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Centre Segal des arts de la scène

Le Centre Segal des arts de la scène, connu autrefois sous le nom de Centre Saidye-Bronfman, est une salle de spectacle pluridisciplinaire de Montréal. Il est situé au 5170, chemin de la Côte-Sainte-Catherine dans l'arrondissement Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce.

Le Centre comprend aujourd'hui deux salles principales, le Théâtre Sylvan Adams avec 306 places et le Studio, espace modulable qui peut accueillir jusqu'à 180 personnes. Le lieu comprend aussi une salle de cinéma de 77 places, l'EspaceCinéma, ainsi qu'un ArtLounge, qui sert d'espace de restauration et bar ainsi que d'espace pour des expositions temporaires. Le Centre comprend aussi des ateliers de construction de décors, des ateliers de confection de costumes et accessoires, des salles de répétition et de cours ainsi qu'un atelier multimédia. Il est aussi le lieu de résidence du Théâtre Yiddish Dora Wasserman et de son centre d'archives.

Le centre Segal est une des principales institutions de diffusion de théâtre anglophone à Montréal, avec le Centaur Theatre. En 2007, on estimait que le Centre Segal et le Centaur Theatre diffusent à elles seules 54% des représentations théâtrales anglophones sur le territoire de l’île de Montréal[1]

Le centre Segal est une agence de la fédération CJA, c'est à dire une organisation dont «dont la principale source de financement et la clientèle proviennent de la communauté juive de Montréal».[2]

En respect des règles du Shabbat, aucune pièce n'est présentée au centre le vendredi soir et le samedi en journée[3].

Le Centre des arts Saidye-Bronfman (1967-2007)[modifier | modifier le code]

Fondation et mandat[modifier | modifier le code]

En 1967 a lieu l'inauguration du Centre des arts Saidye-Bronfman à son emplacement actuel au chemin de la Côte-Sainte-Catherine grâce à une contribution importante de la Fondation de la Famille Bronfman. Les plans ont été conçus par Phyllis Lambert, la fille de Saidye Bronfman et de Sam Bronfman. Le Centre des arts Saidye-Bronfman est alors une branche du YM-YWHA (Young Men - Young Women Hebrew Association) de Montréal[4]. Il est entendu à la fondation du centre qu'il s'agit d'une donation faite au YM-YWHA, et que conséquemment le YM-YWHA serait responsable de son administration et son financement[3].

Directeurs artistiques[modifier | modifier le code]

  • Marion André (1967-1971)

André avait pour objectif de professionnaliser le théâtre anglophone à Montréal. En effet, à l'époque de la fondation du Centre des arts Saidye Bronfman, il n'existait presque aucun autre théâtre anglophone professionnel présentant des saisons complètes dans la ville de Montréal. André concevait sa programmation en s'assurant d'avoir toujours une pièce présentant un aspect de la culture juive afin de respecter le mandat culturel du centre [3].

Gold s'était donné comme mandat de produire systématiquement une pièce canadienne sur les cinq de sa programmation annuelle. Une autre pièce de chaque saison devait être une pièce québécoise traduite en anglais. Une troisième pièce était de thématique juive, et les deux productions restantes issues du répertoire théâtral américain et européen. Gold a également insisté pour engager le plus souvent possible des comédiens formés et travaillant à Montréal afin de contrer l'exode de ceux-ci vers le reste du Canada ou aux États-Unis[3].

