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BOGA SAKO GERVAIS

De la naissance à l'exil contraint en Italie[modifier | modifier le code]

Boga Sako Gervais est né le 27 décembre 1971 à Divo, le chef-lieu de la région du Loh-Djiboua, dans le Sud-Ouest de la Côte d’Ivoire, en Afrique occidentale française. Il est marié et père de trois enfants.

Pour ses convictions, sa foi chrétienne et son attachement aux lois, notamment à la Constitution de son pays, la Côte d’Ivoire, Boga Sako Gervais a remis en cause la décision de la victoire de Alassane Dramane Ouattara aux élections présidentielles. Ayant fortement critiqué le nouveau pouvoir en exigeant notamment la levée du blocus du domicile de Laurent Gbagbo[1], déclarant que les résultats fournis par la Commission électorale indépendante (CEI) sont faux contrairement à ceux du Conseil constitutionnel de Côte d'Ivoire[2], ce qui crée une véritable confusion[3]. Peu après l'invalidation de la victoire de Laurent Gbagbo par le Conseil Constitutionnel et la CEI et la validation de la victoire d'Alassane Dramane Ouattara, Boga Sako a affirmé la violation incontestable de la Constitution par la décision de ces deux institutions ivoiriennes[4]. Il n'a pas épargné l'ancien pouvoir en affirmant qu'il existait des problèmes liés au respect des droits de l'homme[5]. Par ailleurs, il a condamné l'UE d'avoir violé les droits des Ivoiriens en posant un embargo sur les produits pharmaceutiques en mars 2011[6] lors de la crise post-électorale de 2010. Le président de la FIDHOP[7] a reproché également à l'ONU d'avoir sa part de responsabilité dans la situation chaotique qui prévaut, notamment les rapts d'Ivoiriens[8]. Ces violations des droits de l'homme longtemps évoquées et condamnées par Boga Sako ont été critiquées et dénoncées par le haut commissaire aux droits de l'homme des nations unies. Une attaque directe contre l'ONU qui a crédibilisé les témoignages de rapts Il a également critiqué vertement la position de Soro Guillaume quI attribue la victoire sans conteste aux élections présidentielles à son allié, M. Alassane Dramane Ouattara en 2010. Deux positions qui s'affrontent, celles de Guillaume Soro en tant qu'allié du nouveau pouvoir et celle de Boga Sako qui conteste cette victoire. Ses critiques virulentes répétées là l'encontre du nouveau régime dirigé par M. Alassane Dramane Ouattara lui valent des menaces de mort, ce qui l'a contraint à l'exil[9]. Ayant quitté la Côte d'Ivoire précipitamment de peur d'être assassiné, il a élu domicile en Italie, car le statut de réfugié politique lui a accordé à sa demande après la survenue de la crise post-électorale de Côte d'Ivoire en 2010-2011. Continuant de défendre les droits de l'homme violés et estimant que ceux de Laurent Gbagbo ont été bafoués, Boga Sako qualifié de pro-Gbagbo[10] s'est plusieurs fois rendu aux audiences publiques autorisées par la Cour Internationale Pénale (CPI) lors des procès intentés contre Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé[11].

Quant aux partisans de M. Alassane Dramane Ouattara soutenus par la communauté internationale, ils ont reproché à Boga Sako d’avoir pris position en faveur de M. Koudou Laurent Gbagbo et d'avoir approuvé la décision du Conseil constitutionnel en tant que militant des droits de l'homme proclamant les résultats définitifs du scrutin présidentiel de 2010 devait être respectée. Boga Sako Gervais martelait partout sur les plateaux télés, la formule latine : « dura lex, sed lex », c’est à dire, la loi est dure, mais c’est la loi !

Dès lors, ses bureaux de la FIDHOP ont été attaqués et saccagés par deux fois, en mars, puis en avril 2011, et il a reçu aussi plusieurs messages de menaces de mort. Sortir du pays pour l’Italie a donc été un miracle salvateur et un salut pour vivre et dénoncer les illégalités, les injustices et les violations des Droits de l’Homme dans son pays. Depuis son exil en exil en Italie, en 2012, Boga Sako poursuit son combat pour interpeller le gouvernement. Ainsi, il plaide en faveur de Laurent Gbagbo pour qu' Alassane Dramane Ouattara afin qu'il soit libéré de la CPI[12].

