Utilisateur:Isacre/Brouillon1

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Shabaka Hutchings

https://en.wikipedia.org/wiki/Lady_Blackbird

  • Tami Neilson

https://www.radiofrance.fr/fip/la-soul-dechirante-de-tami-neilson-sur-you-were-mine-5367633 https://en.wikipedia.org/wiki/Tami_Neilson

  • Curtis Harding

https://en.wikipedia.org/wiki/Curtis_Harding

https://www.radiofrance.fr/fip/la-soul-irresistible-de-wolfgang-valbrun-2303900

https://en.wikipedia.org/wiki/Ayron_Jones


Malted Milk[modifier | modifier le code]

  • 2024 "1975"

https://www.radiofrance.fr/francebleu/podcasts/la-nouvelle-scene-musicale/1975-de-malted-milk-un-album-qui-interroge-sur-l-etat-actuel-du-monde-et-la-condition-humaine-8004717 “1975” de Malted Milk, un album qui interroge sur l'état actuel du monde et la condition humaine Mercredi 13 mars 2024

Après vingt-cinq ans d'existence, une dizaine d'albums et de EP et des centaines de concerts à travers la France, l'Europe ou les États-Unis, le groupe Malted Milk est aujourd'hui une institution et une référence incontournable pour les amateurs de blues et de soul. C'est en 1996 à Nantes que le guitariste et chanteur Arnaud Fradin et l'harmoniciste Emmanuel Frangeul décident d'unir leurs forces afin de célébrer leur passion commune pour le blues sudiste et rural de Lightnin' Hopkins, Skip James ou Robert Johnson. C'est d'ailleurs le titre d'un morceau de Johnson (“Malted Milk”) qu'ils choisissent pour baptiser leur duo acoustique. La formation évolue rapidement avec l'arrivée d'une section rythmique (basse/claviers/batterie) qui leur permet de s'aventurer vers d'autres courants du blues, plus urbains et plus électriques. “La musique a également évoluée, assez simplement puisqu’on est passé d’un duo à un quintet. Là, on était plus sur le Chicago blues donc on s’est électrifié. On a un peu suivi le parcours de la musique Nord-américaine. Ce n’est que quelques années plus tard que j’ai découvert la soul. Al Green, ça a vraiment été une révélation pour moi”.

Plus de 20 ont passé, la famille Malted Milk s'est transformée, agrandie, enrichie et dévoile aujourd’hui “1975”en référence à l’année de naissance d'Arnaud Fradin, guitariste, chanteur et créateur de cette institution blues/soul nantaise.

Les textes des chansons de ce nouvel album traduisent l’humeur et l’état d’esprit du leader qui, à près de 50 ans, s’interroge sur son parcours de vie mais aussi sur la condition humaine dans un monde de plus en plus dénué d’amour et de fraternité. “Il y a un côté “regarder dans le rétro” mais aussi un petit clin d’œil aux années 70 car c’est pour nous une référence de période de bonnes musiques. C’est un écho à la fois avec mon enfance et aux musiques que j’aime”. “Love for yourself” est l’un des morceaux les plus engagés de l’album. “C’est une critique de notre société un peu et de ceux qui la dirigent surtout. C’est une façon de dire qu’on est encore debout et qu’on veut essayer de continuer à défendre certaines choses**”. Une sorte d’appel à la non-servitude. D’autres morceaux s’inspirent de moments pas toujours évidents de la vie quotidienne où Arnaud Fradin évoque son enfance et sa mère qui l’a toujours encouragé dans ses choix. “Je voulais aussi parler avec cet album de cette enfance qu’a connu ma génération où on vivait dans un univers un peu plus protecteur, un peu moins dans la réalité d’aujourd’hui où tout le monde est connecté y compris les enfants de 5 ans”.

"Love for Yourself", le cri du peuple soulful de Malted Milk Par Guillaume Schnee Publié le mercredi 17 janvier 2024 Le septet groove originaire de Nantes présente en avant-première un nouveau clip militant de son nouvel album "1975". Depuis ses débuts en 1996, Malted Milk a fait évoluer son format, du duo au quartet, quintet jusqu'au septet actuel, s'éloignant progressivement du delta blues des débuts pour mieux embrasser avec modernité l'immense héritage de l'histoire de la musique noire américaine. Depuis sa collaboration avec la diva de Memphis Toni Green en 2014, le combo du guitariste et chanteur Arnaud Fradin rayonne sur la scène groove européenne avec son cocktail toujours en évolution d'orchestrations soul, funk, country folk ou rock. Trois ans après Riding High, Malted Milk fait son retour en février prochain avec 1975, date de naissance du leader dont les réflexions introspectives et militantes façonnent les huit titres arrangés cette fois avec la complicité du guitariste et chanteur italien Marco Cinelli, membre éminent du groupe The Cinelli Brothers. Après A Little Bit Of Soul et Better Now, les sept musiciens partagent le single Love For Yourself, un brûlot soulful qui sonne comme un cri du peuple contre ceux qui nous gouvernent, accompagné d'une vidéo de Julien Dubois. Un titre puissant porté par un riff de guitare rock et cet irrésistible amalgame de nuances blues, soul, folk chères à Malted Milk.


