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Utilisateur:Jofurei/Brouillon

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Distribution

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Étant séparé du reste du groupe aegarus, de même qu'occupant un espace fragmenté, elles se répartissent dans la chaîne du Grand Caucase, plus spécifiquement dans les gorges de l'Argoun en Tchétchénie, dans les bassins versants de l'Andi-Koïssou et de l'Avar-Koïssou au Daghestan et aux sources de la rivière Jurmut dans la région de Touchétie ; ainsi que dans la chaîne du Petit Caucase (ou Caucase mineur), entre l'Arménie, l'Azerbaïdjan et l'Iran, se répartissant entre la région du Karabagh, le massif de Zanguezour et au nord-ouest de l'Elbourz.

Metapsychique et TCI

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https://diacritik.com/2021/11/29/philippe-baudouin-un-sceptique-en-quete-detrangete/

Une partie de l'engouement de la classe ouvrière pour l'occulte remonterait au 18è siècle (école mystique de Lyon[1])

Dayt ː https://www.lexpress.fr/informations/spiritisme-et-sorcellerie_670259.html

Philibert (1837-1894) Auteur du texte Burlet, Du spiritisme considéré comme cause d'aliénation mentale / par M. Burlet,..., (lire en ligne)

https://histoiresdecalees.com/visites-guidees/58-esprit-es-tu-la-magnetiseurs-et-spirites-a-lyon?limitstart=0

https://jejouemot.fr/creche-spirite-lyon/

https://www.linflux.com/lyon-et-region/lesoterisme-social-a-lyon/

https://www.petit-bulletin.fr/lyon/agenda-123432-Le+Spiritisme++sa+litterature+et+ses+auteurs.html

https://bibulyon.hypotheses.org/15194

https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/rhone/lyon/magique-une-exposition-ensorcelante-et-envoutante-au-musee-des-confluences-de-lyon-2534192.html

https://www.fykmag.com/lyon-musee-des-confluences-magique-entre-visible-et-invisible-entre-nature-et-culture/


Honorer l'incertain : La science positive du XIXe enfante le spiritisme / Paying tribute to uncertainty : 19th century empirical science and spiritism

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https://www.persee.fr/doc/rhs_0151-4105_2004_num_57_1_2203

*

  • Le retour des esprits, ou la naissance du spiritisme sous le Second Empire

https://www.cairn.info/revue-d-histoire-moderne-et-contemporaine-2007-2-page-74.htm?contenu=article#re48no48



https://journals.openedition.org/rh19/4485

Spiritisme à Bordeaux

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https://www.sudouest.fr/gironde/begles/esprit-es-tu-la-8703310.php

https://www.researchgate.net/publication/352447806_Historical_Views_of_Spiritism_and_Mediumship_in_Spain_1880-1930_Ciencia_y_Espiritismo_en_Espana_by_Andrea_Graus

Les directeurs de publication

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de 1858 à 1869 ː Allan Kardec.

de 1869 à 1871 ː A. Desliens.

de 1871 à 1919 ː Pierre-Gaëtan Leymarie.

de 18 à 19 ː Paul Leymarie.

de 1920 à avril 1931 ː Jean Meyer.

de 1931 à 1971 ː Hubert Forestier.

de 1971 à 1976 ː André Dumas.

de 1989 à 2009 ː Roger Pérez.

de 20XX à 20XX ː secrétaire du CSI.

de 2010 à 2019 ː Edwin Bravo (secrétaire général du CSI).

depuis 2019 ː Jussara Korngold (secrétaire général du CSI).

  1. « C'est quoi "l'école mystique de Lyon" ? », sur www.guichetdusavoir.org, (consulté le )

https://www.crbbm.org/media/JEAN_BAPTISTE%20ROUSTRAIN,%20APOTRE%20DU%20SPIRITISME.pdf


Suite faisant la promotion d'un spiritisme qualifié de « laïc ».

Le Conseil Spirite International, créé en 1992, représente la branche « religieuse » du spiritisme.


Contributeur des « sciences psychiques »

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L'ouvrage collectif, Des savants face à l’occulte : 1870-1940, paru en 2002, explique en détail cet aspect de ses travaux, commun pour le dernier quart du XIXe siècle.

En 1891, il cofonde avec Xavier Dariex les Annales des sciences psychiques, avec l'ambition d'étudier le spiritisme sur le modèle de la Society for Psychical Research. Le comité de rédaction est composé de célèbres spirites européens, tels Camille Flammarion, Sir William Crookes, Cesare Lombroso, Marcel Mangin, Joseph Maxwell, Enrico Morselli, Julian Ochorowicz, Francesco Porro (it), Albert de Rochas, Albert von Schrenck Notzing[1].

Le cas Eusapia

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Bien qu'il ait ri aux séances de lévitations de Daniel Dunglas Home[2], sa rencontre avec Eusapia Palladino à Milan en 1892 constitue le moment où il en vient à vouloir étudier sérieusement les phénomènes physiques de la médiumnité. C'est d'ailleurs lui qui avec A. de Rochas la fait connaître en France. Ainsi, c'est au domicile de C. Flammarion, que les trois hommes procédent à une série d'expérimentations, c'est également ce dernier qui la prend en flagrant délit de tricherie[3]. Bien qu'aux côtés de C. Flammarion, ses convictions spirites sont clairement affichées, il souhaite distinguer nettement ses recherches psychiques de ses croyances spirites. Il dit, « je voudrais garder une position spéciale – celle qui répond à mon état d’âme – et qui est quelque peu ambiguë, se fondant d’une part sur la certitude que j’ai, et d’autre part sur l’invraisemblance des choses ».

