Le Puiset-Doré

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Le Puiset-Doré
Le Puiset-Doré
La mairie.
Blason de Le Puiset-Doré
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Cholet
Commune Montrevault-sur-Èvre
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Laurent Hay
2020-2026
Code postal 49600
Code commune 49252
Démographie
Gentilé Puiset-Doréen
Population 1 182 hab. (2013)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 13′ 59″ nord, 1° 06′ 51″ ouest
Altitude 91 m
Min. 68 m
Max. 109 m
Superficie 22,62 km2
Élections
Départementales Beaupréau
Historique
Fusion 15 décembre 2015
Commune(s) d'intégration Montrevault-sur-Èvre
Localisation
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Le Puiset-Doré

Le Puiset-Doré est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Montrevault-sur-Èvre[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Ancienne commune angevine des Mauges, Le Puiset-Doré se situe au sud-est de Saint-Christophe-la-Couperie et au sud-ouest de Montrevault, sur les routes D 67 et D 92. Sa limite ouest jouxte le département de la Loire-Atlantique[2].

Localisation[modifier | modifier le code]

Géologie et relief, hydrographie[modifier | modifier le code]

Son paysage est composé principalement de bocage et de landes[3]. Comme dans toute cette partie du sud Loire[4], on y trouve des argilières encore exploitées de nos jours pour l'industrie céramique des environs[5]. La forêt de Leppo avance légèrement sur sa partie est.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

C'est au nord de son territoire que la rivière la Divatte prend sa source. Le ruisseau de la Mocraisière marque la frontière avec Le Fuilet et Saint-Christophe-la-Couperie avant de se jeter dans la Divatte comme le ruisseau de La Lisière qui court intégralement sur le territoire communal. Le ruisseau de la Trézenne, affluent de l'Èvre, prend sa source au village des Epinettes en limite du Fuilet. Le bourg du Puiset, au sud, est traversé par le Verret.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Le bourg du Puiset à (l'est) et le village des Gâtines (au nord) constituent les 2 principales zones urbanisées de ce territoire essentiellement rural[6].

Habitat[modifier | modifier le code]

En 2012, on trouvait 493 logements sur la commune du Puiset-Doré, dont 89 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 85 % des ménages en étaient propriétaires[7].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom composé de la commune a pour origine les noms de deux paroisses distinctes au XIe siècle : Puziacum et Doratum. Elles seront réunies au XIIe siècle.

L'étymologie du Puiset ferait référence aux petits puits de mines creusés sur son territoire pour l'extraction du fer. En effet, la présence de scories sur son sol trahit l'existence de telles installations[8],[9]. Le Doré quant à lui pourrait désigner la rivière ou la limite (orée) rappelant peut-être que ce territoire est historiquement placé sur la frontière entre Anjou et Bretagne[10].

Formes anciennes du nom :

  • Pour Le Puiset, Puziacum en 1052-1082, Capella Puziatum en 1052-1082, Puterlus en 1614 ;
  • Pour Doré, Doratum en 1032, Deaurata au XIe siècle[8] ;
  • Pour Le Puiset-Doré, Le Puizet Doré en 1793, Le Puiset-Doré en 1801[11],[Note 1].

Nom des habitants : Les Puiset-Doréens[12].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Plusieurs objets de l'âge du bronze et du 1er âge du fer attestant d'une présence humaine ont été retrouvés sur le territoire du Puiset-Doré[13] :

  • une hache à talon de type breton (Le Buisson) ;
  • une hache à rebord (Les Humeaux) ;
  • un aiguisoir en grès (Les Gastines).

Antiquité[modifier | modifier le code]

La découverte sur son territoire de gisements de scories résultant de la transformation du minerai de fer et d'un fragment de tuile à rebord atteste d'une activité humaine à l'époque gallo-romaine. L'exploitation minière du fer est confortée par le nom de champs s'y rapportant : la pièce des Forgettes[14], les Forgettes (entre Le Plessis-Bel-Air et La Pimpinière)[14], la Noue des Forgettes[14], Ecobue de Moue des Forgettes[14], le pré de la Forge[3] ou encore par l'étymologie même du nom de la commune[8].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au XIe siècle, les paroisses du Puiset et du Doré sont possédées en indivision probablement par les seigneuries du Petit-Montrevault et du Grand-Montrevault[15].