  • 2019 Love, Tears & Guns"

https://www.radiofrance.fr/fip/exclu-le-clip-some-tears-you-need-to-shed-de-malted-milk-3731963 Exclu : le clip "Some Tears You Need To Shed" de Malted Milk Par Guillaume Schnee Publié le mardi 7 mai 2019 Le combo français revient en septet avec l'album "Love, Tears & Guns" et dévoile un pur bijou de soul romantique aux textures sonores modernes. C'est à domicile, au Stereolux de Nantes que le guitariste-chanteur Arnaud Fradin et sa bande ont tourné la vidéo du single "Some tears you need to shed " annonciateur de "Love, Tears & Guns ", un neuvième album attendu par tous les amateurs de groove. Et comme toujours Malted Milk y mêle avec modernité le blues de ses débuts aux orchestrations soul, à la douceur folk et aux vibrations funk. Un cocktail diablement efficace qui s'est progressivement développé depuis la création du duo blues originel (guitare et harmonica) en 1997, jusqu’à la formation de 11 musiciens lors de la tournée 2016 de l’album *Milk & Green * avec la chanteuse Tony Green_._ Le groupe a expérimenté plusieurs types de formations (quartet, quintet) jusqu’à trouver sa formule actuelle à sept. L'écoute de Some Tears You Need To Shed est bien la promesse d'un renouveau dans le son de Malted Milk avec une production moderne et une richesse d’arrangements dignes des meilleurs albums américains du genre. Une couleur musicale qui s'étoffe toujours un peu plus avec des titres country folk, des vibes reggae ou des tempêtes hendrixiennes qui viendront prendre place au milieu de ce nouveau raout soul funk blues. Malted Milk avaient entrepris une démarche d’ouverture vers de jeunes auteurs dès 2017 avec le lancement de son label Mojo Hand Records. Plusieurs d’entre eux comme Théo Lawrence où Thibault Ripault se retrouveront sur l’album. Pour découvrir les 11 titres originaux de l'album il faudra attendre le 24 mai ou se précipiter sur l'une des dates du groupe.


https://www.rollingstone.fr/malted-milk-love-tears-guns-chronique/ Malted Milk : soul made in France sur « Love Tears & Guns » 24/05/2019 Le combo bien de chez nous Malted Milk réussit l’exploit de reprendre à son compte une musique typée, en l’arrangeant à la sauce européenne. Son meilleur album

Oui, en France on a de bons musiciens et de fins connaisseurs de la chose rock comme soul. Prenez Malted Milk, les représentants d’un genre qui, si en Angleterre est un authentique courant surnommé par dérision Blue eyed Soul car jouée par des blancs becs, ici, c’est de la french Soul, avec tout ce que cela peut représenter comme perspective… bien que chanté en anglais (oui, pour ce genre, ça sonne mieux nous dit-on). Aussi Malted Milk n’y va pas par quatre chemins, et réussit même à renouveler un genre, en apportant des sonorités européennes continentales à un style pourtant très américain. Prouesse ? Non, passion, tout simplement, car leur musique, typée, cuivrée, amusée, chargée, et surtout habilement jouée et très produite – à croire que ce sont des Américains, c’est tout dire –, détonne et rassure sur le fait que oui, on peut être du coin et être 100% authentique et sincère dans sa démarche.

Loin de singer ou copier ce qui existe déjà depuis des lustres, et grâce à leur vingt ans de carrière, Malted Milk fait jouer son droit à la ramener et surtout à faire très bonne figure. Non, on ne va pas dire qu’ils peuvent reprendre le flambeau de Sam Cooke, Otis Redding, Womack & Womack ou Sam & Dave, car ce serait aussi vain qu’inutile – sans même compter que ce n’est pas leur but ! –, mais plutôt à faire renaître un espoir d’un soul made in France caractéristique, profonde, faisant sens. Pour tout dire, il ne leur reste plus qu’à envoyer leur disque à Quentin Tarantino, tant on replonge dans l’univers que ce dernier avait tracé dans Jackie Brown. Et pourtant, le groupe signe ici le meilleur disque de sa carrière, ce qui place la barre très haut !


  • 2018 20 ANS

https://www.radiofrance.fr/fip/podcasts/live-a-fip/malted-milk-en-live-a-fip-3551505 Malted Milk en Live à Fip Jeudi 4 janvier 2018 FIP rediffuse la soirée anniversaire du groupe Malted Milk avec Theo Lawrence, Alexis Evans et Ben L’Oncle Soul en invités. Toute la musique vivante de FIP. Les plus grands artistes live en studio, en public en session privée ou sur des festivals se savourent chaque jeudi à 20h. Une émission présentée par Stéphanie Daniel et réalisée par Joël Lemaréchal. Le 1er décembre dernier, Malted Milk fêtait ses vingt ans au Stéréolux de Nantes. Vingt ans de groove, de cuivres en cavalcade, le funk en bandoulière et le blues chevillé au corps. Le collectif nantais, dans sa quête d'authenticité, a arpenté bien des territoires musicaux. Du duo originel, en mode blues acoustique, au septuor actuel, Malted Milk s'est bâti une identité forte, vibrante et métissée, riche de ce que lui apporte chaque membre en matière de sensibilité musicale, de couleurs et de textures sonores – comme l'illustre sa rencontre avec Toni Green, voix soul emblématique de Memphis (patrie du rhythm and blues). Il a également su éviter les ornières catégorielles – celles du « blues à la manière de », de la soul « à la française » : Malted Milk est ce qu'il joue, ne recherche pas l'estampille labellisée qui le ferait paraître plus crédible à certaines oreilles, ou à paraître plus old school que les anciens bluesmen et soulmen. Le groupe s'incarne dans sa musique, passion et énergie intactes, et tout aussi communicatives. Du petit lait.


