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Avant la LNH[modifier | modifier le code]

« Nous n'éjectons pas Eddie Livingston. Jamais de la vie. Cela serait inégal et injuste. De plus, cela ne serait pas sportif. Nous démissionnons juste et nous lui souhaitons un futur heureux avec sa franchise de l'Association Nationale »

— Sam Lichtenhein à Elmer Ferguson[1].

Les premières tentatives afin de réglementer les compétitions de hockey sur glace en Amérique du Nord ont lieu à la fin des années 1880. Avant cette période, les équipes participaient à des tournois ou à des défis lancés, une pratique assez répandue au Canada à cette époque. Après la création d'une ligue à Kingston (Ontario) en 1883[2], quatre ans plus tard l'Association de hockey amateur du Canada (AHAC) est créée à Montréal. La ligue met alors en place un calendrier de rencontres entre les équipes. En 1892, Frederick Stanley décide d'offrir la Coupe Stanley comme trophée pour le vainqueur du championnat ; dans le même temps, il décide de confier la direction des décisions pour tout ce qui touche à son trophée à deux personnes de confiance qui sont alors nommées trustees : Philip Dansken Ross et le Sheriff John Sweetland[3].

Le trophée est remis pour la première fois au Club de hockey de Montréal, équipe affiliée à l'Association des athlètes amateurs de Montréal en 1983 ; par la suite le trophée est remis soit à l'équipe championne de la ligue ou à une équipe ayant remporté un défi[4]. En 1904, la première ligue professionnelle voit le jour en Amérique du Nord : la Ligue internationale de hockey, International Hockey League. La nouvelle venue se permettant de payer les joueurs, une guerre des joueurs a lieu entre les ligues canadiennes et la LIH[5]. En 1905-1906, l'Eastern Canada Amateur Hockey Association (ECAHA) est créée ; elle devient rapidement professionnelle et vient contrer la LIH qui arrête ses activités après deux saisons[6]. À la fin de l'année 1909, l'ECAHA est au centre d'une bagarre politique. En effet, les Wanderers de Montréal[Note 1] viennent d'être achetés par Patrick J. Doran, qui décide de déplacer son équipe pour la faire jouer à l'Aréna Jubilée plutôt qu'à l'Aréna de Montréal. Ce déplacement réduit le nombre de places de moitié, passant de 7 000 à 3 250 places ; ainsi, les revenus alloués par match aux équipes visiteuses sont réduits d'autant. Les propriétaires des autres équipes décident alors de dissoudre l'ECHA le Modèle:Date sport et de former l'Association canadienne de hockey[7].

De son côté, la famille O'Brien habite dans la ville de Renfrew en Ontario ; le sénateur Michael John O'Brien, propriétaire des Creamery Kings de Renfrew, se voit refuser un match pour la Coupe Stanley en 1907 puis en novembre 1909 par les trustees. John Ambrose O'Brien le fils du sénateur est envoyé à Montréal pour rencontrer les dirigeants de l'ECHA afin de plaider la cause de l'équipe de l'Ontario[7]. O'Brien a le soutien de Jimmy Gardner joueur et représentant de Doran pour les Wanderers, mais il voit ses projets s'effondrer avec la dissolution de l'ECHA[7]. Les deux hommes décident de créer leur propre organisation, l'Association nationale de hockey[8]. Après seulement quelques matchs, l'ANH absorbe l'ACH[9].

En 1912, une nouvelle organisation vient concurrencer l'ANH : l'Association de hockey de la Côte du Pacifique[10] et deux ans plus tard, la meilleure équipe de chaque ligue affronte l'autre pour le gain de la Coupe Stanley[11].

La Ligue nationale de hockey est créée le Modèle:Date sport après une rencontre entre les représentants de l'ANH à l’hôtel Windsor de Montréal[12]. Les propriétaires des Canadiens de Montréal, Wanderers de Montréal, Sénateurs d'Ottawa, Bulldogs de Québec et Arenas de Toronto décident de créer une nouvelle ligue afin d'exclure Edward J. Livingston, propriétaire des Blueshirts de Toronto, et ainsi ne pas lui permettre d'être impliqué dans leurs futures opérations de hockey[12],[13]. La LNH étant la continuité de l'ANH, ses règles sont conservées : au lieu des sept joueurs de la PCHA, six joueurs sont présents sur la glace ; ainsi le poste de rover est supprimé. Les seules passes autorisées vers l'avant sont celles ayant lieu dans la moitié de terrain de défense de l'équipe. Les gardiens n'ont toujours pas le droit de se mettre à genou pour arrêter le palet et enfin ,le calendrier est divisé en deux partie[14].

Les fondations de la ligue (1917–1942)[modifier | modifier le code]

Premières années[modifier | modifier le code]

Photo noir et blanc de Joe Hall en tenue de hockeyeur à l'extérieur d'un bâtiment.
Joe Hall, joueur anglais décédé en 1919 des suites de la pandémie de grippe espagnole.

