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Chapelle Notre-Dame de la Faigne
Chapelle Notre-Dame de la Faigne - Pontvallain - Sarthe (72)
Présentation
Construction
Moyen Âge, XVIIIe siècle
Propriétaire
Association
Localisation
Pays
France
Division administrative
Pays de la Loire
Subdivision administrative
Sarthe
Commune
Pontvallain
Coordonnées
Carte

La chapelle Notre-Dame de la Faigne, située sur un ancien site féodal, est un lieu de pèlerinage marial localisé à l'orée d'un bois au nord-est de Pontvallain (Sarthe), en bordure de la route départementale 110, menant à Écommoy.

Histoire[modifier | modifier le code]

Un ancien site féodal[modifier | modifier le code]

L’occupation du site de la Faigne est attestée dès le XIe siècle avec les seigneurs de la Faigne, propriétaires du site jusqu’au XIVe siècle[1]. Un mariage entre Habert de la Faigne et une jeune fille Des Roches permet à la famille Des Roches d'être propriétaire du site féodal pendant environ un siècle avant que les anglais ne s'emparent de la Faigne autour de 1360.

Le 4 décembre 1370 le connétable de France, Bertrand du Guesclin, livre une bataille contre les anglais et libère Pontvallain[2]. C'est un évènement majeur dans la guerre de cent ans puisque l'avantage est désormais aux français. Puis du Gueslin épouse en seconde noces Jeanne de Laval et c'est ainsi que la famille Laval-Montmorency devient à son tour propriétaire du site. Le site féodal est élevé au rang de châtellenie en 1452 par Charles IV, comte du Maine.

En 1720, la châtellenie est vendue à Jacques Moulin, secrétaire du roi Louis XV, qui s'empresse de la vendre à Joseph de Mailly, également propriétaire de la Roche-de-Vaux en Requeil[3]. La riche famille de Mailly-Nesle apporte de nombreuses modifications à la Faigne qui se compose, à la veille de la Révolution, d'un château, d'une chapelle, d'une cour et d'un jardin avec d'autres bâtiments[4].

Il ne reste aujourd'hui que la motte féodale, son système de douves et la chapelle Notre-Dame-de-la-Faigne.

Un lieu de culte et de pèlerinage[modifier | modifier le code]

Bien que la date d'origine de la chapelle soit encore méconnue, elle est mentionnée dès le XIIIe siècle comme un lieu important pour le culte mariale[2].

Au XVIe siècle, à l'occasion du voyage d'adieu de René II de Laval, il est mentionné que le château contenait dans son enceinte « une chapelle célèbre grâce à une statue de la Vierge dont le culte était considéré comme immémorial[2] ».

Selon la tradition locale, au temps où le seigneur de la Faigne était païen, des chrétiens vivants sur ses terres déposèrent dans un arbre une statue de la Vierge au pied de laquelle ils venaient souvent prier. Irrité du culte rendu à cette statue, le seigneur s’en empara et essaya de la briser. Ne pouvant y parvenir, il l’enferma dans son château pour la soustraire à la dévotion de ses sujets. Mais le lendemain, à sa grande surprise, la statue était revenue à sa place. Il l’enleva de nouveau et l’enferma lui-même soigneusement sous les verrous. Peine inutile : la statue retourna chaque fois au milieu de l'arbre. Convaincu par ces miracles, il se convertit au christianisme et construisit, à l’emplacement de l’arbre, la chapelle Notre-Dame de la Faigne dans laquelle il fit déposer la statue de la Vierge qui, depuis lors, y est pieusement honorée.

