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Utilisateur:Tousse mylène/Brouillon

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Fichier:Hawaiiancanoe.jpg
Ges autochtones de la Polynesie voyageant en canoe

La culture des Maori fait référence à la culture des peuples autochtones de la Polynésie qui ont traits caractéristiques communs en terme de langue, coutumes et organisation sociale. Le développement de la culture polynésienne peut être divisé consécutivement en quatre différentes ères historiques:

  • Exploration et implantation (1800 av.J-C 700 ap J-C)
  • Développement avant la colonisation
  • La découverte par les européens et colonisation jusqu'à la Deuxième Guerre mondiale (1595-1946)
  • Les temps modernes/depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale (1945 jusqu'à nos jours)

Origines, exploration et implantation (1800 av.J-C 700 ap J-C)[modifier | modifier le code]

Des analyses récentes des génomes mitochondriaux maternels suggèrent que les polynésiens, y compris les Samoans, les Tonguiens, les Niuéens, les habitants de l'île de Cook, les Tahitiens, les Hawaïens, les Marquesiens et les Maoris, sont génétiquement liés aux peuples autochtones de la région de l'Asie du Sud Est et même aux autochtones de Taïwan. Cette empreinte génétique est confirmée par des données linguistiques et archéologiques. <ref.[1] Des études récentes sur les chromosomes Y démontrent que les polynésiens sont aussi génétiquement parentés aux peuples de la Mélanésie. [2] Cependant, le "modèle idéal de Taïwan" a été récemment mis en doute par une étude de l'université de Leeds qui a été publiée dans la revue scientifique "Molecular Biology and Evolution". L'analyse des lignées des génomes mitochondriaux démontre que ceux-ci ont évolué dans les îles de l'Asie du Sud Est pendant une période plus longue que l'on ne croyait. Les polynésiens sont arrivés sur l'Archipel Bismark de la Papouasie Nouvelle Guinée il y a environ 3500 ou 3000 ans et les polynésiens actuels sont les descendants d'une poignée de marins austronésiens et de melanésiens. [3] Les émigrations des populations ont été très probablement provoquées par des changements climatiques - les conséquences de la submersion d'une ancienne grande île appelée Sundaland (qui s'étendait jusqu'aux terres lointaines d'Asie comme Bornéo et Java). Tout ceci est arrivé il y a environ 15000 ou 7000 ans avant la dernière ère glaciale. Oppenheimer souligne comment la montée des mers en trois grands points a causé des inondations et la submersion de la péninsule de Sunda, en créant les mers de Java et de la Chine du Sud et les milliers d'îles qui ont ensuite formé l'Indonésie et les actuelles Philippines. [4]

Parmi les locuteurs (des années 2000 et 1000 av. JC) des langues austronésiennes parlées dans les îles allant de l'Asie du sud est (en commençant sûrement par Taïwan) [5] jusqu'aux frontières de l'ouest de la Micronésie et de la Mélanésie.

Dans les livres d'archéologie, il existe des traces bien définies de cette expansion et elles ont permis de la suivre et de la documenter avec un certain dégré de certitude. Dans la moitié du deuxième millénaire av.JC, une culture distinctive est soudainement apparue dans le nord ouest de la Mélanésie , dans l'Archipel Bismark, un groupe d'îles qui forment un grand arc de la Nouvelle-Bretagne jusqu'aux Iles de l'Amirauté . Cette culture, connue sous le nom de la civilisation Lapita, a une place dominante dans les données archéologiques sur la Mélanésie , avec ses grands villages permanents sur des falaises tout au long des côtes. Une caractéristique particulière de la civilisation Lapita est l'art de la poterie, y compris de larges vases de formes variées, certains se distinguant par les schémas et les motifs gravés dans l'anse . Pendant trois ou quatre siècles entre 1300 et 900 av.JC, la civilisation Lapita s'est diffusée à 6000 km au-delà de l'Archipel Bismark jusqu'à atteindre des îles éloignées comme Tonga et Samoa. Une culture propre aux polynésiens s'est développée dans cette région.


