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=== Transmission ===
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Une première étude des 425 premiers cas, parue dans ''[[The New England Journal of Medicine]]'', montre que la transmission inter-humaine est apparue dès la mi-décembre 2019<ref>{{Article |langue=en |prénom1=Qun |nom1=Li |prénom2=Xuhua |nom2=Guan |prénom3=Peng |nom3=Wu |prénom4=Xiaoye |nom4=Wang |titre=Early Transmission Dynamics in Wuhan, China, of Novel Coronavirus–Infected Pneumonia |périodique=New England Journal of Medicine |date=2020-01-29 |issn=0028-4793 |issn2=1533-4406 |doi=10.1056/NEJMoa2001316 |lire en ligne=http://www.nejm.org/doi/10.1056/NEJMoa2001316 |consulté le=2020-02-05 |pages=NEJMoa2001316 }}</ref>.


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Version du 5 février 2020 à 11:35

La pneumonie de Wuhan est le nom donné par l'infection provoqué par le coronavirus 2019nCov responsable d'une épidémie en 2020.

Incubation

La période d'incubation semble être inférieure à quatorze jours, comprise entre quatre et sept jours. La période de quatorze jours est la limite maximale de sécurité permettant de savoir si une personne est infectée ou non. Ces estimations s'appuient sur les observations du coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS)[1].

L'OMS estime que la période d'incubation dure probablement autour de cinq jours, entre deux et dix jours[2].

Le , Dr Odile Launay, infectiologue à l'hôpital Cochin (Paris), déclare qu'« on peut être contagieux avant même d'avoir des signes cliniques », voire, comme avec la grippe, des personnes « asymptomatiques [peuvent également être contagieuses] ». « On sait maintenant que les cas secondaires sont de plus en plus fréquents », ajoute-t-elle, « que les délais d'incubation sont beaucoup plus courts, à peu près cinq jours[3] ».

Transmission

Une première étude des 425 premiers cas, parue dans The New England Journal of Medicine, montre que la transmission inter-humaine est apparue dès la mi-décembre 2019[4].

La durée de vie du virus hors organisme est quant à elle estimée entre 3 heures (en milieu sec) et 3 jours (en milieu humide).

La transmission entre êtres humains est établie. Cependant, au , ses modalités ne sont pas encore connues. Certaines personnes infectées n'ont pas transmis le virus, tandis que d'autres le transmettaient à plusieurs[5]. Une étude parue dans Lancet suggère que les sujets asymptomatiques porteurs du virus pourraient le transmettre, ce qui est courant dans les infections à coronavirus[6]. Les autorités chinoises déclarent le qu'il semble se confirmer que le virus peut se transmettre même si la personne ne présente aucun signe clinique de la maladie[7],[3].

Le taux de reproduction de base (noté R0) de la transmission d'une personne à une autre a été estimé entre 1,4 et 3,8 par plusieurs groupes de recherche[8],[9]. Une étude récente mais non publiée estime ce taux compris entre 3,3 et 5,4[10].

Typologie des malades

Soixante-quatre pour cent des personnes infectées sont des hommes, 72 % ont plus de 40 ans et 40 % ont une comorbidité associée[11]. L'âge médian est de 61 ans[réf. nécessaire].

À la différence du virus de la grippe, ce coronavirus semble peu atteindre les enfants selon une première étude publiée dans The New England Journal of Medicine[Quand ?]. Cette étude montre qu'aucun enfant de moins de 15 ans ne fait partie des 425 premiers cas confirmés[12].

Symptômes et manifestations cliniques

Symptômes et manifestations observés

Au , les symptômes déclarés s'avèrent proches de ceux de la grippe. Sont relevés : de la fièvre, de la toux, des frissons, des courbatures, des maux de tête et une fatigue générale[13], parfois une diarrhée[11]. La rhinorrhée ne fait pas partie du tableau clinique. La fièvre n'est pas un élément constant dans cette maladie et son absence ne suffit pas à déterminer si un patient n'en est pas atteint. Une étude du Lancet montre que 17 % des malades ne sont pas fébriles lors de leur admission à l'hôpital[réf. nécessaire]. Le cas philippin est un cas non fébrile[14].

La maladie peut s'accompagner de signes d'une atteinte de l'appareil respiratoire supérieur et inférieur : écoulement nasal et toux, respiration courte, sensation d'oppression. Les principales complications se caractérisent par une détresse respiratoire dans 30 % des cas, une myocardite dans 10 % des cas et une surinfection bactérienne dans 10 % des cas[11].

Diagnostic

Le diagnostic repose sur la mise en évidence du virus par la technologie RT-P.C.R (amplification génique après transcription inverse) sur des frottis naso-pharyngés[11]. Cependant, ce diagnostic n'est pas à la portée de tous les systèmes de santé, et il n'existe pas de diagnostic sérologique à l'heure actuelle[11].

