Verdèse

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Verdèse
Verdese
Verdèse
Vue de Verdèse.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Collectivité territoriale unique Corse
Circonscription départementale Haute-Corse
Arrondissement Corte
Intercommunalité Communauté de communes de la Castagniccia-Casinca
Maire
Mandat
Joseph Mattei.
2020-2026
Code postal 20229
Code commune 2B344
Démographie
Population
municipale
43 hab. (2021 en augmentation de 22,86 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 23′ 33″ nord, 9° 21′ 55″ est
Altitude 480 m
Min. 318 m
Max. 653 m
Superficie 1,02 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bastia
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Castagniccia
Localisation
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Verdese

Verdèse est une commune française située dans la circonscription départementale de la Haute-Corse et le territoire de la collectivité de Corse. Le village appartient à la piève d'Orezza, en Castagniccia.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Verdèse est située sur le flanc oriental du Monte San Petrone, au cœur de la Castagniccia, microrégion tirant son nom de la forêt de châtaigniers qui la couvre. Elle fait partie du « territoire de vie » Castagniccia du parc naturel régional de Corse dont elle est adhérente depuis le . Avec ses 102 ha de superficie, elle occupe une infime territoire du PNRC qui en compte 362 978 ha.

Communes limitrophes

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Verdèse est une commune de moyenne montagne, sans façade littorale. Elle se situe dans la « Corse orientale Alpine » (ou orientale) limitée au tiers nord-est de l'île, composée de terrains divers, issus d’un océan disparu appelé liguro-piémontais et de ses marges continentales[1], dans le prolongement de l'arête schisteuse du Cap Corse ou massif de la Serra, qui se poursuit avec le massif du San Petrone et se termine au sud de la Castagniccia. Dans cet ensemble, elle occupe une unité allochtone (terrains fortement déplacés)[Note 1].

Verdèse occupe, sous forme d'un triangle, la partie orientale du flanc méridional d'une ligne de crête la séparant au nord, de celle de Polveroso, depuis une borne à 655 m d'altitude, « à cheval » sur les communes de Polveroso, Verdèse et Nocario, jusqu'au ruisseau de San Pancrazio. Le cours du ruisseau de San Pancrazio délimite au sud son territoire avec celui de Piedicroce, des altitudes 301 m à 453 m. Ce territoire représente presque la totalité de la partie septentrionale (ou rive gauche) de son bassin versant. En aval de ce point « à cheval » sur Nocario, Piedicroce et Verdèse, le ruisseau de San Pancrazio prend le nom de ruisseau de Verdèse. De là, à l'ouest, la démarcation remonte vers la borne, passant à l'est de la chapelle San Pancrazio, à l'ouest de la chapelle de San Nicolao et au nord du village.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La toute petite commune a donné son nom au ruisseau de Verdèse, nom en aval du ruisseau de Mulinaccio, long de 4,9 km, qui prend sa source à la Funtana di Peteri à 1 180 m d'altitude sous la Punta Ventosa (1 421 m) et se poursuit en ruisseau de San Pancraziu[2], affluent du Fium'Alto.
Le San Pancraziu a pour principal affluent le ruisseau de San Fiumento[3] qui prend source sur la commune de Nocario sous le nom de ruisseau d'Alziccio.

Climat et végétation[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est vert, occupé aux trois quarts par des forêts dans lesquelles châtaigniers et chênes verts sont majoritaires.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Accès routiers[modifier | modifier le code]

La D 46 est la seule route permettant d'accéder au village de Verdèse. Entre le hameau d'Erbaggio (Nocario) et Verdèse, se situe l'intersection de la D 46 avec la route D 346 conduisant à Polveroso, Croce, Ficaja, La Porta, etc., communes au nord de Verdèse.

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est éloignée de toutes infrastructures ferroviaires, portuaires et aéroportuaires. Le village est distant, par route[4], de :

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Verdèse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[5],[6],[7].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bastia, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 93 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].

Panorama.

