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Pierre Winicki[modifier | modifier le code]

Né le 16 Octobre 1963, Pierre Winicki est un l'un des concepteurs de la thématique de "L'Arbre de Confiance", qui permet d’objectiver les facteurs constitutifs de la confiance, de la mesurer et d’agir pour la renforcer. Avec pour conviction que « la Confiance constitue le socle fondamental de la Paix, de la Stabilité politique, de la Croissance économique, de la Transition écologique et du Développement humain.» Depuis 2015, "l’Arbre de Confiance" fut déployé en France, dans le monde et tout particulièrement en Afrique.

Jeunesse et études[modifier | modifier le code]

Pierre Winicki est né dans le quartier de la Croix-Rousse, à Lyon, le 16 octobre 1963. De père, Bernard Winicki (Docteur en Pharmacie), et de mère, Jacqueline Winicki née Wildman (titulaire d’une maîtrise en Biochimie), de cette union Pierre eu une petite sœur du nom de Florence. Il fréquente l’école primaire de la rue de la Ferme, à Neuilly-sur-Seine, et réalise ses études secondaires au Lycée Saint-James, au Lycée Pasteur à Neuilly-sur-Seine puis au cours Dutilleul à Boulogne-Billancourt. Il est diplômé du BBA ESSEC en 1986. Il passe la période de ses études supérieures aux Etats-Unis, à New-York University (NYU), en section «Bachelor of Business Administration».

Grands thèmes des Travaux[modifier | modifier le code]

Croyances et comportements de santé[modifier | modifier le code]

En 1987, Pierre Winicki crée Mediavita[1], l’une des premières entreprises de multimédia éducatif (précurseur du e-learning), appliquée au secteur de la santé. Il développe les premiers programmes d’éducation des patients souffrant de maladies chroniques («éducation thérapeutique»). L'occasion étant donnée de découvrir l’importance des croyances dans les comportements de santé - et plus globalement dans les comportements humains - en travaillant en étroite collaboration avec le Professeur Jean-Philippe Assal, diabétologue suisse, pionnier de l’Education thérapeutique, dont le service hospitalier au CHU de Genève est le premier «Centre collaborateur OMS pour l’éducation des maladies chroniques». En 2000, Mediavita est fusionnée avec une filiale de l’Institut Pasteur.

Des croyances à la défiance[modifier | modifier le code]

Expériences de mise en œuvre des Réformes publiques[modifier | modifier le code]

En 2002, Pierre publie dans l’Expansion Management Review l’article «Surmonter les résistances au changement : de la médecine à l’entreprise»[2], dans lequel il développe une analogie entre les difficultés de mise en œuvre de réformes de grande ampleur portées par les institutions publiques ou les entreprises, et les « résistances au changement » de patients apprenant qu’ils devront ingérer, à vie, des médicaments et modifier leur mode de vie.

Pour pérenniser l'œuvre il se voit octroyer des missions notamment par des Ministères qui lui confient alors l’accompagnement de réformes complexes telles que l’acte II de la décentralisation ou la Loi Organique relative aux Lois de Finances (LOLF). Il enseigne à l’ENA et se voit confier, de 2008 à 2010, la formation des Jurys de Concours chargés de faire passer le « grand oral » aux candidats admissibles. Il enseigne également à IPESUP sur ce thème de la conduite du changement auprès des étudiants admissibles au grand oral de l’ENA.

En 2007, il est l’auteur du livre « Réussir une réforme publique : surmonter ces peurs et croyances qui bloquent le changement[3] ». Le livre est préfacé par Edgard Pisani, Ministre de l’Agriculture du Général de Gaulle, puis de l’Equipment auprès du Président Pompidou, Compagnon de la Libération, considéré comme l’un des plus grands réformateurs de la 5ème République.