La spécificité de ce test est de 100 % mais on ignore sa sensibilité[15]. Le calcul des valeurs prédictives positive et négative n'est pour le moment pas possible. Il s'agit du seul indicateur en médecine clinique car il tient compte de l'incidence de la prévalence de la maladie . Le , le ministère français des Solidarités et de la Santé annonce qu'un test diagnostic développé par le centre national de référence des virus respiratoires, à savoir l'Institut Pasteur, est disponible en France[16].

Biologie

La biologie courante est celle d'une infection virale : lymphopénie, petite cytolyse hépatique, procalcitonine est normal, lactates déshydrogénases et créatines kinases augmentés[11]. Elle sert surtout à évaluer le retentissement de l'infection virale sur les différents organes (cœur, rein, foie).

Imagerie médicale

Le scanner pulmonaire montre des images de pneumopathie virale non spécifique.

Prévention

La prévention repose essentiellement sur l'évitement de tout contact avec un sujet suspect ou confirmé, le lavage fréquent des mains, l'utilisation de mouchoirs jetables ou encore, tousser dans son coude pour éviter la production d'aérosols ou les échanges manuels. Il est vivement conseillé aux personnes présentant un état grippal de surveiller leur température. L'ingestion de viande ou d'œuf mal cuit est déconseillée[17],[13].

Le port de masque chirurgical n'a pas d'intérêt préventif, comme l'a rappelé Agnès Buzyn, ministre de la Santé[18]. D'une part, ces masques sont surtout conçus pour empêcher les germes de sortir des poumons du malade (ils sont portés par les chirurgiens au cours des opérations pour ne pas risquer d'infecter les patients[19]). D'autre part, la probabilité de croiser (hors de Chine) un porteur du virus est actuellement (en janvier 2020) extrêmement faible. Dr Éric d'Ortenzio, épidémiologiste et coordinateur scientifique à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale, confirme de nouveau l'inutilité de porter un masque pour la population[20].

Le masque de protection respiratoire individuelle (de type FFP2) empêche les germes de pénétrer dans l'organisme. Son efficacité dure de trois à huit heures[19]. C'est ce masque qui est porté par les personnels de santé lors des soins aux personnes infectées.

Le Centre for Mathematical Modelling of Infectious Diseases (en) de la London School of Hygiene and Tropical Medicine publie une étude[Quand ?] montrant que les détecteurs thermiques des aéroports détectent moins de 40 % des personnes infectées[21].

Traitement

Antiviraux

Aucun traitement antiviral spécifique n'existe à ce jour. Les patients traités en Chine reçoivent les antiviraux suivants : oseltamivir (75 mg, 2 fois par jour par voie orale), ganciclovir (250 mg, 2 fois par jour par voie intraveineuse), lopinavir et ritonavir (500 mg, 2 fois par jour par voie orale) pendant une durée médiane de 3 jours[22].

Selon l'OMS, des tentatives de repositionnement d'antiviraux existants pourraient être effectuées[23].

Sinon, le traitement est purement symptomatique. Il consiste à suppléer les défaillances viscérales en cas d'atteinte sérieuse. Les cortico-stéroides doivent être évités[24].

Le virus est sensible à tous les désinfectants habituels[24].

Mise au point d'un vaccin

Le , des chercheurs australiens du Peter Doherty Institute for Infection and Immunity (Melbourne) réussissent pour la première fois, sous la responsabilité du Dr Julian Druce, à créer un nouveau coronavirus à partir d'un échantillon prélevé sur un patient infecté. C'est une étape majeure dans la mise au point d'un traitement. Ils partagent ce virus avec les laboratoires du monde entier, les autorités chinoises ne l'ayant pas fait[25].

Létalité

Le taux de létalité de l'épidémie de coronavirus de 2019-2020 est probablement plus faible que les épidémies de 2002-2003 (9,6 %) et 2009 (34 %). Les médecins constatent une fréquence élevée de formes bénignes et les personnes décédées seraient avant tout « des patients âgés, souffrant de comorbidités ou plus jeunes mais malades, immunodéprimés[26] ». Un calcul provisoire de la létalité basé sur les chiffres fournis par les différents pays à l'OMS au sujet des infections avérées et des décès, à un stade intermédiaire de l'épidémie (), produit un taux d'environ 3 % (80 décès sur 2 800 infections)[27], une valeur qui semble faible en comparaison avec d'autres coronavirus comme le SARS-CoV ou le MERS-COV, mais est néanmoins beaucoup plus élevée que la plupart des virus de la grippe touchant les humains, par exemple. Néanmoins, le taux de létalité demeure incertain, en raison de la difficulté à estimer le nombre de cas et le nombre de décès, qui pourraient tous deux être sous-évalués[28],[29],[30]. Le , l'OMS abaisse l'estimation de létalité à environ 2 %[31].

La létalité dans la ville de Wuhan est de 5,5 %. Si l'on exclut la ville de Wuhan, le taux de mortalité est d'environ 1 % dans la province de Hubei. Enfin, le taux de mortalité national en Chine tombe à 0,3 % si on exclut la province du Hubei[31].