Comme dans toutes les communes de la microrégion, le village est accroché à flanc de montagne, perché sur des contreforts rocheux. Dominé par le très haut clocher de son église paroissiale baroque dont on dit que les habitants ont élevé en l'espace de 140 jours, le village est niché au pied du Monte San Petrone. Il est surplombé directement au nord-ouest par le village d'Erbaggio (Nocario) distant d'à peine 200 m « à vol d'oiseau », et par celui de Campana.

Verdèse est un village de caractère ; les maisons d'habitation sont construites autour de l'église paroissiale. Le bâti est ancien, constitué de vieilles maisons de pierres sèches centenaires aux toits de lauze[10], avec des ruelles dallées de pierres grises. Sous la mairie dont les locaux sont abrités dans un ancien presbytère restauré, les vieilles écuries transformées en salle polyvalente montrent de remarquables voûtes en pierres.

Quatre fontaines ornent le village, la plus belle possédant une pierre ronde à tourner afin d'en activer le mécanisme, una petra zuccata[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (91,8 %), zones agricoles hétérogènes (8,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 1018 les marquis de Massa arrivent en Corse, se rendent maîtres de tout le territoire et soumettent à leur autorité les Amondaschi, les Pinaschi, les Cortinchi et enfin l'île tout entière[13].

Aux XIIIe et XIVe siècles, le « Deçà des Monts », pays dans lequel la communauté se trouvait, était alors dominé par le château de Petralerata, la toute puissante famille Cortinco, l'une des plus grandes seigneuries de l'île. Le fief comptait une douzaine de castra et couvrait toute la Castagniccia et même quelques pièves situées au-delà du Tavignano.

À la mort de Guglielmo Cortinco, les fils étaient maîtres de tous les pays qu'avait possédés leur père. Trois familles cependant, qui avaient grandi dans la piève d'Orezza, à Piè della Croce, Piè d'Albertino et Castello, ne leur rendaient plus qu'une obéissance précaire.

En 1289, les Cortinchi prêteront le serment de fidélité à Luchetto d'Oria envoyé sur l'île par la République de Gênes avec le titre de Vicaire Général. En 1347, la Corse devient génoise.

Verdèse faisait partie de la pieve d'Orezza que Mgr Agostino Giustiniani, évêque de Nebbio, durant les neuf années de son second séjour dans son diocèse (1522-1531), décrivait ainsi :

« Puis vient la piève d'Orezza qui est très étendue et ne contient, pas moins de mille feux répartis en cinquante-huit villages dont les plus connus sont la Campana et Piè d'Albertino, parce que c'est là qu'habitent les chefs de parti de la piève. Il y a aussi à Orezza un couvent de Frères Mineurs. Ce pays est couvert de châtaigniers. Il n'y a pas longtemps que les habitants ont commencé à les greffer pour en améliorer les fruits, ce qui ne se pratique nulle part ailleurs dans l'île. C'est même une nécessité pour eux, car ils ne vivent guère que du produit de leurs châtaigniers. Les hommes de cette piève sont industrieux ; ils s'occupent à vendre des étoffes de laine, de lin, des chaussures, et à faire quelques autres petits négoces de ce genre. Il y a aussi parmi eux de bons soldats, comme dans les autres pays de l'île. »

— Mgr Agostino Giustiniani in Description de la Corse, traduction de Lucien Auguste Letteron in Histoire de la Corse – Tome I - 1888. p. 39

