Ypreville-Biville

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Ypreville-Biville
Ypreville-Biville
La mairie.
Blason de Ypreville-Biville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Communauté d'agglomération Fécamp Caux Littoral Agglomération
Maire
Mandat
Amélie Dehais
2020-2026
Code postal 76540
Code commune 76755
Démographie
Gentilé Yprevillais, Yprevillaises
Population
municipale
555 hab. (2021 en diminution de 3,81 % par rapport à 2015)
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 41′ 41″ nord, 0° 32′ 03″ est
Altitude Min. 70 m
Max. 131 m
Superficie 10,2 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Fécamp
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fécamp
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Ypreville-Biville
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Ypreville-Biville
Liens
Site web http://www.mairie-ypreville-biville.sitew.com/

Ypreville-Biville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime, en région Normandie.

Géographie

Ypreville-Biville est une commune située dans le département de la Seine-Maritime (région Normandie). La ville d'Ypreville-Biville appartient au canton de Valmont et à l'arrondissement du Havre. Les habitants d'Ypreville-Biville s'appellent les Yprevillais. Elle se situe géographiquement à une altitude de 126 mètres environ.

Communes les plus proches d'Ypreville-Biville (toutes en Seine-Maritime) :

  • Sorquainvillen, à 2,0 km ;
  • Limpiville, à 2,3 km ;
  • Thiétreville, à 2,8 km ;
  • Bennetot, à 2,8 km ;
  • Trémauville, à 3,4 km ;
  • Tocqueville-les-Murs, à 3,7 km ;
  • Bénarville, à 3,7 km ;
  • Thiergeville, à 3,9 km ;
  • Riville, à 4,1 km ;
  • Daubeuf-Serville, à 4,1 km.

Météo sur Ypreville-Biville : station située à Vittefleur (15,7 km à vol d'oiseau).

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,7 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,9 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 914 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 109,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 59 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

Urbanisme

Typologie

Ypreville-Biville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fécamp, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85 %), zones agricoles hétérogènes (9 %), forêts (3,2 %), prairies (2,8 %)[19].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

Toponymie

Ypreville : est attesté sous les formes Ypram Villam en 1032 et 1035; Isprevillae vers 1240; In parrochia Beati Michaelis de Yprevilla en 1278[21]; Ecclesia Beati Michaelis de Yprevilla 1315[21]; Yprevilla en 1319[22]; Ypreville en 1517 et 1518[23]; Saint Michel d'Ypreville en 1713[24]; Ypreville en 1715 (Frémont), en 1757 (Cassini); Ypreville-Biville en 1953[25].

Biville : est attesté sous les formes Buie villam en 1052 et 1055; Buevilla entre 1226 et 1254; Buievilla en 1252 et 1255[26]; Buevilla en 1302[26]; Buivilla vers 1240; Buiville en 1319, 1337, 1398 et 1431; Ecclesia de Buyvilla 1374[27]; Buyville en 1433[28]; Ecclesie Sancti Martini de Buivilla en 1434[29]; Biville en 1472[30]; Buyville en 1426[31]; Saint Martin de Biville la Martel en 1713[32]; Buiville en 1648; Biville en 1704; Biville la Martel en 1738 (Pouillés); Biville en 1715 (Frémont); Moulin de Biville en 1757 (Cassini); Biville en 1953[33].

Histoire

Faisait partie de 1973 à 1978 de l'éphémère commune de Saint-Michel-en-Caux. Avait été formé en 1825 par fusion des deux paroisses d'Ypreville ("Ypram Villam" en 1032/35) et Biville-la-Martel ("Buie Villam" en 1032/35), et devenu en 1973 le chef-lieu de la nouvelle commune de Saint-Michel-en-Caux. 902 habitants en 1851. Possédait trois chapelles, démolies en 1369 et 1738. Les écoles, citées en 1418, étaient à la nomination de l'abbé de Fécamp.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1902   M. Niel    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Philippe Monville    
mars 2008 juin 2017[34] Alain Anquetil SE Vice-président de la CC du canton de Valmont (2014 → 2016)
Mandat écourté par la démission de conseillers municipaux puis du maire
octobre 2017[35] mai 2020 Bruno Robert   Retraité d'd’ExxonMobil
mai 2020[36],[37] En cours
(au 10 août 2020)
Amélie Déhais   Institutrice et directrice d'école

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

En 2021, la commune comptait 555 habitants[Note 8], en diminution de 3,81 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
510506547593842922881871888
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
869867861773753726706699652
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
626606617545504505500512502
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
429409378432431451492559578
2021 - - - - - - - -
555--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

L'école.

