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* {{en}} [http://www.fs.fed.us/database/feis/animals/mammal/uram/all.html WILDLIFE SPECIES: Ursus americanus] : nombreuses données sur le site du [[Service national des forêts aux États-Unis d'Amérique]]
* {{en}} [http://www.fs.fed.us/database/feis/animals/mammal/uram/all.html WILDLIFE SPECIES: Ursus americanus] : nombreuses données sur le site du [[Service national des forêts aux États-Unis d'Amérique]]
*{{en}} [http://www.mnh.si.edu/mna/image_info.cfm?species_id=415 Ursus americanus] : une fiche sur l’ours noir du National Museum of Natural History de Washington DC (carte, dessins, photographies document audio)
*{{en}} [http://www.sdnhm.org/fieldguide/mammals/ursu-ame.html Ursus americanus] : une fiche du zoo de San Diego (Californie)
*{{fr}} [http://www.hww.ca/hww2_f.asp?id=83 L’ours noir] sur Faune et flore du pays (site canadien) : fiche de renseignements, clip sonore, carte, bibliographie
*{{en}} [http://animaldiversity.ummz.umich.edu/site/accounts/information/Ursus_americanus.html Ursus americanus] sur Animal Diversity Web, Université du Michigan (USA)

===Bibliographie===
*P. Dubois, « L’ours noir. Une vieille connaissance encore mal connue », dans Forêt Conservation, magazine de l’AFQ et des clubs 4-H du Québec. Québec, 1992, (59)6:24–27.
*''Walker's Mammals of the World'', 4th Ed. Nowak, Ronald, M. and John L. Paradiso. 1983. Johns Hopkins University Press, Baltimore, MD.
*Catherine et Rémy Marion, ''Cap sur les ours'', Paris, Nathan, 1997, {{ISBN|209260870X}}
*Tom Anderson, ''Black Bear : Seasons in the Wild'', Voyageur Press, 1992, {{ISBN|0896582035}}
* George A. Feldhamer, Bruce C. Thompson, Joseph A. Chapman (éd.), ''Wild Mammals of North America: Biology, Management, and Conservation'', The Johns Hopkins University Press, 2nde edition, 2003, {{ISBN|0801874165}}
* Dave Taylor, ''Black Bears: A Natural History'', Fitzhenry and Whiteside, 2006, {{ISBN|1550418491}}
*Howard Smith, ''In the Company of Wild Bears: A Celebration of Backcountry Grizzlies and Black Bears'', The Lyons Press, 2006, {{ISBN|1592289525}}
*John J. Beecham, Jeff Rohlman, ''A Shadow in the Forest: Idaho's Black Bear'', University of Idaho Press, 1994, {{ISBN|089301172X}}
*Daniel J. Cox, ''Black Bear'', Chronicle Books, 1990, {{ISBN|0877017271}}
*Kiki Marmori, ''Les Ours'', Paris, Nathan, 2003, {{ISBN|2092610538}}


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Statut de conservation UICN

( LC )
LC  : Préoccupation mineure

Statut CITES

Sur l'annexe I de la CITES Annexe I , Rév. du 04/02/77

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L'ours noir (Ursus americanus) ou baribal est l'ours le plus commun en Amérique du Nord. Il se rencontre dans une aire géographique qui s'étend du nord du Canada et de l’Alaska au Mexique. Il est présent des côtes atlantiques aux côtes pacifiques de l’Amérique du Nord. On peut le rencontrer dans 39 des 50 États américains et dans toutes les provinces canadiennes. La population d’ours noirs était sans doute de deux millions d’individus autrefois. Aujourd’hui, l’espèce est protégée et on estime qu'il existe plus de 600 000 ours noirs sur ce continent.

Caractéristiques physiques

L'ours noir mesure généralement entre 140 et 200 cm de longueur[1]. Sa taille au garrot est comprise entre 100 et 120 cm[2].