Dans la conclusion de son livre, Pierre Winicki note que le principal frein à la réussite des réformes se situe dans les relations de défiance qui naissent au plus haut niveau des institutions, là où sont conçues ces réformes: entre Ministres, cabinets ministériels et haut-fonctionnaires chargés de les mettre en œuvre. Défiance du Politique à l’égard de son Administration; et réciproquement défiance des hauts-fonctionnaires vis-à-vis de leur Ministre et des membres de Cabinet. Dès lors, cette défiance se diffuse insidieusement tout au long de la hiérarchie administrative, pour atteindre finalement les «bénéficiaires» de la réforme: citoyens, entreprises, société civile…

Des croyances à la confiance[modifier | modifier le code]

Lancement des travaux du think tank Institut Confiances[modifier | modifier le code]

Après cinq ans de réflexion, Pierre Winicki nourrit une conviction: reconstruire des relations de confiance à tous les niveaux de la société constitue une urgence aussi fondamentale que complexe. La défiance est en effet source de montée de tous les extrémismes et fondamentalismes, qu’ils soient politiques ou religieux. Les «révolutions des printemps arabes» (Lybie, Tunisie, Egypte) le confirment: un peuple qui n’a plus aucune confiance dans ses «élites», qu’elles soient politiques ou économiques, finit par prendre les armes et déstabiliser le pays, voire au-delà… En France, cette «défiance de tous vis-à-vis de tous» pourrait se traduire, par une montée progressive des partis extrêmes, que ce soit à droite ou à gauche de l’échiquier politique (ce que l’actualité n’a fait que confirmer depuis…).

En fin 2011, il crée le think tank Institut Confiances[4] avec une vingtaine d’experts pluridisciplinaires avec comme Président d’honneur le Pr. Emile Poulat, sociologue et historien des religions, éminent expert de la laïcité et Vice-Présidents d’honneur le Pr. François Gros, biologiste, co-découveur de l’ARN Messager et Cédric Villani, mathématicien (Médaille Fields 2010) et ancien député.

De 2012 à 2013, A l'issue du premier colloque inaugural, une centaine de personnalités d’horizons socio-professionnels diversifiés (responsables politiques, hauts-fonctionnaires et cadres de l’administration, universitaires de nombreuses disciplines, dirigeants et managers d’entreprises, syndicalistes, journalistes, étudiants…) rejoignent les travaux de l’Institut Confiances afin de mener tous ensemble des travaux de Recherche & Développement sur la question: «Quelles sont les composantes fondamentales de la confiance? Quels sont les comportements, pratiques, postures qui contribuent à générer une culture et des pratiques de confiance?» Six groupes thématiques sont structurés au sein de l’Institut Confiances, portant chacun sur un enjeu-clé en matière de confiance / défiance: - Confiance et gouvernants: politiques, médias et citoyens - Confiance, management, évaluation, dialogue social - Confiance, culture et éducation - Confiance, politique de sécurité et de justice - Confiance en la science, confiance en l’avenir.

Des « Cas de Confiance » (études de cas soulevant des enjeux de confiance / défiance) sont analysés en détail par chacun des groupes thématiques. Parmi eux : la pandémie grippale H1N1 de 2009 (11 ans avant le COVID) ; les pratiques de leadership et de management des organisations ; la question des OGM ; le rapport à la confiance / défiance chez un jeune enfant dans un quartier défavorisé ; le rapport au mensonge dans le système judiciaire…

Un séminaire de deux jours, réalisé fin 2013, réunit des représentants des 6 groupes thématiques de l’Institut Confiances. A cette occasion, une synthèse des travaux des groupes permet de faire émerger la « substantifique moelle » d’une culture et de pratiques de confiance, sous forme de sept familles de comportements et attitudes. C’est à cette occasion que Roland Gori suggère d’appeler ces sept facteurs de confiance des « habitus de confiance ». Sur un plan visuel, le choix de présenter les sept habitus de l’Arbre de Confiance sous forme de pièces de puzzle symbolise le fait que ces habitus sont intimement corrélés les uns aux autres, dans un rapport permanent de causalité : la présence ou l’insuffisance d’un habitus, chez une personne ou au sein d’un collectif, a pour cause ou pour conséquence un autre habitus.