Vie associative et sportive

La salle des fêtes.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Château de Biville.
  • Église Saint-Michel d'Ypreville : clocher carré XVIIe, nef gothique rétrécie au XVIIIe, primitivement bâtie fin XIIe.
  • Ruines de la chapelle Saint-Martin à Biville, romane XIe/XIIe: corniche à modillons sculptés, portail XVIIe.
  • Tombeaux XIVe dans le cimetière
  • Mémorial des morts pour la France dans l'église.
  • Monument aux morts dans le cimetière.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Armes de Ypreville-Biville

Les armes de la commune de Ypreville-Biville se blasonnent ainsi :

Écartelé de sinople et d’argent, chargé au 1 d’une aigle d’or / au 2 d’une fleur de lys d’azur / au 3 d’un maillet de gueules / au 4 d’un lion d’or armé et lampassé de gueules.

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  7. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Ypreville-Biville et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Ypreville-Biville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Fécamp », sur insee.fr (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  21. a et b Archives départementales de la Seine-Maritime, 7 H.
  22. Archives de Seine-Maritime G. 3267.
  23. Archives de Seine-Maritime G. 305.
  24. Archives de Seine-Maritime G. 737.
  25. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 1081.
  26. a et b Archives de Seine-Maritime 19 H.
  27. Archives de Seine-Maritime, G 7 f. 279.
  28. Archives de Seine-Maritime, G 3267-3268.
  29. Archives de Seine-Maritime, 7 H.
  30. Archives de Seine-Maritime, G 1634.
  31. Archives de Seine-Maritime, G 27-28.
  32. Archives de Seine-Maritime, G 737.
  33. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 84.
  34. Sylvie Gesquière, « Le maire d’Ypreville-Biville, Alain Anquetil, jette l’éponge : Alain Anquetil ne préside plus aux destinées du village. Sa démission est officielle depuis mardi », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L’élu (sans étiquette) qui présidait aux destinées de la commune depuis 2008, a également annoncé qu’il ne siégerait plus au conseil municipal. Un conseil qui l’avait mis en minorité, à la suite de la fronde et de la démission fin 2016 de la majorité de ses membres. En cause : la fiscalité intercommunale appliquée à un projet de parc éolien dans le village ».
  35. « Bruno Robert, le nouveau maire d’Ypreville-Biville : Bruno Robert, le nouveau maire, succède à Alain Anquetil, à la tête d’Ypreville-Biville. Après des mois de turbulences, causées en partie par le projet éolien, le village semble avoir retrouvé sa sérénité », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Seul candidat pour le poste de premier magistrat, Bruno Robert est élu, sans suspense. Avec treize voix (deux suffrages se sont portés sur Amélie Déhais). Âgé de 61 ans, ce retraité, ancien d’ExxonMobil, était entré au conseil municipal d’Ypreville en 2014. « J’ai été le premier à démissionner le 12 décembre 2016, rappelle-t-il. C’était pour raison personnelle, à cause du problème éolien : l’Ifer n’avait pas été reversé à la commune ».
  36. « Municipales 2020. La première adjointe d’Ypreville-Biville, tête de liste : Amélie Dehais, adjointe d’Ypreville-Biville depuis 3 ans, est prête à prendre la relève du maire sortant Bruno Robert, qui ne brigue pas de nouveau manda », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. Sylvie Gesquiere, « Municipales 2020. À Ypreville-Biville, Amélie Déhais, une nouvelle maire sur tous les fronts : Elle mène de front son engagement pour sa commune, ses responsabilités dans l'Éducation nationale et sa vie de famille. Rencontre avec Amélie Dehais, la nouvelle maire d'Ypreville-Biville », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « « Je suis entrée au conseil municipal en 2014, raconte-t-elle. Alain Anquetil, qui était maire à ce moment-là, m’avait demandé d’être sur sa liste. Il cherchait des femmes. Et mon expérience en tant qu’institutrice l’intéressait (...) D’abord conseillère municipale, Amélie Déhais devient première adjointe en octobre 2017, aux côtés de Bruno Robert, le nouveau maire ».
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.