Une des premières vedettes de la LNH est Joe Malone, auteur de 44 buts au cours de 20 matchs de la première première saison[15] dont 5 lors du premier match avec les Canadiens de Montréal lors de la première journée[16]. Après seulement six rencontres, l'Aréna de Montréal, qui héberge les Canadiens et les Wanderers, est détruite suite à un incendie ; alors que les Canadiens changent de patinoire, l'autre équipe de Montréal arrête ses activités[17].

à la fin de la deuxième saison, les Canadiens sont opposés aux Metropolitans de Seattle de la PCHA en finale de la Coupe Stanley mais la série est interrompue en raison d'un grand nombre de malades atteints de la grippe espagnole. Au cours du cinquième match, Joe Hall des Canadiens est admis à l'hôpital et meurt quelques jours plus tard ; pour la première fois de l'histoire, la Coupe Stanley n'est pas remise[18],[19].

Au début des années 1920, la LNH doit faire face à la concurrence de deux ligues : la PCHA et également la Western Canada Hockey League (WCHL)[Note 2],[20]. Par conséquence, les joueurs de hockey sont alors parmi les sportifs les ;ieux payés d'Amérique du Nord[21]. Six ans plus tard, il ne reste plus que la LNH après une fusion entre les deux autres ligues en 1924, fusion qui n'aura que retardé l'arrêt des deux autres organisations[22].

De son côté, la Ligue nationale de hockey continue à s'agrandir avec la création des Maroons de Montréal et également de sa première équipe aux États-Unis, les Bruins de Boston[23]. Au début de la saison 1926-1927 de la LNH, la ligue compte alors dix formations dont les Black Hawks de Chicago[Note 3],[23].

Howie Morenz fait ses débuts dans la LNH au début de la saison 1923-1924 de la LNH et dès cette première saison, il aide son équipe, les Canadiens, à remporter la Coupe Stanley. Les buts de l'équipe sont alors gardés par Georges Vézina[23]. Ce dernier est remplacé en 1926 par George Hainsworth âgé de 31 ans qui réalise au cours de la saison 1928-1929 de la LNH 22 blanchissages[Note 4] en 44 matchs[24].

Pour la saison suivante, la ligue introduit un changement majeur de de règles afin de favoriser le jeu offensif : elle autorise les passes en avant dans la zone offensive[Note 5],[24] ; cette nouvelle règle permet ainsi de multiplier le nombre de but par près de deux fois et demi[25]. Après seulement quelques matchs dans la saison régulière, la LNH introduit une nouvelle règle qui interdit aux joueurs d'être dans la zone défensive adverse avant le palet ; c'est alors le début du hors-jeu[24].

Tout au long des années 1920, Livingstone continue son combat judiciaire contre la LNH, allant jusqu'à déposer une plainte à Londres en Angleterre[26]. La ligue nord-américaine ne voulant pas se laisser faire revend la franchise de Toronto en 1927 à Conn Smythe qui la renomme Maple Leafs de Toronto[27]. Le 13 décembre 1933, Eddie Shore blesse Ace Bailey sur une charge ; la tête de Bailey frappe brutalement la glace[28]. Même si le joueur survit à la blessure, l'incident met fin à sa carrière[29]. En son honneur le premier Match des étoiles est organisé le Modèle:Date sport[30].

La Grande Dépression[modifier | modifier le code]

Photo de Morenz devant un but dans un chandail blanc marqué des lettres NHL.
Howie Morenz en photographie lors du premier Match des étoiles de la LNH, joué en 1934 pour Ace Bailey.

Alors que Conn Smythe arrive à construire une nouvelle patinoire, de nombreuses autres équipes connaissent des difficultés financières. Ainsi, avec l'arrêt tour à tour des Quakers de Philadelphie (créés sous le nom de Pirates de Pittsburgh en 1925) puis des Eagles de Saint-Louis (la continuité des Sénateurs d'Ottawa), la LNH ne compte plus que huit formations aux débuts de la saison 1935-1936 de la LNH[31],[32]. De leur coté, les Canadiens de Montréal évitent de justesse un déménagement à Cleveland dans l'Ohio ; ils sont juste sauvés par le rachat à trois nouveaux actionnaires de Montréal en 1935[33]. Entre temps, la vedette de l'équipe est vendue la saison précédente en compagnie de Lorne Chabot et Marty Burke et en retour de Leroy Goldsworthy, Lionel Conacher et Roger Jenkins en provenance de Chicago[34]. En septembre 1936, les partisans du Canadien voient le retour de leur idole au sein du club mais il se blesse contre Chicago le Modèle:Date sport. Il se casse la jambe en quatre morceaux et meurt à l'hôpital St-Luc de Montréal Modèle:Date sport d'une embolie pulmonaire. Le Modèle:Date sport, une cérémonie a lieu dans le Forum de Montréal et 50 000 personnes défilent sur la glace pour lui rendre un dernier hommage[35].