Le lundi de Pentecôte de chaque année, écrivait un religieux bénédictin en 1745, « un grand concours de peuples » vient à la Faigne « vénérer une très antique et miraculeuse image de la Vierge et se faire réciter l’Évangile de Beata Maria in Sabbato » . Notre-Dame de la Faigne était alors « en grand honneur dans tous les pays d’alentour et fort célèbre par ses miracles, surtout en faveur des femmes stériles ».
Ce jour-là, dès quatre heures du matin, la chapelle est trop étroite pour contenir tous les pèlerins et, depuis ce moment jusqu’à onze heures, plusieurs prêtres sont constamment occupés à réciter les évangiles. Une grand’messe solennelle y est chantée à dix heures. 
En 1829, l’historien sarthois Julien Pesche écrivait : « Cet oratoire est encore [ … ] le but de nombreux pèlerinages des habitants du pays… Le lundi de la Pentecôte est particulièrement son jour de splendeur et de triomphe : les pèlerins y abondent toute la nuit et tout le jour… ; le soir, la jeunesse du pays leur succède ; on danse sur la place environnante… ». En effet, c’est aussi l’occasion d’une grande fête de village ou assemblée où se trouve une foule de petits marchands et où l’on compte trois ou quatre mille personnes. Jusqu’à une époque récente, le soir, on dansait dans les chaumières installées en bordure de la route d’Écommoy.

Le 4 juin 1900, sous la présidence de Monseigneur Marie-Prosper de Bonfils, évêque du Mans, le pèlerinage rassembla environ cinq mille fidèles venus de tout le pays avoisinant, à pied, dans d’innombrables carrioles et autres chars à bancs qui stationnaient dans les prairies alentour, mais aussi par le chemin de fer départemental du Mans à Pontvallain, ou d’Écommoy et Mayet à Pontvallain. La gare, qui n’existe plus, était à 2,5 km, distance que les pèlerins parcouraient en processions.

En 1994, l’association Les Amis de La Faigne devient propriétaire du site et de la chapelle avec pour projet de perpétuer le pèlerinage mais aussi de restaurer et de préserver ce lieu. En effet, un an plus tard la toiture est restaurée de toute urgence suite aux dégâts causés par l’humidité et la galerie, jugée en trop mauvais état, est quant à elle supprimée.

La chapelle aujourd'hui[modifier | modifier le code]

Aujourd’hui, le site reste un lieu religieux très important en Sarthe et de nombreux fidèles viennent de loin pour prier la vierge, notamment lors du pèlerinage le jour de la pentecôte. C’est également un lieu d’accueil, notamment en direction de groupes de jeunes : aumôneries, scoutisme, échanges internationaux…

Description architecturale et ornementale[modifier | modifier le code]

Extérieur[modifier | modifier le code]

Le portail d'entrée

La façade du côté de la route et du terrain ombragé de peupliers est orientée vers le nord.

La porte d’entrée, en plein cintre, est surmontée d’un fronton porté par deux pilastres. Celui-ci est orné de deux inscriptions en relief. Au niveau de la corniche, on peut voir les deux mots AVE MARIA encadrant une tête de chérubin en relief. Au-dessus, c’est-à-dire plus haut que le chéneau, on lisait difficilement en lettres capitales « DIEU GARE DE MAL LE PELERIN » avant les travaux de remplacement de la pierre rongée par le temps et de réfection à l’identique en 2002. Différents symboles évoquant un lieu de pèlerinage ornent le fronton : trois coquilles disposées sur un sac muni d’un cordon qui se porte en bandoulière, un collier fait de perles et de coquilles alternées ; contrairement à l’iconographie traditionnelle du pèlerin, le bourdon est remplacé par un bâton de maréchal qui nous rappelle le propriétaire qui fit faire des rénovations importantes à la fin du XVIIIe siècle, Augustin de Mailly, maréchal de France.

Le campanile de faîtage.

Une statue d’époque, restaurée en 2000, surmonte ce fronton. Elle représente Dieu le Père couronné et assis sur un trône. Les mains jointes, il présente son fils Jésus sur la croix.

Le campanile, dont au moins le socle date d'une grande restauration en 1787, avait gardé son aspect jusqu’au début du XXe siècle mais fut cerclé de fer vers 1930 pour être consolidé, car il était très abîmé et sa colonne sommitale a été supprimée pour ne garder que la croix qui la surmontait. Le campanile actuel a été refait à l’identique et mis en place pour la Pentecôte 2008. Seules la croix et la base sont d’origine ; cette dernière porte les armoiries et insignes du maréchal Augustin de Mailly.