Malgré son exil, Boga Sako, il a appelé en 2015 à un soulèvement populaire des Ivoiriens contre le pouvoir de M. Alassane Dramane Ouattara afin qu'il y ait une alternance[13]. Il continue d'interpeller le pouvoir sur le sort des prisonniers politiques depuis 2011, ceux-ci incarcérés lors de la crise post-électorale de 2010. Il condamne le régime dirigé par le chef de l'État Alassane Dramane Ouattara en l'accusant de chercher à brûler la Côte d'Ivoire[14]. Boga Sako milite en faveur des droits de l'opposition qu'il défend et s'alarme des nombreux décès survenus en son sein depuis 2018[15]. Il s'indigne du mauvais sort réservé aux prisonniers de la crise post-électorale ivoirienne de 2020, un sort qu'il juge déplorable, scandaleux[16] craignant que certains d'entre eux ne meurent. C'est cette situation critique et tragique qu'il voulait éviter raison pour laquelle il a interpelé le pouvoir en lui demandant de reporter les élections présidentielles prévues en octobre 2020 afin que les conditions soient réunies[17] et que le désastre d'une nouvelle crise post-électorale soit évité. Or cette nouvelle crise post-électorale ivoirienne a eu lieu dénombrant 87 morts. Ses critiques acérées contre le régime d'Alassane Dramane Ouattara ont continué sans répit en y pointant aussi du doigt la France qu'il juge aussi coupable de cette situation[18]. Le président de la FIDHOP a tenu également l'Union Africaine pour responsable des violences post-électorales qui surviendraient en 2020 si elle n'anticipe pas et n'agit pas dès 2019[19] pour enrayer le spectre, le fléau des violences pré et post-électorales en Côte d'Ivoire qui agitent la Côte d'Ivoire à l'approche des élections.

Expérience professionnelle[modifier | modifier le code]

Boga Sako Gervais est titulaire d’un Doctorat ès Lettres Modernes, option Littérature Occidentale ;

Il est écrivain, auteur de six livres, des essais, des analyses politiques portant sur les Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire, en Afrique ou dans le monde.

Boga Sako est Enseignant-Chercheur à l’Université de Bouaké de Côte d’Ivoire, depuis 1998 : il est chargé de Travaux Dirigés (T.D.) de Roman occidental. Il a été donc recruté à la fonction publique ivoirienne depuis le 3 janvier 2005 en qualité d’Assistant.

Sur la période de juillet 2007 à Juillet 2012, Boga Sako Gervais fait partie des personnalités issues de la société civile qui ont nommées par un décret présidentiel pour être membre de la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI), pour un mandat non renouvelable de cinq ans. Au sein de cette institution, il a été élu Secrétaire Exécutif sur deux années successives, en 2007 et 2005.

D’octobre 2003 à septembre 2005, le professeur Martin Bléou, l’ex-président de la Ligue ivoirienne des Droits de l’Homme (LIDHO) nommé Ministre de la Sécurité intérieure a fait entrer Dr Boga Sako au cabinet comme Chargé d’études au ministère de la Sécurité Intérieure de la République de Côte d’Ivoire. Il se chargeait spécifiquement des études et analyses de dossiers sur les Droits de l’Homme ; il représentait le Ministre à divers ateliers et rencontres relatifs aux Droits de l’Homme ; il était le point clé, focal permanent du Ministère de la Sécurité Intérieure pour la Division Droits de l’Homme de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).

De 2002 à 2010, Boga Sako Gervais a été Attaché de cabinet à la présidence de l’Université de Bouaké en Côte d’Ivoire. Avec deux autres collègues faisant partie de cette cellule, ils se chargeaient de la gestion des crises estudiantines et des relations avec les associations et syndicats des étudiants, notamment la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (la FESCI) de l’Université de Bouaké. Ils étaient donc les médiateurs entre l’administration et les étudiants.

Formation académique[modifier | modifier le code]

En juin 1992, Boga Sako Gervais obtient un Baccalauréat, série A1, avec la mention Assez Bien, au lycée de Bouaflé, en Côte d’Ivoire.