  • 2016 Milk & Green

https://musique.rfi.fr/soul/20160808-malted-milk-toni-green Malted Milk & Toni Green, la soul de Memphis à la mode nantaise 08/08/2016 Bertrand Lavaine

  • 2012

https://www.lemonde.fr/culture/article/2012/03/19/malted-milk_1672104_3246.html Malted Milk Par Sylvain Siclier Publié le 19 mars 2012

Izo Fitzroy[modifier | modifier le code]

Izo FitzRoy
Nom de naissance Isobel FitzRoy
Naissance Londres
Nationalité Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Activité principale Auteur-compositeur-interprète
Genre musical Soul
Instruments Piano
Années actives 2017-
Labels Jalapeno Records
Tucxone Records
Lovemonk
Influences Bill Withers
Otis Redding
James Brown
Janis Joplin
Site officiel izofitzroy.com

Izo FitzRoy, née Isobel FitzRoy, à Londres, est une chanteuse, auteure-compositrice-interprète et pianiste britannique.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse et débuts[modifier | modifier le code]

Izo FitzRoy naît à Londres dans une famille catholique[1]. Elle est la cadette d'une famille de cinq enfants. Elle débute le piano à l'âge de 7 ans - son grand-père était pianiste de jazz et écoute beaucoup Bill Withers, Otis Redding et James Brown et Janis Joplin[2],[3].

A 19 ans, Izo FitzRoy intègre en tant que chanteuse de gospel le Soul Sanctuary Gospel Choir Soul (en) de Londres puis créé le Great Sea Gospel Choir. La chanteuse accompagne également différents groupes comme le St Joan of Arc' Gospel Choir puis différents musiciens à La Nouvelle-Orléans comme Jon Cleary et son groupe The Absolute Monster Gentlemen[4]. Izo FitzRoy ne se considère pas comme particulièrement religieuse mais explique sa passion pour le gospel dans une interview en 2020 : « le gospel consiste à chanter pour quelque chose de plus grand que soi. Cela vous sort de la routine quotidienne et vous rend plein d’espoir et de gratitude »[3].

Carrière[modifier | modifier le code]

En 2017, Izo FitzRoy sort l'album Skyline. Produit par Dr. Rubberfunk, pour Radio France, l'album soul, funk emprunt également de blues et de gospel a pour thèmes notamment l’Ouragan Katrina et la xénophobie[4]. Pour le magazine Soul Bag, la chanteuse est l'une des révélations de l'année ainsi que son concert au Le Divan du Monde[5],[6].

En 2020, Izo FitzRoy édite son deuxième album How The Mighty Fall enregistré entre Paris, Londres et Sheffield. Elle s'entoure des producteurs Dimitri from Paris, Shawn Lee et des orchestres Haggis Horns et Soul Sanctuary Gospel Choir[7]. Comparée notamment à Janis Joplin, la voix de la chanteuse s'étend d'une octave après une opération des cordes vocales. Ecrit après une rupture amoureuse, l'album évoque davantage des sujets plus personnels comme les problèmes de communication[8]. Pour Sylvain Siclier du Monde, cet album est moins classique que le précédent car la chanteuse s'accompagne également de section de vents, de chœurs et de cordes et tente même une incursion vers le disco[9],[3]. La chanteuse est finaliste du Prix Soul de l'Académie du jazz[10].

En 2023, elle sort son troisième album A Good Woman produit par Oscar De Jong du groupe électronique néerlandais Kraak & Smaak (en). Pour Jazz Radio, l'album « est en partie autobiographique et questionne sur la place de la femme dans une société dirigée par les hommes »[11]. Pour Arnaud Quittelier de RTBF, Izo FitzRoy est « l’une des voix les plus reconnaissables de la modern soul anglaise »[12]. Pour Guillaume Duvivier de Radio Nova, l'album est « un retour aux origines religieuses de la soul » dans lequel la chanteuse détourne des thèmes du catéchisme vers l’émancipation féminine. Le titre God Gets A Little Busy Sometimes est inspiré du meurtre de Sarah Everard par un policier à Londres dans lequel Izo FitzRoy évoque la peur que ressentent les femmes au quotidien[13].