Enfin, à l'Est de la chapelle, le petit pavillon du XIXe siècle aux jambages de brique et de tuffeau, remplace une construction beaucoup plus modeste que l’on peut voir sur des gravures anciennes.

Intérieur[modifier | modifier le code]

La nef principale[modifier | modifier le code]

La nef a souffert d’un environnement humide et d'un manque d'usage régulier. Son plan est d’une grande simplicité.

Les murs, enduits à la chaux, sont recouverts d’un badigeon ocre et leur partie basse a été refaite en 2005. La voûte, en forme de carène renversée, est en bois peint. Elle aussi a souffert de l’humidité avant la révision de la toiture en 1995. Elle porte en son arête les armoiries d’Adrien de Mailly et de son épouse Eugénie de Lonlay de Villepail.

Au fond de la nef, une verrière surmonte trois niches abritant trois statues anciennes de terre cuite, qui représentent de gauche à droite un clerc (non identifié), un évêque, qui pourrait être saint Augustin, ou encore saint Julien, et une Vierge à l'Enfant (qui porte son enfant sur le bras droit, ce qui n’est pas la représentation la plus courante). Au-dessous est fixée une plaque en marbre noir commémorative de la restauration de la chapelle en 1787. On y voit à côté de celles des Mailly, les armoiries de la famille Narbonne-Pelet, ainsi que les nombreux titres des illustres châtelains de l’époque. Un singulier ex-voto, sous la plaque de marbre, date de la Première Guerre mondiale. Il évoque les débuts de l’aviation de combat.

Encastré dans le mur droit de la nef se trouve un haut-relief en pierre de tuffeau dont la partie inférieure du XVIe siècle nous conte l’histoire d’Anne et Joachim, frappés de stérilité, chassés du temple mais avertis par l’ange Gabriel qu’ils auront un enfant : Marie. La partie supérieure, d’une période plus récente, représente la Dormition de la Vierge et sa montée au Ciel. La chapelle est dédiée depuis très longue date à la Vierge Marie.

Le sol est entièrement pavé et garde la trace, dans l’allée centrale et face à l’entrée, de l’ancien emplacement de la dalle funéraire de dame Le Musnier qui, pour offrir plus de place lors des offices et principalement le lundi de Pentecôte, a été déplacée et conservée dans le bas de la nef. C’est une table de marbre noir, qui porte les armoiries de la défunte aux côtés de celles de la maison de Montmorency-Laval.

Le choeur[modifier | modifier le code]

Le retable, de style baroque, date peut-être de la fin du XVIIe siècle ou du début du XVIIIe mais il a au moins été remanié lors d’une autre importante restauration, en 1827, par Adrien de Mailly à la suite des désordres de la Révolution. Un fronton monumental est soutenu par quatre colonnes aux chapiteaux d’ordre corinthien imitant un marbre de couleur verte qui ressort bien sur le fond blanc et s’harmonise tout à fait avec les nombreuses dorures. Dans une niche de ce fronton une statue de la Vierge domine ainsi toute l’assemblée des fidèles.

Juste au-dessous, un monogramme, donnant à voir les lettres A et M entrelacées, peut aussi être interprété comme les initiales d’Augustin de Mailly ou, plus probablement, de son fils Adrien, surmontées de la couronne de marquis. Au centre du retable, un tableau représente soit l’Assomption, soit Marie, reine des Cieux portée par des anges. Pendant longtemps un autel resta collé à ce tableau dont le bas eut à souffrir de l’humidité. Au-dessus, une inscription latine rappelle la restauration de 1827, tandis qu’à gauche une statue représente sainte Anne instruisant Marie petite et, qu’à droite, une statue de saint Joseph fait le pendant.

Sur le mur de gauche, entre la porte et l’autel, on peut encore voir des épures gravées dont le tracé rappelle des éléments du retable et, peut-être, de l’ancien autel. D’autres épures, plus médiocres, se trouvaient sur le mur du fond de la nef et ont été effacées par la réfection des bas des murs en 2005.