L'ours noir est plus petit que l’ours polaire et l’ours brun. Sa masse dépend de l’âge, du sexe de l’animal et de la saison : en automne, l’ours noir grossit et fait des réserves de graisse afin de passer l’hiver. Les femelles pèsent entre 40 kg et 180 kg (moyenne de 70-80 kg[3] [2]), alors que les mâles font entre 115 et 275 kg (moyenne de 120 kg[3]). Un mâle de 400 kg a été trouvé dans le comté de Craven en Caroline du Nord[4].

La couleur du pelage varie du noir au blanc, en passant par de nombreuses nuances : chocolat, brun, cannelle, blond sont des couleurs plus fréquentes dans les forêts de l’ouest des États-Unis et du Canada[3],[1]que dans les régions de l’est. Au sud de l’Alaska et en Colombie-Britannique vit l’ours Kermode appelé aussi spirit bear[5], une sous-espèce d’ours noir dont la fourrure est d’un ton blanc crème. Des ours gris bleuté occupent la baie des Glaciers en Alaska[6]. Tous ces animaux appartiennent bien à l’espèce de l’ours noir américain. Les albinos sont très rares. Certains individus portent une ou plusieurs tâches blanches sur le cou ou sur la poitrine[2],[1]. L’ours noir mue et son épaisse le protège contre les piqûres des insectes et contre les rigueurs de l’hiver.

L'ours noir possède un museau brun


Les ours noirs sont capables de se tenir et de marcher sur leurs pattes arrière : celles-ci sont légèrement plus longues (13 à 18 cm[7]) que les pattes avant. Chaque patte est dotée de cinq doigts avec des griffes non rétractiles utilisées pour déchirer, creuser, gratter le sol et grimper aux arbres. Un coup d'une patte avant suffit à tuer un cerf commun adulte.

L’ours noir possède de petits yeux, des oreilles arrondies, un long museau pointu de couleur brune, des naseaux allongés et une queue relativement courte (8-14 cm[1]). Ses yeux sont marrons. La vue de l’ours noir n’est pas particulièrement bonne mais les expériences montrent qu’elle lui permet de distinguer les couleurs[4]. En revanche, son ouie et son odorat sont très développés ; sa langue agile et ses lèvres mobiles lui permettent de manger de petites baies et des fourmis. Enfin, son profil facial droit et son museau pointu le différencient du grizzli qui vit aussi en Amérique du Nord[2]. L’ours noir est en outre plus petit et ne possède par de bosse entre les épaules[2].


Parties caractéristique de l'ours blanc, brun et noir
A : tête d'un ours blanc B : patte avant C : patte arrière
D : tête d'un ours brun E : patte avant F : patte arrière
G : tête d'un ours noir H : patte avant I : patte arrière

Répartition et habitat

L’ours noir occupe un espace compris entre les régions septentrionales de l'Amérique du Nord (Alaska, Canada) et le Mexique, en passant par le territoire des États-Unis. Il se rencontre du littoral Atlantique à l’est aux côtes du Pacifique à l’ouest[8]. Même s’il préfère les forêts et les zones plantées d’arbustes, il peut s’adapter à des climats et des milieux naturels très variés : on le trouve aussi bien dans les marécages et les forêts subtropicales du sud-est des États-Unis (Louisiane, Alabama, Floride, etc.) que dans les hautes montagnes du sud-ouest, entre 900 et 3 000 mètres d’altitude[1] ou encore dans la toundra du Labrador[5]. Il habite encore dans les forêts mixtes du sud-est du Canada et du nord-est des États-Unis, mais également dans le sud des montagnes Appalaches. Il est en revanche quasiment absent des zones arides d’Amérique du Nord.

L’hiver passé, l’ours noir quitte son abri et se met en quête de nourriture au printemps à des altitudes moyennes et dans les vallées exposées au soleil. À mesure que l’été approche, il regagne des altitudes plus élevées[8]. La forêt constitue un milieu favorable pour l’ours noir qui peut s’y cacher et se protéger du soleil.