Avant les débuts de la saison 1938-1939 de la LNH, les Maroons sont obligés de déposer le bilan toujours en raison des finances qui ne parviennent pas à suivre[36],[37]. Lors des séries de la saison 1941-1942 de la LNH, les Maple Leafs de Toronto, favoris de la finale avec leur deuxième place au classement de la saison régulière, sont menés trois matchs à zéro lors de la finale contre les Red Wings de Détroit, cinquièmes du classement. Clarence « Happy » Day l'entraîneur de l'équipe décide de bouleverser son équipe en choisissant de mettre sur le banc ses vedettes. L'équipe entière tire avantage de cette mise à l'écart et les Maple Leafs remportent les quatre rencontres suivantes et la Coupe Stanley pour la première remontée pour une équipe menée 3-0 en finale de la Coupe[38].

Les Americans de New York sont la dernière équipe victime de la Grande Dépression et ils arrêtent leurs activités avant la saison suivante. Avec toutes ces faillites et la Seconde Guerre mondiale, la LNH ne compte plus que six équipes pour fêter son vingt-cinquième anniversaire en 1942, six équipes souvent désignées – à tort – les Six équipes originales de la LNH[Note 6]. Pendant les vingt-cinq saisons suivantes, les Canadiens de Montréal, les Maple Leafs de Toronto, les Red Wings de Détroit, les Bruins de Boston, les Rangers de New York et les Black Hawks de Chicago s'affrontent dans une ligue à six pour gagner la Coupe Stanley[38],[39].

Les Six équipes originales de la LNH (1942–1967)[modifier | modifier le code]

La période d'après-guerre[modifier | modifier le code]

Photographie de six joueurs des Canadiens de Montréal
Six joueurs des Canadiens de Montréal dont les joueurs de la Punch Line au premier rang : Maurice Richard, Elmer Lach et Toe Blake.

Le 4 février 1943, Frank Calder, le premier président de la LNH, meurt d'une crise cardiaque ; il est remplacé le lendemain par Mervyn « Red » Dutton, ancien joueur et gérant des Americans de New York[40]. Il accepte le poste avec la promesse des autres dirigeants de la ligue qu'une fois la guerre finie, une nouvelle équipe serait mise en place à Brooklyn ; Dutton ne garde finalement le poste que trois ans avant de laisser sa place à son adjoint Clarence Campbell[41]. Ce dernier occupe le poste de premier homme de la ligue jusqu'à sa retraite en 1977. Avec seulement six équipes dans le circuit les conflits entre les équipes et même entre les joueurs sont de plus en plus répandus. Une centaine de joueurs seulement jouent régulièrement pour une des formations et il est de plus en plus dur pour de nouveaux joueurs de faire leur place dans une équipe[42].

L'équipe des Canadiens des années 1940 est menée en attaque par la Punch Line composée de Hector « Toe » Blake, Elmer Lach et enfin Maurice Richard. Ils remportent une première Coupe Stanley en 1943-1944 avec Richard finissant premier buteur de la LNH lors des séries éliminatoires. Les joueurs de la Punch Line inscrivent quarante-huit points lors des séries dont douze buts par Richard[43]. Au cours de la saison suivante, Lach, Richard et Blake finissent aux trois premières places des meilleurs pointeurs de la ligue avec 80, 73 et 67 points[44]. Richard devient le premier joueur de l'histoire de la ligue à inscrire 50 buts en 50 matchs en inscrivant le cinquantième but lors du dernier match de la saison régulière contre les Bruins de Boston[45].

Au début de la saison 1947-1948 de la LNH, le premier Match des étoiles a lieu entre le champion en titre, les Maple Leafs, et une sélection des meilleurs joueurs des autres équipes[46]. Dans le même temps, la LNH crée une caisse de retraite pour les anciens joueurs ; les bénéfices du match de gala sont alors reversés à cette caisse[47].

