Portail:Protection des cultures/Le saviez-vous ?

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  • En France, la loi du 26 Ventôse an IV (26 mars 1796) qui ordonne aux propriétaires et fermiers l'échenillage des arbres sous peine d'amende est la première loi sur la protection des cultures.


Introduction

La section Le saviez-vous ? du portail met en avant aléatoirement des informations et anecdotes insolites autour de la protection des cultures, parmi une sélection reprise ci-dessous. Pour ajouter un ensemble d'anecdotes au tirage aléatoire, veuillez suivre les étapes suivantes  :

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  2. Créez la sous-page à l'aide du numéro retenu. (Portail:Protection des cultures/Le saviez-vous ?/< ici, le numéro de la sous-page >)
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Sélection no 1 modifier

  • En France, la loi du 26 Ventôse an IV (26 mars 1796) qui ordonne aux propriétaires et fermiers l'échenillage des arbres sous peine d'amende est la première loi sur la protection des cultures.

Sélection no 2 modifier

En 2011, le marché mondial des insecticides (y compris acaricides et nématicides) s'élevait à 14 milliards de dollars, dont 11,6 milliards pour les applications agricoles (traitements foliaires, du sol et des semences).

Sélection no 3 modifier

À partir de 1867, la rouille orangée (due à Hemileia vastatrix) a anéanti les plantations de caféiers de Ceylan, poussant les Britanniques à devenir des buveurs de thé.

Sélection no 4 modifier

En 1919, les citoyens d'Enterprise (Alabama, États-Unis) ont érigé le Boll Weevil Monument en reconnaissance à un insecte, le charançon du cotonnier, considéré comme un « héraut de la prospérité » pour l'influence profonde qu'il exerça sur l'économie de la région.

Sélection no 5 modifier

Sélection no 6 modifier

La « Convention internationale de Berne, relative aux mesures à prendre contre le Phylloxera vastatrix » signée à Berne le 17 septembre 1878 par l'Allemagne, l'Autriche-Hongrie, l'Espagne, la France, l'Italie et la Suisse, est la première convention internationale sur la protection des végétaux.

Sélection no 7 modifier

C'est en 1865 qu'est attestée aux États-Unis la première mention d'un insecticide, le vert de Paris (acéto-arsénite de cuivre), utilisé contre le doryphore de la pomme de terre.

Sélection no 8 modifier

Découvert dans le Gard en 1868, le phylloxéra (Daktulosphaira vitifoliae), minuscule insecte homoptère introduit accidentellement depuis les États-Unis, détruisit en une trentaine d'années la quasi totalité du vignoble français, avant que ce dernier soit reconstitué à l'aide de porte-greffes américains.

Sélection no 9 modifier

En Afrique, un essaim de criquets pèlerins (Schistocerca gregaria) peut compter plus de 40 milliards d'individus et dévorer jusqu'à 80 000 tonnes de végétaux par jour.

Sélection no 10 modifier

L'introduction en Californie, dans l'hiver 1888-1889, d'une coccinelle australienne, Rodolia cardinalis, pour lutter contre la cochenille australienne, Icerya purchasi, qui ravageait les vergers d'agrumes, est l'une des premières applications réussies de lutte biologique (due à Riley).

Sélection no 11 modifier

En 1898, Martinus Beijerinck, microbiologiste néerlandais, découvre le premier virus, le virus de la mosaïque du tabac qu'il qualifie de Contagium vivum fluidum.

Sélection no 12 modifier

Le Printemps silencieux (Silent Spring), ouvrage de Rachel Carson paru aux États-Unis en 1962, conduisit à l'interdiction du DDT et contribua à l'émergence du mouvement écologiste.

Sélection no 13 modifier

L'expression « lutte biologique » est apparue pour la première fois en anglais sous la forme « biological control » sous la plume de l'entomologiste américain, Harry Scott Smith, dans un article publié en 1919 dans le Journal of economic entomology.

Sélection no 14 modifier

La panachure des tulipes, l'une des premières viroses végétales attestées, fut décrite pour la première en 1576 par Charles de L'Écluse. Elle est due au virus de la panachure de la tulipe (tulip breaking virus). Ses effets étaient appréciés à l'époque de la Tulipomanie.

Sélection no 15 modifier

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