Dès la rentrée scolaire et universitaire suivante, il fera alors partie de la première promotion des étudiants orientés dans le Centre Universitaire de Bouaké qui deviendra quelques années après, la deuxième université du pays : l’Université de Bouaké.

En 1995, il obtient une Licence ès Lettres Modernes à l’Université de Bouaké.

En 1996, il décroche une Maîtrise ès Lettres Modernes, toujours à l’Université de Bouaké.

En 1998, il obtient au sein de la même Université de Bouaké un DEA : le Diplôme d’Études Approfondies, en Lettres Modernes.

Le 25 juin 2004, Boga Sako Gervais soutient une Thèse de Doctorat unique ès Lettres Modernes, option Littérature Occidentale, avec la Mention Très Honorable et les Félicitations du Jury.

Son sujet de thèse s’intitule : « Le Pouvoir des Femmes dans l’œuvre littéraire de Madame de La Fayette. »

Formation dans le domaine des Droits de l’Homme[modifier | modifier le code]

1994-2005 : Boga Sako Gervais devient Membre de la Ligue Ivoirienne des Droits de l’Homme (LIDHO), en Côte d’Ivoire ; régulièrement élu Président de la section-LIDHO de Bouaké, de 1996 à 2006.          

Mai-Juin 2004 : Certificat de Droit de l’Homme et Culture de la Paix de l’Institut de la Dignité et des Droits Humains (IDDH) au Centre de Recherche et d’Action pour la Paix (CERAP), en Côte d’Ivoire.

Avril-Juin 2005 : Certificat spécialisé de « Droit et Action Humanitaire » de l’Institut de la Dignité et des Droits Humains (IDDH), au Centre de Recherche et d’Action pour la Paix (CERAP) de Côte d’Ivoire.

Décembre 2005 : Diplôme d’honneur de l’institut des Droits Humains et du Développement (IDHD) / Fondation Friedrich EBERT en Côte d’Ivoire.

2005-2007 : Président national de l’ONG : Actions pour la Protection des Droits de l’Homme (APDH), en Côte d’Ivoire.

Mai 2006 : Prix spécial pour la Défense des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire, édition 2005-2006 du Prix SAFAM-COM.

Novembre 2008 : Certificat de International Visitor Leadership Program « on US. Human Rights Organizations and Pratices » / United States Department of State, Bureau of Educational and Cultural Affairs aux USA.

Janvier 2009 : Fondateur et Président de la Fondation Ivoirienne pour l’observation et la surveillance des Droits de l’Homme et de la vie Politique (FIDHOP).

Novembre 2009 : Participation à la 6e Session de l’EPU (Examen Périodique Universel) à Genève en Suisse, en tant Secrétaire Exécutif de la CNDHCI.

Novembre 2015 :  Président-fondateur du Groupe de Réflexion et d’Actions pour la Démocratie et les Droits de l’Homme en Afrique (GRADDH-AFRIQUE).

Parcours militant et activisme socio-politique[modifier | modifier le code]

1/ Militantisme pour les Droits de l’Homme[modifier | modifier le code]

Agrément de la FIDHOP :[modifier | modifier le code]

La FIDHOP est créée conformément à la loi n°60-315 du septembre 1960 de la République de Côte d’Ivoire, enregistrée sous le n°943/PA du 1er avril 2009, selon le Récépissé n°881 PA/SG D1. Le siège de la FIDHOP est fixé à Abidjan en Côte d’Ivoire.

Qu’est-ce que la FIDHOP ?[modifier | modifier le code]

La Fondation Ivoirienne pour l’Observation et la Surveillance des Droits de l’Homme et de la vie Politique (en abrégé FIDHOP) est une institution de la société civile, non étatique, non confessionnelle, apolitique et indépendante. Ainsi, grâce à ces expériences, Boga Sako fera appel à des collègues de l’Université et des amis, pour créer la FIDHOP.

2/ Débuts d’un engagement politique[modifier | modifier le code]

GRADDH-AFRIQUE est le Groupe de Réflexion et d’Actions pour la Démocratie et les Droits de l’Homme en Afrique. C’est une organisation de la société civile constituée sous la forme d’une cellule de réflexions politique, qui a été créée en novembre 2015, après l’échec constaté de la seule coalition de l’opposition d’alors : la Coalition Nationale pour le Changement (CNC).