Le 18 décembre 1954, Richard devient le premier joueur de l'histoire de la LNH à dépasser la marque des 400 buts en carrière[48]. Il fait également parler de lui à la fin de la saison étant à la source de ce qui sera connu par la suite sous le nom d'Émeute Maurice Richard. Le 13 mars 1955 à Boston, Richard reçoit un coup au visage par Hal Laycoe des Bruins de Boston et les deux joueurs en viennent aux mains. Le juge de ligne, Cliff Thompson, tente à trois reprises de maîtriser Richard, tandis que son adversaire continue à le frapper. À la troisième tentative, Richard se retourne et frappe au visage Thompson[49]. Quelques jours plus tard, Campbell suspend le joueur des Canadiens pour le reste de la saison, trois parties, mais également pour toute la durée des séries éliminatoires[49]. De nombreux Québécois sont alors persuadés que le joueur vedette est puni plus sévèrement parce qu'il est un canadien-français jugé par un arrogant Lord anglais[49]. Le match suivant du calendrier des Canadiens a lieu le Modèle:Date sport au Forum de Montréal contre les Red Wings et malgré les recommandations de la police et du maire de Montréal, Campbell assiste à la rencontre[48],[50]. Les spectateurs du match jettent tout ce qu'ils peuvent en direction de Campbell. Le président est agressé par des mécontents et finalement une bombe artisanale explose sur la glace forçant l'évacuation de la salle[48]. L'émeute explose dans le Forum puis se propage dans les rues de la ville[48]. Les dégâts de l'émeute s'élèvent à plus de 100 000 dollars alors que les environs de la patinoire sont saccagés et que six heures sont nécessaires à la police pour rétablir le calme. La partie est concédée aux Red Wings par la marque de 4 à 1 après une période de jeu ; les joueurs de Détroit remportent également par la suite la Coupe Stanley en battant Montréal en finale et en sept rencontres[48]>.

Le calme ne revient qu'après une allocution radiophonique de Maurice Richard le soir du 18 mars[48]. Quelques jours plus tard, le journaliste québécois André Laurendeau signe dans Le Devoir un texte où il place les événements de la dernière semaine dans un contexte qui dépasse largement le sport :

« Or, voici surgir M. Campbell pour arrêter cet élan. On prive les Canadiens français de Maurice Richard. On brise l'élan de Maurice Richard qui allait établir plus clairement sa supériorité. Et cet « on » parle anglais, cet « on » décide en vitesse contre le héros, provoque, excite. Alors il va voir. On est soudain fatigué d'avoir toujours eu des maîtres, d'avoir longtemps plié l'échine. M. Campbell va voir. On n'a pas tous les jours le mauvais sort entre les mains ; on ne peut pas tous les jours tordre le cou à la malchance… »

— André Laurendeau, Le Devoir, 21 mars 1955[51]

Le 20 mars 1960, Richard inscrit son dix-neuvième but de la saison lors d'une défaite 3-1 contre Toronto[52] ; il s'agit alors de son 544e et dernier but dans la LNH au cours de la saison régulière[53]. Comme depuis trois saisons, le club de Montréal termine à la première place de la LNH[54] ; seulement huit rencontres sont nécessaires aux joueurs des Canadiens pour mettre la main sur une douzième Coupe Stanley, la huitième et dernière pour le capitaine Richard qui joue l'intégralité des rencontres de son équipe[55],[56].

Les années 1950 sont pleines de changement : en 1952, alors que seulement 10 % des Canadiens possèdent une télévision personnelle, la Société Radio-Canada diffuse les premières rencontres de hockey à la télévision[57]. Ainsi, le 1er novembre 1952, la fameuses émission de télévision, Hockey Night in Canada, est diffusée pour la première fois avec Foster Hewitt commentant une rencontre entre Toronto et Boston dans le Maple Leaf Gardens. Très vite, l'émission devient la plus regardée du Canada[58] alors que le président de la LNH craint que la diffusion de matchs à la télévision fasse chuter la fréquentation des patinoires[57]. Cinq ans plus tard, le hockey sur glace s'invite sur les postes de télévision des États-Unis via Columbia Broadcasting System[58]. Depuis quelques années, il existe dans la LNH un comité restreint chargé du régime de retraites des joueurs mis en place et contrôlé par le commissaire de la LNH, Clarence Campbell[59]. Ted Lindsay et Doug Harvey en font partie mais n'y ont qu'un rôle modeste. Souhaitant mieux contrôler leurs fonds de retraites, ils annoncent en février 1957 la création d'une association[60]. Cette dernière se voit rapidement contrer par les propriétaires des franchises qui punissent les joueurs les plus impliqués en les faisant changer d'équipe[61].

Un autre changement majeur a lieu le 8 janvier 1958 quand Willie O'Ree devient le premier joueur noir professionnel à participer à une rencontre de la LNH ; il aide alors son équipe, les Bruins de Boston à l'emporter sur les Canadiens sur la marque de 3-0[62]. L'année suivante, Jacques Plante devient le premier gardien de but après Clint Benedict, trente ans plus tôt, à porter un masque afin de se protéger le visage[63].