Les premiers polynésiens étaient un peuple marin très aventureux avec des compétences de navigations très développées. Ils ont d'abord colonisé des îles inhabitées en effectuant des voyages dans de très longs canoë, et dans certains cas avec des vents contraires et une marée très haute. Les navigateurss polynésiens orientés par le soleil et les étoiles, et aussi par une observation attentive des réflexions des nuages et les schémas de vol des oiseaux, étaient capables de déterminer l'existence et la localisation des îles. Le nom donné à une étoile ou à une constellation serve de repère pour la navigations était "Kaweinga". La découverte de nouvelles îles et de groupes d'îles signifiait de petits villages entiers de personne mettant les voiles dans des catamarans mélanésiens. Des données archéologiques indiquent qu'en l'an 1280 de notre ère, les polynésiens avaient déjà occupé le triangle polynésien jusqu'à son extrême nord situé à Hawaï , le point le plus à l'est à Rapa Nui (l'île orientale), et le dernier point au sud en Nouvelle Zélande. [6] By comparison, Viking navigators first settled Iceland around 875 AD. Il y a eu des suggestions selon les lesquelles les polynésiens voyageurs auraient atteint le continent de l'Amérique du sud. Les squelettes fossilisés des poules que des archéologues chiliens ont retrouvé dans la Péninsule de Arauco dans le Sud du Chili ont été estimés pouvant dater entre l1321 et 1407av.JC Ce premier rapport supposait une origine précolombienne des polynésiens. Cependant, un autre rapport sur les mêmes spécimens a conclu que:


<citation>

Selon les rapports publiés, apparemment précolombiens, des spécimens chiliens et six spécimens polynésiens d'origine pré-européenne rassemble aussi les séquences européennes, celles du sous-continent indien et de l'Asie du Sud est, ne fournit aucune preuve pour une introduction polynésienne des poules en Amérique du Sud. Par contre, des séquences tirées de deux sites archéologiques sur l'ile de Pâques regroupe un haplogroupe de l'Indonésie, du Japon, et de la Chine et pourrait représenter une signature génétique d'une très ancienne dispersion des polynésiens. Le modelage d'une potentielle contribution du carbone marin à l'échantillon archéologique chilien jette le doute de plus sur les revendications pour les poulets pré- colombiens et la preuve finale exigera des analyses de plus d'ordres d'ADN anciens et radiocarbone et données d'isotope fermes des excavations archéologiques tant au Chili qu'à la Polynésie. [7]

<citation>

Développement en autarcie: (de l'an 700 à 1595)[modifier | modifier le code]

Fichier:Easter Island cave.jpg
Birdmen (Tangata manu) paintings in a cave at the foot of Rano Kau, Rapa Nui (Easter island).

Alors que les premiers polynésiens étaient de navigateurs expérimentés, plusieurs preuves indiquent que leur principale motivation de naviguer était pour faciliter les besoins d'une population en pleine croissance. La littérature orale polynésienne ne parle pas d'explorateurs occupés à conquérir de nouveaux territoires, mais non plus de découvertes héroïques de nouvelles terres pour tous ceux qui voyageaient avec eux.

Alors d'ultérieurs flux de migrants venus des autres îles polynésiennes augmentaient parfois la croissance et le développement de la population locale, dans la plupart des cas, la culture chaque île ou de chaque groupe d'îles s'est développée en autarcie. La communication entre les groupes d'îles n'était pas très répandue, et n'existe aucune preuve d'un quelconque intérêt pour une telle communication pendant cette période là, ou du moins, pas pour des raisons économiques.


Pendant la période qui a suivi la colonisation complète de la Polynésie, chaque population locale a développé son système politique de plusieurs façons, d'une monarchie bien organisée dans certaines îles et groupes d'îles, aux tribus toujours en guerre ou de grands groupes familiaux entre plusieurs parties des îles, et dans certains cas, même sein d'une même vallée dans plusieurs îles.

Alors qu'il est très probable que les pressions des populations causaient des tensions entre plusieurs groupes, la principale force qui semble avoir entrainé l'unité ou la division entre les tribus et les groupes familiaux est géophysique: sur les îles basses où les communications semblent ne pas rencontrer d'obstacles, il n'existe pas de preuves sur un quelconque conflit important.