Comportement

L'ours est capable de nager

Mais malgré leur taille et leur masse, les ours noirs sont étonnamment agiles dans leurs mouvements. Ils se déplacent en fonction des saisons pour rechercher leur nourriture. Ils grimpent facilement aux arbres pour échapper au danger, grâce à leurs muscles dorsaux et à leurs griffes. Ils peuvent courir à 55 km/h[2]. L'ours est un animal plantigrade, c'est-à-dire qu'il marche en posant entièrement la plante des pieds sur le sol. Il utilise la démarche à l'amble. Il est en outre un excellent nageur et est capable de traverser un lac pour rejoindre une île.

Empreintes d'un ours noir

L'ours noir est la plupart du temps un animal solitaire sauf pendant la période de rut et dans la relation qu'entretient la mère avec ses oursons. Les ours peuvent se rassembler occasionnellement dans les zones d’abondance alimentaire. Ils sortent généralement le jour, sauf dans les secteurs où il y a beaucoup d’Hommes : il préfère alors la nuit pour les éviter.

Les mâles griffent les arbres pour communiquer pendant la saison de l’accouplement[2] et peut-être pour marquer leur territoire. Ils utilisent également leur odeur. Ce territoire varie entre 20 et 100 km²[5] et couvre ceux de plusieurs femelles. En cas de menace, les ourses poussent des plaintes ; les oursons émettent des cris ressemblant à des pleurs lorsqu'ils ont peur. Les adultes claquent des dents lorsqu’ils sont effrayés[4]. L'ours communique également par des expressions faciales et des positions particulières. Lorsqu'il se dresse sur ses pattes arrière, c'est pour flairer un danger, une odeur intrigante, ou avoir un meilleur point de vue.

L'ours noir est l'un des mammifères les plus intelligents de la planète[4] : ils sont dressés pour réaliser des numéros de cirque. Leur cerveau est relativement gros comparé à la taille de leur corps.

Les ours noirs passent l'hiver dans un état de somnolence : cela signifie qu'ils peuvent réagir à une attaque d'un autre animal. Lorsque les jours diminuent, ils sécrètent une hormone qui agit comme un somnifère. Le rythme cardiaque passe alors de 50 à 10 pulsations par minute[9]. La température du corps diminue légèrement (moins de 31°C, soit 6,8°C en dessous de la température corporelle d’été[4]) car la masse de l’ours est imposante (il perd donc moins facilement sa chaleur que les petits mammifères hibernant). Ils passent tout l'hiver sans manger, ni boire, ni uriner, ni déféquer[3],[4] et ressortent au printemps. Cet état de dormance dure de quatre à sept mois entre octobre et mai[8],[3],[9]. Cette durée varie en fonction du climat : plus l’hiver est long, plus la période de somnolence se prolonge. Aussi, celle-ci n'existe pas dans les régions du sud sauf pour les ourses enceintes[3]. L'ours peut perdre jusqu’à 30 % de son poids pendant l'hiver[2].

Régime alimentaire

Les ours noirs sont omnivores : les végétaux représentent 75 % de leur alimentation[5]. Ils mangent des graminées, des herbes, des fruits (noisettes, baies, pignons, fruits d'églantiers, pommes …), des glands et des faînes[10],[8]. Ils se nourrissent également de charognes, d’ insectes (guêpes, fourmis, abeilles, termites). Ils s’attaquent plus rarement à des rongeurs et des faons... Ils complètent leur régime alimentaire avec des saumons, des truites, des crabes et sont friands de miel. Les ours noirs s’approchent parfois des établissements humains (vergers, ruches, champs, poubelles, campings) pour trouver leur nourriture. Ils peuvent attaquer les moutons ou les cochons lorsqu’ils ne trouvent pas d’autre nourriture. Les ours doivent emmagasiner d'importantes réserves de graisse pour passer l'hiver. En automne, il peut consommer jusqu’à 20 000 calories par jour[7]. Ils ont également de grands besoins en eau[2].

Reproduction

Oursons (Ursus americanus)

Les femelles atteignent leur maturité sexuelle entre 2 et 9 ans contre 3 ou 4 ans pour les mâles[1]. Les ours noirs s’accouplent tous les deux ou trois ans environ[8]aux mois de mai-juin[8] et jusqu’en août dans les forêts de feuillus de l’est[4].

