Utilisateur:LMats/Brouillon

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Liste de tâches[modifier | modifier le code]

  • Revoir les albums de Tintin pour les porter à l'AdQ ? Secret, Etoile, Affaire.
  • Développer Amérique, Coke, Lune x2, Or noir.
  • Développer le portail Blake et Mortimer ?
  • Créer des articles détaillés pour certains personnages de Blake et Mortimer. Miloch ? Nasir ?
  • Relecture et approfondissement Léon Gambetta.

Hergé[modifier | modifier le code]

106 : première reconnaissance 180 : projets divers 275 : collaboration/résistance

Schuurman : 455 Studios, 470 lecture de la BD, 490 macrovignettes

Clemenceau[modifier | modifier le code]

  • chapitre 3 : position sur la Commune, les institutions républicaines
  • chapitre 4 : éloquence
  • p118-119 : programme de réformes réalisées plus tard + p125, 126
  • p272 : Clemenceau écrivain
  • p410 : évolution politique Le Temps
  • p445 : caractère CLemenceau

Van Melkebeke[modifier | modifier le code]

  • Art social, manque d'assurance...
  • Avis critique sur l'art p99
  • qualité des oeuvres p182
  • p187-189 : difficultés conjuguales

Citations[modifier | modifier le code]

Et maintenant, entre Olrik et moi, commence une lutte sans merci ! Je vengerai Blake et j'éluciderai le mystère de la Grande Pyramide !
Philip Mortimer dans Le Mystère de la Grande Pyramide, Edgar P. Jacobs, éd. Le Lombard, 1954, t. 1, p. 56

1[modifier | modifier le code]

Et maintenant, entre Olrik et moi, commence une lutte sans merci ! Je vengerai Blake et j'éluciderai le mystère de la Grande Pyramide !
Philip Mortimer dans Le Mystère de la Grande Pyramide, Edgar P. Jacobs, éd. Le Lombard, 1954, t. 1, p. 56

2[modifier | modifier le code]

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test 1[modifier | modifier le code]

est une série d'albums de bande dessinée créée par le dessinateur belge Edgar P. Jacobs en 1946 et reprise après sa mort en 1987 par plusieurs auteurs.

Wikipédia lui consacre 0 articles.
Les personnages de Blake et Mortimer peints sur une fresque murale du parcours BD de Bruxelles.

Lumière sur[modifier | modifier le code]

Edgar Jacobs[modifier | modifier le code]

Edgard Félix Pierre Jacobs, dit Edgar P. Jacobs, né le à Bruxelles, mort le à Lasne, est un auteur de bande dessinée belge, principalement connu pour la série Blake et Mortimer, l'une des bandes dessinées européennes les plus populaires du XXe siècle.

Étudiant de l'Académie royale des beaux-arts, Edgar P. Jacobs est également passionné d'opéra. Il tente une brève carrière de chanteur lyrique, d'abord comme choriste au music-hall puis en interprétant des rôles secondaires à l'Opéra de Lille, tout en gagnant sa vie en illustrant des catalogues publicitaires. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il publie plusieurs dessins dans l'hebdomadaire Bravo ! puis est chargé, dans ce même magazine, d'achever une aventure de Gordon l'Intrépide à la place de l'auteur Alex Raymond, dont les planches ne parviennent plus en Belgique. Il crée par ailleurs sa première bande dessinée, Le Rayon U, qui connaît un certain succès.

Son utilisation novatrice de la couleur séduit ses confrères. Edgar P. Jacobs devient le premier collaborateur d'Hergé et participe à la refonte des premiers albums des Aventures de Tintin, tout en l'aidant dans la conception de ses nouvelles aventures, en particulier Les Sept Boules de cristal et Le Temple du Soleil. Il intègre l'équipe du Journal de Tintin à sa création, et en devient rapidement l'un des auteurs-phares avec Le Secret de l'Espadon, première aventure de Blake et Mortimer. Il se consacre à cette série jusque dans les années 1970, pour un total de huit aventures, mais en raison d'une santé déclinante, il ne peut entreprendre la réalisation graphique du second tome de la dernière aventure, Les Trois Formules du professeur Satō, qui est achevé quelques années après sa mort par Bob de Moor.