  • Per Brask (1980-1982)
  • Né au Danemark de parents Danois a été acteur, professeur au Manitoba Theatre Workshop à Winnipeg, à l'université Concordia et à l'École nationale de théâtre du Canada, ainsi que Dramaturge. En 1980 il est engagé comme directeur artistique du centre Saydie-Bronfman à la suite de la démission de Muriel Gold. En entrevue avec cette dernière il explique son mandat pour le théâtre: «To present challenging, engaging and provocative theatre in Montreal with a special focus on the Jewish community.»[3]
  • Harry Gulkin (1983-1987)
  • Est nommé à la direction exécutif du Centre Saydie-Bronfman, alors que le Encore Theatre y produit des pièces de manière indépendante. Durant son mandat, Gulkin contacte Ottawa afin d'obtenir du financement pour rénover les installations du théâtre. Durant le mandat de Gulkin, toutes les pièces produites au Centre Saydie-Bronfman sont des co-productions[3].
  • Nathalie Bonjour (1992-1998)
  • Bryna Wasserman (1998-2011)

Historique[modifier | modifier le code]

  • En 1970, André Marion monte une adaptation d'Une maison de poupée d'Ibsen, où le personnage de Nora est présenté comme Canadienne-française catholique et Torvald comme un anglo-saxon protestant de Westmount. Le personnage de Nora est interprété par l'actrice québécoise Louise Marleau qui fréquentait à cette époque le premier ministre du Canada Pierre-Elliott Trudeau[3].
  • En 1972, le Centre des arts Saidye Bronfman se trouve au milieu d'un scandale concernant la production de la pièce The Man in the Glass Booth de Robert Shaw qui avait auparavant été monté à Londres, New York et en Israël. Offensé par le contenu jugé antisémitique de la pièce, des membres du groupe Assocication of Survivors of Nazi Oppression[5] exigent l'annulation de la production. Marion André, lui-même un survivant de la Shoah tenta d'adapter certain aspects du texte pour accommoder les critiques, les invitant à assister à une répétition, sans succès. Trois jours avant la première, le conseil d'administration du Y pris la décision d'annuler définitivement la production. Suite à la controverse, André Marion remit sa démission comme directeur artistique. Une pièce portant sur la Shoah sera finalement présentée au centre 4 ans plus tard en 1972, sous la direction de Muriel Gold, Voices from the Holocaust, de Howard Roiter[3].
  • En 1973, Muriel Gold met en scène The Gingerbread Lady, pièce de l'auteur américain Neil Simon, mettant en vedette l'actrice canadienne Madeleine Sherwood et l'actrice québécoise Denise Pelletier[6].
  • Durant la saison de 1979-1980, des membres du comité des arts du Centre Saydie-Bronfman suggèrent que le centre produise la pièce The Merchant de l'auteur britannique Arnold Wesker, une réécriture de la pièce Le marchand de Venise de William Shakespeare. Les coûts de productions de la pièce sont très élevés considérant le nombre d'acteurs nécessaire et l'embauche de l'auteur pour diriger sa propre pièce. Le conseil du Centre des arts Saydie Bronfman entreprend de réaliser le projet en louant une salle de plus grande capacité à la Place des Arts pour une série de huit spectacles et en organisant une vaste campagne de financement. Les billets de première sont vendus comme des places de gala à 100$ le billet afin de financer le projet. Durant la production du spectacles les coûts escaladent rapidement et parallèlement l'équipe de la Place des Arts menace de partir en grève. Le conseil d'administration du YM-YWHA décide d'annuler complètement la production alors que plusieurs billets ont déjà été vendu et sans consulter la directrice artistique Muriel Gold qui démissionne peu de temps après. Selon cette dernière, le théâtre perdit presque 1000 abonnés suite à cette annulation subite[3].
  • En 1980, André Brassard monte une version anglophone de l'Impromptu d'Outremont de Michel Tremblay, où les quatre personnages féminins sont interprétés par des hommes[3].
  • En 1982, à cause du peu de rentabilité du théâtre, le YM-YWHA donne une conférence de presse annonçant le retrait de son financement et la fermeture de l'établissement au sein du Centre Saydie-Bronfman pour le mois de septembre l'année suivante. Suite à cette décision le directeur artistique du théâtre Per Brask donne sa démission. La décision du YM-YWHA est fortement critiquée par le public et les médias anglophones à Montréal. La famille Bronfman demande alors à Leo Kolber, président de CEMP Investment de soutenir la formation d'une nouvelle compagnie nommée Encore Theatre qui durera de 1982 à 1984[3]. Le conseil administratif choisit de fermer la nouvelle compagnie en raison de déficits financiers[3].
  • En 1983, voyant la possibilité d'un financement du gouvernement fédéral pour d'importantes rénovations, le conseil d'administration du Centre Saydie-Bronfman commissionne une étude de 10 000$ afin d'évaluer les raisons de la fermeture du théâtre et de nouvelles possibilités en terme de programmation. L'étude conclue que la relation hiérarchique du YM-YWHA supervisant les décisions du Centre Saydie-Bronfman et de son théâtre nuit au développement et au maintient artistique de ce dernier. [3]
  • Pour la saison 1985-1986, aucune pièce n'est produite au Centre Saydie-Bronfman[7].