Du 2 au 4 décembre 2013, le modèle de « L’Arbre de Confiance » est pour la première fois révélé au grand public : une conférence de trois jours, intitulée « Reconstruire la Confiance », est organisée à l’Ecole Militaire en partenariat avec le journal Le Monde, qui lui consacre un Cahier de quatre pages incluant une description des sept « habitus » de l’«Arbre de Confiance».

Emergence du modèle de « L’Arbre de Confiance »[modifier | modifier le code]

« L’Arbre de Confiance » permet d’objectiver les sept principaux types de comportements ou attitudes contribuant à générer une culture ou des pratiques de confiance : confiance en soi, confiance dans une relation inter-individuelle, collective, à l’échelle d’une institution, d’une entreprise, d’un territoire et même d’un pays.

Chacun de ces sept facteurs est appelé « habitus de confiance », reprenant ainsi le concept d’origine biblique, «habitus», popularisé notamment par le sociologue Pierre Bourdieu, qui lui donne le sens suivant «un habitus est un comportement ou une attitude qui trouve son origine dans un héritage social, culturel, ou dans des croyances». Les racines de l’Arbre de Confiance symbolisent ce qui est enfoui, invisible, sous-jacent, non-dit, souvent inconscient, il s’agit des croyances, des représentations mentales, des valeurs, des peurs, de l’héritage culturel, de l’histoire d’une personne, d’une famille, d’une institution, d’un territoire ou d’un pays Auxquels s’ajoutent les lois et les normes, qui conditionnent également la culture et les pratiques individuelles et collectives.

Premiers déploiements de l’Arbre de Confiance en France et émergence des outils de mesure de la confiance, les « Baromètres de Confiance »[modifier | modifier le code]

Dans un soucis d'aider certaines entreprises et institutions publiques à opérationnaliser le modèle de l’Arbre de Confiance, afin de leur permettre de renforcer leur performance en développant un leadership et un management basé sur la confiance, Pierre Winicki décide de transformer le modèle de l’"Arbre de Confiance" en un outil de mesure et de renforcement de la confiance, qui permet d'évaluer le niveau de chacun des sept « habitus » de l’"Arbre de Confiance" au sein d’équipes de directions ou d’équipes projets. D'où la naissance du « Baromètre de Confiance ».

Pour consolider cet outil, une mission fut montée dans le Val d’Oise auprès de nombreux jeunes partis faire le djihad en rejoignant Al-Qaïda ou Daesch. Cette mission visait à répondre à la question suivante : « Les jeunes qui montent en radicalisation ne nourrissent-ils pas, progressivement, une défiance profonde ? Défiance en eux-mêmes ? Défiance envers leur entourage, envers les institutions publiques, envers la France ? Dans un tel cas, une analyse de leur montée en radicalisation à l’aune de l’Arbre de Confiance ne permettrait-elle pas de fournir aux autorités compétentes des clés de lecture originales ? » Ce travail donne lieu à un rapport, remis en 2015 au (CIPDR).

Déploiement de l’Arbre de Confiance en Afrique dès 2015[modifier | modifier le code]

A la découverte de « L’Arbre de Confiance », Vera Songwe, Directrice de la Banque Mondiale pour l’Afrique de l’Ouest, confirme qu'il est impératif de l'imprégner en Afrique au vu des principaux défis de gouvernance des Etats Africains car dit-elle : « lorsque nous, Banque Mondiale, investissons un ou plusieurs milliards de dollars dans un pays, pour peu que la gouvernance de ce pays soit basée sur des rapports de défiance entre les principaux acteurs de l’Etat, notre investissement est réalisé en pure perte ! ». La Guinée-Bissau l'un des pays les plus fragiles de l'Afrique bénéficie adopte alors l’Arbre de Confiance auprès du gouvernement tout juste nommé. c'est Ainsi que Pierre Winicki devient le « coach » du Premier-ministre Guinéen, Dominigos Simões Pereira où il participera aux travaux de lancement de la nouvelle « Commission pour la Paix et la Réconciliation » du pays.

