Aït Imloul

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Aït Imloul
ⴰⵢⵜ ⵉⵎⵍoⵓⵍ Ayt Imlul

Populations importantes par région
Autres
Régions d’origine Drapeau de l'Algérie Algérie
Plaines sétifiennes
Religions Islam
Ethnies liées Berbères, Kabyles

Les Aït Imloul (en amazigh : ⴰⵢⵜ ⵉⵎⵍoⵓⵍ, Ayt Imlul) sont une tribu zénète originaire des hauts plateaux sétifiens (Algérie), mais aujourd'hui dispersée dans tout le Maghreb.

Étymologie et histoire[modifier | modifier le code]

Le mot amazigh : Aït signifie "(les) fils de" Imloul est le nom hypothétique de l'ancêtre de la tribu, ce nom amazigh signifiant qui est né ou naître, comme le nom français : René ou le nom arabe : Mouloud, variante de verbe berbère Iloul : est né, tlalit : naissance. Ce nom (Imloul) fut dérivé, dans la langue populaire, en plusieurs formes : Imloul, Yemloul, Yemboul, Yamboul, M'louli, M'loul, Meloul, Melloul et bien d'autres

Les Ath Imloul étaient installés à l'époque romaine, d'après les documents épigraphiques, dans les hauts plateaux sétifiens. Leur ville principale, Thamellula (dérivation probable[Selon qui ?] du nom de la tribu : Ait Imloul), se situait entre l'actuelle Sétif et N'Gaous. Leur cité au Moyen Âge (époque musulmane) était : Dar M'loul, (non loin de Thamellula). Cette ville est citée dans les sources médiévales arabes. Après un combat meurtrier contre l'armée fatimide, les Ath imloul vaincus se dispersèrent çà et là, une partie se réfugia dans les monts avoisinant de Bougie, d'autres prendront la direction des monts des Aurès, et le Djérid (Tozeur en Tunisie actuelle) et même la direction de l'Atlas marocain.

Localisation des Ait Imloul[modifier | modifier le code]

  • Algérie :
    • dans les Aurès dans la région entre Arris et Khenchela, allant du Mont Chélia au nord, jusqu’à l'oasis d'El Ouldja (Taghzout) sur les versants sud de massif des Aurès, en traversant la forêt dite Forêt domaniale des Imloul (80 000 hectares);
    • dans la wilaya de Tébessa (Bekaria);
    • dans la willaya d'Oum-El-Bouaghi (Ain Zitoun, Souk Naaman, Ouled Zouai);
    • dans la willaya de Batna (Chemora, Létaud);
    • dans la willaya de Biskra (M'Chounech);
    • dans les régions de Guelma
    • dans la Wilaya de Relizane;( Oued Rhiou)
    • dans la région de Sfisef (Wilaya de Sidi Bel Abbès);
    • au sein de la tribu d'ait Saada Daïra de Yattafen, Wilaya de Tizi Ouzou[1]
    • dans la Petite Kabylie, près de Béjaia, dans les Babors du côté de la tribu des Sekfal.
  • Maroc :
    • Régions d'Agadir (Aït_Melloul), Kelâat Es-Sraghna et Azilal.

Les Ait Imloul de Béjaia et de Skikda[modifier | modifier le code]

Du côté de la région de Skikda, un des Béni Imloul de la région de Bougie (B'gayet), s’appelant M'Henna, vint s’installer entre Harrouch et Skikda. Il eut quatre fils : Bechiri, Khezeri, Naïmi et Meslaoui qui furent de valeureux guerriers. Ce sont eux qui refoulèrent les Béni Toufout, les Béni Salah, les Béni Ishak, et les Béni Ouelbèn et s'établirent sur la côte. Cette tribu des Beni Mehanna, a essaimé à son tour : les Beni B'chir et les Béni Khzer, occupèrent une partie du littoral et Ramdan Djamel (ex Saint-Charles) et fondèrent le village d'Oued Zerga.