  • RECHERCHE INTERVIEW
  • INFLUENCES
    • VA VIVRE A LA NELLE ORLEANS
    • PAS religieuse

https://westcoastsoul.de/interview-with-izo-fitzroy

  • 2023 A Good Woman

https://www.jazzradio.fr/news/musique/39870/izo-fitzroy-presente-son-voyage-spirituel Izo FitzRoy présente son voyage spirituel 08 Mai 2023 une des voix les plus reconnaissables de la soul anglaise moderne Izo ne cesse de se réinventer. Ce nouveau projet est décrit par l’artiste comme un voyage spirituel. Pour son troisième opus, la chanteuse se livre avec des compositions plus intimes et plus personnelles. Entre "A Good Woman", "Hope Divine" ou encore "Chasing Days" chaque chanson dévoile une partie de son histoire. "La chanson parle du profond manque de sécurité que je ressens parfois en tant que femme, en moi-même et dans mon corps et ma sexualité, et comment j'ai regardé à l'extérieur de moi pour être sauvée. God dans le titre fait référence à mon éducation catholique, quand j'étais plus jeune, espérant que cela pourrait être mon refuge, puis plus tard avec les hommes - en s'appuyant sur des relations pour me sauver ou me protéger, et même en rejoignant un culte pour les femmes, après la mort de mon père en 2010. Il s'agit de toutes les façons dont je me suis abandonnée dans l'espoir d'être sauvée ailleurs avant de finalement retrouver le chemin de ma personne et une reconquête de mon pouvoir”.

Souvent influencé par la puissance brute de légendes féminines, cet album est en partie autobiographique et questionne sur la place de la femme dans une société dirigée par les hommes. La chanson-titre “A Good Woman” résume parfaitement ce questionnement. Que signifie être “une bonne femme” dans la société ? C’est ce à quoi Izo Fitzroy tente de répondre au travers de chansons aux paroles sincères et convaincantes, sur des grooves serrés et mélodiques.

“Quelles étiquettes nous donne-t-on en tant que femmes, ou les rôles que nous estimons devoir remplir pour être considérées comme “bonnes” ou “réussies”. L'album est en partie autobiographique et jette un regard plus large sur le fait d'être une femme dans une industrie dominée par les hommes et de vivre dans une société patriarcale. J'ai essayé d'examiner la myriade de façons dont les femmes (moi y compris) ont cédé leur autonomie et leur pouvoir aux institutions, aux labels et aux personnes”.

Sortit ce 28 avril, cet album marque une nouvelle collaboration avec Oscar De Jong du groupe électronique néerlandais Kraak & Smaak avec qui Izo avait déjà collaboré. https://en.wikipedia.org/wiki/Kraak_%26_Smaak

"J'ai eu une chance incroyable de travailler avec Oscar qui n'est pas seulement un musicien et producteur phénoménal, mais c'est aussi un collaborateur extrêmement ouvert et solidaire. Cet album a été un processus collaboratif du début à la fin : de l'écriture et de l'enregistrement à la production finale de chaque morceau”.

La chanteuse londonienne Izo FitzRoy, entre classe et modernité 26 juil. 2023 à 15:42 Par Arnaud Quittelier - Patrick Bivort Tout commence par une voix hors du commun. Puissante et émouvante. Bercée par le gospel, Izo FitzRoy est aujourd’hui l’une des voix les plus reconnaissables de la modern soul anglaise. Oscillant entre classe et modernité, la chanteuse londonienne emporte tout sur son passage. Sa musique soul se teinte d’accents blues et dépoussière un genre qui n’en finit pas de se réinventer. En résulte une envie de danser et de fêter la vie.

La puissance vocale d‘Izo FitzRoy a explosé sur la scène internationale en 2017 avec son premier album "Skyline". L’album, un mélange de gospel, de funk avec des accents bluesy et un lyrisme propre à la personnalité de la chanteuse fut très bien accueilli par la presse internationale. Une voix qu’Izo FitzRoy utilise comme un instrument à part entière, au service d’une musique nourrie d’influences multiples à commencer par le gospel, sans oublier la funk, la soul, le R&B et même le rock. Rien d’étonnant pour celle qui a été bercée par les disques d’Aretha Franklin, James Brown et des Stones, et dont le groove n’est pas sans rappeler une certaine Amy Winehouse.

"A Good Woman", le troisième album de la chanteuse londonienne est le fruit d’une collaboration avec le producteur Oscar De Jong, du groupe soul pop électro néerlandais Kraak & Smaak. Ce nouvel essai mêle une introspection spirituelle, des inspirations pop-soul cuivrées et des grooves californiens 70’s.

Malgré une solide préparation pour ce nouvel album et auréolée du succès de ses deux premiers albums, Izo a connu quelques déboires. Elle a notamment perdu momentanément l’usage de sa voix et a dû être opérée des cordes vocales fin 2018. Un long programme de rééducation a été nécessaire pour recouvrer l’usage de la parole dans un premier temps, puis celle du chant dans un second. Après ce long processus elle a enfin pu se remettre au travail. Mais heureusement, après cette période personnelle difficile pour elle, le bon côté de l’expérience a été, qu’après la rééducation, Izo a gagné une nouvelle octave ! Cette nouvelle donne a influencé l’écriture des titres de l’album et lui a permis de retravailler ses compositions en y apportant des subtilités vocales qu’elle n’aurait pu se permettre avant l’opération. Une histoire qui finit bien avec pour résultat un très bel album "A Good Woman" qui ravira ses nouveaux fans comme ceux de la première heure.