GRADDH-AFRIQUE réfléchit sur : comment restaurer la Démocratie, les Droits de l’Homme et l’Etat de droits en Côte d’Ivoire depuis la tragédie ivoirienne du 11 avril 2011, date de l’arrestation du Président de la République en exercice, SEM Laurent Gbagbo et sa femme Simone Éhivet Gbagbo, par les forces rebelles d’Alassane Dramane Ouattara soutenues par l’armée française, les opérations Licorne et par les Casques bleus.

Outre les sujets de réflexion, GRADDH-AFRIQUE agit aussi sur le terrain. C’est ce qui explique que la structure a fait partie du Front du Refus (FDR), un regroupement informel de partis politiques et d’associations de la société civile mise en place pour dénoncer et s’opposer au référendum constitutionnel du régime d’Alassane Dramane Ouattara d’octobre 2016.

GRADDH-AFRIQUE s’est également engagé auprès du Front populaire ivoirien (FPI) présidé par son fondateur Laurent Gbagbo, afin qu’une nouvelle coalition de l’opposition puisse être créée : elle sera baptisée Ensemble pour la Démocratie et la Souveraineté (EDS).

GRADDH-AFRIQUE se présente donc comme un laboratoire d’analyses des questions socio-politiques, qui reste ouvert à celles et ceux qui souhaitent y entrer, en acceptant de se soumettre à une enquête sur leurs convictions et leur engagement.  Il se compose à l’origine de cadres et d’intellectuels africains, surtout des Ivoiriens issus de l’exil pour la majorité d’entre eux, avec les membres du Secrétariat et du Porte-parole qui eux, sont restés en Côte d’Ivoire.

Les membres fondateurs de GRADDH-AFRIQUE se présentent comme suit :

Président-Fondateur : Dr Boga Sako Gervais (qui est également le Président-Fondateur de la FIDHOP) ;

Vice-président chargé des Affaires politiques : Simplice Zadi ;

Vice-président chargé de la Communication : Claude Franck About ;

Vice-président chargé des finances : Kassoum Fadiga ;

Secrétaire générale et Porte-parole : Pulchérie Édith Gbalet (emprisonnée illégalement par le régime de M. Alassane Dramane Ouattara depuis le 15-16 août 2020 pour avoir dénoncé la violation de l'article 55 de la Constitution ivoirienne qui interdit de briguer un 3e mandat présidentiel et Nestor Kokora Téti (représentant actuellement de Boga Sako au sein d’EDS) ;

Secrétaires généraux adjoints : Serge Dadie / Josué Guebo ;

Secrétaire à l’organisation : Djahouri Baye.

Boga Sako Gervais, en tant que Président-fondateur de GRADDH-AFRIQUE, est donc l’un des principaux initiateurs – donc Membre-Fondateur – de la principale coalition de l'opposition ivoirienne regroupant des partis politiques et des organisations de la société civile, ayant pour référent politique l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo. Désignée sous l'acronyme d'EDS, c'est à dire Ensemble pour la Démocratie et la Souveraineté, cette coalition sera officiellement investie le 20 Avril 2017 à Abidjan.

Il est à noter que EDS est né sous la direction de feu le Professeur et ex-Ministre d’État, Aboudramane Sangaré, qui fut aussi un membre-fondateur du Front populaire ivoirien (FPI) et l'ami (ou "frère jumeau") du Président Koudou Laurent Gbagbo.

Le Président d'honneur de la coalition EDS à sa création fut feu l’écrivain et patriarche Bernard Binlin Dadié ; et le Président exécutif en est le Professeur Georges Armand Ouégnin.

Boga Sako est le cinquième Vice-président de Ensemble pour la Démocratie et la Souveraineté, chargé des questions de Démocratie et des Droits de l’Homme.

Les membres de EDS ont mené sans relâche le combat pour la libération des prisonniers politiques ivoiriens de la grave crise post-électorale de 2010-2011, principalement celle de MM. Koudou Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé qui étaient emprisonnés à la Cour pénale internationale de la Haye.

C’est la coalition EDS qui porta la candidature du Président Koudou Laurent Gbagbo lors de l’élection présidentielle controversée du 31 octobre 2020, mais celle-ci fut rejetée par le régime d’Alassane Dramane Ouattara au pouvoir.