Le Théâtre Rencontre et productions de pièces québécoises et francophones[modifier | modifier le code]

En 1973 Muriel Gold décide de créer le Théâtre Rencontre et de réunir le Centre d'essai des auteurs dramatiques (CEAD) et le Playwrights' Workshop pour faire une création bilingue, deux pièces d'une heure, une en anglais et une en français, présentées l'une après l'autre. Le projet obtient un certain succès la première année, mais s'étiole après deux éditions. [8]Par la suite Gold continuera de présenter une pièce québécoise traduite en anglais par saison.

En 1975 est présenté Quatre à quatre de Michel Garneau avec les actrices Marjolaine Hébert, Catherine Bégin, Louise des Chatelets et Manon Bernard, mise en scène par Daniele J. Suissa.

En 1976 est monté une traduction de Zone de Marcel Dubé, mise en scène par Daniel Simard. La metteuse en scène et la directrice artistique du centre, Muriel Gold, ont l'idée de «commencer le dialogue dans l’original français avant de glisser graduellement vers l'anglais»[6].

Compte tenu de ses allégeances au souverainisme québécois, Michel Tremblay avait refusé durant les années 60 et 70 que ses pièces soit traduites en anglais, à cause de la situation minoritaire des francophones au Canada. Suite à l'élection du Parti québécois en 1976, Muriel Gold obtint de Tremblay la permission de traduire pour le Centre des arts Saidye Bronfman sa pièce Bonjour, là, bonjour pour la saison de 1977-1978. La mise en scène fut assurée par le metteur en scène André Brassard, qui avait monté la pièce à sa création en français. Cette nouvelle production lui permit de tester un nouveau concept, où tous les interprètes se trouvaient assis devant une même table. La production était constituée uniquement d'acteur québécois et réunissait entre autres sur scène les acteurs Jean-Louis Roux et Béatrice Picard. Muriel Gold produisit ensuite pour la saison 1978-1979 l'adaptation anglaise de En pièces détachées de Tremblay, à nouveau avec une mise en scène d'André Brassard et une distribution entièrement québécoise.

En 1978 fut présenté pour la première fois en anglais la pièce La Sagouine de l'auteure acadienne Antonine Maillet. L'actrice Viola Léger y jouait en anglais le rôle qu'elle avait créé en 1972 au Théâtre du Rideau Vert. Léger repris le même rôle au Centre Segal en 2011 à l'âge de 80 ans[9].

En juin 1991, Dora Wasserman du Yiddish Dora Wasserman Theatre, à l'époque le Yiddish Drama Group, et Michel Tremblay partagent la scène du Centre Saydie Bronfman pour faire une lecture conjointe. Tremblay lit certains extrait de sa pièce Le vrai monde et Waaserman des extraits en Yiddish de l'oeuvre de l'auteur Sholom Aleichem. L'évènement se déroule en français, en anglais et en yiddish, et est organisé par le Centre Saydie et par Dialogue St-Urbain, un organisme visant à rassembler les communautés juives et francophones de Montréal. En 1992, Wasserman et Tremblay collaborent à nouveau lorsque la pièce de ce dernier, Les Belles-Sœurs, est jouée en yiddish au Centre.