« A Good Woman » : retour aux origines soul d’Izo FitzRoy par Guillaume Duvivier Publié le 4 mai 2023


  • 2022

La magnétique chanteuse et pianiste londonienne de soul contemporaine Par Catherine Carette Publié le mercredi 23 novembre 2022 https://www.radiofrance.fr/fip/la-puissante-complainte-d-izo-fitzroy-2196973 Après Skyline co-écrit avec le DJ Simon Ward (Dr. Rubberfunk) à la Nouvelle-Orléans en 2017 et How The Mighty Fall (2020), enregistré entre Paris, Londres et Sheffield qui se concentrait sur la fin d'une histoire d'amour, Izo Fitzroy annonce un troisième album. Le titre God gets a little buzy Sometimes, écrit après le meurtre de la Londonienne Sarah Everard, enlevée, violée et étranglée par un policier en 2021, parle de l'insécurité qu'elle ressent en tant que femme. « Je continue à prier pour une réponse mais je ne la trouverai jamais en haut, chante t-elle. Je vais me frayer un chemin à travers des eaux troubles parce que même Dieu est parfois un peu occupé » : Issue d’une famille catholique, Izo Fitzroy a acquis une solide base d’harmonie vocale avec le Soul Sanctuary Gospel Choir de Londres avant de créer le Great Sea Gospel Choir et de graver sa voix unique sur les enregistrements du collectif parisien Cotonete, du trio Néerlandais Kraak & Smaak, ou encore de Smoove Turrell, Flevans ou de Dr Rubberfunk. Passionnée par le gospel du Sud de Kirk Franklin ou Mavis Staples, elle est aussi fan de la Motown et de la Stax, des voix d'Otis Redding, de James Brown et de Bill Withers tout comme de la « blue-eyed soul » de Michael McDonald ou du groove de Steely Dan. Parmi ses influences on trouve aussi la voix unique de Janis Joplin. Avec sa propre musique Izo Fitzroy défie les genres et mêle sa soul au gospel, au funk, au jazz et au rhythm’ n’ blues avec toujours la même intensité.


  • 2020 How The Mighty Fall

https://www.radiofrance.fr/fip/red-line-le-groove-irresistible-d-izo-fitzroy-2182753 "Red Line", le groove irrésistible d'Izo FitzRoy Par Catherine Carette Publié le vendredi 28 février 2020 Quelle voix ! très maîtrisée, chaude, un brin éraillée à vous mettre les poils ! Après son premier album Skyline (2017) qui nous plongeait dans le meilleur des productions soul funk des années 60's et 70's, Izo FitzRoy présente un nouvel opus enregistré entre Paris, Londres et Sheffield avec le talent des célèbres producteurs Disco Dimitri From Paris, Shawn Lee et et Colin Elliott. How The Mighty Fall sort le 13 mars sur le label de Brighton Jalapeno Records.

Le titre Red Line, capté et mixé aux Arch Studios de Sheffields est signé Izo FitzRoy et Matthew Waer avec ce dernier à la basse, Marcus Bonfanti à la guitare et Sam Walker à la batterie et aux percussions. En prime, la super section de cuivres nommée The Haggis Horns qui a travaillé avec Mark Ronson, Jamiroquai, Amy Winehouse, Asele, Lilly Allen, Morcheeba... et le chœur des Soul Sanctuary Gospel Choir avec qui Izo travaille depuis de longues années. Interprété à pleine puissance, Red Line, relate la fragilité de la relation amoureuse et la tentation d'aller ailleurs :

Cette voix captivante bercée au son du gospel traditionnel et inspirée par les grandes figures du blues féminin comme Janis Joplin, a été mise à l’épreuve par une opération des cordes vocales fin 2018 qui a miraculeusement étendu sa tessiture. En effet, après une longue période de rééducation, Izo FitzRoy a pu se remettre au chant en ayant gagné une octave supplémentaire. La chanteuse a longtemps trouvé sa joie au sein du Soul Sanctuary Gospel Choir de Londres puis du Great Sea Gospel Choir (qu'elle a fondé) avant de graver sa singularité sur les pistes d'enregistrements du collectif parisien au groove torride, Cotonete, du trio Néerlandais Kraak & Smaak, Smoove Turrell, Flevans ou de Dr Rubberfunk. Avec ce nouvel album dense conçu au lendemain de la rupture d'une longue liaison amoureuse, Izo aborde les problèmes de communication et d'effondrements psychologiques et sociaux.


Sélection albums : Les Métaboles, Izo Fitzroy, Sophie Alour, Pearl Jam et Melingo Le Monde Publié le 27 mars 2020 Sylvain Siclier Nouvelle venue sur la scène britannique, remarquée avec un premier album, Skyline, en 2017, la chanteuse et claviériste Izo Fitzroy passe au stade supérieur avec How the Mighty Fall. Dans son premier disque, son approche de la soul, avec des éléments de blues et de gospel, restait relativement classique, avec une formation réduite et des arrangements simples. Ici, outre l’accompagnement de son trio (le guitariste Marcus Bonfanti, le bassiste Matthew Waer et le batteur Sam Walker), elle est rejointe par une section de vents, des chœurs et par endroits des cordes (Colin Elliot étant l’arrangeur de ces deux sections). Ce sont d’ailleurs ces thèmes avec cordes en supplément qui emportent le plus, que cela soit l’allègre Red Line, Blind Faith, qui vire vers le clin d’œil disco, Wolves In Disguise, en tentation funk cosmique, ou les émouvantes ballades Give Me a Moment et When the Wires Are Down. Et dans cet ensemble, Izo Fitzroy se tient à distance de l’effet du surjoué, sa voix chaude, puissante, s’imposant naturellement. Sylvain Siclier