Pendant ce temps, sur la plupart des îles volcaniques, il y avait, historiquement, des groupes toujours en guerre qui peuplaient plusieurs villages, très souvent délimités primitivement par des crêtes de montagne, mais y avait des les plaines des confins soigneusement tracés. Cependant, plusieurs de ces îles ont développé très tôt une structure sociale et politique unifiée, très souvent sous la gouvernance d'un puissant monarque. Un exemple est donné par les îles Marquises, qui, contrairement aux autres groupes habitant les îles volcaniques de la Polynésie, ne sont pas entourés d'un récif corallien, et par conséquent, n'a pas de littoral. Chaque vallée sur les îles Marquises est accessible aux autres seulement par bateau ou en parcourant les pentes abruptes des crêtes montagnes.

La découverte et colonisation par les européens jusqu'à la Deuxième Guerre mondiale (1595-1945)[modifier | modifier le code]

Les premières îles polynésiennes a avoir été visitées par des explorateurs venant d'[Europe]], étaient les îles Marquises, premièrement découvertes par les européens lorsque le navigateur Espagne, espagnol, Álvaro de Mendaña de Neira, a découvert les îles en 1595.

A cause du manque de ressources minérales ou de pierre précieuses, l'exploration de la Polynésie par les navigateurs européens (dont la motivation principale était de nature économique), était beaucoup plus qu'un intérêt de passage. Le célèbre navigateur, le capitaine James Cook était le premier à avoir tenté d'explorer le plus possible la Polynésie.

Après les premiers contacts des occidentaux avec la Polynésie, il y eut plusieurs changements dans la culture polynésienne, en majeure partie comme résultat de la colonisation par les puissances occidentales, de l'introduction d'un très grand nombre de nouvelles maladies auxquelles les polynésiens n'étaient pas immunisés, esclavage/les tentatives esclavages de fournir les plantations en Amérique du Sud, et un e arrivée en masse de missionnaires chrétiens dont la plupart considéraient les polynésiens comme des descendants de Dix tribus perdues / tribus perdues d'Israël. Dans beaucoup de cas, les puissances colonisatrices, très souvent sous la pressions des conditions d'évangélisation, ont supprimé par la force l'expression de la culture des indigènes , y compris l'utilisation des langues polynésiennes.

Déjà au début du 20e siècle, presque toute la Polynésie avait été colonisée ou occupée à de divers degrés par les puissances coloniales occidentales comme il suit:

Toutes les exclaves polynésiennes étaient parfois regroupées en des déclarations du Japon, du Royaume Uni et de la France.

Pendant la Deuxième Guerre mondiale, le nombre des îles polynésiennes joua un rôle critique. L'attaque cruciale qui a entrainé les États Unis dans la guerre état l'attaque des japonais, l'attaque de Pearl Harbor, dans le centre de Oahu, Hawaï.

Plusieurs îles ont été développées par les Alliés comme des bases militaires, en particulier par les armées des États Unis, y compris dans les îles orientales comme Bora Bora.


Les temps modernes/depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale (1945 jusqu'à nos jours)[modifier | modifier le code]

Après la Deuxième Guerre mondiale, ides changements politiques arrivèrent plus lentement dans les îles de la Polynésie que dans d'autres colonies d'outre-mer des puissances européennes. Bien que la souveraineté ait été accordée par une proclamation royale à la Nouvelle-Zélande dès 1907, elle fut pas appliquée avant 1947.

Après l'indépendance, il y eut des nations (et les puissances souveraines desquelles elles ont obtenu la totale indépendance politique) de:

  • Samoa, en que"Les îles Samoa occidentales" (de la Nouvelle Zélande) en 1962
  • Tuvalu (du Royaume Uni) en 1978
  • Les îles Phoenix et la plupart des îles de la Ligne en tant que état de la république deKiribati (du Royaume Uni) en 1979

Tonga n'a jamais vraiment été une colonie, mais un territoire sous protectorat limité du Royaume Uni. Tonga n'a jamais joui d'un auto-gouvernement, mais quand les décisions concernant les affaires étrangères étaient prises par les tongais, sans aucune référence au Royaume Uni en 1970, on dit que Tonga avait rejoint le Comité des Nations. Tonga est le seul archipel dans le sud du Pacifique a n'avoir jamais été colonisé par une puissance Européenne.

