, Canada | |
Ussuri fox Vulpes v. dolichocrania |
Ognev, 1926 | Sidemi, southern Ussuri, south-eastern Siberia | ognevi (Yudin, 1986) | |
Vulpes v. dorsalis | J. E. Gray, 1838 | |||
Turkmenian fox Vulpes v. flavescens |
J. E. Gray, 1838 | Une petite sous-espèce, avec un crâne infantile et un pelage uniformément gris. Le corps mesure entre 49 et 57,5 cm pour 2.2 à 3,2 kg[38] | Nord de l’Iran | cinerascens (Birula, 1913) splendens (Thomas, 1902) |
Virginia fox Vulpes v. fulvus |
Desmarest, 1820 | Sous-espèce plus petite que V. vulpes vulpes, avec une tête plus petite et plus effilée, une queue plus courte et un pelage plus clair qui contraste un peu plus avec celui des membres, blanchâtre ou plus sombre[39] | Est du Canada et est des États-Unis | pennsylvanicus (Rhoads, 1894) |
Afghan red fox Vulpes v. griffithi |
Blyth, 1854 | Une sous-espèce légèrement plus petite que V. vulpes montana, avec un pelage argenté plus extensively hoary[40] | Kandahar, Afghanistan | flavescens (Hutton, 1845) |
Kodiak fox Vulpes v. harrimani |
Merriam, 1900 | Uen grande sous-espèce avec une énorme queue et une fourrure coarse, proche de celle du loup sur la queue et l’arrière du dos. Les poils de la nuque et des épaules sont plus longs et forment une sorte de crinière[41] | Kodiak Island, Alaska | |
Southern Chinese fox
Vulpes v. hoole |
Swinhoe, 1870 | [42] | Near Amoy, Fukien, sud de la Chine | aurantioluteus (Matschie, 1907) lineiventer (Swinhoe, 1871) |
Sardinian fox Vulpes v. ichnusae |
Miller, 1907 | Une petite sous-espèce aux toutes petites oreilles[36] | Sarrabus, Sardinia, Italy. Il a peut-être été introduit dans les English Midlands[43] | |
Cyprus fox
Vulpes v. indutus |
Miller, 1907 | Cape Pyla, Cyprus | ||
Yakutsk fox Vulpes v. jakutensis |
Ognev, 1923 | Une sous-espèce assez grande mais moins que V. vulpes beringiana. Le dos, la nuque et les épaules sont marron rouille, alors que les flancs sont d’un jaune rougeâtre plus vif [33] | Taiga, sud de Yakutsk, dans l’est de la Sibérie | sibiricus (Dybowski, 1922) |
Japanese fox | Ognev, 1923 | Japon | ||
Karaganka fox | Erxleben, 1777 | Sous-espèce plus petite que V. vulpes vulpes. La fourrure est courte, coarse de couleur jaune sable clair ou gris jaunâtreref name="s501"/> | Kirghiz Steppes, Khirgizia, Russia | ferganensis (Ognev, 1926) melanotus (Pallas, 1811) |
Kenai Peninsula fox
Vulpes v. kenaiensis |
Merriam, 1900 | Une des plus grande sous-espèce nord-américaine, avec une fourrure plus douce que V. vulpes harrimani[41] | Péninsule de Kenai, en Alaska | |
Trans-Caucasian montane fox Vulpes v. kurdistanica |
Satunin, 1906 | Une sous-espèce à la taille intermédiaire entre V. vulpes alpheryaki et V. vulpes caucasica. Sa fourrure est jaune pâle ou gris clair, parfois même marron rougeâtre. Elle est plus fluffier et plus dense que celle des autres sous-espèces caucasiennes [31] | Gelsk Valley, nord-est de la Turquie | alticola (Ognev, 1926) |
Wasatch Mountain fox Vulpes v. macroura |
Baird, 1852 | Similar to V. vulpes fulva, but with much longer tail, larger hind feet and has more extensive blackening of the limbs[44] | Wasatch Mountains, near Great Salt Lake, Utah, USA | |
Hill fox Vulpes v. montana |
Pearson, 1836 | Distinguished from V. vulpes vulpes by its smaller size, proportionately smaller skull and teeth and coarser fur. The hairs on the sole of the foot are copiously mixed with softer woolly hairs.[45] | Himalaya | alopex (Blanford, 1888) himalaicus (Ogilby, 1837) |
Sierra Nevada red fox or High Sierra fox Vulpes v. necator |
Merriam, 1900 | Externally similar to V. vulpes fulvus (having a short tail), but cranially more like V. vulpes macroura[44] | High Sierra, Californie | |
Nile fox Vulpes v. niloticus |