  • 2017 Skyline

https://www.radiofrance.fr/fip/albums/skyline-2017 samedi 1 avril 2017 Label Jalapeno Records / La Baleine

Avec les productions soul et funk de son premier album, la chanteuse londonienne replace le chant gospel du sud des Etats-Unis au chœur du groove. L'histoire des plus grandes voix soul commence invariablement par le chant gospel. Pourtant, si le revival soul actuel nous a permis de découvrir des grandes vocalistes, l'arrivée de la chanteuse anglaise Izo FitzRoy nous rappelle toute la puissance de ce chant gospel, ancêtre, comme le blues, de toutes les musiques afro-américaines. Dès l'âge de 19 ans, Izo FitzRoy a fait partie du Soul Sanctuary Gospel Choir de Londres avant de fonder le Great Sea Gospel Choir. La chanteuse à ensuite travaillé sa voix chaude et puissante dans les bars du Deep South Américain, avec le St Joan of Arc' Gospel Choir, ou avec la crème des musiciens de la Nouvelle-Orléans, notamment Jon Cleary & The Absolute Monster Gentlemen. Son premier album Skyline résonne comme un témoin de la richesse métisse de la cité du croissant, claque comme les productions groove de Bill Withers, des Meters ou Dr John, comme un blues originel puissant gravé par Alan Lomax, un funk syncopé de James Brown, une louange de Mahalia Jackson ou un cri incandescent de Janis Joplin. Pour cette tempête de groove en tous genres, la chanteuse a fait appel au batteur, producteur et DJ, Dr. Rubberfunk, aka Simon Ward rencontré via twitter. Izo FitzRoy évoque l’ouragan Katrina sur le blues Day by Day, la montée des tensions et de la xénophobie sur The Phoenix ou redonne un peu d'espoir dans le gospel d'anthologie Skyline. Ce premier album irrésistible est une plongée dans le meilleur des productions des années 60's et 70's, transcendé par une chanteuse exceptionnelle.

Discographie[modifier | modifier le code]

  • 2017 : Skyline
  • 2020 : How The Mighty Fall
  • 2023 : A Good Woman

Distinctions[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Catherine Carette, « La magnétique chanteuse et pianiste londonienne de soul contemporaine », sur Radio France, (consulté le )
  2. (en) Kelsey Barnes, « Izo FitzRoy. Nine songs », sur thelineofbestfit.com, (consulté le )
  3. a b et c (en) Thomas Splett, « Izo FitzRoy – How The Mighty Fall », sur westcoastsoul.de, (consulté le )
  4. a et b « Skyline Par Izo FitzRoy », sur Radio France, (consulté le )
  5. « Palmarès 2017 (part. 3) », sur Soul Bag, (consulté le )
  6. « Izo FitzRoy », sur Soul Bag, (consulté le )
  7. Ulrick Parfum, « Izo FitzRoy, How The Mighty Fall », sur Soul Bag, (consulté le )
  8. Catherine Carette, « "Red Line", le groove irrésistible d'Izo FitzRoy », sur Radio France, (consulté le )
  9. Sylvain Siclier, « Sélection albums : Les Métaboles, Izo Fitzroy, Sophie Alour, Pearl Jam et Melingo », sur Le Monde, (consulté le )
  10. Thomas Splett, « Jazz Culture : Académie du Jazz 2020 », sur Radio France, (consulté le )
  11. « Izo FitzRoy présente son voyage spirituel », sur Jazz Radio, (consulté le )
  12. Arnaud Quittelier, « La chanteuse londonienne Izo FitzRoy, entre classe et modernité », sur RTBF, (consulté le )
  13. Guillaume Duvivier, « « A Good Woman » : retour aux origines soul d’Izo FitzRoy », sur Radio Nova, (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]

{{DEFAULTSORT:FitzRoy, Izo}} [[Catégorie:Nom de scène]] [[Catégorie:Auteur-compositeur-interprète burundais]] [[Catégorie:Chanteuse britannique du XXIe siècle]] [[Catégorie:Chanteuse de soul]] [[Catégorie:Chanteuse des années 2010]] [[Catégorie:Chanteuse des années 2020]] [[Catégorie:Date de naissance non renseignée (XXe siècle)]]




Gabriels (groupe)
Pays d'origine Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre musical Gospel
doo-wop
Jazz
R&B
Musique soul
Années actives Depuis 2016
Labels R&S Records
Atlas Artists
Elektra
Parlophone
Site officiel www.gabrielsofficial.com
Composition du groupe
Membres Jacob Lusk
Ryan Hope
Ari Balouzian

Gabriels est un groupe de musique soul anglo-américain originaire de Los Angeles (Californie). Il est formé en 2016 par le chanteur Jacob Lusk, Ryan Hope et Ari Balouzian.



Arooj Aftab

https://en.wikipedia.org/wiki/Arooj_Aftab

  • MARS 2021 Vulture Prince

https://www.radiofrance.fr/fip/vulture-prince-la-poesie-soufie-d-arooj-aftab-1742208 "Vulture Prince", la poésie soufie d'Arooj Aftab Par Guillaume Schnee Publié le vendredi 26 mars 2021 Née et élevée à Lahore, au Pakistan, Arooj Aftab s'inspire de la poésie et de la musicalité de Rumi, Abida Parveen et d'autres poètes soufis ainsi que diverses formes de musiques classiques pakistanaises et nord-indiennes. Au début des années 2000, la compositrice rayonne sur la scène underground de son pays avec son univers sonore intégrant cette poésie dévotionnelle dans un univers sonore contemporain qu'elle définit comme « quelque chose de nouveau qui résonne à la fois musicalement et politiquement pour le moment contemporain ».