Autour du chœur se trouvent aussi de nombreux ex-voto dont l’un date de la retraite de Russie par les armées de Napoléon, en 1812.

Sous la voûte, l’entrait est une belle pièce de chêne, identique à celui du fond de la nef, dont le poinçon porte le Christ en croix. Il n’est ni signé ni daté.

La chapelle latérale[modifier | modifier le code]

La chapelle latérale est dédiée à saint Augustin et communique largement avec la nef par un arc soutenu par deux colonnes engagées. Elle date, dans son état actuel, de la grande restauration de 1787, ayant très probablement remplacé une construction plus ancienne ; elle fut bénite le 28 août de cette année-là, jour de la Saint-Augustin. À l'ouest, un grand tableau représente saint Augustin, évêque d’Hippone au début du Ve siècle de notre ère, tenant son cœur dans la main gauche et écrivant de la droite. Au-dessous, se trouve un autel du XVIIIe siècle qui, rongé par le temps, nécessite d’être restauré. À l’est, s’ouvre la sacristie par une petite porte au chambranle décoré d’une croix de Malte et d’une couronne de marquis. Le maréchal de Mailly était grand-croix de l’ordre de Malte. Cette porte est surmontée d’un bel ensemble de quatre bas-reliefs.

  • Le bas relief du centre est en bois, surmonté des armes des Mailly et se présente comme un diptyque : la partie de droite représente la décollation de saint Jean-Baptiste et celle de gauche, l’Annonciation.
  • Au dessus de celui-ci, un autre bois relief en bois montre la présentation de Jésus au Temple. Il est flanqué de deux niches. Celle de gauche abritait une statue de bois polychrome, apparemment très ancienne, qui pourrait être considérée comme la statue ancienne du pèlerinage. C’est elle qui est portée triomphalement en procession le lundi de Pentecôte. Le reste de l’année, elle n’est pas dans la chapelle mais est conservée en lieu sûr. Dans la niche de droite, la statue du Bon-Pasteur est d’époque beaucoup plus récente.
  • De part et d'autre, deux panneaux d'albâtre, scellés dans le mur représentent : à gauche, la résurrection du christ et à droite, la décollation de sainte Dorothée (anciennement identifié comme la décollation de sainte Catherine). Le premier mesure 50cmx30cm et le deuxième 48cmx32cm.
Panneau de la résurrection du christ en albâtre.

Ces deux œuvres ont été inscrites à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques en 2006 (voir aussi). Elles ne sont ni datées ni signées, du moins sur leur partie visible et ont conservé certaines traces de polychromie. Elles s’inscrivent dans la production de plaques d’albâtre de la fin du Moyen Âge, de 1350 à 1530 environ, dans les Midlands en Angleterre[5]. Communément et abusivement appelées « albâtres de Nottingham » ces plaques d’albâtre rehaussées de couleurs et de dorures connaissent aussi un grand succès en Europe lorsqu’elles y sont exportées après la réforme anglicane qui stoppe non seulement la production des images religieuses en Angleterre mais qui détruit également un grand nombre de ces œuvres ; ce qui engendre, au cours du XVIe siècle, une exportation massive et clandestine[6] de ces albâtres en direction de l’Europe. L’ouest de la France se montre ainsi particulièrement riche en sculpture d’albâtre anglais.

L’iconographie de la résurrection avec les soldats au nombre de quatre[7] ainsi que la présence de l’ange[8] dans le coin supérieur gauche indique un panneau réalisé après 1420, soit à partir du XVe siècle.

Panneau de la décollation de sainte Dorothée en albâtre.

