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Claude-Marcelle-Mathilde Dubois dite Claudie Marcel-Dubois, est née à Tours en 1913 et morte à Paris en 1989. Pianiste, ethnomusicologue spécialiste de la musique et des instruments, elle est considérée comme la fondatrice de la branche "Francophonie" de l'ethnomusicologie européenne, qu'elle enseigne à l'Ecole de Hautes Etudes en Sciences Sociales, à l’Institut d’ethnologie de Paris et à à l'École Pratique des Hautes Etudes.

Claudie Marcel-Dubois et Maguy Pichonnet-Andral sont les premières chercheuses à réaliser en France des enquêtes ethnomusicologiques collectant sons, chants, musiques, témoignages et histoires. Leur travail permet aussi de conserver des enregistrements audio des langues régionales. Elle est l’autrice de nombreuses publications et de très importantes collectes de fonds sonores.

Biographie[modifier | modifier le code]

Claude-Marcelle-Mathilde Dubois dite Claudie Marcel-Dubois[13],[14] naît à Tours en 1913 dans une famille bourgeoise dont elle est fille unique. La première guerre mondiale fait d'elle une orpheline de père pupille de la Nation[18].

Pianiste de formation[10], son intérêt inaltérable pour l'objet instrument de musique[4] « viendra élargir et enrichir l’ethnographie musicale en terrain francophone, jusqu’alors étroitement cantonnée au corpus folklorique de la chanson populaire, à la quête vertigineuse et aporétique de l’authentique version. »[5]

Décrite comme une femme de caractère à la personnalité hors du commun, opiniâtre et passionnée, courtoise et ferme, elle a dirigé de nombreuses instances françaises, européennes et internationales, scientifiques ou culturelles, consacrées à l'ethnologie[4],[5].

Elle meurt à Paris en février 1989[11],[12].

Formation[modifier | modifier le code]

Claudie Marcel-Dubois est devenue ethnomusicologue spécialiste de la musique et des instruments[10] après une formation dans en musique (piano au Conservatoire de Paris), ethnologie (avec Marcel Mauss à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes) et archéologie asiatique (Ecole du Louvre)[12].

Ancienne élève chez Marguerite Long et lauréate du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris[4], elle est pianiste[10],[11].

Diplômée de l’École du Louvre où suit les cours de Georges Henri Rivière[3], elle y présente en 1939 une communication intitulée « Musique et danse populaires françaises »[10].

A l’École pratique des hautes études, elle est l’élève de Marcel Mauss[3]. Impulsé par Curt Sachs qui séjournait alors à Paris[4], son travail de mémoire s'intitule « Les instruments de musique de l'Inde ancienne ». Elle le soutient en 1939 et le publie aux Presses Universitaires de France en 1941.

Carrière[modifier | modifier le code]

En 1934, âgée de 21 ans, elle entre au Département d’ethnologie musicale du Musée de l’Homme, alors Musée d'Ethnographie du Trocadéro[4] pour s'occuper de la phonothèque sous la direction d'André Scaheffner[10],[3].

De 1934 à 1943, elle est également archiviste-bibliothécaire à la Société du folklore français[10].

Entre 1934 et 1937, elle collabore avec Curt Sachs qui travaille alors sur les collections d’instruments de musique de Madagascar du Musée. Cette collaboration va préciser et conforter l’intérêt archéologique et ethnologique de Claudie Marcel-Dubois, en particulier pour l’instrument de musique[5].

Le 1er mai 1937, porté par le Front populaire, le musée national des Arts et Traditions populaires (MNATP) est créé à Paris[7]. Claudie Marcel-Dubois y rejoint Georges Henri Rivière[3], y crée le secteur « Musique et Danse »[10] et devient responsable du programme musicologique de cet établissement[1]. Cette petite équipe autour de Georges Henri Rivière établit les bases institutionnelles et scientifique de l'ethnomusicologie et c'est sous l'impulsion de Marcel-Dubois que se construit progressivement une branche "Francophonie" de l'ethnomusicologie fondée sur une abondante collecte d'instruments de musique et d'enregistrements sonores et vidéo[4],[5],[2].

En 1938, elle entre au CNRS où elle devient directeur de recherches[19] affectée au Musée National des Arts et Traditions Populaires dont elle dirige le département d'ethnomusicologie et la phonothèque jusqu’à sa retraite en 1980[10],[2].

En 1939, elle entreprend .la première mission musicale du MNATP. Cette mission de folklore musical en Basse-Bretagne[2],[5] sera la première d’une longue série de missions de terrain en France et au-delà, dans l'ensemble de la Francophonie[12],[16][7] dans le cadre de sa carrière au CNRS[2].

En 1941, elle fonde le département d’ethnomusicologie du MNATP[16].