  • MARS 2022

https://www.theguardian.com/music/2022/mar/24/my-music-is-singular-to-me-arooj-aftab-the-brightest-new-star-at-this-years-grammys


  • JUIN 2022

https://www.lapresse.ca/arts/musique/2022-06-29/arooj-aftab/la-voix-de-l-ame.php


  • JUILLET 2022

https://www.ledevoir.com/culture/musique/729654/arooj-aftab-a-trouve-ce-petit-quelque-chose-qui-manquait Philippe Renaud 4 juillet 2022 Arooj Aftab a trouvé ce petit quelque chose qui manquait

Il suffit parfois d’un coup de pouce du destin pour que l’inimaginable se produise. Attendue au Club Soda le 5 juillet, la compositrice Arooj Aftab menait ainsi paisiblement sa carrière en marge des musiques populaires. Férue de jazz, de minimalisme et de conception sonore, elle a reçu une formation en composition jazz au prestigieux Berklee College of Music de Boston avant de s’installer à Brooklyn, où son nom était déjà connu au sein de la communauté musicale d’avant-garde. Puis le monde ploya sous le poids moral infligé par la pandémie et découvrit non pas un antidote, mais un analgésique : Vulture Prince, son troisième album.

« Ouais », opine la musicienne d’origine pakistanaise en pesant ses mots, qu’elle prononce avec ce même débit rassurant qui donne tant de personnalité à ses albums. « Je pense que la pandémie a provoqué tant de deuils, de maladie, de frustration et d’isolement que ça nous a forcés à réfléchir à un tas de choses. Il me semble que, durant cette période, les gens se sont retrouvés face à eux-mêmes et à toutes ces choses si intenses qu’on vit sur cette planète. Je pense en effet que ma musique, par ses nuances, sa grâce, son caractère introspectif évoquant la nostalgie, l’espoir et le deuil, a servi de médicament pour bien des gens — c’est en tout cas ce qu’on m’a confié. »

Quelque part entre le folk, le jazz et la musique contemporaine, les poignantes chansons de Vulture Prince, dédiées à son frère décédé, abordent le sujet de la mort, mais sur un ton si serein qu’il inspire l’espoir. La voix soyeuse de la musicienne s’exprimant en urdu — hormis pour la seule chanson en anglais, Last Night, sur une rythmique reggae/dub — a ce caractère que l’on qualifiera de maternel, apaisant et réconfortant.


Entre le jazz et les traditions musicales du sous-continent asiatique, la conversation perdure depuis les années 1950 — pensons notamment aux albums Prayer to the East (1957) et Eastern Sounds (1961) du compositeur et saxophoniste Yusef Lateef. Des décennies plus tard, la compositrice d’origine pakistanaise ajoute le folk et la musique contemporaine à la conversation. « C’est dur pour moi de décrire ce qui, dans ma musique, est clairement jazz ou d’influence pakistanaise puisque c’est d’abord une musique qui m’est personnelle. De plus, je n’ai jamais étudié la tradition classique sud-asiatique, je ne pratique pas le soufisme, or je ne suis pas experte dans ces traditions. Je n’ai étudié formellement que le jazz, sauf qu’il y a tant de ces traditions et de ces cultures en moi, ne serait-ce que parce que j’ai grandi dans la capitale romantique de l’Asie du Sud », la ville de Lahore.

Arooj Aftab reconnaît toutefois toute l’influence qu’a sur sa musique, son chant spécifiquement, la compositrice et interprète Abida Parveen, légende vivante de la musique soufie du Pakistan, « d’autant que, n’ayant pas eu de formation classique, j’ai appris en écoutant ses enregistrements. J’ai eu la chance de la rencontrer à New York, peu après avoir eu mon diplôme à un moment où je me cherchais beaucoup, musicalement. »

« Ma musique ne peut pas se résumer à la superposition de deux traditions, poursuit-elle. C’est plutôt une rencontre naturelle entre le jazz, le folk, le post-classicisme et le minimalisme » — pour la petite histoire, on notera qu’au sein de son orchestre joue le guitariste Gyan Riley, fils du compositeur Terry Riley, souvent présenté comme le fondateur du courant minimaliste. « J’ai mis beaucoup de temps à arriver à cet équilibre sur Vulture Prince, et ce ne fut pas si simple. À chaque tentative, je trouvais toujours qu’il manquait un petit quelque chose… »

Qui s’est finalement matérialisé sur Vulture Prince, ainsi qu’en témoigne le retentissant succès qu’obtient l’album depuis sa parution. La veille de notre rendez-vous téléphonique, Arooj Aftab et ses musiciens étaient invités à donner un concert au Hall du prestigieux Barbican Centre de Londres, domicile du London Symphony Orchestra et du BBC Symphony Orchestra. Le lendemain, c’était au festival Glastonbury qu’on l’attendait, en début d’après-midi, avant les concerts annoncés de Billie Eilish, St. Vincent, Phoebe Bridges et Little Simz.