Dynasties[modifier | modifier le code]

Photographie en noir et blanc d'un joueur de hockey portant un trophée dans ses bras
Syl Apps, avec la Coupe Stanley dans les années 1940

La période des Six équipes originale voit la succession de plusieurs dynasties : les Maples remportent ainsi cinq Coupes Stanley entre 1944-1945 et 1950-1951. Lors des séries éliminatoires de la Coupe Stanley 1951, les Maple Leafs battent en finale les Canadiens en quatre matchs à un, toutes les parties se décidant en prolongation pour la première fois de l'histoire[64]. Dans le même temps et à partir de la saison 1948-1949, les Red Wings remportent 7 titres consécutifs de meilleure équipe de la saison régulière ainsi que 4 Coupes Stabley[65]. Les finales des séries de 1954, 1955 et 1956 oppose à chaque fois les deux mêmes équipes : les Red Wings contre les Canadiens avec les deux premières Coupes pour les joueurs de Détroit. Montréal s'abroge le trophée en 1956, le premier d'une série de 5 Coupes consécutives[66]. La période des six équipes originales prend fin avec une finale entre Canadiens et Maple Leafs, ces derniers mettant la main sur une quatrième Coupe Stanley entre 1962 et 1967[67]

1967–1992: Expansion era[modifier | modifier le code]

Expansion years[modifier | modifier le code]

In 1963, Rangers governor William Jennings introduced to his peers the idea of expanding the league to the American West Coast by adding two new teams for the 1964–65 season. While the governors did not agree to the proposal, the topic of expansion came up every time the owners met from then on out.[68] In 1965, it was decided to expand by six teams, doubling the size of the NHL.[69] In February 1966, the governors met and decided to award franchises to Los Angeles, Minnesota, Philadelphia, Pittsburgh, Oakland and St. Louis. The league rejected bids from Baltimore, Buffalo and Vancouver.[70] In Canada, there was widespread outrage over the denial of an expansion team to Vancouver in 1967;[71] three years later, the NHL awarded a franchise to Vancouver, which formerly played in the Western Hockey League, for the 1970–71 season, along with the Buffalo Sabres[72].

On January 13, 1968, North Stars' rookie Bill Masterton became the first, and to date, only player to die as a result of injuries suffered during an NHL game.[73] Early in a game against Oakland, Masterton was checked hard by two players causing him to flip over backwards and land on his head.[74] Masterton was rushed to hospital with massive head injuries, and died there two days later.[75] The National Hockey League Writers Association presented the league with the Bill Masterton Memorial Trophy later in the season.[76] Following Masterton's death, players slowly began wearing helmets, and starting in the 1979–80 season, the league mandated all players entering the league wear them[73].

In the 1968–69 season, third-year defenceman Bobby Orr scored 21 goals to set an NHL record for goals by a defenceman en route to winning his first of eight consecutive Norris Trophies as the league's top defenceman.[77] At the same time, Orr's teammate, Phil Esposito, became the first player in league history to score 100 points in a season, finishing with 126 points.[78] A gifted scorer, Orr revolutionized defencemen's impact on the offensive part of the game, as blue-liners began to be judged on how well they created goals in addition to how well they prevented them.[79] Orr twice won the Art Ross Trophy as the NHL's leading scorer, the only defenceman in NHL history to do so.[80] Chronic knee problems plagued Orr throughout his career; he played 12 seasons in the NHL before injuries forced his retirement in 1978. Orr finished with 270 goals and 915 points in 657 games, and he won the Hart Memorial Trophy as league Most Valuable Player thrice[77].

The 1970s were associated with aggressive, and often violent play. Known as the "Broad Street Bullies", the Philadelphia Flyers are the most famous example of this mindset.[81] The Flyers established league records for penalty minutes—Dave "the Hammer" Schultz' total of 472 in 1974–75 remains a league record.[82][83] They captured the 1974 Stanley Cup, becoming the first expansion team to win the league championship[81].

World Hockey Association[modifier | modifier le code]

The Colorado Rockies battle the Atlanta Flames in 1978. These teams are now the New Jersey Devils and Calgary Flames respectively.

In 1972, the NHL faced competition from the newly formed World Hockey Association (WHA). The WHA lured many players away from the NHL.[84] The WHA's biggest coup was to lure Bobby Hull from the Black Hawks to play for the Winnipeg Jets. He signed a $2.75 million contact, and lent instant credibility to the new league.[85][85] After Hull signed, several other players quickly followed suit and the NHL suddenly found itself in a war for talent.[86] By the time the 1972–73 WHA season began, 67 players had switched from the NHL to the WHA.[87] The NHL also found itself competing with the WHA for markets. Initially, the league had no intention to expand past 14 teams, but the threat the WHA represented caused the league to change its plans. The league hastily announced the creation of the New York Islanders and Atlanta Flames as 1972 expansion teams.[88] Following the 1972–73 season, the NHL announced it was further expanding to 18-teams for the 1974–75 season, adding the Kansas City Scouts and Washington Capitals.[89] In just eight years, the NHL had tripled in size to 18 teams. By 1976, both leagues were dealing with serious financial problems. Talk of a merger between the NHL and the WHA was growing.[90] In 1976, for the first time in four decades, the NHL approved franchise relocations; the Scouts moved after just two years in Kansas City to Denver to become the Colorado Rockies, while the California Golden Seals became the Cleveland Barons.[90] Two years later, after failed overtures about merging the Barons with Washington and Vancouver, the Barons merged with the Minnesota North Stars, reducing the NHL to 17 teams for 1978–79[91].