Pourtant, près de la moitié des contrôleurs qui contrôlent les séances avec Eusapia sont d'éminents scientifiques, comprenant d’Arsonval, Branly, Pierre et Marie Curie ainsi que leur collaborateur André Debierne, Paul Langevin, Jean Perrin, Henri Chrétien, Augustin Charpentier (en), le comte de Gramont et Gilbert Ballet. Parmi les contrôleurs figurent également Bergson et un membre de la Society for Psychical Research, Everard Feilding (en), qui avait déjà examiné Eusapia, ainsi que quelques membres de la noblesse parisienne[4].

Les rapports d'expériences très détaillées, sont rédigés par Jules Courtier. Outre une trentaine de photographies, leur plan général des recherches comporte un riche dispositif : « balance enregistreuse, dynamographe, signaux électriques, métronome, boussole, électromètre, [...] photographie, le milieu physique contrôlé en continu par la pression, la température, de même que l’état hygrométrique, l’électricité atmosphérique, et même les champs électrique ou magnétique [...]. Le « sujet » lui-même – le terme « médium » n’est jamais utilisé – est étudié du point de vue psycho-physiologique : circulation, pression sanguine, potentiel électrique, champ visuel, sensibilité cutanée, etc. »[5]. Grâce à un tel dispositif, certaines fraudes finissent par être caractérisées, d'autres non.

Deux autres médiums à ectoplasme retiendront son attention au cours de sa carrière, dont Éva Carrière en 1922 et Jean Guzik en 1923.

L'épisode de la Villa Carmen

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Lorsqu'il assiste une première fois aux séances de spiritisme chez le général Noël, à Alger, en 1903, il n'est pas convaincu par ce qu'il voit. En sa qualité de président de la Society for Psychical Research, il est invité une seconde fois à assister aux séances, du 11 août au 3 septembre 1905, aux côtés du spirite Gabriel Delanne.

En novembre 1905, il authentifie les comptes-rendus de leurs séances communes dans les Annales des sciences psychiques, accompagné de tirages photo présentées comme étant la matérialisation de l'Esprit Bien-Bôa à des fins d'objectivation du phénomène[6].

Les critiques ne manquent pas. On reconnaît tout à la fois un mannequin manipulé par des complices et un des employés de la villa déjà surpris à taper contre les murs. Le Dr Hyppolyte Rouby accumule les preuves et les aveus de supercherie par les médiums, dont Marthe Béraud[7].

Les participants, sont convaincus par ce qu'ils ont vus.

Traité de métapsychique

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Après la Première Guerre Mondial, Richet soutient et cherche à soutenir que le somnambulisme lucide est sujet à caution, exceptionnel et qu'il faut se tourner vers la métapsychique. Ce tournant transparaît dans la lecture du cas qu'il fait de Léonie dans Mémoires[8]. En 1919, il cofonde avec Jean Meyer l'Institut Métapsychique International.

Dans son Traité de métapsychique, paru en 1922, Richet continue d'y exposer des « faits ». Il écrit clairement se démarquer de la magie, de la théosophie, et même nettement du spiritisme qu'il désigne comme « ennemi de la science », sans pour autant renoncer à étudier les phénomènes physiques produits par les médiums, dénonçant l'amalgame faits entre spiritisme et métapsychique, niant être spirite dans les années 1920[9].

Deux autres médiums à ectoplasme retiendront son attention, Eva Carrière, qu'il étudie avec l'assistance du physicien anglais Oliver Lodge[10] et de Camille Flammarion[11]. Richet et elle se connaissent bien puisque E. Carrière (de son vrai nom, Marthe Béraud) était l'une des médiums de la villa Carmen. Dans son Traité, il explique avoir mené avec elle des expériences d’« embryogenèse ectoplasmique »[12]. Entre novembre 1922 et mai 1923, à l'IMI, il étudie les capacités du médium Jean Cuzic aux côtés de Gustave Geley aux côtés de qui il signe le « Manifeste des trente-quatre » publié dans un chapitre de L'ectoplasmie et la clairvoyance[13].

Après publication de son Traité, divers scandales révélés par l'enquête de Paul Heuzé finit d'entamer la crédibilité que la métapsychique pouvait encore avoir auprès du publique[12].

Christine Blondel et Bernadette Bensaude-Vincent, Des savants face à l’occulte: 1870-1940, Paris, La Découverte, coll. « Sciences et société », (ISBN 978-2-7071-3616-9, DOI 10.3917/dec.bensa.2002.01 Accès payant)

  1. Blondel et Bensaude-Vincent 2002, p. 111
  2. Blondel et Bensaude-Vincent 2002, p. 147
  3. Blondel et Bensaude-Vincent 2002, p. 111-113
  4. Blondel et Bensaude-Vincent 2002, p. 154
  5. Blondel et Bensaude-Vincent 2002, p. 155
  6. Blondel et Bensaude-Vincent 2002, p. 139
  7. Blondel et Bensaude-Vincent 2002, p. 191
  8. Blondel et Bensaude-Vincent 2002, p. 138-140
  9. Blondel et Bensaude-Vincent 2002, p. 197
  10. Blondel et Bensaude-Vincent 2002, p. 7
  11. Blondel et Bensaude-Vincent 2002, p. 113
  12. a et b Blondel et Bensaude-Vincent 2002, p. 196
  13. Gustave Geley (directeur de l'Institut métapsychique international), L'Ectoplasmie et la clairvoyance. Observations et expériences personnelles. Avec 11 planches hors texte et 103 figures, Paris, libr. Félix Alcan, (BNF 32154798, lire en ligne Accès libre [PDF])