Les Ait Imloul de Sétif[modifier | modifier le code]

Les Ait Imloul de cette région sont quelques familles ou fractions implantées encore entre Guidjel et Guellal, non loin de la ville de leurs ancêtres : Dar M'loul, du côté de la grande tribu chaouia : Ouled Ali ben Sabeur.

D'après certaines thèses, les Ait Imloul étaient déjà présents dans cette région de la Numidie avant l'invasion romaine, leur ville était Thamelloula (probablement, la ville médiévale Dar Mloul). Ils furent dispersés une première fois par les guerres et leur centre urbain détruit par les Fatimides [2], d'où un grand exode particulièrement vers les régions montagneuses ainsi que vers le sud, l'ouest et le nord.

Après plusieurs siècles, ces Imloul des hauts plateaux étaient sujet de grands déplacement une deuxième fois dans l’histoire, durant l'époque fatimide et les guerres de positionnement connues à cette époque surtout par les chiites. Ils étaient contraints d'immigrer surtout vers l’Est et vers plusieurs régions du Maghreb.

D’autres refoulements sont connus vers le Xe siècle après l’arrivée des Arabes Hilaliens et les ravages commis contre les populations berbères en général.

Dans l’histoire contemporaine, quelques déplacements surtout vers la région nord de Sétif, à l’époque de la guerre de résistance menée par El Mokrani contre le colonialisme français au XIXe siècle.

Pour ces principales raisons, actuellement et dans cette région de Sétif ne reste qu'un petit nombre de fractions mlouliennes sur l'axe Guellal-Guidjal en allant vers N'gaous.

Les Ait Imloul des Aurès[modifier | modifier le code]

Les Imloul des Aurès étaient à l'époque ottomane enclavés dans le Caïdat de djebel Chechar, entre l'Ahmar Khaddou de l'ouest et les Béni Oudjana au nord. De nos jours ils préservent pratiquement les mêmes territoires partagés entre plusieurs communes administratives relevant des wilayas de : Khenchela, Batna et Biskra. Selon Carette[3], les Imloul des Aurès se répartissent dans les cinq clans suivants :

1- Ait Moussa (3 fractions) :

  • Ait El Hadj (ait alhadj, Zit Avvès, Ait Boukhalfa)
  • Ait Belkheddour (Khdadra ; fractions : Ait Nçar et Ait Ouennès)
  • Ait Achour (Ait Merzoug, Ait Athmane, Ait Khaled)

2 - Ait Aissa (3 fractions) :

  • Ait Djaber
  • Larbaa
  • Ait Ali ou Bakhouche

3- Ait Elbordj :

  • Ait Chekroun (Chekarna)
  • Ait Chekrid (Chekarda)

4- Ait Taghzout :

  • Ait Kabrine
  • Ait Hend Chaïb

5- Icherquien  :

  • Aït Abellou
  • Aït Braham

Les centres des Béni Imloul de l'Aurès étaient l'oasis d'El Ouldja (Țaghzouț), au bord d'Ighzar n'Ait Meloul (Oued Al Arab), le village de Lamserť (M'sara) au nord, ainsi que l'ancien village grenier, Tighza Iferraj ("tighza", pluriel de "taghzout"), situé à mi-chemin entre ces deux localités et au milieu de la vaste forêt des Ait Imloul (80 000 hectares), Laqsar N'tromit (Ksar Erroumia, pour Carette-1846), plus communément connu comme Laqsar n'Ait Aissa, ancien village numide et forteresse romaine dont il ne reste actuellement que des ruines.

Une petite oasis au rivage de l'oued Mloul connue jusqu'à la fin du XIXe siècle par ce même toponyme : Mloul, a été cédée à une tribu voisine : Ait Tifourgh (tribu de djebel Chechar). Cette petite oasis porte actuellement le nom de Chebla, sur l'oued Al Arab. Chebla est considérée comme l'un des premiers centres villageois des Ait Meloul, avec El Ouldja et Lqsar N'tromit.