Caractéristiques épidémiologiques des trois épidémies connues graves de coronavirus

Trois principales sources sont utilisées : l'Institut Pasteur, l'OMS et le C.D.C d'Atlanta.

Coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV)[32],[33] Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)[34],[35],[36] Pneumonie de Wuhan
Nombre de cas 1 219 8 098 dont 5 327 en Chine En cours, voir ici
Nombre de décès 449 774 (dont 349 en Chine) En cours, voir ici
Réservoir Dromadaire Chauve-souris Chauve-souris [37]
Transmission par l'homme Contact direct avec un animal infecté, consommation de lait cru de dromadaire Consommation de viande de civette palmiste masquée, animal sauvage vendu sur les marchés et consommé au sud de la Chine
Transmission interhumaine Oui Oui Oui
Transmission par objet Oui Risque très faible
Transmission materno-fœtale Aucun cas retrouvé chez les femmes enceintes infectées par ce virus
Incubation Entre 5 et 15 jours Entre 2 et 7 jours Probablement entre 2 et 10 jours[2], quoi qu'il en soit inférieure à 14 jours[20].
Porteur sain Probablement pas Oui, semble se confirmer[3],[38]
Contagiosité Taux de reproduction de base entre 1,4 et 5,4[8],[9],[10], à confirmer.
Durée de la contagiosité Serait limitée à la période des signes cliniques[20].
Début de la période de contagiosité 3 à 4 jours après le début des signes cliniques
Létalité 30 % Globalement à 15 %, au-delà de 50 % chez les plus de 65 ans Inférieure à 3 %[27] selon les chiffres bruts mais très probablement inférieure[11]
Traitement Symptomatique Symptomatique Symptomatique
Vaccin Aucun Aucun Aucun
Statut Résurgence possible[11] Considéré comme éradiqué[11]

Références

  1. (en-US) « Symptoms of Novel Coronavirus (2019-nCoV) | CDC », sur www.cdc.gov, (consulté le ).
  2. a et b « Coronavirus : la période d'incubation moyenne se précise autour de cinq jours », sur www.lexpress.fr, (consulté le ).
  3. a b et c « Coronavirus : "les délais d'incubation sont beaucoup plus courts, à peu près 5 jours", estime un médecin infectiologue », sur Franceinfo, (consulté le ).
  4. (en) Qun Li, Xuhua Guan, Peng Wu et Xiaoye Wang, « Early Transmission Dynamics in Wuhan, China, of Novel Coronavirus–Infected Pneumonia », New England Journal of Medicine,‎ , NEJMoa2001316 (ISSN 0028-4793 et 1533-4406, DOI 10.1056/NEJMoa2001316, lire en ligne, consulté le )
  5. (en) Lisa Schnirring, « Doubts rise about China's ability to contain new coronavirus », sur CIDRAP - Center for Infectious Disease Research and Policy, News & Perspectives, (consulté le ).
  6. (en) Jasper Fuk-Woo Chan, Shuofeng Yuan, Kin-Hang Kok et Kelvin Kai-Wang To, « A familial cluster of pneumonia associated with the 2019 novel coronavirus indicating person-to-person transmission: a study of a family cluster », The Lancet, vol. 0, no 0,‎ (ISSN 0140-6736 et 1474-547X, DOI 10.1016/S0140-6736(20)30154-9, lire en ligne, consulté le ).
  7. (en-GB) « China virus 'spreads before symptoms show' », BBC News,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  8. a et b (en) Saey, Tina Hesman, « How the new coronavirus stacks up against SARS and MERS », ScienceNews,‎ (lire en ligne).
  9. a et b (en-GB) « Virus deaths rise as more cities restrict travel », BBC News,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  10. a et b (en) Shi Zhao, Jinjun Ran, Salihu S. Musa et Guangpu Yang, « Preliminary estimation of the basic reproduction number of novel coronavirus (2019-nCoV) in China, from 2019 to 2020: A data-driven analysis in the early phase of the outbreak », bioRxiv,‎ , p. 2020.01.23.916395 (DOI 10.1101/2020.01.23.916395, lire en ligne, consulté le ).
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  12. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :14
  13. a et b Pierre Sautreuil, « Coronavirus en France : que faire en cas de symptômes ? », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
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  20. a b et c « "Il est très peu probable qu'une épidémie d'ampleur se propage en France" : un épidémiologiste de l'Inserm a répondu à vos questions sur le coronavirus », sur Franceinfo, (consulté le ).
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  22. (en) Nanshan Chen, Min Zhou, Xuan Dong et Jieming Qu, « Epidemiological and clinical characteristics of 99 cases of 2019 novel coronavirus pneumonia in Wuhan, China: a descriptive study », The Lancet, vol. 0, no 0,‎ (ISSN 0140-6736 et 1474-547X, DOI 10.1016/S0140-6736(20)30211-7, lire en ligne, consulté le ).
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  24. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :82
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  37. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :20
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