Ses œuvres écrites[modifier | modifier le code]

  1. Les Droits de l’Homme à l’épreuve : cas de la crise ivoirienne du 19 septembre 2002, Collection Études africaines, France, éditions l’Harmattan, 2008, ISBN-10 : 2296052045, ISBN-13 : 978-2296052048.
  2. La Guerre d’Abidjan n'aurait jamais dû avoir lieu : Et si M. Sarkozy avait trompé le monde entier sur la crise ivoirienne de 2010 ? France, éditions Pyramide-Papyrus-Presse ; traduit en Italien chez Antéo Editioni, en Italie, 2012, EAN13 : 2000172054212, ISBN :978-2-915888-27-0.
  3. Je suis Noir et j’aime le manioc, Collection « ailleurs », Paris, Gnepa-Éditions, 2014, ISBN : 978-2-37078-000-3.
  4. Afrique Libertés : conditions pour une Afrique libre et émergente, Allemagne, Éditions Universitaires Européennes, 2017, ISBN 10 : 3639608119, ISBN 13 : 9783639608113.
  5. Mon Combat pour les Droits et les Libertés, Royaume-Uni, éditions Mary Bro Foundation Publishing, 2017, ISBN 10 : 0995648166, ISBN 13 : 9780995648166.
  6. Qui est le PRÉSIDENT de la République ? Royaume-Uni, éditions Mary Bro Foundation Publishing, 2019, ISBN 978-1-9161773-4-5.

Émissions, conférences[modifier | modifier le code]

Émissions[modifier | modifier le code]

Cosultant-panéliste sur plusieurs chaînes de télévision et de radios dont la télévision panafricaine, Afrique-Média .

Conférences[modifier | modifier le code]