Après une campagne du Sultan Hafside Abdel Aziz contre les Imloul de Tozeur et leur allié Ben Muzni Emir du Zab chergui successivement, vers l'an 1381, depuis cette date, les Imloul dispersaient çà et là, la majorité d'entre eux s'installèrent dans le territoire connu dans les procès de sénatus-consulte sous le nom de Douar Ouldja-Chechar actuellement partagé entre les communes de M'Sara, El-Ouldja et Khanguet sidi nadji, on les trouve sous cette appellation (Mloul) dans les documents historiques et cartes des explorateurs ayant travaillé pour l'armée française durant les années 1837 à 1890 (Carette, Warnier, ...), ainsi que dans les rares documents turcs qui abordaient l'histoire de cette région avant l’occupation française ; mais surtout dans différents actes de propriété des terres datant de cette époque (et avant) en possession des descendants de quelques fractions mlouliennes.

Le territoire meloulien regorge de vestiges berbères témoignant de l'occupation de cette région depuis la nuit du temps, ce qui renforce la thèse que les Ait Meloul tirent leurs origines de cette région orientale des Aures, toujours considérée comme arrière base et refuge durant les périodes difficiles (guerre, famine, sécheresse).

  • qu'Ibn Khaldoun (dans des versions plus originales de son livre d'histoire des berbères et son Prolégomène), rapporte qu'après leur défaite pour la quatrième fois, au Zab (Biskra), devant le sultan Hafside à la suite d'une grande expédition, ils ont fui vers leur pays, c'est-à-dire vers le nord où se situent leurs territoires à ce jour,
  • l'élément linguistique : la langue amazighe (dialecte zénète) parlée par les Ait Imloul est de certaine richesse et originalité incroyable qu'on ne trouve pas chez les autres berbères même leurs voisins Auressiens.
  • beaucoup d’histoires et de rites préservés à ce jour, sous une forme ou une autre chez les Ait Imloul, attestant de leur présence dans cette région avant la conquête arabo- musulmane, comme : le témoignage de la capture d'Aksel (Koceila) ainsi que sa réaction et sa révolte contre Okba ibn Nafiâ, rapporté par les chroniqueurs et historiens arabes du Moyen Âge.

Jusqu'à l'indépendance de l'Algérie, les Ait Imloul de cette région sont connus par un mode de vie semi-nomade entre deux localités, selon les saisons et le type d'agriculture, entre El Ouldja (Taghzout) au sud (automne/hiver) et M'sara (Lamserť) au nord (printemps-été-début d'automne) en passant par Tighza Iferraj en aller et retour pour stocker les moissons et les récoltes dans des greniers dédiés à cet effet. Le village de Tighza Iferraj est le premier village (martyr) bombardé par l'armée française le 12 novembre 1954 durant la guerre de libération algérienne. La population d'El Ouldja fut chassée de chez elle en 1956

Les tribus voisines des Ait Imloul de l'Aurès[modifier | modifier le code]

Actuellement, la situation et la répartition des territoires des tribus auressiennes en général ne diffèrent pas de celle notifiée officiellement par les Français en 1846, à part quelques déplacements dus essentiellement aux rivalités tribales sinon à des conditions de sécheresse et de famine connues durant de longues années. Parmi les exodes rapportés, soit par l'histoire orale ou écrite de la région, nous mettons en exergue celle des Ait Berbar (Beni Berbar); Avant, ils occupaient les terres situées autour de la région de l'actuelle Chechar, ils demeurèrent entre les territoires de deux rivaux, les Nemamecha à l'est et sud-est et les Beni Amrane à l'ouest.

Sous la pression des deux voisins et de la sécheresse qui frappait à cette époque, les Ait Barbar ont été contraints de partir vers le nord pour trouver des terres du côté des Hraktas au nord de l'actuelle Ain Touila où ils sont installés à ce jour. Avant leur exode, ils étaient les alliés privilégiés des Ait Mloul, au point où il y a une fraction mloullienne qui descend directement d'un jeune guerrier qui a intégré les Imloul, ce dernier est originaire de Ait Brahem petite fraction des Beni Barbar et cette descendance s'appelle aussi Ait Brahem.