Période révolutionnaire[modifier | modifier le code]

Croix aux 56 victimes puiset-doréennes des colonnes infernales du , forêt de Leppo.

Au début de l'année 1794, les habitants de la commune sont victimes des massacres perpétrés par les colonnes infernales envoyées par la Convention pour ravager la Vendée militaire. Une vingtaine sont tuées dans le bourg ou emportées pour être exécutées dans les communes voisines.

Le , les soldats mettent le feu au bois de Leppo par la route de Montrevault. Les habitants qui s'y étaient réfugiés prennent alors la fuite vers Villeneuve mais ils sont surpris par un autre groupe de Républicains. Cinquante-six habitants, dont des enfants, sont tués dans ce bois[16] probablement aux côtés d'une cinquantaine d'autres habitants de la commune de Villeneuve aussi tués ce même jour[17].

XXIe siècle[modifier | modifier le code]

En 2014, un projet de fusion de l'ensemble des communes de l'intercommunalité se dessine. Le , les conseils municipaux de l'ensemble des communes du territoire communautaire votent la création d'une commune nouvelle baptisée Montrevault-sur-Èvre pour le [18], officialisée par arrêté préfectoral du [1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Administration actuelle[modifier | modifier le code]

Depuis le , Le Puiset-Doré constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Montrevault-sur-Èvre et dispose d'un maire délégué[1].

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
15 décembre 2015 En cours Laurent Hay[19],[20] DVD[21] Professeur en établissement technique du secondaire[21], Adjoint au tourisme et au patrimoine de la commune de Montrevault-sur-Èvre (2015-2020)[22]
Les données manquantes sont à compléter.

Administration ancienne[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[12]
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1953 Pierre Quentin    
mai 1953 mars 1989 Ivan Barbier du Doré    
mars 1989 juin 1995 Daniel Loger    
juin 1995 mars 2001 Joseph Petiteau    
mars 2001 mars 2008 René Ménard   Remplacé par Joseph Bourget (qui suit) en cours de mandat.
mars 2008 mars 2014 Joseph Bourget    
mars 2014 14 décembre 2015 Laurent Hay[23]    

Ancienne situation administrative[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Jusqu'au la commune est membre de la communauté de communes Montrevault Communauté[24], elle-même membre du syndicat mixte Pays des Mauges. L'intercommunalité cesse d'exister à la création de la commune nouvelle de Montrevault-sur-Èvre[1] et ses compétences lui sont transférées.

Autres circonscriptions[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 2014, Le Puiset-Doré fait partie du canton de Montrevault et de l'arrondissement de Cholet[25]. Ce canton de Montrevault comporte alors les onze même communes que l'intercommunalité. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Beaupréau, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[26].

Population et société[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28],[Note 2].

En 2013, la commune comptait 1 182 habitants, en augmentation de 7,75 % par rapport à 2008 (Maine-et-Loire : 3,2 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2381 1049911 2381 2271 2591 2681 3151 368
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3891 3501 3901 3691 3831 3121 3701 3741 287
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2471 2541 2391 0731 0591 0981 0421 0021 012
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2013
1 0019779559699689281 0531 1661 182
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (18,5 %) est en effet inférieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,3 % contre 48,7 % au niveau national et 48,9 % au niveau départemental).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

  • 51,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,9 %, 15 à 29 ans = 17 %, 30 à 44 ans = 26,3 %, 45 à 59 ans = 18,7 %, plus de 60 ans = 17 %) ;
  • 48,7 % de femmes (0 à 14 ans = 21,2 %, 15 à 29 ans = 18,7 %, 30 à 44 ans = 22 %, 45 à 59 ans = 17,9 %, plus de 60 ans = 20,1 %).
Pyramide des âges à Le Puiset-Doré en 2008 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90  ans ou +
1,4 
7,0 
75 à 89 ans
7,6 
9,8 
60 à 74 ans
11,1 
18,7 
45 à 59 ans
17,9 
26,3 
30 à 44 ans
22,0 
17,0 
15 à 29 ans
18,7 
20,9 
0 à 14 ans
21,2 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2008 en pourcentage[31].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90  ans ou +
1,1 
6,3 
75 à 89 ans
9,5 
12,1 
60 à 74 ans
13,1 
20,0 
45 à 59 ans
19,4 
20,3 
30 à 44 ans
19,3 
20,2 
15 à 29 ans
18,9 
20,7 
0 à 14 ans
18,7 