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Vers 1520 existait la pieve d'Orezza qui comptait environ 5 000 habitants. Elle avait pour lieux habités : la Campana, la Ponticagia, lo Fossato, le Bulianache, le Celle, lo Poggiolo, Nocario, Acqua Fredola, lo Zuccarello, l’Erbagio, lo Petricagio, le Verallese, Campo Rotundo, Campo Donico, Siliura, lo Pigiale, lo Pè di Oreza, Pozolo, la Casalta, Piano, lo Pèdelaciore, la Fontana, le Duchelagie, lo Satoio, Patrimonio, Pastorechia, Stazone, le Piazole, le Ghilardagie, le Francolachie, lo Pastino, Osto, le Pichiaragie, Casabuona, Marmurio, lo Pogile, Casinegri, lo Gallico, la Casanova, la Penra buona, la Parata, lo Pogio, lo Pè di Petro, Tramica, le Pogie, Rapagio, Granagiolle, l’Olmo, Carpineto, Posatoio, Brosteco, lo Colle, Carcheto, lo Sorbello, lo Castello, lo Pè di Albertino, le Maistragie. Verdese n'était pas signalé.

Au début du XVIIIe siècle la pieve d'Orezza comptait 3 826 habitants répartis dans 58 villages.

« Frà questi i principali sono Tramica, Piazale, Piè della Croce, Rapagio, Grana, Erbaggio, Parata, Querrino, Pastorechia, Fontana, Bustico, Colle, Carpineto, Verdese, Fossetto, Piè d’Opartino, Nocaria, Campodenico, Stazzona, Piè d’Orezza, Carcheto, Castello, Sorbello, Campana, e Casanova »

— Francesco Maria Accinelli in L’histoire de la Corse vue par un Génois du XVIIIe siècle - Transcription d’un manuscrit de Gênes - ADECEC Cervioni et l’Association FRANCISCORSA Bastia 1974

.

Poursuivant, Accinelli recense la population de Verdese avec celle de Fossato[Note 4] à 222 habitants.

  • 1768 - L'île passe sous administration militaire française.
  • 1789 - La Corse fait partie du royaume de France.
  • 1790 - L'île devient le département de Corse.
  • 1793 - (An II) Verdese se trouve dans l'ex pieve d'Orezza devenu le canton d'Orezza, dans le district de Corte, dans le département d'El Golo (l'actuelle Haute-Corse).
  • 1801 - Toujours dans le canton d'Orezza, la commune qui prend le nom de Verdèse, passe dans l'arrondissement de Corte.
  • 1811 - Les deux départements de l'île sont fusionnés pour le seul département de Corse.
  • 1828 - Verdèse passe dans le canton de Piedicroce.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2008 Antoine Quilghini DVD  
mars 2008 2014 Pascal Poletti    
mars 2014 2020 Francis Pomponi   Retraité de l'enseignement
2020 En cours Joseph Antoine Mattei    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16].

En 2021, la commune comptait 43 habitants[Note 5], en augmentation de 22,86 % par rapport à 2015 (Haute-Corse : +5,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
300335297299525305311319355
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
322332323317295300283241231
1906 1911 1921 1926 2004 2006 2009 2014 2019
2242091651642626363642
2021 - - - - - - - -
43--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Il n'y a pas d'école à Verdèse. L'école primaire publique la plus proche se trouve à Piedicroce, village distant de 8 km.

Santé[modifier | modifier le code]

Point de médecin à Verdèse. Le plus proche cabinet se situe à Folleli, distant de 20 km ; ceux de Ponte-Leccia se trouvent à 29 km.

Cultes[modifier | modifier le code]

Il n'existe qu'un seul lieu de culte à Verdèse. L'église paroissiale San Sebastianu relève du diocèse d'Ajaccio.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La fontaine a petra zuccata.
  • Monument aux morts
  • Les 4 fontaines du village.

Église paroissiale San Sebastianu[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale San Sebastianu d'architecture baroque, avec un haut clocher à quatre étages, est située au centre du village. L'édifice dont les portes et les bancs sont l'œuvre d'un menuisier local, renferme de très nombreuses œuvres remarquables. Leurs photographies figurent dans la base Mémoire du Ministère de la Culture[19].