Si Edgar P. Jacobs est considéré comme l'un des plus grands auteurs de la bande dessinée belge et européenne, il a longtemps souffert d'un manque de reconnaissance et a toujours considéré sa carrière de dessinateur comme une véritable « damnation », lui qui rêvait d'une carrière de baryton. Sa passion pour l'art lyrique, en particulier le Faust de Charles Gounod, détermine sa conception de la bande dessinée, qu'il perçoit comme un opéra de papier. Son œuvre, marquée par le fantastique et la science-fiction, puise dans de nombreuses références culturelles et littéraires, en particulier les romans de H. G. Wells et Jules Verne, de même que les chefs-d'œuvre du cinéma expressionniste allemand, des passions qu'il partage avec son ami de toujours, Jacques Van Melkebeke, qui l'aide à faire naître ses scénarios. De ces références naît une œuvre visionnaire et futuriste, empreinte de fantastique et d'ésotérisme, qui accorde une large place à la crainte du déclin occidental, aux progrès de la science comme aux petits mystères du quotidien.

Perfectionniste et méticuleux, Edgar P. Jacobs s'attache au réalisme et à l'authenticité de ses récits en images, qu'il appuie sur une abondante documentation, parfois établie par des déplacements sur les lieux de ses intrigues. Il préfère travailler seul et ne sollicite que rarement l'aide de ses confrères, principalement pour des tâches mineures comme l'encrage et la colorisation. Après sa mort, Les Aventures de Blake et Mortimer sont reprises par de nouveaux auteurs, de sorte que la série compte alors plus d'albums inventés par les successeurs de Jacobs que par le créateur de la série lui-même.

La Marque jaune[modifier | modifier le code]

Fresque murale du parcours BD de Bruxelles reproduisant la couverture de l'album, réalisée en 2005 par Art Mural.
Fresque murale du parcours BD de Bruxelles reproduisant la couverture de l'album, réalisée en 2005 par Art Mural.

La Marque jaune est la troisième aventure et le sixième album de la série de bande dessinée Blake et Mortimer, créée par le dessinateur belge Edgar P. Jacobs. L'histoire est d'abord pré-publiée dans Le Journal Tintin du au , au rythme d'une planche par semaine, avant d'être éditée en album en aux Éditions du Lombard, puis rééditée en aux Éditions Blake et Mortimer.

Dans cette aventure, le capitaine Francis Blake et son ami le professeur Philip Mortimer enquêtent sur les méfaits d'un mystérieux criminel, surnommé la Marque Jaune en raison de la signature qu'il appose à la craie jaune sur les lieux de ses crimes. La nécessité de retrouver l'individu se fait plus pressante lorsqu'il enlève quatre notables londoniens au nez et à la barbe de la police. La Marque jaune est la première aventure de la série qui se déroule entièrement au Royaume-Uni. Pour composer les décors de son album, Edgar P. Jacobs effectue un repérage sur place et cherche à s'imprégner au mieux de l'ambiance londonienne pour représenter fidèlement la capitale britannique. Le scénario, qui doit beaucoup aux échanges entre l'auteur et son ami Jacques Van Melkebeke, s'inscrit dans une longue tradition cinématographique et littéraire, empruntant notamment de nombreuses références au cinéma expressionniste allemand des années 1920.

L'album, considéré comme le plus abouti et le plus emblématique de Jacobs, est reconnu comme un chef-d'œuvre de la bande dessinée franco-belge. Salué pour le suspense de son intrigue, qui maintient une tension permanente autour de l'insaisissable criminel et du personnage de savant fou du Dr Septimus, comme pour la qualité de sa réalisation graphique, il occupe une place essentielle dans l'œuvre du dessinateur et sert en quelque sorte de matrice pour les autres aventures de la série. Le réalisme expressif de Jacobs, sa précision du détail, son traitement de la couleur et la rigueur de ses compositions ont fait l'objet de nombreuses études.

La Marque jaune est traduit dans près d'une dizaine de langues. L'aventure, adaptée en feuilleton radiophonique, en dessin animé et en jeu vidéo, a fait l'objet de plusieurs projets de films. Sa couverture emblématique a inspiré de nombreux dessinateurs et subi de nombreux détournements. Elle est notamment reproduite sur une fresque dédiée à la série dans le parcours BD de Bruxelles.

Jonathan Septimus[modifier | modifier le code]

Le professeur Jonathan Septimus est un personnage de fiction de la série Blake et Mortimer, créé par le dessinateur belge Edgar P. Jacobs. Il apparaît pour la première fois dans La Marque jaune, troisième aventure et sixième album de la série dont la prépublication dans le magazine Tintin commence le .