E. Geoffroy Saint-Hilaire, 1803 | Une petite sous-espèce mesurant entre 76.7 et 105,3 cm, sans la queue de 30.2 à 40,1 cm de long. Il pèse entre 1.8 et 3,8 kg. It is ruddy to grey-brown above and darker on the back of the neck. The flanks are greyer and tinged with buff.[46] It is larger than V. vulpes arabica and V. vulpes palaestina.[47] | Egypt | aegyptiacus (Sonnini, 1816) anubis (Hemprich and Ehrenberg, 1833) |
Turkestan fox
Vulpes v. ochroxantha |
Ognev, 1926 | Aksai, Semirechye, eastern Russian Turkestan, Kirgizia | ||
Palestinian fox Vulpes v. palaestina |
Thomas, 1920 | Ramleh, near Jaffa, Israel | ||
Korean fox Vulpes v. peculiosa |
Kishida, 1924 | Korea | kiyomassai (Kishida and Mori, 1929) | |
White footed fox Vulpes v. pusilla |
Blyth, 1854 | Légèrement plus petit que V. vulpes griffithii[48]. Il ressemble au V. bengalensis, mais s’en distingue par sa longue queue et ses pattes blanches[49] | Salt Range, Punjab, Pakistan | leucopus (Blyth, 1854) persicus (Blanford, 1875) |
Northern Plains fox Vulpes v. regalis |
Merriam, 1900 | La plus imposante sous-espèce américaine, avec de très grandes oreilles et une longue queue. Elle est de vouleur jaune doré avec des pattes noires [50] | Elk River, Sherburne County, Minnesota, USA | |
Novia Scotia fox Vulpes v. rubricosa |
Bangs, 1898 | Une grande sous-espèce avec une queue longue et massive et des dents et un rostre plus grands que V. vulpes fulva. It is the deepest coloured form[51] | Digby, Nova Scotia, Canada | bangsi (Merriam, 1900) deletrix (Bangs, 1898) |
Sakhalin fox Vulpes v. schrencki |
Kishida, 1924 | Sakhalin, en Russie | ||
Iberian fox Vulpes v. silacea |
Miller, 1907 | De taille équivalente à V. vulpes vulpes mais avec de plus petites dents et des prémolaires plus espacées. La fourrure est dull buff, sans teinte jaunâtre ou rougeâtre. The hind quarters sont marqué de blanc tandis que la quaue est gris claire[52]. | Péninsule ibérique | |
Kurile Island fox Vulpes v. splendidissima |
Kishida, 1924 | North and central Kurile Islands, Russia | ||
Steppe fox Vulpes v. stepensis |
Brauner, 1914 | Une espèce légèrement plus petite que V. vulpes crucigera, avec une pelage plus clair et une fourrure plus courte et plus coarser. Les spécimens des montagnes de Crimean ont une fourrure brighter, fluffier et plus dense[35] | Les steppes près de Kherson, en Russie | krymeamontana (Brauner, 1914) crymensis (Brauner, 1914) |
Tobol'sk fox Vulpes v. tobolica |
Ognev, 1926 | A large subspecies with yellowish rusty or dirty reddish fur with a well-developed cross, and often black area on the belly. The coat is long and fluffy[53] | Obdorsk, Tobolsk, Russia | |
Northern Chinese fox Vulpes v. tschiliensis |
Matschie, 1907 | Légèrement plus grand que V. vulpes hoole. À la différence des autres renards chinois il est de taille équivalente à V. vulpes vulpes[54] | Peiping, Chihli, nord-est de la Chine | huli (Sowerby, 1923) |
Selon Mammal Species of the World (version 3, 2005) (25 janv. 2011)[55] :
- sous-espèce Vulpes vulpes abietorum
- sous-espèce Vulpes vulpes alascensis
- sous-espèce Vulpes vulpes alpherakyi
- sous-espèce Vulpes vulpes anatolica
- sous-espèce Vulpes vulpes arabica
- sous-espèce Vulpes vulpes atlantica
- sous-espèce Vulpes vulpes bangsi
- sous-espèce Vulpes vulpes barbara
- sous-espèce Vulpes vulpes beringiana
- sous-espèce Vulpes vulpes cascadensis
- sous-espèce Vulpes vulpes caucasica
- sous-espèce Vulpes vulpes crucigera
- sous-espèce Vulpes vulpes daurica
- sous-espèce Vulpes vulpes deletrix
- sous-espèce Vulpes vulpes dolichocrania
- sous-espèce Vulpes vulpes dorsalis
- sous-espèce Vulpes vulpes flavescens
- sous-espèce Vulpes vulpes fulvus
- sous-espèce Vulpes vulpes griffithi
- sous-espèce Vulpes vulpes harrimani
- sous-espèce Vulpes vulpes hoole
- sous-espèce Vulpes vulpes ichnusae
- sous-espèce Vulpes vulpes indutus
- sous-espèce Vulpes vulpes jakutensis
- sous-espèce Vulpes vulpes japonica
- sous-espèce Vulpes vulpes karagan
- sous-espèce Vulpes vulpes kenaiensis
- sous-espèce Vulpes vulpes kurdistanica
- sous-espèce Vulpes vulpes macroura