  1. La Communauté des Ivoiriens de Cremona et Provinces, « L’état de droit et la situation des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire. », Cremona enItalie, 13 août 2011.
  2. L’Alliance des Jeunes Patriotes de Côte d’Ivoire ; section d’Italie, « La question de l’État de droit et la situation des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire. », Pérugia (Italie), 27 août 2011.
  3. Le Parti Démocratique (PD) italien, section de Parma et le Front populaire ivoirien (FPI), « La situation socio-politique et des Droits de l’Homme en République de Côte d’Ivoire et en Libye. », Parma (Italie), 1er sept. 2011.
  4. L’ONG italienne ‘’Solidarité Nord-Sud’’, « Tribunal pénal inter et résolution des conflits : étude comparative RDC et C.I. », Rome (Italie), 21 octobre 2011.
  5. Le Lycée Alfieri (les classes Tles) et la Faculté de Sciences Po.de l’Université (3ème année) et le Collectif pour le Respect des Institutions en CIV ou CI (Côte d'Ivoire), « La question des élections en Afrique : la crise post-électorale en Côte d’Ivoire et les violations des Droits de l’Homme. » Turin (Italie), 4 et 5 novembre 2011.
  6. L’association italienne « Colori e Sapori », « La situation de crise en Afrique : cas des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire. » Brescia (Italie), 17 nov. 2011.
  7. La Région de Toscane et la Communauté africaine « Côte d’Ivoire, une tragédie néo-coloniale. », Florence (Italie), 25 et 26 novembre 2011.
  8. L’association italienne « Faremondo » Région de Toscane et la Communauté africaine « Les crises et guerres en Afrique : le cas de la République de Côte d’Ivoire. », Bologna (Italie), 3 décembre 2011.
  9. La FIDHOP et Boga Sako, « Sortie officielle du livre du Boga Sako : La guerre d’Abidjan n’aurait jamais dû avoir lieu. », Florence (Italie), 28 janv. 2012.
  10. Trezzano sul Naviglio, Sfera Africa de Cesano Boscone / Africa Forum in Italy, « La problématique des Droits de l’Homme en Afrique subsaharienne, le cas Côte d’Ivoire. », Milan (Italie), 11 fév 2012.
  11. La FIDHOP et la Communauté ivoirienne, « Dédicace du livre du Boga Sako : La guerre d’Abidjan n’aurait jamais dû avoir lieu. », Parma (Italie), 17 mars 2012.
  12. ONGS italiennes : Eurasia et Cesem, « La Lotta per l’Africa. », Parma (Italie), 20 avril 2012.
  13. La Communauté congolaise d’Italie, « La crise post-électorale en RD Congo : une crise à l’ivoirienne ? », Rome (Italie), 22 avril 2012.
  14. Cri Panafricain de Abel Naki, « Grande Assemblée générale du Cri Panafricain et dédicace du livre de Dr Boga. », Paris, 28 avril 2012.
  15. L’ONG italienne : Diversi. E Alora ? « Droits de l’Homme et droits des Réfugiés. », Florence (Italie), 12 mai 2012.
  16. La FIDHOP et Dr Boga Sako, « La Rencontre des Leaders Ivoiriens d’Italie. », Parma (Italie), 12 mai 2012.
  17. Acte I, Les Femmes Patriotes, « Grande Veillée de Prière pour la Côte d’Ivoire. », Cremona (Italie), 1er juin 2012.
  18. La FIDHOP et Boga Sako, « La Rencontre des Leaders Ivoiriens d’Italie. », Vareze / Varèse (Italie), 30 juin 2012.
  19. Acte II, TELESUD, L’Invité du jour : à propos de la crise ivoirienne de 2010, Paris (France), 4 juillet 2012.
  20. La Communauté ivoirienne, « Les guerres en Afrique : le cas de la République de Côte d’Ivoire. », Brescia (Italie), 14 juillet 2012.
  21. L’Association Socioculturelle Interafricaine / le FPI et a Communauté ivoirienne, « Les crises en Afrique : le cas de la République de Côte d’Ivoire. », Forli (Italie), 21 juillet 2012.
  22. COJEP, « Congrès du COJEP », Paris (France), 27 juillet 2012.
  23. La FIDHOP et Boga Sako, « La Rencontre des Leaders Ivoiriens d’Italie. », Perugia (Italie), 28 juillet 2012.
  24. Actes III, La FIDHOP et Boga Sako, Mobilisation pour une Justice équitable à la CPI, Hollande, La Haye,13 août 2012.
  25. La FIDHOP et Boga Sako, Grande Mobilisation pour dénoncer le Génocide des Wês/Wés par le régime d’Alassane Dramane Ouattara, Turin (Italie), 1er septembre 2012.
  26. Grande intervention Boga Sako et la FIDHOP, Mobilisation des Résistants et Patriotes ivoiriens devant le siège du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme, Genève (Suisse), 6 octobre 2012.
  27. La FIDHOP et Boga Sako, Participation effective au procès à la Cour Pénale Internationale (CPI), Hollande, La Haye, 30 octobre 2012.
  28. La FIDHOP et Boga Sako, Conférences sur les guerres en Afrique, le cas de la Côte d’Ivoire, Stockholm (Suède), 10 novembre 2012.
  29. Parlement, La FIDHOP et Boga Sako, Porte-parole des Résistants ivoiriens devant une délégation de parlementaires français, Paris (France), 27 novembre 2012.