La gestation dure généralement 6 ou 7 mois[8]. Le développement de l’embryon commence dix semaines après l’accouplement[1] : cette implantation différée permet d'éviter les naissances en automne[11].

Les oursons naissent de la fin novembre à février[8] dans la tanière. Chaque portée compte en moyenne un ou deux oursons[8] et jusqu’à 6 dans l’est des États-Unis[4]. Ils pèse entre 200 à 450 grammes[3],[1], en moyenne 350 grammes[5]. Ils mesurent 15 à 20 cm à la naissance[2]. Les petits viennent au jour sans poils, avec les yeux bleus et aveugles[4]. Ils sont nourris avec le lait maternel et tenus propres dans la tanière pendant l’hiver. Les femelles allaitent en position assise.

Lorsqu’ils sortent de la tanière au printemps, les jeunes pèsent entre 2 et 5 kg[1],[5] ; ils sont sevrés au bout de 6 à 8 mois[1]. Ils ne quittent leur mère qu’à l'âge de 16 ou17 mois[2] parfois 29 mois[4]. Leur survie dépend de l’aptitude de la mère à leur enseigner à chasser et à trouver un repaire. La mère apprend à ses oursons à grimper aux arbres pour échapper aux prédateurs. Elle s'occupe aussi de la tanière qui permet de passer l'hiver.

Prédateurs

Les prédateurs des ours noirs sont bien sûr l’homme, mais aussi l’ours brun et d'autres ours noirs, notamment les mâles en manque de nourriture. Les coyotes peuvent attaquer les oursons, lorsqu'ils sont en bande. Les incendies de forêt, en été, peuvent également menacer les ours noirs. Pendant longtemps, les ours noirs ont été méconnus et craints. Mais ils ont été aussi transformés en jouets (Teddy Bears, Theodore Roosevelt) et en héros de dessins animés…

Classification et sous-espèces

Ours noir en Louisiane
Fichier:White ursus americanus.jpg
L'ours kermode n'est pas un albinos. Il appartient bien à l'espèce Ursus americanus
  • Altifrontalis américanus d'Ursus : la côte nord-ouest du Pacifique, depuis la Colombie-Britannique au nord de la Californie jusqu’au nord de l'Idaho.
  • Amblyceps américanus d'Ursus :le Colorado, le Mexique, le Texas occidental et la moitié orientale de l'Arizona ; l'Utah du sud-est
  • Américanus américanus d'Ursus :du Montana oriental jusqu’à l'Océan atlantique; du sud et de l'est de l'Alaska, le Canada jusqu’à l'Océan atlantique et au sud vers le Texas

Californiensis américanus d'Ursus : la vallée centrale de la Californie, sud de l'Orégon

  • Carlottae américanus d'Ursus : Alaska
  • Cannelle américanus d'Ursus : L'Idaho, le Montana occidental, et le Wyoming, Washington oriental et l'Oregon, Utah du nord-est
  • Emmonsii américanus d'Ursus :l'Alaska du sud-est
  • Eremicus américanus d'Ursus :le Mexique du nord-est
  • Floridanus américanus d'Ursus (ours noir de la Floride) : La Floride, la Géorgie méridionale et l'Alabama
  • Hamiltoni américanus d'Ursus : l'île de Terre-Neuve
  • Kermodei américanus d'Ursus : la côte centrale de la Colombie-Britannique
  • Luteolus américanus d'Ursus (ours noir de la Louisiane): Texas oriental, Louisiane, Mississippi méridional
  • Machetes américanus d'Ursus : le Mexique
  • Perniger américanus d'Ursus : Péninsule de Kenai, Alaska
  • Pugnax américanus d'Ursus : Archipel D'Alexander, Alaska
  • Vancouveri américanus d'Ursus : Île De Vancouver, Colombie Britannique

Protections

Aujourd'hui, l'ours noir américain est chassé illégalement pour fournir des fourrures au marché asiatique : ses pattes auraient une valeur médicinale en Chine, au Japon et en Corée. Tandis que les ours noirs sont abondants dans l’ouest des États-Unis, quelques populations orientales sont de plus en plus rares et en voie de disparition. Deux sous-espèces ont été trouvé au sud-est des États-Unis : l'ours noir de Louisiane et l'ours noir de Floride pour lequel des corridors biologiques sont protégés et de écoducs ont été réalisés, mais ils sont en voie d’extinction. L'ours noir américain est protégé par la Loi dans les états concernés (Louisiane, Mississippi, Texas).