A partir de 1945-1946, Claudie Marcel-Dubois, assistée de Maguy Pichonnet-Andral, commence à mener des enquêtes systématique[5]. Jusqu'en 1980, elles collectent un immense corpus de musiques de tradition orale françaises constitué d'enregistrements écrits, sonores et vidéos de sons, chants, musiques, témoignages et histoires[1],[2]. Leur travail permet aussi de conserver des enregistrements audio des langues régionales[1].

En 1960, elle participe à la fondation de plusieurs instances :

  • le Comité international pour les musées et collections d’instruments et de musique (CIMIM), l'un des comités du Conseil international des musées (ICOM). Elle en est secrétaire général jusqu'en 1965[5],[20].
  • les Colloques de Wégimont, cercle international d'études ethno-musicologiques, dont elle est membre jusqu'en 1970[5]. Le château de Wégimont est un domaine proche de Liège où, à l’initiative de Paul Collaër et de Suzanne Clercx-Lejeune, des ethnomusicologues européens se sont réunis tous les deux ans de 1954 à 1960. Les actes en ont été systématiquement publiés (quatre fascicules)[21].

Egalement à partir de 1960, un premier enseignement universitaire structuré d'ethnomusicologie est instauré dans le cadre de l’Institut d’ethnologie de Paris, au titre des enseignements complémentaires. Les branches géographiques et thématiques (organologie, méthodologie, par exemple) y étaient représentées, assurées notamment par Claudie Marcel-Dubois et Maguy Pichonnet-Andral[5].

De 1961 à 1981, elle est chargée de conférences en ethnomusicologie à l'École pratique des hautes études puis à l'École des hautes études en sciences sociales sous la direction d'étude de Claude Lévi-Strauss[4],[5],[10],[11], ainsi que, parallèlement, dans le cadre du certificat d'ethnologie de Paris V avec Maguy Andral et Gilbert Rouget.[12]

En 1967, membre du Comité exécutif de l'International Council for Traditional Music (en) depuis 1947, elle en devient vice-présidente jusqu'en 1987[5][10]. La même année, elle devient également présidente de la Section Anthropologie-Ethnologie-Préhistoire du Comité national du CNRS jusqu'en 1970[5][10].

En 1971, elle est secrétaire générale du premier Congrès international d’ethnologie européenne à Paris[5].

De 1973 à 1988, elle est membre du Conseil d’administration de la Société française de musicologie[5]. La même année, elle devient vice-présidente de la Société d’ethnologie française jusqu'en 1978 ; elle en sera ensuite présidente jusqu'en 1987[5].

De novembre 1980 à avril 1981 se déroule l'exposition "L'instrument de musique populaire, usages et symboles" à Paris dont elle est l'instigatrice et la commissaire d'exposition[4],[12],[22],[23].

En 1981, Claudie Marcel-Dubois prend sa retraite du MNATP[16]. Maguy Pichonnet-Andral lui succède à la tête du Département d’ethnomusicologie-Phonothèque qu’elle avait créé[5].

Néanmoins, en 1984, elle devient la première présidente de la Commission Anthropologie et Ethnologie françaises du Comité des Travaux Historiques et Scientifiques du Ministère de l’Éducation nationale[5],[24][10].

Mission de folklore musical en Basse-Bretagne de 1939[modifier | modifier le code]

Effectuée du 15 juillet au 27 août 1939 et organisée par le Musée National des Arts et Traditions Populaires de Paris (MNATP), la mission de folklore musical en Basse-Bretagne est conduite par la Claudie Marcel-Dubois et l'abbé François Falc'hun, linguiste spécialiste de la langue bretonne, assistés de Jeannine Auboyer, responsable de la photographie, des films, et du journal de bord et occasionnellement dessinatrice[8][6][7].

_________________

Il s'agit de la première enquête qui marque le début de l’ethnomusicologie en France, et plus particulièrement de l’ethnomusicologie de la France[1] et qui représente un épisode-clé de l’histoire de l’ethnographie musicale française du XXe siècle[6]

musique, photographies noir et blanc, film muet et produit de nombreux documents écrits (correspondance, questionnaires d'enquêtes, carnets de terrain, notations musicales et transcriptions linguistiques, rapports, conférences...)[8]

Les préparatifs seront délicats : en plus d’un questionnaire envoyé aux personnes-ressource (instituteurs, membres du clergé), d’infinies précautions diplomatiques conduisent à prévenir les susceptibilités en allant au-devant d’éventuelles polémiques attisées par les tensions « franco-françaises » entre l’État laïc et l’Église – le terrain a été judicieusement préparé, notamment grâce à la présence d’un ecclésiastique dans l’équipe scientifique –, mais surtout par les réticences des mouvements régionalistes ou nationalistes, parfois très virulents.[6]

première enquête ethnographique portant sur la musique en Basse-Bretagne. En fait de musique ce sont plus largement les arts et traditions populaires[3]. la réalité de l’époque : manières de danser, de se vêtir, rapport entre les hommes et les femmes, les jeunes et les vieux… dans des cours de fermes, des centre-bourg, des prairies où se déroulent des noces, des pardons. Le commentaire, de l'époque, donne des informations éclairantes sur les situations, tant sur le plan social qu'économique[3]. effectuée dans une soixantaine de localités[6]

été 1939 dans le contexte de la première enquête portant sur la musique en Basse-Bretagne organisée par le Musée National des Arts et Traditions Populaires, né deux ans plus tôt à Paris[3]. journal de route. enregistrements sonores faits sur le terrain[3].