Implication d'Alvin et Leonor Segal[modifier | modifier le code]

À la fondation du centre, le conseil administration du YM-YWHA estimait que la famille Bronfman financerait constamment les besoin économiques du centre, ce qui n'était pas le cas. Cette mésentente contribua aux différentes difficultés financières et conflits artistiques du centre au cours des décennies suivant sa fondation[3] jusqu'à la séparation définitive de ces deux institutions en 2007, grâce à l'implication financière d'Alvin Segal et de sa femme Leonor Segal. Cette dernière explique en entrevue avec le magazine culturel The Montreal en 2007: «The theatre had been supported for many years by the YMYWHA next door. After assuming the costs for the renovations to that building, the Y wasn’t able to continue with their support. We were in a position to provide the funds they required to continue, thus preserving Yiddish Theatre in Montreal, and an important venue for professional English theatre.»[10]

En entrevue, la directrice artistique de l'époque, Bryna Wasserman affirme: «Leanor and Alvin Segal’s commitment to this city and the arts community, to this centre, its vision and mandate is truly extraordinary. Their example inspires us to keep believing wholeheartedly in what we do and to work tirelessly toward making dreams into reality.»[11]

Le Centre Segal (2007 à aujourd'hui)[modifier | modifier le code]

Programmation artistique et mandat[modifier | modifier le code]

Foyer important de la culture anglophone et juive montréalaise, le Centre Segal, à travers son nouveau projet artistique et ses nouvelles séries, s'adresse à toutes les communautés et initie de nombreux projets interculturels. Il accueille plus de 70 000 spectateurs par an, dont 10 000 jeunes et étudiants.

Directrices artistiques[modifier | modifier le code]

  • Bryna Wasserman (1998 à 2011)
  • Lisa Rubin (2011 - aujourd'hui)

Historique[modifier | modifier le code]

  • 2008: Le Centre Saidye-Bronfman devient officiellement le Centre Segal des arts de la scène. Un investissement de 6,5 millions de dollars, grâce à un don important du mécène montréalais Alvin Segal, a permis un réaménagement majeur de l'intérieur de l'édifice[12].
  • 2008 le Centre Segal coproduit avec le Festival Montréal en Lumière une comédie musicale basée sur la vie du magicien Harry Houdini, musique et paroles composées par Elan Kunin, mise en scène par Bryna Wasserman et chorégraphies de Sara Brians[13].
  • En juin 2011 est présenté le spectacle Woumble/Farbrengen: A Celebration of Friendship conçu par Honey Dresher et Franz Benjamin. Le spectacle mélange des éléments de la culture créole et juive, et incorpore musique, danse, théâtre, poésie, et mise en récit. Le spectacle se déroule en créole, yiddish, anglais français, ainsi qu’un peu en ladino et en hébreu[14].
  • En 2011 et en 2012 le Centre Segal signe deux coproductions bilingue en partenariat avec le Théâtre du Rideau Vert, Old Wicked Songs ou Une musique inquiétante de Jon Marans et Vigile (Ou le vigile) de Morris Panych. Les deux pièces sont présentées d’abord en français au Théâtre du Rideau Vert puis en anglais au Centre Segal. Dans les deux cas la mise en scène est de Martin Faucher et la traduction de Maryse Warda[15].
  • En 2014 le Centre Segal produit une adaptation anglophone (Brian Hill au texte et Neil Bartram à la musique) de la comédie musicale québécoise basée sur l’œuvre des Belles-Sœurs de Michel Tremblay, adaptée par René-Richard Cyr avec la musique de Daniel Bélanger. Pour adapter la pièce en une comédie musicale plus «intégrée», où les chansons participent à l’action narrative de la pièce, Hill et Bartram ont repris certaines des chansons de Bélanger, ajouté de la musique et consolidé certains personnages. La fin a également été modifiée afin de donner un ton d’espoir plus grand que celui de la pièce originale et mieux convenir aux principes de la comédie musicale anglophone[16]. René-Richard Cyr reprend le rôle de metteur en scène après avoir créé l'adaptation musicale francophone en 2010. En 2016 la pièce remporte le prix de Meilleure production professionnelle décerné par Le cercle des critiques de la capitale à Ottawa[17].
  • En 2015 le Centre Segal produit une version revisitée et réécrite de The Apprenticeship of Duddy Kravitz , comédie musicale écrite par Alan Menken (musique) et David Spencer (texte). Le spectacle avait été présenté une première fois en Philadelphie, sans grand succès[18]. La pièce est une adaptation du roman du même nom par l’auteur juif montréalais Mordecai Richler. Les représentations montréalaises de cette pièce vendent au-dessus de 6500 billets, battant les records de vente des saisons précédentes du Centre Segal[19].