Les voisins des Ait Mloul sont :

  • les Ait Oudjana, au nord-est et à l'est
  • les Ait Baâdache, les Ouled Ali ben Flous et les Braja, à l'est
  • les Achech, Ait Tifoughekh (Ait Tifoura), au sud-est
  • les tribus du Zab de l'est (Zab Chergui): El Khedar (Souamâa, Rouabeh et Ouled Seuoud), Ouled Sakhri, au sud
  • les Serahna, les Cheurfa de Labâal et les Ouled Slimane ben Aissa, au sud-ouest
  • les Cheurfa de Kimel (Cheurfa de Sammer), à l'ouest
  • les Ait Bouslimane et les Ait Daoud, au nord
  • les Ait Saâdoun (petite fraction), au nord-ouest

Les Imloul de Tébessa[modifier | modifier le code]

Vers la fin du XVIIIe, une petite fraction de Ait Aissa (citée en haut) a émigré pour occuper la région de Bakkaria (Baccaria) dans la wilaya de Tebessa, à côté des Ouled Sidi Abid, cette dernière est formée essentiellement des Djaberis (Ouled Djaber). Ils forment actuellement plusieurs familles ou petites fractions à savoir :

  • Ait Chibba, composés des Djabri
  • Ait Bouchama, composés des Amrani, Meddour et Benmeddour
  • Ait Khemadja, composés des Salhi, Messaoudi et Sayad
  • Ait Bouguerra, composés des Zouai, Bouguerra et Zouaoui
  • Ait Abdessalem, composés des Djabri et Abdessalem

Les anciens Imloul de Bakkaria racontent toujours leur histoire d'immigration à partir de l'Aurès vers Bakkaria la fin du XVIIIe siècle, et aucun ne doute de son exactitude, ce qui écarte la thèse de leur arrivée directement de Tozeur à l'époque hafside. Cependant, malgré l'éloignement de ces derniers de leur région natale, ils restent à ce jour liés à leur famille d'origine, ils préservent jalousement leur patronyme ancestral ‘’Ouled Meloul’’. Ils sont régulièrement en contact avec leurs frères et ont à ce jour des héritages (terres) portant leurs noms dans la région de Msara et El Ouldja au cœur des Aurès. Les différentes branches mélouliennes (de Bakkaria, de Msara, de Chemora, de Litaud, d'Oum Bouagh et d'ailleurs) sont à chaque fois réunies lors des différentes occasions familiales communes.

Les Imloul d'Oum El-Bouaghi[modifier | modifier le code]

  • Ait Imloul, de Ain Zitoun (َ!)
  • Ait Imloul, de Souk-Naaman
  • Ait Imloul, d'Ain Mlila

Emirat des Béni Imloul[modifier | modifier le code]

Au temps des Hafsides, Abou l'Abbas, roi de la Tunisie, confie à un émir des Béni Imloul dont le nom est : Yahia Ibn Yemloul (Yahia n'ath Imloul) l'Emirat, dont la capitale était Tozeur. Cette principauté se prolongea sur un immense territoire, y compris le Djérid et l'Aurès oriental jusqu'à (Biskra et même le Zab) lors du début de la révolte de Yemloul[4]

Légende d'un cavalier d'Ait Imloul dit Lazreg Melloul[modifier | modifier le code]

Il s’agirait en fait d’une historiette, d’un grand amour, d’un défi social face aux tabous qui régissaient, comme un maître plus que colonialiste, les affaires de la cité, tant sur le plan affectif que relationnel.

Lazreg est originaire de la banlieue sétifienne. À proximité de Mezloug. Les Ouled Melloul. Là, vivent encore beaucoup de familles qui sont installées depuis fort longtemps à Sétif. L’on cite les Serrai. Toute l’histoire serait bâtie, selon le ouï-dire, sur une preuve d’amour incontestable.