Prévue du 15 juillet au 10 septembre mais interrompue le 26 août par la guerre, l’enquête est conduite par l’ethnomusicologue Claudie Marcel-Dubois et le linguiste François Falc’hun. Ils sont accompagnés par une photographe amatrice, Jeannine Auboyer qui, outre la captation filmique, prend 437 photos noir/blanc, tandis que Marcel-Dubois et Falch’un réalisent environ sept heures d'enregistrements sonores auprès de 123 personnes dans le Morbihan et le Finistère sud. Les enquêteurs ont aussi produit de nombreuses archives écrites. Leur collecte et l’ensemble de leurs archives sont numérisées et accessibles[3].

Alors qu'elle est attachée au Musée de l’Homme pour s’occuper de la phonothèque du département d’ethnologie musicale, elle entreprend une mission de folklore musical en Basse-Bretagne[2].

Claudie Marcel-Dubois est rappelée d’urgence à Paris le 26 août, à huit jours de la déclaration de guerre. Initialement prévue jusqu’au 10 septembre[6]. Les projets de publications, voire de thèse, n’aboutiront pas[6]

Ces documents sont restés entre les mains de C. Marcel-Dubois, au MNATP à Paris (aujourd'hui versés aux Archives nationales), et de F. Falc’hun, au Centre de Recherche Bretonne et Celtique de Brest (où ils sont toujours conservés), afin d'être étudiés par les deux chercheurs en vue d'une publication. Celle-ci n'a jamais vu le jour de leur vivant. Elle a été publiée en 2009 par le biais d'un ouvrage avec DVD qui restitue l'ensemble du collectage.[9]

Les enregistrements restent encore peu accessibles mais grâce au projet "Les Réveillés" mené par l’ethnomusicologue Marie-Barbara Le Gonidec, l’historien François Gasnault et la documentaliste Florence Neveux, les quelques 100 000 documents collectés à travers les enquêtes de ces deux figures de l’ethnomusicologie en France commencent à être accessibles sur Internet[1].

Leur collecte et l’ensemble de leurs archives sont numérisées et accessibles sur Internet[3].

Quelques autres missions[modifier | modifier le code]

1954 : Mission Corpeau, Beaune [12-14 janvier 1954, Claudie Marcel-Dubois et Maguy Andral][7]

En 1956, elle se rend dans les Hautes-Pyrénées, à Campistrous, et collecte un enregistrement sur la confection d’une anche simple à partir d’une plume d’oie[1].

Leur travail permet aussi de conserver des enregistrements audio des langues régionales, et puis d’autres langues un peu plus particulières comme celle des siffleurs de la vallée d'Aas dans les Pyrénées-Atlantiques dans les années 60[1].

Distinctions[modifier | modifier le code]

Nommée Chevalier de la Légion d’Honneur en 1968, elle recevra la rosette d’Officier des mains du Directeur général du CNRS en 1975[5].

Polémique[modifier | modifier le code]

Claudie Marcel-Dubois et Maguy Andral ont suscité quelques polémiques, notamment en conservant leurs recherches, en les gardant privées[1].

la fameuse phonothèque Dastum qui, à sa création en 1972, avait bénéficié d’une aide massive et unanime des collecteurs et chercheurs en musique bretonne, s’était alors heurtée à un refus poli mais catégorique lorsqu’elle avait sollicité l’accès aux collections des ATP.[6]

Postérité[modifier | modifier le code]

Les collections du musée des arts et traditions populaires seront par la suite transférées au Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM) ouvert en 2013 à Marseille.[7]





Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h et i « Claudie Marcel-Dubois, pionnière de l'ethnomusicologie de la France », sur France Musique (consulté le )
  2. a b c d e f et g « Claudie Marcel-Dubois », sur www.kubweb.media (consulté le )
  3. a b c d e f g h i j et k « La Basse Bretagne en 1939 », sur www.kubweb.media (consulté le )
  4. a b c d e f g h et i Jacques Cheyronnaud et Jean Cuisenier, « Claudie Marcel-Dubois (1913-1989) », Ethnologie française, vol. 19, no 4,‎ , p. 325–328 (ISSN 0046-2616, lire en ligne, consulté le )
  5. a b c d e f g h i j k l m n o p q r et s Jacques Cheyronnaud, « Une vie consacrée à l’ethnomusicologie. Claudie Marcel-Dubois (1913-1989) », Cahiers d’ethnomusicologie. Anciennement Cahiers de musiques traditionnelles, no 3,‎ , p. 173–185 (ISSN 1662-372X, lire en ligne, consulté le )
  6. a b c d e f g et h Jean-Christophe Maillard, « Claudie Marcel-Dubois et François Falc’Hun, assistés de Jeannine Auboyer: Les archives de la Mission de folklore musical en Basse-Bretagne de 1939 du Musée national des arts et traditions populaires. Paris: CTHS|Rennes: Dastum, 2009 », Cahiers d’ethnomusicologie. Anciennement Cahiers de musiques traditionnelles, no 23,‎ , p. 298–301 (ISSN 1662-372X, lire en ligne, consulté le )
  7. a b c d e et f Annael Le Poullennec, « Ethnomusicologie : archives du paysage sonore français », sur PSL Explore, (consulté le )
  8. a b et c « Mission Corpeau, Beaune [12-14 janvier 1954, Claudie Marcel-Dubois et Maguy Andral] », sur FranceArchives (consulté le )
  9. a et b « Mission Basse-Bretagne 1939 — Accueil », sur bassebretagne-mnatp1939.com (consulté le )
  10. a b c d e f g h i j k l et m Archives de la Mission de folklore musical en Basse-Bretagne de 1939 - Pré-rapport d'avril 1939 : Notice biographique de : Marcel-Dubois, Claudie 1913 (Tours) - 1989 (Paris), Service archives du MuCEM, , pdf (présentation en ligne, lire en ligne)
  11. a b c et d « Claudie Marcel-Dubois (1913-1989) », sur data.bnf.fr (consulté le )
  12. a b c d e et f L’ethnomusicologie en France des années 1920 aux années 1980 (nouveau sujet) (pdf), Séminaire d’études ethnomusicologiques de la Sorbonne, François Picard, 15 avril 2016, 32 p.
  13. a et b Jacques Cheyronnaud, « Maguy Andral (1922-2004) », Ethnologie française, vol. 35, no 3,‎ , p. 531-533 (lire en ligne)
  14. a et b Sara Iglesias, Musicologie et Occupation: Science, musique et politique dans la France des « années noires », Éditions de la Maison des sciences de l’homme, , 456 p. (ISBN 9782735122806, lire en ligne), p. 441
  15. Archives de la Mission de folklore musical en Basse-Bretagne de 1939, Service archives du MuCEM, (lire en ligne)
  16. a b c et d Monique Brandily, « Claudie Marcel-Dubois (1913-1989) », Revue de Musicologie, vol. 75, no 2,‎ , p. 317–319 (ISSN 0035-1601, lire en ligne, consulté le )
  17. Florence Gétreau et Michel Colardelle, « La musique au Musée national des Arts et Traditions populaires et au futur Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée », Cahiers d’ethnomusicologie. Anciennement Cahiers de musiques traditionnelles, no 16,‎ , p. 43–58 (ISSN 1662-372X, lire en ligne, consulté le )
  18. a et b « Un musée à la source de l’ethnomusicologie du domaine français et francophone | Les réveillés », sur les-reveillees.ehess.fr (consulté le )
  19. a et b Georges Luneau, Claudie Marcel-Dubois, directrice de recherche au CNRS, CNRS audiovisuel [distrib.], (lire en ligne)
  20. a et b (en-US) « Past Presidents and Board Members », sur ICOM CIMCIM (consulté le )
  21. a et b Gasnault_François et Le Gonidec_Marie-Barbara, « Enquêter en tandem sur les pratiques musicales de la France rurale pour le Musée des arts et traditions populaires : variation ou conjuration du collectif ? », sur ethnographiques.org, (consulté le )
  22. a et b « Les collections du département des arts graphiques - 1980 - 1981 L'instrument de musique populaire : usages et symboles », sur ag.louvre.fr (consulté le )
  23. a et b Jean Cuisenier, Claudie Marcel-Dubois, Marie-Marguerite Pichonnet-Andral et Musée national des arts et traditions populaires (MNATP), L'Instrument de musique populaire : Usages et symboles, Réunion des musées nationaux (RMN), (ISBN 978-2-7118-0172-5, lire en ligne)
  24. a et b Luxia S.A.S, « Arrêté du 17 septembre 1984 PORTANT NOMINATION AU COMITE DES TRAVAUX HISTORIQUES ET SCIENTIFIQUES AU TITRE DES DEUX NOUVELLES COMMISSIONS: », sur alineabyluxia.fr (consulté le )

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • aa

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