The move towards a merger picked up in 1977 when John Ziegler succeeded Clarence Campbell as NHL president.[92] The WHA folded following the 1978–79 season, while the Edmonton Oilers, Hartford Whalers, Quebec Nordiques and Winnipeg Jets joined the NHL as expansion teams, which brought the league up to 21 teams, a constant until 1991.[92] The merger brought Gordie Howe back to the NHL for one final season in 1979–80, during which he brought his NHL career total to 801 goals and 1,850 points.[93] It was also the last season for the Atlanta Flames. The team averaged only 9,800 fans in attendance and lost over $2 million.[94] They were sold for a record $16 million, and relocated north to become the Calgary Flames in 1980–81.[95] Two years later, the Rockies were sold for $30 million, and left Denver to become the New Jersey Devils for the 1982–83 season[96].

More dynasties[modifier | modifier le code]

Une statue de Wayne Gretzky en train de soulever la Coupe Stanley devant la patinoire du Rexall Place.

Bien que la ligue est étendue de 6 à 21 équipes, les dynasties continuent de prédominer dans la LNH. Les Canadiens ont gagné quatre Coupes Stanley consécutives à partir de la saison 1975-1976[97]. De 1980 à 1983, les Islanders de New York remportent quatre Coupes Stanley consécutives[98]. Au cours de ces saisons, les Islanders ont dominé la saison regulière ainsi que les séries éliminatoires et sont menés par Billy Smith, Mike Bossy, Denis Potvin et Bryan Trottier[99]. En 1981, Bossy devient le deuxième joueur de l'histoire de la LNH à marquer 50 buts en 50 matchs après Maurice Richard en 1945[98].

En 1982-1983, les Oilers d'Edmonton remportent le championnat de la saison regulière. Les Oilers sont menés par Wayne Gretzky, qui a choisi de rester avec les Oilers lorsqu'ils ont rejoint la LNH en 1979. Gretzky a marqué 137 points en 1979-19890 et remporté le premier trophée Hart de sa carrière ; il en a remporté huit autres au cours de sa carrière[100]. Les saisons suivantes, Gretzky a établi plusieurs records de la ligue, dont le plus grand nombre de buts sur une saison avec 92 en 1981-1982, le plus grand nombre d'aides avec 163 en 1985-1986 et le plus grand nombre de points avec 215, également en 1985-1986[101]. Il devient également le joueur le plus rapide à avoir marqué 50 buts, réalisant la marque en 39 matchs[102]. Les Islanders et les Oilers se rencontrent en finale en 1983 et l'équipe de New York bat les Oilers pour mettre la main sur leur quatrième et dernière Coupe Stanley[103]. Les séries suivante, les deux équipe se retrouvent de nouveau en finale. Les Oilers réussisent leur revanche et remportent la finale en cinq matchs, marquant le début d'une autre dynastie[104].

Menés par Gretzky et Mark Messier, les Oilers remportent cinq fois la Coupe Stanley entre 1984 et 1990[105]. Le 9 août 1988, le propriétaire de l'équipe, Peter Pocklington, connaît des difficultés financières et échange Gretzky aux Kings de Los Angeles[106]. L'échange de Gretzky aux Kings permet de populariser le hockey aux États-Unis[107]. Sous le chandail de LA, le numéro 99 brise le record de Gordie Howe pour devenir le meilleur pointeur de l'histoire de la ligue[108].

Mario Lemieux mène les Penguins à la Coupe Stanley en 1991 et en 1992. Il remporte six fois le trophée Art Ross en tant que meilleur pointeur de la ligue et marque 199 points lors de la saison 1988-1989, devenant le deuxième meilleur pointeur sur une saison derrière Gretzky. Sa carrière est toutefois perturbée par des problèmes de santé, dont notamment la maladie de Hodgkin en 1993, et prend sa retraite en 1997[109]. Il revient finalement au jeu en 2000 et prend définitivement sa retraite en 2006 avec 1 723 points, soit le huitième plus haut total dans l'histoire de la ligue[110],[111].

Fall of the Iron Curtain[modifier | modifier le code]

Alexander Mogilny, pictured in 2006, was among the first Soviets to play in the NHL in 1989.

The NHL became first involved in international play in the mid-1970s, starting with the Summit Series in 1972 which pitted the top Canadian players of the NHL against the top players in the Soviet Union. With the eight-game series tied at three wins apiece and a tie, Paul Henderson scooped up a rebound and put it past Soviet goaltender Vladislav Tretiak with 34 seconds left in the eighth and final game to score the series-winning goal[112].