Divers

  • L'ours noir est la mascotte de l'université du Maine.
  • L'une des 3 mascottes des Jeux Olympiques d'hiver de 2002 à Salt Lake City était un ours noir du nom de Coal (charbon).
  • Le kermodei américanus d'Ursus est une sous-espèce blanche extrêmement rare trouvée dans des forêts de la côte nord-ouest de l’Amérique du Nord. La tradition indigène attribue à ces animaux une puissance surnaturelle.
  • En août 2004, un ours noir sauvage a été trouvé ivre après avoir bu 36 canettes de bière dans l’état de Washington, au nord-ouest des États-Unis. L’ours avait ouvert la glacière d’un campeur et utilisé ses griffes et ses dents pour perforer les canettes.

Voir aussi

Notes

  1. a b c d e f g h i et j (en) « Ursus americanus », Université du Michigan (consulté le )
  2. a b c d e f g h i j et k (fr) « L’ours noir », Faune et flore du pays (consulté le ) Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « Faune » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  3. a b c d e f et g (en) « Ursus americanus », National Museum of Natural History de Washington DC (consulté le )
  4. a b c d e f g h i et j (en) « Black Bear Facts », Bear.org (consulté le )
  5. a b c d e et f Catherine et Rémy Marion, Cap sur les ours, Paris, Nathan, 1997, p.36
  6. Catherine et Rémy Marion, Cap sur les ours, Paris, Nathan, 1997, p.38
  7. a et b Catherine et Rémy Marion, Cap sur les ours, Paris, Nathan, 1997, p.41
  8. a b c d e f g h et i (en) « WILDLIFE SPECIES: Ursus americanus », Service national des forêts aux États-Unis d'Amérique (consulté le )
  9. a et b Catherine et Rémy Marion, Cap sur les ours, Paris, Nathan, 1997, p40.
  10. Charles Jonkel, « Black, brown (grizzly) and polar bears », dans John L. Schmidt, Douglas L. Gilbert (éd), Big game of North America, Harrisburg, PA, Stackpole Books, 1978, pp.227-248
  11. Catherine et Rémy Marion, Cap sur les ours, Paris, Nathan, 1997, p.16

Liens externes

Bibliographie

  • P. Dubois, « L’ours noir. Une vieille connaissance encore mal connue », dans Forêt Conservation, magazine de l’AFQ et des clubs 4-H du Québec. Québec, 1992, (59)6:24–27.
  • Walker's Mammals of the World, 4th Ed. Nowak, Ronald, M. and John L. Paradiso. 1983. Johns Hopkins University Press, Baltimore, MD.
  • Catherine et Rémy Marion, Cap sur les ours, Paris, Nathan, 1997, (ISBN 209260870X[à vérifier : ISBN invalide])
  • Tom Anderson, Black Bear : Seasons in the Wild, Voyageur Press, 1992, (ISBN 0896582035)
  • George A. Feldhamer, Bruce C. Thompson, Joseph A. Chapman (éd.), Wild Mammals of North America: Biology, Management, and Conservation, The Johns Hopkins University Press, 2nde edition, 2003, (ISBN 0801874165)
  • Dave Taylor, Black Bears: A Natural History, Fitzhenry and Whiteside, 2006, (ISBN 1550418491)
  • Howard Smith, In the Company of Wild Bears: A Celebration of Backcountry Grizzlies and Black Bears, The Lyons Press, 2006, (ISBN 1592289525)
  • John J. Beecham, Jeff Rohlman, A Shadow in the Forest: Idaho's Black Bear, University of Idaho Press, 1994, (ISBN 089301172X)
  • Daniel J. Cox, Black Bear, Chronicle Books, 1990, (ISBN 0877017271)
  • Kiki Marmori, Les Ours, Paris, Nathan, 2003, (ISBN 2092610538)

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