Le Studio et autres espaces[modifier | modifier le code]

Le Studio est principalement dévoué à la présentation d'artistes émergents ou de compagnies indépendantes[15]. Le Centre présente dans le Studio différentes séries musicales: La Série Power Jazz, l'ensemble de musique de chambre en résidence Musica Camerata Montréal, la Série Femmes du Monde et la Série Bravo. Un programme de résidences pour chorégraphes en partenariat avec la Série Danse Danse a été initié depuis la saison 2010-2011.

L'EspaceCinéma est un cinéma-boutique qui a pour mission de créer des ponts entre le cinéma, les arts visuels et les arts de la scène. Trois séries annuelles - Crossover, Lightstruck et Parallax Views - présentent une grande variété d'œuvres novatrices allant au-delà des frontières du cinéma conventionnel et comprennent des productions locales, nationales et internationales.

Productions de comédies musicales et comédies musicales originales[modifier | modifier le code]

Depuis sa création, le Centre Segal s’est démarqué par sa productions annuelles de comédies musicales créées par des auteurs canadiens, une activité en lien avec le travail du Théâtre Yiddish Dora Wasserman qui produit une comédie musicale par année[20]. L’intention du théâtre est de produire des spectacles ayant le potentiel de s’exporter dans le reste du Canada et aux États-Unis, comme ce fut le cas notamment pour la comédie musicale adaptée de la pièce Les belles sœurs de Michel Tremblay. La pièce a été jouée au Centre National des Arts du Canada ainsi qu'au festival de Charlottetown. La comédie musicale basée sur une nouvelle de Roch Carrier, The Hockey Sweater par Jonathan Monro a été créée au centre en 2017, puis reprise au Centre National des Arts du Canada en 2018[21].

Autres activités culturelles[modifier | modifier le code]

The Segal Academy

L'Académie rassemble tous les programmes éducatifs et de médiation culturelle que le Centre offre au grand public, comme aux publics jeunes, scolaires ou universitaires en théâtre, théâtre musical, musique, danse ou cinéma.

Lyrics and Latkes

Depuis 2013, en collaboration avec le Théâtre Yiddish Dora Wasserman, le centre Segal organise une soirée de chansons participative en Yiddish en célébration de la fête religieuse d'Hanoucca[22].

Segal Centre Jewish Arts Mentorship ou (J.A.M.)

En 2018, le Centre Segal crée le Segal Centre Jewish Arts Mentorship ou (J.A.M.) un programme de mentorat qui vise à soutenir les artistes émergents de la communauté théâtrale juive de Montréal. Le programme inclut du mentorat particulier, des ateliers de créations et une présentation finale d'une oeuvre originale[23].

Broadway Cafe et Big Broadway Sing Along

Depuis 2013, le Centre Segal accueille les événements le Broadway Cafe et le Big Broadway Sing Along dans son hall d'accueil. Il s'agit d’événements musicaux où les membres de la communauté de la comédie musicale montréalaise sont invités à chanter des chansons issue de ce répertoire.

