Věra Soukupová

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Vera Soukupová
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Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (92 ans)
PragueVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
Věra SoukupováVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Autres informations
Tessiture
Label
Distinction
Artiste national (d) ()Voir et modifier les données sur Wikidata

Věra Soukupová (Prague, ) est une mezzo-soprano tchèque[1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Née à Prague, Věra Soukupová étudie le chant au conservatoire de Prague et, en privé, avec Luis Kadeřábek et A. Mustanová-Linková. Elle remporte plusieurs concours, dont celui de Prague (1954), le concours de chant de Toulouse (1958), la compétition au Festival du Printemps de Prague (1960) et le concours de chant de Rio de Janeiro (1963). Elle commence sa carrière d'artiste en récitals entre 1955 et en 1957, et fait ses débuts sur scène au Divadlo Josefa Kajetána Tyla (cs), le théâtre  de Plzeň. En 1960 Soukupová devient principale artiste du Théâtre national de Prague qui reste à son domicile principal[1]. Elle y chante Georges Bizet (Carmen, Bedřich Smetana (Tajemství, Hubička, Libuše), Antonín Dvořák (Le Diable et Catherine), Giuseppe Verdi (Don Carlos, Aida, Rigoletto).

Parallèlement, elle est nommée soliste de la Philharmonie tchèque et chante sous la direction de Karel Ančerl, Václav Neumann, Martin Turnovský, Zdeněk Mácal.

Discographie[modifier | modifier le code]

À l'opéra
Vidéo

Notes et références[modifier | modifier le code]

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Věra Soukupová » (voir la liste des auteurs).
  1. a et b Soukupova, Věra Biography at operissimo.com
  2. Lors d'une des rééditions de ce disque mythique, il se voyait attribuer un « Choc » par Gérard Belvire dans le magazine Le Monde de la musique no 165 et un « 10 » dans le magazine Répertoire, no 56, mars 1993, p. 64 par Stéphane Friédérich : « Avec le chef tchèque nous sommes sur les cimes. […] Soukupova impose une vision d'une humanité […] poignante [et sa voix] suggère le désespoir du Chant des morts. »
  3. a et b Discographie de Libuše
  4. Discographie de Rusalka

Liens externes[modifier | modifier le code]