Quant au panneau de la décollation de sainte Dorothée (reconnaissable par la présence de l’enfant dans le coin inférieur gauche, apportant une corbeille de fruits et de fleurs du paradis à l’avocat païen Théophile[9], responsable de la mise à mort de la sainte) son iconographie est plus rare. En effet, un seul autre exemplaire de cette iconographie sur panneau d’albâtre est enregistré depuis 2003[10]. Ce dernier, mis en vente chez Sotheby’sen 2014, est identifié comme datant de la moitié du XVe siècle. Par ailleurs, l'étude des vêtements et des coiffures des personnages permet de dater l'exécution du panneau sarthois à partir de l'extrême fin du XVe siècle[11].

Au vu de leur iconographie et de leur facture, ces deux œuvres proviennent très probablement d’un atelier anglais[11].

Somme toute, la présence de l’iconographie de sainte Dorothée au sein de cette chapelle interroge[11] puisqu'il faut savoir que sainte Catherine fut beaucoup plus vénérée au Moyen Âge et dans les siècles qui ont suivi qu’elle ne l’est maintenant. Par ailleurs, une des quatre foires annuelles dont les seigneurs de la Faigne détenaient le privilège « sur la pelouse de la Faigne » se tenait le jour de la Sainte-Catherine et ces mêmes châtelains avaient fondé une chapelle dédiée à sainte Catherine dans l’église de Pontvallain vers 1350. En revanche, le culte de sainte Dorothée était extrêmement populaire en Angleterre et en Irlande mais très peu répandu en France. Il n’est donc pas surprenant qu’une confusion se soit établie entre sainte Catherine et sainte Dorothée lors de l’identification du panneau.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Inventaire monument historique : bas-relief la résurrection du christ

Inventaire monument historique : bas-relief la décollation de sainte Dorothée

Notes et référence[modifier | modifier le code]