Lien externe[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Louise Poulin, ÉTAT DES IMMOBILISATIONS POUR LA CRÉATION, LA PRODUCTION ET LA DIFFUSION DU THÉÂTRE PROFESSIONNEL D’EXPRESSION ANGLAISE | TERRITOIRE DE L’ILE DE MONTRÉAL, Montréal, ArtExpert.ca, (lire en ligne), Précise le rapport : «ce sont 404 représentations données dans ces deux théâtres sur 749 représentations, qui ont rejoint 94 053 spectateurs en 2005-2006, soit 76% de l’ensemble du public rejoint par ce milieu ».
  2. « Nos agences et organismes », sur federationcja.org
  3. a b c d e f g h i j k l m et n Gold, Muriel., A gift for their mother : the Saidye Bronfman Centre Theatre : a history, MIRI, (ISBN 9780978449704 et 0978449703, OCLC 173248572, lire en ligne)
  4. admin, « À PROPOS », sur YM-YWHA (consulté le )
  5. (en) Canadian Jewish Archives, « ASSOCIATION OF SURVIVORS OF NAZI OPPRESSION. », sur https://www.cjhn.ca/en (consulté le )
  6. a et b Pierre Audet, « Muriel Gold : huit ans de passion au Saidye », Jeu,‎ (lire en ligne)
  7. « Nos productions et distinctions », sur segalcentre.org
  8. Muriel Gold, « Contre l'étanchéité des cultures », Jeu,‎ (lire en ligne)
  9. (en) Pat Donnelly, « La Sagouine Returns », sur https://montrealgazette.com/, The Montreal Gazette, (consulté le )
  10. (en) The Montrealer, « Leanor and Alvin Segal – their philanthropy makes Montreal a better place », sur themontrealeronline.com
  11. (en) Janice Arnold, « New Segal Centre Unveils Busy Schedule », sur cjnews.com
  12. Cyberpresse, avril 2010
  13. Marie-Claude Marsolais, « BEN GONSHOR : L’ILLUSIONNISTE », sur voir.ca, (consulté le )
  14. (en) Janice Arnold, « JEWISH AND HAITIAN CULTURES MIX AND MINGLE ON STAGE », sur https://www.cjnews.com/, Canadian Jewish News, (consulté le )
  15. a et b (en) Janice Arnold, « BRIDGING CULTURAL DIVISIONS IS SEGAL CENTRE’S AIM », The Canadian Jewish News,‎ (lire en ligne)
  16. (en) Robert Everett-Green, « Hope replaces despair in new Belles Soeurs: English-language musical version of renowned Michel Tremblay play puts a more positive spin on the original 'superdark' ending », The Globe and Mail,‎
  17. « Productions et distinctions », sur segalcentre.org
  18. (en) Sean Silcof, « Duddy, Then And Now: Sean Silcoff reveals the incredible, unbelievable, meshuga story of how The Apprenticeship of Duddy Kravitz: The Musical finally made it to the stage », The Globe and Mail,‎
  19. (en) BWW News Desk, « THE APPRENTICESHIP OF DUDDY KRAVITZ: THE MUSICAL Extends at the Segal Centre », sur broadwayworld.com, (consulté le )
  20. (en) Robert Everett-Green, « Centaur's new director confronts theatre's role in an increasingly diverse society », The Globe and mail,‎
  21. (en) Lindsay Burgess, « SPONSORED BY SEGAL CENTRE How Segal became a hub for new musicals », sur montrealgazette.com, Montreal Gazette, (consulté le )
  22. (en) GLobal News, « Lyrics and Latkes sing-along gears up for 4th edition at Segal Centre », sur globalnews.ca, Global News, (consulté le )
  23. (en) « Segal Centre Jewish Arts Mentorship (J.A.M.) », sur segalcentre.org (consulté le )