Création de TrustInside pour faciliter le déploiement de l’Arbre de Confiance dans des institutions, les entreprises et les écoles.[modifier | modifier le code]

Fin 2016, Pierre Winicki crée l’entreprise TrustInside, pour lui permettre de diffuser plus largement l’Arbre de Confiance au sein d’entreprises et d’institutions publiques, en France et à l’international. L’Institut Confiances (association loi de 1901) est absorbé par TrustInside, devenant ainsi son département R&D. L’Arbre de Confiance est progressivement diffusé dans le cadre de séminaires de direction, d’actions de formation, d’accompagnement d’équipes au sein de grandes entreprises (Caisse des Dépôts, Thalès, Orange, SNCF, Bosch…) et d’institutions publiques (Commission européenne…). L’Arbre de Confiance connaît un réel succès dans des établissements scolaires (écoles élémentaires, collèges, lycées), en particulier dans des établissements situés dans des quartiers « sensibles », dans le Val d’Oise en particulier. L’Organisation de Coopération et de Développement Economique (OCDE), qui publie chaque année les enquêtes PISA comparant les résultats scolaires dans une trentaine de pays, participe aux travaux d’évaluation de l’Arbre de Confiance à l’école et en fait la seule expérience éducative française décrite dans son rapport de 2021 « [1][5] ».

Lancement de formations-accréditations de « Praticiens de la Confiance » et de « Tisseurs de Confiance »[modifier | modifier le code]

Pour assurer une diffusion large de l’Arbre de Confiance, Pierre Winicki forme et accrédite, dès 2017, de premières promotions de « Praticiens de la Confiance » et de « Tisseurs de Confiance », pour leur permettre de diffuser le modèle et les outils de l’Arbre de Confiance auprès de divers publics (entreprises, institutions, écoles…). Les « Praticiens de la Confiance » sont des professionnels de l’accompagnement humain (consultants, coachs, formateurs, enseignants, éducateurs, médiateurs, travailleurs sociaux…) formés aux outils de la confiance : modèle de l’Arbre de Confiance, utilisation des Baromètres de Confiance et méthodes de renforcement de la confiance, individuelle et collective. Les « Tisseurs de Confiance » sont des leaders d’opinion (dirigeants politiques, d’entreprises et d’administrations, leaders religieux ou traditionnels…) formés aux outils de la confiance pour leur permettre d’en promouvoir les enjeux et les méthodes d’action, auprès de leurs publics respectifs.

Un déploiement croissant de l’Arbre de Confiance en Afrique sub-saharienne : Cameroun, Centrafrique, Guinée…[modifier | modifier le code]

Depuis 2018, Pierre Winicki déploie progressivement l’Arbre de Confiance dans plusieurs pays d’Afrique sub-saharienne, dans le cadre de contrats signés avec de grandes institutions internationales.

Déploiement de l'Arbre au Cameroun[modifier | modifier le code]