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  1. Aveux de Jean des Roches en 1393, archives nationales P344-1 et 1408, archives nationales P344-1, cote 1103-2
  2. a b et c Christophe Frénelle, Stéphane Gasser et Pierre Darlot, Le patrimoine des communes de la Sarthe, Pays-de-la-Loire, Tome II, éditions Flohic, (ISBN 2-84234-106-6), p. 1290-1293
  3. La Province du Maine, n°9 et 10, 1845
  4. Ambroise Ledru, Châteaux de la Sarthe 8, La Roche Mailly, Le Mans, Benderitter & Saint Denis, , p. 36-46
  5. Markus Schlicht, « La standardisation comme garant du succès commercial ? Les albâtres anglais de la fin du Moyen Âge », Perspective- la revue de l’INHA : actualités de la recherche en histoire de l’art,‎ (lire en ligne)
  6. Nigel Ramsay, « La production et exportation des albâtres anglais médiévaux », Artistes, artisans et production artistique au Moyen Âge : colloque international 2 - 6 mai 1983,‎
  7. Walter Léo Hildburgh, « Representation of the saints in medieval English alabaster carving », Archaeologia, vol.93,‎
  8. Walter Léo Hildburgh, « English Alabaster Carvings as Records of the Medieval Religious Drama », Archaeologia vol.93,‎ (lire en ligne)
  9. Jacques de Voragine, La Légende dorée, Paris, Seuil,
  10. Francis Cheetham, Alabaster images of Medieval England, Cambridge, Boydell press, , p. 134-141
  11. a b et c Foucher Elisa, "Deux panneaux d'albâtre dans la chapelle Notre-Dame-de-la-Faigne à Pontvallain en Sarthe", vol. 1 (mémoire de master 1 en recherche Histoire de l'art sous la direction de [Ambre Vilain]), Nantes, , 83 p.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Année de Marie ou pèlerinages aux sanctuaires de la Mère de Dieu, suivis de… par MM. D. ET B., volume 1 (Mame 1842), pages 244, 245 et 246
  • ABBÉ LEDRU Ambroise, Châteaux de la Sarthe 8, La Roche Mailly - La Faigne, Le Mans, Benderitter & de Saint Denis, 1913
  • CARDAILLAC Xavier de, « Le martyre de sainte Catherine et de sainte Barbe, et leur glorification sainte. Bas-reliefs de l’église de Fontarabie », Bulletin Monumental, vol. 61, no 1, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, 1896, p. 40‐51 [en ligne]. Disponible sur : <https://résurrection.persee.fr/doc/bulmo_0007- 473x_1896_num_61_1_11051> [Consulté le 20 mars 2020]
  • CHEETHAM Francis, Alabaster images of Medieval England, Association for Cultural Exchange, Cambridge : Boydell Press, 2003
  • CHEETHAM Francis , English medieval alabasters: with a catalogue of the collection in the Victoria and Albert Museum, Woodbridge : New edition, Association for Cultural Exchange and the Boydell Press, 2005
  • DUBUY Georges, La sculpture. Le grand art du Moyen Âge. Du Ve au XVe siècle, Genève : Albert Skira, 1989
  • FLAVIGNY Laurence, et al., Sculptures d’albâtre du Moyen Âge: d’Angleterre en Normandie : Rouen, Musée départemental des antiquités, 12 février-31 mai 1998 [et] Evreux, Musée de l’ancien évêché, juillet-octobre 1998, Rouen : Musée départemental des antiquités, Musée de l’ancien évêché, 1997
  • FLOHIC Jean-Luc, Le patrimoine des communes de la Sarthe, Paris : éditions Flohic, 2001
  • FOUCHER Elisa, "Deux panneaux d'albâtre dans la chapelle Notre-Dame-de-la-Faigne à Pontvallain en Sarthe", mémoire de master 1 en recherche Histoire de l'art sous la direction de Ambre Vilain, Nantes, 2021, 83p
  • HILDBURGH Walter Léo, « English Alabaster Carvings as records of medieval Religious Drama », Archaeologia, vol. 93, 1949, p.51-101
  • HILDBURGH Walter Léo, « Representations of the Saints in Medieval English alabaster Carvings », Folklore, vol. 61, no 2, 1950, p.68-87 [en ligne]. Disponible sur : <résurrection.jstor.org/stable/1257201>. [Consulté le 8 mai 2021
  • LE POGAM Pierre-Yves, Leroux Lise, Cooper Tony et al., « Revivez le colloque Les sculptures en albâtre du XIVe au XVIe siècle » [en ligne]. Disponible sur : <http://résurrection.dypac.uvsq.fr/revivez-le-colloque-%C2%AB-les-sculptures-en- albatre-du-xive-au-xvie-siecle-%C2%BB-1>. [Consulté le 9 novembre 2020].
  • MEIER Gabriel, « St. Dorothea », The Catholic Encyclopedia, Robert Appleton Company, vol. 5, 1909 [en ligne]. Disponible sur : <https://résurrection.newadvent.org/cathen/05135d.htm>. [Consulté le 15 mai 2021]
  • MURAT Zuleika, English alabaster carvings and their cultural contexts, Woodbridge : The Boydell Press, 2019
  • PRIGENT Christiane, Les sculptures anglaises d’albâtre : Musée national du Moyen Age, Thermes de Cluny, Paris : Le Musée : Réunion des musées nationaux : Distribution, Seuil, 1998
  • Un art anglais, « La sculpture d’albâtre en Angleterre : XIV-XVIème siècle », 16 novembre 2013 [en ligne]. Disponible sur : <https://unartanglais.wordpress.com/2013/11/16/la- sculpture-dalbatre-en-angleterre-xiv-xvieme-siecle/>. [Consulté le 20 janvier 2020]
  • Nigel Ramsay, « La production et exportation des albâtres anglais », Artistes, artisans et production artistique au Moyen Âge : colloque international 2 - 6 mai 1983,‎ 1990
  • RAMSAY Nigel, « English Medieval Alabasters. With a Catalogue of the Collection in the Victoria and Albert Museum. By Francis Cheetham », The Antiquaries Journal, vol. 66(2), 1984, p. 472‐73
  • SCHLICHT Markus, « La standardisation comme garant du succès commercial ? Les albâtres anglais de la fin du Moyen Âge », Perspective- la revue de l’INHA : actualités de la recherche en histoire de l’art, Armand Colin, 2019
  • VORAGINE Jacques de, La légende dorée, Paris : Seuil, 1998