L’adorée, l’aimée dont je ne peux citer le nom, aurait demandé à son jules (Lazreg, un homme beau, fort et riche, dit-on) qui venait, tout juste, d’acquérir une machine agricole, l’on venait de connaître les moissonneuses-batteuses, comment fonctionnait ou s’articulait ce mastodonte mécanique d’où sortait un vrombissement jamais écouté ? Il lui expliqua l’objectif et l’utilité d’un tel engin. Surprise par de telles prouesses et hâtive de voir ce grand objet faire son travail, elle supplia son doucereux amoureux de le faire passer à l’acte. Nous étions au mois de mars, l’épi n’est pas encore apparent. Le blé non plus. C’est la période de la germination. L’on n’y voyait que quelques touffes bien verdâtres.

Cette demande, pour Lazreg, ne constituait pas exclusivement un vœu émanant d’un être qu’il chérissait au plus fort souffle qui l’animait mais aussi, il pensa y trouver un plaisant ravissement face à son environnement à remporter et davantage, tous les défis. Que vaudrait en finalité le fait d’exaucer à contre nature ce que souhaitait l’amante, elle aussi toute jeune, désirée par tous y compris le hakem de la région et que cette beauté conforme aux contours du charme autochtone sétifien des Aamer arrivait à faire ravir le regard de tous ceux qui osent le porter sur cette frimousse angélique.

En ce mois de mars, en plein gel, Lazreg ordonna à ses métayers, médusés, de moissonner l’étendue de ses immenses champs. La machine grondait et commençait à tondre et faucher les quelques tiges qui sortaient à peine de la terre noire de Melloul. Les gens qui assistaient à ce spectacle inédit avaient tous la mine désarçonnée. Ils ne pouvaient comprendre ce qui aurait poussé le héros à débuter ainsi l’écriture d’une future histoire. Mythique et légendaire. Affichant altièrement un léger sourire aux bords de ses lèvres gercées par le froid, il dégustait la jubilation qui se dégageait des yeux vifs et scintillants de sa muse. Le décor qui s’offrait à sa vue venait de suppléer, en séance publique, à la preuve inégalée de l’amour qu’il avait pour elle. Seule la machine semblait intéresser la jeune fille. Elle ignorait à quel désastre avait ramené sa petite envie. L’essentiel pour lui étant de voir sa passionnée joyeuse. Ainsi serait fait, entre autres faits saillants, le tissu romanesque de cette idylle melloulienne.

Célébrités[modifier | modifier le code]

  • Ahmed Madoui dit "Ahmed L'Ours", Militant du PPA-MTLD à Tébessa (1949)
  • Daoud Ibn Imloul, grand savant de l'époque almoravide [5]
  • Yahia Ben Ymloul, Émir de Tozeur
  • Liamine Zeroual, président de la République (1995 - 1999)
  • Chaabane Ghodbane, Général major, commandant des forces navales.
  • Boulaares Bouguerra, Chef-Médecin à l'hôpital de Bekkaria, soldat de la guerre d'Algerie(FLN) à Tébessa.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères
  • Division d'algérie par tribus 1846
  • Al Mû'nis fi akhbâr Ifrlqiya wa Tunis, histoire de l'Afrique par ibn abu dinar el kairouani
  • Histoire de l'Afrique temps anciens, 1830, Ernest Mercier
  • Elbekri : description de l'Afrique septentrionale
  • L'Algérie en 1882 col. Noëllet
  • Société archéologique de Constantine, B. Wattas, 1921
  • Journal de la Société historique, 1878, Masquery_Dj. Chechar
  • Société archéologique de Constantine, Khanga, 1915
  • Bulletin archéologique - Épigraphie de Sétif
  • Histoire de l'Afrique d'el_kairouani
  • Histoire ancienne de l'Afrique du Nord - GSELL, édition de 1927

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Aït Saâda un village en plein essor - La Dépêche de Kabylie », La Dépêche de Kabylie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. leqbal Moussa : Koutama (en arabe)
  3. « Carte de l'Algérie divisée par tribus / par MM. E. Carette et Auguste Warnier ; Membres de la Commission Scientifique de l'Algérie », sur Gallica, (consulté le ).
  4. référence, voir Ibn Khaldoun
  5. « وجاج بن زلّو اللمطي », sur مغرس (consulté le ).