 La Banque Mondiale soutient ainsi les actions de TrustInside au Cameroun (Ministère des Marchés Publics – MINMAP) et au Niger (Ministère de la Santé) pour améliorer la gouvernance de ces institutions. L’Université Catholique d’Afrique Centrale (UCAC), dans un contexte de crise anglophone au Cameroun (conflits entre sécessionnistes anglophones désireux de créer l’Ambazonie et représentants de l’Etat, dans les régions du Sud-Ouest et du Nord-Ouest (« No-So »), de présence de Boko Haram dans l’Extrême-Nord, demande à Pierre Winicki d’initier au sein de l’Université une dynamique de confiance auprès de ses dirigeants, de son corps enseignant et de ses étudiants. Depuis 2022, l’UNESCO et le Ministère de la Jeunesse et de l’Education Civique du Cameroun (MINJEC) pour y initier une dynamique de confiance en formant un premier groupe de « Praticiens de la Confiance ». En 2023, l’Ambassade de France au Cameroun et le Conseil Nouveau Sommet Afrique France (CNSAF) ont confié à Pierre Winicki la mission de faire de l’Arbre de Confiance l’un des principaux levier de réussite du projet «Transition Ecologique », visant à renforcer une culture et des pratiques de développement durable au Cameroun. L’Organisation Internationale pour les Migrations des Nations Unies (OIM) au Cameroun a également engagé un début de déploiement de l’Arbre de Confiance, pour mieux répondre à ses missions d’insertion dans leur pays d’origine des migrants. Dès le début de l’année 2024, le MINJEC, avec le soutien de l’UNESCO et du Fonds de Consolidation de la Paix des Nations-Unies (PBF) prévoient de faire de l’Arbre de Confiance un important levier de réussite du programme PRONEC REAMORCE, qui visant à favoriser le changement des mentalités au sein de la jeunesse dans une perspective d’insertion socio-professionnelle et de diminution des violences.

Déploiement de l'Arbre en République centrafricaine[modifier | modifier le code]

En République centrafricaine, après une première formation sur l’Arbre de Confiance animée par Pierre Winicki en 2021 à l’Institut Supérieur d’Agronomie d’Afrique Centrale (ISAAC), dépendant de l’UCAC, une dynamique de confiance est lancée en 2023 : Le Cardinal de Bangui, Monseigneur Dieudonné Nzapalaïnga, prévoit d’initier la formation de Prêtres, de Religieuses et de Catéchistes comme « Praticiens de la Confiance », afin de les outiller pour mieux agir sur le « facteur Confiance » dans leur mission de paix et de résolution des conflits, auprès de leurs fidèles et des communautés locales.

Déploiement de l'Arbre en Guinée Conakry[modifier | modifier le code]

En Guinée Conakry, en 2023, dans un contexte politique sensible, où une junte militaire a pris le pouvoir en 2021. Une première action de formation à la confiance, réunissant des représentants du Gouvernement (Ministère de la Justice et de la Paix, Ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation), de leaders de la société civile est réalisée par TrustInside à la demande des Nations-Unies : ONU Droits de l’Homme, PNUD, UNFPA, Fonds de Consolidation de la Paix (PBF). En 2024, cette action devrait prendre de l’ampleur.

Ouvrages et Publications[modifier | modifier le code]

«Réussir une réforme publique», Dunod, 2007, préface d’Edgard Pisani

«Les Cahiers du Management Public»: édition par Pierre Winicki (Directeur de Publication et Rédacteur-en-Chef) de cette lettre d’information sur abonnements, diffusée de Novembre 2003 à février 2011 (23 numéros)

Citations dans des ouvrages[modifier | modifier le code]

«Immersion, de la science au Parlement», Cédric Villani, Flammarion, 2019 (p. 227)

«Révéler les talents enfouis», Jacques Lebeau, AFNOR Editions, 2015 (p. 171-173)

Présence Médias[modifier | modifier le code]

Le Monde, 7 septembre 2021: «Comment juguler l’épidémie de défiance?», tribune co-écrite par Pierre Winicki, John Crowley et François Gros

Public Sénat, 22 novembre 2012: invité au journal de 19h (lancement de l’Institut Confiances)

Récompenses et Distinction[modifier | modifier le code]

2009: Chevalier de l’Ordre National du Mérite

Références et liens externes[modifier | modifier le code]

  1. https://www.usinenouvelle.com/article/pionnier-de-l-internet-medical.N97238
  2. « l’Expansion Management Review », périodique, no 106,‎ , p. 2
  3. Pierre Winicki, Réussir une réforme publique : surmonter ces peurs et croyances qui bloquent le changement , paris, dunond, 2007 p. (ISBN 978-2-10-051007-8), p. 128 pages
  4. https://g.co/kgs/HQ3q8X6
  5. Embedding Values and Attitudes in Curriculum : Shaping a Better Future