  30. Grande interview accordée à la journaliste Nicoletta Fagiolo, « Laurent Gbagbo et le droit à la différence. », Italie (Rome), 28 mars 2013.
  31. Grande intervention Boga Sako et la FIDHOP, Turin (Italie), 13 avril 2013.
  32. EVENTNEWS.TV, Boga Sako et la FIDHOP au Panel des Leaders, « Audiences de confirmation des charges du Pr. Laurent Gbagbo ou le procès de la victime. », Paris-Montreuil (France), 23 mars 2013.
  33. EVENTNEWS.TV, Boga Sako et la FIDHOP au Panel des Leaders, « Audiences de confirmation des charges du Pr Laurent Gbagbo ou le procès de la victime. », Lyon (France), 20 avril 2013.
  34. EVENTNEWS.TV, Boga Sako et la FIDHOP au Panel des Leaders, « Audiences de confirmation des charges du Pr Laurent Gbagbo ou le procès de la victime. », Toulouse (France).
  35. FPI du Danemark, « Vérités sur la crise post-électorale de 2010 et proposition de solutions. », Copenhague (Danemark), 4 mai 2013.
  36. Boga Sako et la FIDHOP en partenariat avec BOYA’S Culture, Conférence sur les guerres en Afrique + investiture de la FIDHOP-France, Paris (France), 21 juillet 2013.
  37. EVENTNEWS.TV, Boga Sako et la FIDHOP face à M. A. Diomandé de ADDL, Débat sur les codes de foncier rural et la nationalité, France, 22 juillet 2013.
  38. ONG Akonda, En partenariat avec Komboa-Panafrika / FARD / CPAD (Soutien aux réfugiés de Lampedusa), « Les conflits et les violations des Droits de l’Homme en Afrique, principale cause de l’émigration des jeunes vers l’Occident. », Hambourg (Allemagne), 26 au 28 juillet 2013.
  39. ONG CARAVANE, en partenariat avec Akonda (Soutien aux réfugiés de Lampedusa), Grande marche pour les Droits des Réfugiés de Lampedusa (+4000 marcheurs), Hambourg (Allemagne), 15 au 19 août 2013.
  40. Boga Sako et la FIDHOP avec M. Montanaro (« La Francia in nero »), Débat sur la crise socio-politique de Côte d’Ivoire. Milan (Italie), 19 septembre 2013.
  41. Boga Sako et la FIDHOP avec Maître Hervé Gouamené, Débat sur la libération de tous les prisonniers politiques en Côte d’Ivoire + investiture de la FIDHOP-Italie, Parme (Italie), 21 septembre 2013.
  42. Boga Sako Gervais nominé aux ivoire business annuel Awards 2013, Paris (France), 27 septembre 2013.
  43. Groupe de réflexion, Perspectives 2015 en Côte d’Ivoire : Tout sauf Ouattara ! Berlin (Allemagne), 6 octobre 2013.
  44. Communauté des Ivoiriens de Genève : Association internationale pour la défense des Intérêts du Peuple ivoirien ; Wêhêbloa, Grande Marche pour la Paix en Afrique + Conférence : « L’Occident dans les crises et guerres en Afrique : cas de la Côte d’Ivoire. », Genève (Suisse), 12 octobre 2013.
  45. Mairie de la commune de Fucecchio, « Causes et conséquences des guerres en Afrique et leur répercussion sur l’Occident. », Florence (Italie), 19 octobre 2013.
  46. Communauté des Ivoiriens d’Irlande, « L’Occident dans les graves violations des Droits de l’Homme en Afrique : cas de la Côte d’Ivoire. », Dublin (Irlande), 26 octobre 2013.
  47. FIDHOP-Suisse, « L’Occident dans les graves violations des Droits de l’Homme en Afrique : cas de la Côte d’Ivoire. », Zurich (Suisse), 30 novembre 2013.
  48. Communauté des Ivoiriens des États-Unis, « L’Occident dans les graves violations des Droits de l’Homme en Afrique : cas de la Côte d’Ivoire. », États-Unis, 1er au 30 avril 2014.
  49. FIDHOP-Italie, « Triple dédicace de livres : Steve Beko / Ballou-Bi / Dr Boga (‘’Je suis Noir et j’aime le manioc’’. », Vérone (Italie), 21 juin 2014.
  50. FIDHOP-France, « Dédicace+Formation : Dr Boga et Ballou-Bi (‘’Je suis Noir et j’aime le manioc’’. », Paris (France), 5 juillet 2014.


Références[modifier | modifier le code]

  1. « Crise postélectorale / Boga Sako (Président de FIDHOP) à Laurent Gbagbo - ‘’Il faut lever le blocus du Golf hôtel’’ - Abidjan.net Actualites », sur news.abidjan.net (consulté le )
  2. « Boga Sako n'est pas seul - Abidjan.net Actualites », sur news.abidjan.net (consulté le )
  3. « Confusion électorale et crainte de débordements en Côte d'Ivoire », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. La Dépêche d'Abidjan, « Dr Boga Sako, président de la FIDHOP met en garde : ‘’ LA CPI VA METTRE LE FEU EN CÔTE D’IVOIRE ’’ », sur La Dépêche d'Abidjan (consulté le )
  5. « Côte d'Ivoire : «Si on essaie de résister, ils tirent» », sur LEFIGARO (consulté le )
  6. APIDPM Santé tropicale, « Approvisionnement en médicaments : “que l’UE respecte le droit à la santé” », sur www.santetropicale.com (consulté le )
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