Toutes les autres îles sont toujours sous la souveraineté officielle des nations suivantes:

Les différences exclaves sont dans le territoire souverain des nations de Vanuatu, les îles Salomon, les îles Fidji, la Micronésie, et le territoire français de la Nouvelle Calédonie. Hawaï est devenu un État des États Unis, et on lui a donné un même statut politique qu'aux autres 49 États.

L'indépendance et/ou la grandissante autonomie n'est pas seulement la seule influence qui affecte la société polynésienne moderne. Les premières causes, sont en effet , la toujours grandissante accessibilité des îles aux influences externes, à travers le trafic aérien qui a été amélioré et aussi les moyens de télécommunication qui ont été eux aussi améliorés. L'importance économique du tourisme a aussi un impact dangereux sur lla direction du développement des sociétés des différentes îles. L'accessibilité des sources extérieurs, tout comme la viabilité du tourisme des îles, a joué un rôle important auquel la culture moderne s'est adapté pour s'accommoder des intérêts des étrangers, en opposition aux influences de ceux qui veulent promouvoir la sauvegarde des traditions indigènes. Pour cette raison, la Polynésie est aujourd'hui une zone où existent des degrés variés d'un flux culturel extrême.

Dans la génétique des polynésiens d'aujourd'hui, le patrimoine génétique est mélangé avec beaucoup d'autres peuples. Vu que Hawaï a été l'exemple principal, il a reçu des masses venant de l'Asie comme les philippins, japonais, coréens et chinois pendant les derniers décades du dix-neuvième siècle et le début du 20e pour travailler dans des plantations. Cela a donc poussé les polynésiens-hawaïens de souche ....

Lectures connexes[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. For a discussion of the origins of Eastern Polynesians, particularly the Māori of New Zealand, see: Douglas G. Sutton, ed., The Origins of the First New Zealanders (Auckland, New Zealand: Auckland, 1994).
  2. M. Kayser, S. Brauer, G. Weiss, P.A. Underhill, L. Roewer, W. Schiefenhövel, and M. Stoneking, "Melanesian origin of Polynesian Y chromosomes," Current Biology, vol. 10, no. 20, pages 1237-1246 (19 Oct. 2000). See also correction in: Current Biology, vol. 11, no. 2, pages 141-142 (23 Jan. 2001).
  3. Dr. Martin Richards, « Climate Change and Postglacial Human Dispersals in Southeast Asia », Oxford Journals (consulté le )
  4. (en) Stephen Oppenheimer, Eden in the east: the drowned continent, London, Weidenfield & Nicholson, (ISBN 0-297-81816-3)
  5. 20069298"(en) K. R Howe, Vaka Moana: Voyages of the Ancestors - the discovery and settlement of the Pacific, Albany, Auckland, David Bateman, , 92–98 p.
  6. http://researchcommons.waikato.ac.nz/bitstream/10289/2690/1/Lowe%202008%20Polynesian%20settlement%20guidebook.pdf
  7. Indo-European and Asian origins for Chilean and Pacific chickens revealed by mtDNA. Jaime Gongora, Nicolas J. Rawlence, Victor A. Mobegi, Han Jianlin, Jose A. Alcalde, Jose T. Matus, Olivier Hanotte, Chris Moran, J. Austin, Sean Ulm, Atholl J. Anderson, Greger Larson and Alan Cooper, "Indo-European and Asian origins for Chilean and Pacific chickens revealed by mtDNA" PNAS July 29, 2008 vol. 105 no 30 [1]
  8. http://www.niueisland.com/
  9. http://stamps.nzpost.co.nz/Cultures/en-NZ/Stamps/OtherCountriesAndTerritories/Niue/

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Liens externes[modifier | modifier le code]

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