While European-born players were a part of the NHL since its founding, it was still rare to see them in the NHL until 1980, although the WHA employed a number of them.[113] Borje Salming was the first European star in the NHL and Finns Jari Kurri and Esa Tikkanen helped lead the Oilers dynasty of the 1980s.[114] The WHA opened the door, and players slowly joined the NHL, but those behind the Iron Curtain were restricted from following suit. In 1980, Peter Stastny, his wife, and his brother Anton secretly fled Czechoslovakia with the aid of Nordiques owner Marcel Aubut. The Stastnys' defection made international headlines, and contributed to the first wave of Europeans' entrance into the NHL.[113] Hoping that they would one day be permitted to play in the NHL, teams drafted Soviet players in the 1980s, 27 in all by the 1988 draft;[115] however, defection was the only way such players could play in the NHL.[116] Shortly before the end of the 1988–89 regular season, Flames general manager Cliff Fletcher announced that he had reached an agreement with Soviet authorities that allowed Sergei Pryakhin to play in North America. It was the first time a member of the Soviet national team was permitted to leave the Soviet Union.[117] Shortly after, Soviet players began to flood into the NHL. Teams anticipated that there would be an influx of Soviet players in the 1990s, as 18 Soviets were selected in the 1989 NHL Entry Draft[115].

1992–present: Modern era[modifier | modifier le code]

Southward expansion (1992-2000)[modifier | modifier le code]

Gary Bettman, pictured in 2008, joined the NHL as its first commissioner in 1993.

The 21-team era ended in 1990, when the league revealed ambitious plans to double league revenues from $400 million within a decade and bring the NHL to 28 franchises during that period.[118] The NHL quickly announced three new teams: The San Jose Sharks, who began play in the 1991–92 season, and the Ottawa Senators and Tampa Bay Lightning, who followed a year later.[119] The Lightning made NHL history when goaltender Manon Rheaume played a period of an exhibition game, September 23, 1992. In doing so, Rheaume became the first woman to play in an NHL game.[120] One year later, the Mighty Ducks of Anaheim and Florida Panthers began play as the NHL's 25th and 26th franchises respectively. The two new franchises were granted as part of the NHL's attempts at regaining a network television presence by expanding throughout the American south. The NHL's southward push continued in 1993 as the Minnesota North Stars moved to Dallas, Texas to become the Dallas Stars[121].

In 1994, the players were locked out by the owners because of a lack of a Collective Bargaining Agreement (CBA). The 1994–95 NHL lockout lasted 104 days and resulted in the season's being shortened from a planned 84 games to 48.[122] The owners insisted on a salary cap, changes to free agency and arbitration in the hopes of limiting escalating salaries, the union instead proposed a luxury tax system.[122] Just as the entire season seemed to be lost, an 11th-hour deal was agreed on.[123] The owners failed to achieve a full salary cap[122] but the deal was initially hailed as a win for the owners.[124] The deal was not enough to save two teams in Canada's smallest NHL markets. The revenue disparity between large and small market teams, exacerbated by the falling value of the Canadian Dollar, forced the Quebec Nordiques to move to Denver and become the Colorado Avalanche in 1995; the Winnipeg Jets relocated to Phoenix, Arizona, becoming the Coyotes, the next year.[125] The Hartford Whalers followed, becoming the Carolina Hurricanes in 1997.[126] The NHL continued its expansion into cities in the Southern United States. In 1998, the Nashville Predators joined the league, followed by the Atlanta Thrashers the following year.[126] To further market their players, the NHL decided to have its players play in the Winter Olympics, starting in 1998, at the Nagano Games.[127] In 2000, the league added two franchises, boosting the total number to 30. The NHL returned to Minnesota with the Minnesota Wild and added the Columbus Blue Jackets in Columbus, Ohio[126].

2004–05 lockout[modifier | modifier le code]

By 2004, the owners were claiming that player salaries had grown far faster than revenues, and that the league as a whole lost over US$300 million in 2002–03.[128] As a result, on September 15, 2004 Gary Bettman announced that the owners again locked the players out before the start of the 2004–05 season.[129] On February 16, 2005, Bettman announced the cancellation of the entire season.[130] As with the 1994–95 lockout, the owners were again demanding a salary cap, which the players were unwilling to consider until the season was on the verge of being lost.[129] The season's cancellation led to a revolt within the union. NHLPA president Trevor Linden and senior director Ted Saskin took charge of negotiations from executive director Bob Goodenow.[131] By early July, the two sides had agreed to a new collective bargaining agreement.[129] The deal featured a hard salary cap, linked to a fixed percentage of league revenues and a 24% rollback on salaries[132].

21st century[modifier | modifier le code]

Arena setup at Ralph Wilson Stadium in Buffalo for the 2008 Winter Classic

Dans le but de réduire le nombre de matchs nuls lors des saisons régulières, la LNH décide, à partir de la saison 1999-2000, sur tous les matchs ayant terminé avec une égalité après trois tiers-temps, que les deux équipes gagnent un point et l'équipe qui remporte la période de prolongation remporte un deuxième point[133].