- sous-espèce Vulpes vulpes montana
- sous-espèce Vulpes vulpes necator
- sous-espèce Vulpes vulpes niloticus
- sous-espèce Vulpes vulpes ochroxantha
- sous-espèce Vulpes vulpes palaestina
- sous-espèce Vulpes vulpes peculiosa
- sous-espèce Vulpes vulpes pusilla
- sous-espèce Vulpes vulpes regalis
- sous-espèce Vulpes vulpes rubricosa
- sous-espèce Vulpes vulpes schrenckii
- sous-espèce Vulpes vulpes silacea
- sous-espèce Vulpes vulpes splendidissima
- sous-espèce Vulpes vulpes stepensis
- sous-espèce Vulpes vulpes tobolica
- sous-espèce Vulpes vulpes tschiliensis
- sous-espèce Vulpes vulpes vulpes
Selon NCBI (25 janv. 2011)[56] :
- sous-espèce Vulpes vulpes japonica
Rapports entre le renard et l'homme
Renard des villes
Il semble que des populations de renards « urbains » soient plus fréquentes depuis quelques décennies, peut-être en raison d'un habitat qui leur est devenu plus favorable par rapport aux campagnes agricoles intensives. À Londres, le London Ecology Unit a accompagné un programme de protection du Renard. Une étude récente a montré qu'à Nantes ils étaient presque toujours cantonnés aux espaces verts plutôt qu'aux jardins et que leur nourriture (étude du contenu des crottes) variait selon les lieux qu'ils fréquentent, mais était peu anthropisée[57]. A Bruxelles, le renard roux est une espèce protégée au même titre que tous les mammifères. Il a réussi à s’adapter à l’environnement urbain bruxellois où il a trouvé de la nourriture en suffisance (notamment sous la forme de déchets)[58].
Domestication
L'adoption de renards et fennecs comme animaux de compagnie semble avoir existé de longue date et ponctuellement, mais elle est déconseillée dans la plupart des pays, hors élevage, eu égard à la mauvaise réputation sanitaire de l'animal sauvage qui était vecteur de la rage (avant les campagnes de vaccination), et est fréquemment parasité par des tiques ou des puces et véhicule des parasites qu'il peut transmettre à l'homme, notamment par ses excréments (parasites tels que l'échinococcose qui est également véhiculé par les chiens et parfois par les chats). Les marques odorantes du renard ont aussi été un frein à une grande proximité avec l'Homme.
Dimitri Konstantinovich Belyaev a passé plusieurs années à sélectionner des renards roux afin d'étudier la domestication. Il a obtenu des animaux dociles avec des particularités physiques différentes des renards roux sauvages.
Chasse au renard
Les renards ne présentent aucun risque pour la population : ils n’agressent pas l’homme et rarement les animaux domestiques (volaille si elles ne sont pas enfermées et chats domestiques) et la rage vulpine a été éradiquée officiellement en France depuis 1998, grâce à une distribution massive d'appâts vaccinaux. La vaccination est d'ailleurs le seul procédé efficace d'éradication de la rage et le seul responsable de la disparition totale de la pathologie en France et en Belgique. Il n'y a donc plus de raison de pourchasser le renard en tant que vecteur potentiel de la rage[réf. nécessaire]. L'échinocoque est un ver qui transmet la maladie de l'échinococcose alvéolaire. Le porteur de cette maladie est, en général, le renard et le chien. L'homme peut se contaminer en ingérant des œufs du parasite qui va ronger le foie. Ces œufs existent dans les excréments du renard (mais pas dans les urines). On les retrouve sur les végétaux et les baies sauvages accessibles aux renards et aux chiens et souillés par leurs déjections. Les œufs d'échinocoques sont détruits par la cuisson. N'oubliez pas l'échinococcose alveolaire qui est responsable de la mort de 59 personnes en France ces dernières années et de la contamination de plus de 400 personnes.[réf. nécessaire] Les renards peuvent cependant représenter une nuisance, notamment pour les propriétaires de poulaillers. Ils peuvent aussi localement fouiller les poubelles à la recherche de nourriture.