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un regroupement pédagogique intercommunal des écoles privées Le Puiset-La Chaussaire dont les sections d'enseignement primaire sont réparties sur deux communes : Le Puiset-Doré, pour la maternelle et le cours préparatoire, et La Chaussaire, du cours élémentaire 1re année au cours moyen 2e année[32].

Culture et loisirs[modifier | modifier le code]

On trouve plusieurs structure culturelles sur la commune : la bibliothèque A Doré Lire, du réseau de lecture publique de Montrevault-sur-Èvre, l'association socio-culturelle Évasion loisirs (théâtre, sorties et soirées organisées, foyer des jeunes) et l'association Que P'Asso (organisation de concerts)[33].

Sports[modifier | modifier le code]

Présence de plusieurs activités sportives sur la commune : Twirling club, Football club Fuilet Chaussaire, issu de la fusion de l'US Chaussaire Puiset-Doré et de l'Espoir fuiletais[34], Vélo club Puiset-Doréen, Karting club des Mauges[33].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Manifestations sur la commune : séances de variétés (représentations théâtrales entre janvier et février), fête du Vélo en juin[35], concerts et festivals Que P'Asso en mars, juin et novembre[36].

Économie[modifier | modifier le code]

Sur 81 établissements présents sur la commune à fin 2010, 49 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 5 % du secteur de la construction, 36 % de celui du commerce et des services et 4 % du secteur de l'administration et de la santé[37]. Trois ans plus tard, en 2013, sur les 69 établissements présents sur la commune, 35 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 9 % du secteur de l'industrie, 6 % du secteur de la construction, 46 % de celui du commerce et des services et 4 % du secteur de l'administration et de la santé[7].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château du Doré (XVIIIe siècle, privé), allée du château - Le Doré.
  • Église Saint-Martin-de-Tours (1830), Le Doré.
  • Église Saint-Christophe (fin XIXe siècle), place de l'Abbé-Orthion au Puiset.

On y trouve plusieurs objets inventoriés et classés : ciboire, calice, patène de la seconde moitié du XVIIIe siècle, dans l'église, coffret et ampoules aux saintes huiles du XVIIIe siècle dans l'église du Puiset[38].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason du Puiset-Doré

Parti : au premier de gueules au puits d'argent, au second de sinople à la fasce ondée d'or

Le blason communal a été réalisé en 1996 par Yannick Burban[43].

Blason avec ornements[modifier | modifier le code]

Blason du Puiset-Doré avec ornements

Parti : au premier de gueules au puits d'argent, au second de sinople à la fasce ondée d'or ; l'écu entouré de deux gerbes de blé d'or ; devise : Le Puiset-Doré.