Les Oilers d'Edmonton accueillent le 22 novembre 2003 le premier match de saison regulière en plein air de l'histoire de la LNH, la Classique Héritage. Le match contre les Canadiens a eu lieu au Commonwealth Stadium et 57 167 personnes sont venus assister au match[134]. À partir de la saison 2005-2006, la LNH décide d'abolir les matchs nuls et d'introduire les tirs de fusillade pour départager tous les matchs de la saison regulière où l'égalité persiste toujours après cinq minutes de prolongation[135]. Les tirs de fusillade sont un des nombreux changements de règlements faits en 2005, as the league attempted to open the game up after the lockout[136].

One of the most controversial changes was the league's zero-tolerance policy on obstruction penalties. The league hoped that the game could be opened up if it cracked down on "clutching and grabbing".[136] The tighter regulations have met with numerous complaints about the legitimacy of some calls,[137] that players are diving to draw penalties,[138] and that officials are not calling enough penalties.[139] The changes initially led to a sharp increase in scoring. Teams combined to score 6.1 goals per game in 2005–06, more than a full goal per game higher than in the 2003–04 season. This represented the highest increase in offence since 1929–30.[136] However, scoring has rapidly declined since, approaching pre-lockout totals in 2007–08[140].

La saison 2005-2006 voit deux recrues, Aleksandr Ovetchkine et Sidney Crosby, respectivement premiers choix du repêchage de 2004 et de 2005, faire leurs débuts dans la LNH. C'est la première fois que deux recrues réalisent 100 points sur la même saison. Chacun de ces deux jours ont remporté les trophée Art Ross et Hart.

Le succès de la Classique Héritage en 2003 mène la LNH à réaliser d'autres matchs à l'extérieur. Les Sabres ont accueillis la Classique hivernale de la LNH 2008 lors du Nouvel an 2008 en jouant contre les Penguins dans une foule de 71 217 personnes au Ralph Wilson Stadium pour voir les Penguins remporter le match 2-1 en fusillade[141]. La seconde Classique hivernale se déroule au Nouvel an 2009 opposant les Blackhawks aux Red Wings au Wrigley Field à Chicago[142].

Lors de la saison 2005-2006, les recrues Aleksandr Ovetchkine et Sidney Crosby débutent leur carrière dans la LNH. À leurs trois premières saisons, ils ont remporté chacun les trophées Art Ross et Hart ; Crosby l'a remporté en 2007 tandis qu'Ovetchkine l'a remporté en 2008.

Deux équipes connaissent des problèmes financiers. Les Coyotes de Phoenix sont déclarés en faillite en mai 2009. La ligue prend le contrôle de l'équipe plus tard dans l'année afin de stabiliser les activités de l'équipe, en espérant revendre la franchise à un nouveau propriétaire qui voudrait garder l'équipe en Arizona.[143],[144]. Les difficultés financières ont eu raison des Thrashers d'Atlanta qui ont été vendus à la compagnie True North Sports and Entertainment en 2011, qui a relocalisé l'équipe à Winnipeg, a stark reversal of the league's Southward expansion more than a decade earlier.

La ligue entre encore une fois dans un lock-out pour la saison 2012-2013, annulant les 526 premiers matchs de la saison, soit environ 43% de la saison, jusqu'au 30 décembre 2012. Le 6 janvier 2013, alors que les négociations ont duré une partie de la nuit[145], RDS annonce qu'un accord aurait été trouvé et le lock-out levé[146] ce qui permettra le début d'une saison réduite. Cette information est officiellement annoncée peu après par la LNH[147]. La saison débute officiellement le 19 janvier 2013 pour un calendrier de 48 rencontres[148].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le mot anglais wanderer veut dire vagabond en français. L’équipe était ainsi nommée car elle avait été formée des joueurs mécontents qui avaient quitté leur équipe, les Victorias de Montréal, ou encore l’Association athlétique amateur de Montréal.
  2. La Western Canada Hockey League est une ligue professionnelle ayant existé entre 1921 et 1926 et ne doit pas être confondue avec la ligue junior de la Ligue canadienne de hockey, la Ligue de hockey de l'Ouest.
  3. Écrit « Black Hawks » en deux mots séparés depuis les débuts de la franchise, le nom est officiellement modifié « Blackhawks » lors de l'été 1986.
  4. Un gardien de but effectue un « blanchissage » quand il réussit à ne concéder aucun but durant tout le match. Il faut également qu'il soit le seul gardien de l'équipe à avoir joué.
  5. Auparavant, les passes n'étaient autorisées que dans les zones défensives et neutres.
  6. Le terme « Six équipes originales de la LNH » est cependant trompeur puisque les équipes originelles lors de la fondation de la LNH en 1917 étaient en réalité les Canadiens de Montréal, les Arenas de Toronto, les Sénateurs d'Ottawa et les Wanderers de Montréal

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Pour en savoir plus[modifier | modifier le code]