La chasse au renard permet également de limiter l'impact du prédateur sur les populations de petits mammifères déjà amoindries par l'influence de l'homme dans certaines zones [réf. nécessaire].
Chiens et chats errants, rats, fouines et corvidés sont autant responsables du pillage des poulaillers ou de l'éventration des poubelles que le renard. Pour éviter de telles nuisances, il est possible d'aménager les poulaillers de manière à limiter les possibilités d'accès par les animaux prédateurs. Structures en dur, grillage suffisamment haut, couvrant et partiellement enterré suffisent bien souvent à éviter toute attaque [réf. nécessaire].
Concernant les poubelles éventrées, la part qui incombe au renard est difficile à déterminer. Le renard est attiré par la nourriture. Par conséquent, moins on laisse traîner de nourriture à l'extérieur, moins on risque d'être ennuyés par les renards. Il est ainsi recommandé par exemple de ne pas laisser de nourriture pour le chien ou le chat dans le jardin[réf. nécessaire].
La chasse au renard en France est règlementée (consulter les panneaux préfectoraux et les fédérations de chasse locales). Elle peut se pratiquer au fusil (nécessite un permis de chasse), au piège (mais nécessite un permis de piégeage) ou à coure (équipage de vènerie). L'emploi d'appâts empoisonnés est strictement interdit. Un vaccin oral contraceptif en direction des renards femelle est à l'étude [réf. nécessaire].
Statut de protection
Vulpes vulpes n'est pas une espèce menacée.
Le renard roux est inscrit sur la Liste d'espèces susceptibles d'être classés nuisibles en France.
Notes et références
- Sillero-Zubiri, Hoffman et MacDonald 2004, p. 129
- Macdonald 1987, p. 122–23
- Jost, p. 15
- [1] (2011).
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- Sillero-Zubiri, Hoffman et MacDonald 2004, p. 130
- Heptner et Naumov 1998, p. 472
- Larivière et Pasitschniak-Arts 1996
- Harris et Yalden 2008, p. 408
- Harris et Yalden 2008, p. 409
- Heptner et Naumov 1998, p. 478
- Heptner et Naumov 1998, p. 341
- « Le Renard Roux », Encyclopédie Larousse (consulté le )
- La Hulotte n°33/34, page 35
- Sillero-Zubiri, Hoffman et MacDonald 2004, p. 132–33
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- Mammal Species of the World (version 3, 2005), consulté le 25 janv. 2011
- NCBI, consulté le 25 janv. 2011
- étude sur les renards urbains de Nantes
- "Le renard" sur le site de Bruxelles Environnement
Références taxonomiques
- (en) Référence Mammal Species of the World (3e éd., 2005) : Vulpes vulpes
- (en) Référence Brainmuseum : Vulpes vulpes
- Modèle:Faunaeur
- (fr + en) Référence ITIS : Vulpes vulpes (Linnaeus, 1758)
- (en) Référence Animal Diversity Web : Vulpes vulpes
- (en) Référence NCBI : Vulpes vulpes (taxons inclus)
Bibliographie
- DUHAMEL, A., et L. GAUDREAU. « Fin et rusé comme un renard roux » dans Forêt Conservation, magazine de l’AFQ et des clubs 4 H du Québec, Québec (Québec), 1981, p. 23-29.
- Denis-Richard Blackbourn, Le Renard roux, Éveil éditeur, coll. « Approche », Saint-Yrieix-sur-Charente, 1999, 84 p., ISBN 978-2-84000-021-1.
Liens externes
Taxinomie
- (en) Référence Mammal Species of the World (3e éd., 2005) : Vulpes vulpes Linnaeus, 1758
- (en) Référence Brainmuseum : Vulpes vulpes
- (en) Référence North American Mammals : Vulpes vulpes
- Modèle:Catalogueoflife espèce
- Modèle:Faunaeur
- (en) Référence GISD : espèce Vulpes vulpes
- (en) Référence Paleobiology Database : Vulpes vulpes (Linnaeus 1758)
- (fr + en) Référence ITIS : Vulpes vulpes (Linnaeus, 1758)
- (en) Référence Animal Diversity Web : Vulpes vulpes
- (en) Référence NCBI : Vulpes vulpes (taxons inclus)
Divers
- (en) Référence UICN : espèce Vulpes vulpes (Linnaeus, 1758)
- (fr + en) Référence CITES : espèce Vulpes vulpes (Linnaeus, 1758) (+ répartition) (sur le site de l’UNEP-WCMC)
- (en) Référence Fonds documentaire ARKive : Vulpes vulpes
- Le renard roux par Mlle Chambon, professeur de S.V.T. dans un collège valdoisien.
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