Psychiatre londonien, le Dr Septimus fréquente la bonne société du Centaur Club mais ses allures de gentleman masquent sa vraie personnalité et son désir de vengeance. Ses travaux sur le contrôle de l'esprit humain qu'il publie sous le pseudonyme du Dr Wade dans les années 1920 suscitent l'indignation et les moqueries des journalistes comme de la communauté scientifique. Un temps exilé au Soudan, il revient à Londres avant le déclenchement de la Troisième Guerre mondiale pour exercer son châtiment. Dans son laboratoire secret, il met au point le « télécéphaloscope », un appareil qui utilise « l'onde Méga » pour contrôler à distance le cerveau d'Olrik, le commander et lui imposer de commettre une série de méfaits qu'il signe de la lettre μ tracée à la craie jaune. Septimus est finalement démasqué par le professeur Mortimer, avant que sa créature ne se retourne contre lui et l'anéantisse au moyen de sa propre invention.

Véritable incarnation du Mal, Jonathan Septimus est le premier savant fou des aventures de Blake et Mortimer. Son personnage s'inscrit dans une longu tradition littéraire et cinématographique de scientifiques maudits, à l'image du docteur Jekyll, du docteur Mabuse ou du docteur Caligari.

Les Aventures de Tintin[modifier | modifier le code]

Révision du plan pour aboutir à :

  • Historique de la série
  • Publications (ensemble, historique des publications et traductions)
  • Univers de la série (voyage, sociétés secrètes, fantastique et SF, etc)
  • Analyse (narratif (méthode de travail, ingrédients et procédés récurrents comme les coupures de presse, humour), graphisme, portée philosophique
  • Inspirations ?
  • Critiques contre la série
  • Aspects économiques...à fusionner avec la section hommage/postérité ou à séparer ?
  • Adaptations

Gambetta[modifier | modifier le code]

  • Bordeaux et la défense nationale, Eric Bonhomme
  • Le cerveau de Gambetta
  • Ferry et Gambetta face au positivisme
  • Gambetta et les Républicains nantais
  • Gambetta et la politique coloniale (Ageron)
  • FGambetta, un exemple de chef charistmatique
  • Blessure et maladie de Gambetta
  • Paula Cossart : l'éloquence de Gambetta

Tintin[modifier | modifier le code]

À garder sous le coude[modifier | modifier le code]

  • Aventures de Tintin : HS Bx-Arts/Figaro -> étapes du dessin, étapes de la création, véhicules (avion Carreidas) + destruction de l'art (Serres)
  • Aventures de Tintin : plan d'analyse = style narratif (thèmes récurrents, conception d'une planche (rythme feuilleton, contrainte), inspirations littéraires,etc)...séparer les thèmes récurrents dans une section Univers de la série ?
  • Dans Les Mystères du LB, définition ligne claire

p580-581 : vol expo Tintin

  • Historia1 : transformation des personnages auprès de Tintin (intro)

Thèmes à développer dans de nouveaux articles ?[modifier | modifier le code]

  • Thématique des Aventures de Tintin : aventure à caractère exotique, Tintin voyageur du monde...complots/sociétés secrètes, trafic, enquête policière, paranormal, folie, art, faux (dupondt, fétiche, karaboudjan, déguisements...), amitié, enfant enlevé à ses parents, voyage/merveilleux géographique, actualité/histoire, la mer, sciences/progrès ?... rêve ? accidents ? humour ? pouvoir ? identité ?
  • Femmes dans les Aventures de Tintin ?
  • Alcool ?

Thématique[modifier | modifier le code]

  • enquête policière/trafic : Cigares, Lotus, Oreille, Sceptre
  • société secrète : Cigares, Lotus, Oreille, Sceptre
  • paranormal : Cigares, Lotus
  • folie : Cigares, Lotus
  • mer : Cigares, Lotus
  • rêve : Cigares
  • acutalité/histoire : Lotus, Oreille, Sceptre
  • amitié : Lotus
  • enfant enlevé à ses parents : Lotus
  • accidents
  • art : Oreille
  • pouvoir : Sceptre

La folie[modifier | modifier le code]

La folie[1].

  1. Serge Tisseron, « Images de démence ordinaire », dans Tintin et les forces obscures, p. 111-113.