Autres patrimoines religieux[modifier | modifier le code]

  • Chapelle San Niculaiu (Saint-Nicolas), en bordure de la route D 46[20].
  • Chapelle San Pancraziu (Saint-Pancrace), située près du lieu-dit Bosco al Poggio[21], en bordure de la route D 46, à 1 km au sud de la chapelle Santu Niculaiu. San Pancraziu se trouve en fait sur le territoire de Nocario[22].
  • Chapelle funéraire de la famille Giocanti. Elle renferme un autel de saint Vincent Ferrier orné d'un tableau d'autel Vierge, saint Vincent Ferrier, saint Matthieu. Plusieurs photographies de l'édifice sont dans la base Mémoire du ministère de la Culture[23].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Parc naturel régional[modifier | modifier le code]

Verdèse est une commune adhérente au parc naturel régional de Corse, dans son « territoire de vie » appelé Castagniccia[24].

ZNIEFF[modifier | modifier le code]

La commune est concernée par une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de 2e génération :

Châtaigneraies de la Petite Castagniccia

Verdèse fait partie des 43 communes concernées par la zone qui couvre une superficie totale de 10 559 ha. Cette zone s'étend sur le territoire appelé localement « la petite Castagniccia », dont 60 % sont couverts par les châtaigneraies. Elle fait l'objet de la fiche ZNIEFF 940004146 - Châtaigneraies de la Petite Castagniccia, 2e génération[25].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Village corse peint par Robert Falcucci. Vraisemblablement, le village de Verdèse (Haute-Corse). Date inconnue. Collection privée.
    Village corse peint par Robert Falcucci. Vraisemblablement, le village de Verdèse (Haute-Corse). Date inconnue. Collection privée.
    Robert Falcucci, né en 1900 à Châteauroux originaire du village par son père. Peintre officiel du service historique des armées. En 1925 : Atelier au 14 rue Borromée (Paris 15e). En 1943 : Atelier au 4 rue Georges Berger (Paris 17e). En 1970 : S’installe à Saint-Aubin-Château-Neuf (Bourgogne) après restauration d’un relais de poste à l’abandon. La ruelle est aujourd’hui « ruelle Falcucci ». Décède le dans sa maison de Saint-Aubin[26].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Lucien Auguste Letteron, Histoire de la Corse, t. I, Bastia, Imprimerie et librairie Ollagnier, coll. « Bulletin de la Société des sciences historiques & naturelles de la Corse », , 504 p. (lire en ligne)
  • Daniel Istria, Pouvoirs et fortifications dans le nord de la Corse XIeXIVe siècle, Ajaccio, éditions Alain Piazzola, , 517 p. (ISBN 2-915410-14-3)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

wikilien alternatif2

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. L’allochtone appartient essentiellement à la « zone des schistes lustrés et des ophiolites », correspond aux reliefs orientaux (Cap Corse et Castagniccia) - Centre de géologie de l’Oisans
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les ruines de Fossato, ancien lieu habité situé à environ 500 m au sud-ouest du village de Verdèse, sont encore portées sur les cartes IGN
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. [1] Découverte géologique de l'île de Beauté, Centre de géologie de l’Oisans, 2010
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de San Pancraziu (Y9311380) » (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de San Fiumento (Y9311360) » (consulté le ).
  4. ViaMichelin.fr
  5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pleyben - Châteaulin », sur insee.fr (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Notice no IVR94_992B3087ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  11. U Nuvellaghju 2009 Sant Andrea di Cotone
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. Giovanni della Grossa in Chronique, traduction de Lucien Auguste Letteron in Histoire de la Corsep. 144.
  14. ADECEC - CORSE : Eléments pour un dictionnaire des noms propres
  15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  19. Notice no IVR94_002B1103ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  20. Notice no IVR94_992B3100ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  21. Notice no IVR94_992B3075ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  22. Géoportail Limites administratives
  23. Notice no IVR94_992B1095ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  24. Le parc naturel régional de Corse sur le site de l'INPN
  25. ZNIEFF 940004146 - Châtaigneraies de la Petite Castagniccia sur le site de l’INPN..
  26. « Robert falcucci 1900 - 1989 < biographie > », sur robertfalcucci.com via Wikiwix (consulté le ).