Les deux partitions reflètent les deux villages du Puiset et du Doré. Le gueules rappelle les toitures de tuiles rouges typiques du sud de la Loire. Le puits d'argent symbolise l'origine probable du nom du Puiset qui proviendrait de l'exploitation de mines de fer. Le sinople illustre le caractère rural du Puiset-Doré. La fasce ondée d'or évoque la Divatte qui prend sa source au Doré. Les épis symbolisent l'agriculture, principale activité de la commune.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  2. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Préfecture de Maine-et-Loire, « Arrêté no DRCL-NCL-2015-59 en date du 5 octobre 2015 portant création de la commune nouvelle de Montrevault-sur-Èvre », Recueil spécial des actes administratifs de la préfecture de Maine-et-Loire, no 74 (pages 9 à 11),‎ (lire en ligne [PDF]).
  2. IGN et BRGM, Géoportail Le Puiset-Doré (49), consulté le 7 octobre 2012.
  3. a et b Serge Quentin et Christian de Villoutreys, Histoire du Fuilet, Le Puiset-Doré, Saint-Rémy-en-Mauges, Hérault Maulévrier, (OCLC 496576224), p. 15.
  4. Bruno Comentale, « Géomorphologie et paysages de l'argile. L'exemple des Mauges et des aires limitrophes de Loire-Atlantique. », Cahiers nantais, IGARUN (Institut de géographie et d'aménagement), nos 2011-2,‎ , p. 65-73 (OCLC 798366438, lire en ligne).
  5. Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement des Pays de la Loire (DREAL), « Rapport des l'inspection des installations classées - Bouyer Leroux Le Petit Buté », sur Préfecture de Maine-et-Loire, .
  6. « Montrevault-sur-Èvre : Document d'urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr, (consulté le ).
  7. a et b « Statistiques locales du territoire du Puiset-Doré (49252) », sur Insee, données 2012 (consulté le ).
  8. a b et c Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, , 398 p. (ISBN 2-84478-338-4, OCLC 57373029, BNF 39295447, lire en ligne), p. 136-137
  9. « Le Puits de Jacob, un drôle de nom d'école ! », sur ouest-france.fr, Ouest France, (consulté le )
  10. Mairie du Puiset-Doré, « Histoire, Géographie, et Economie », sur le-puiset-dore.fr (consulté le )
  11. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  12. a et b Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. III, Angers, H. Siraudeau, , 545 p. (ISBN 2-85672-008-0, lire en ligne), p. 337-339.
  13. Gérard Cordier et Michel Gruet, « L'Âge du Bronze et le Premier Âge du Fer en Anjou », Gallia préhistoire, vol. 18, no 1,‎ , p. 157-287 (ISSN 0016-4127, DOI 10.3406/galip.1975.1489, lire en ligne).
  14. a b c et d Ministère des Finances et des Comptes publics, « Service de consultation du plan cadastral », sur cadastre.gouv.fr (consulté le ).
  15. Teddy Véron, L'intégration des Mauges à l'Anjou au XIe siècle, Limoges, Pulim, , 403 p. (ISBN 978-2-84287-433-9, BNF 41112752), p. 110-111.
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  17. « Massacres du Fief-Sauvin et de Villeneuve », sur lechatdelavoisine.fr, , d'après les registres BMS de Villeneuve mis à disposition par les Archives départementales de Maine-et-Loire.
  18. « Montrevault-sur-Evre. Une 4e commune nouvelle dans les Mauges », sur Ouest France, .
  19. « Conseil municipal - Composition », sur Mairie de Montrevault-sur-Èvre (consulté le ).
  20. « Montrevault-sur-Èvre. Christophe Dougé, élu maire, présente ses adjoints », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
  21. a et b « Maire de Le Puiset-Doré (49) », sur mon-maire.fr (consulté le ).
  22. « Conseil Municipal : Composition », sur montrevaultsurevre.fr (consulté le ).
  23. Ouest-France, Un nouveau maire, Laurent Hay, article du 29 mars 2014.
  24. Insee, Composition de l'EPCI Montrevault Communauté (244900643), consulté le 10 octobre 2013.
  25. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Le Puiset-Doré, consultée le 12 février 2015.
  26. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  27. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
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  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
  30. « Évolution et structure de la population à Le Puiset-Doré en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  31. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  32. « A tout âge — A l'école 3-11 ans — Ecoles », sur Mairie de La Chaussaire (consulté le ).
  33. a et b « Liste des associations », sur Mairie du Puiset-Doré (consulté le ).
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  35. « Manifestations », sur Mairie du Puiset-Doré (consulté le )
  36. « Le Puiset-Doré. De nouveaux concerts et festivals avec Qué P’asso », Ouest France,‎ (lire en ligne, consulté le )
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  40. « Jean Sourice (1861-19..) », sur bnf.fr
  41. « Alfred Poilane (1870-1950) », sur bnf.fr
  42. « Pierre Douillard, filiation », sur GeneaNet (consulté le )
  43. Délibération du conseil municipal du Puiset-Doré du 5 janvier 1996.