« Je pense que je n’ai pas encore absorbé l’importance qu’a prise aujourd’hui toute la facette de notre métier qu’est la tournée, souligne Arooj Aftab. J’avais déjà fait de la scène, voyagé pour donner des concerts, mais là, c’est rendu à un tout autre niveau. C’est vraiment amusant de jouer dans des lieux aussi différents, de voir les gens assister aux concerts, les salles qui affichent complet, c’est fou. »

Contrairement à ces précédents albums (tous aussi recommandables) Bird Under Water (2015) et Siren Islands (2018), Vulture Prince a été remarqué par de nombreuses publications et médias spécialisés, la bonne nouvelle s’étant rendue jusqu’aux oreilles d’un jury spécialisé de la Recording Academy, qui lui a décerné un Grammy l’hiver dernier (Best Global Music Performance, pour la chanson Mohabbat). Dans son pays d’origine, « les gens ont perdu la tête en apprenant la nouvelle ! » se réjouit Arooj Aftab. « C’était génial, intense, on a célébré ça ! Tu sais, le Pakistan a malheureusement mauvaise presse dans le monde, alors, lorsque quelque chose de positif comme ça arrive, les gens se dressent et célèbrent ça en grand, justement parce qu’ils ne sont pas souvent reconnus pour ce genre de victoires. »


Arooj Aftab sera en concert le 5 juillet, 21 h, au Club Soda, puis le 7 juillet au Festival d’été de Québec.

  • MARS 2023 Love In Exile

https://www.lecho.be/culture/musique/nuits-botanique-2023-arooj-aftab-la-meilleure-des-mondes/10457826.html Nuits Botanique 2023: Arooj Aftab, la meilleure des mondes NICOLAS ALSTEEN 31 mars 2023 Diplômée en jazz, Arooj Aftab est entrée dans l'histoire en devenant la première chanteuse pakistanaise à remporter un Grammy Award. Désormais installée à Brooklyn, envoûtera les Nuits Botanique, le 9 mai. La chanteuse pakistanaise sera de passage à Bruxelles pour défendre les couleurs de «Love in Exile», un album aux vertus cosmiques, mis sur orbite en compagnie du pianiste de jazz Vijay Iyer et de Shahzad Ismaily, multi-instrumentiste connu pour ses collaborations avec Lou Reed, John Zorn ou Colin Stetson. Née en Arabie saoudite de parents pakistanais, la chanteuse se construit une personnalité sur la terre de ses ancêtres, à Lahore, au Pakistan. La vingtaine à peine entamée, elle s'envole pour les États-Unis afin d’y poursuivre ses études à la prestigieuse Berklee College of Music Là-bas, à Boston, elle étoffe ses chansons au contact de l’Occident, jetant des ponts entre les traditions et de multiples modes d'expression. À la jonction de la musique classique, de l'ambient, du jazz et d’inspirations héritées des célébrations soufies, Arooj Aftab met l'ourdou, sa langue natale, à l'épreuve du temps. En 2022, sa fusion des genres se fraie un chemin, en lévitation, jusqu’à la cérémonie annuelle des Grammy Awards. Arooj Aftab y triomphe dans la catégorie «Meilleure performance mondiale». Première artiste de son pays, hommes et femmes confondus, à remporter la précieuse récompense musicale, elle devient, la même année, la première chanteuse pakistanaise à fouler la scène du Coachella Festival.

Discographie[modifier | modifier le code]

Solo albums[modifier | modifier le code]

  • Bird Under Water (2014)
  • Siren Islands (2018), EP
  • Vulture Prince (2021)

Collaborative albums[modifier | modifier le code]

  • Love In Exile (2023) (with Vijay Iyer and Shahzad Ismaily)

Other works[modifier | modifier le code]

  • Music director for the film Without Shepherds by Cary McClelland (2013)[51]
  • Composed and sang on the album The Julius Eastman Memory Depot by Jace Clayton (2013)[52]
  • Sang the title song Insaaf for the film Talvar, written by Gulzar and composed by Vishal Bhardwaj (2015)[53]
  • Sang an old traditional Bandish of Raag Bhairavi Raske Bhare Tore Nain for the film Dobara Phir Se by Mehreen Jabbar (2016)
  • Composed and sang the song De Libbe with Daso for Tale and Tone Records (2017)[54]
  • Featured singer on Climbing Poetree's album Intrinsic (2017)[55]
  • Composer, Sound Designer and Implementer for Backbone by Eggnut Games (2021)[56]

Sang Mehram with Asfar Hussain for Coke Studio (2022)[57][58]

Distinctions[modifier | modifier le code]

Récompenses[modifier | modifier le code]

Nominations[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

{{Portail|poésie|littérature française|autisme}} {{DEFAULTSORT:Babouillec}} [[Catégorie:Poète français du XXIe siècle]] [[Catégorie:Naissance en 1985]] ||Catégorie:Naissance à Aunay-sur-Odon]] [[Catégorie:Personnalité utilisant un pseudonyme]] [[Artiste autiste]]



- HOMMAGES CHRIS CORNELL WAS an enigma. He could sound savage and tender at the same time. During his 52 years, he was grunge’s Golden God, a folky songsmith, a pop wailer and an easy-listening crooner. He possessed one of the most awe-inspiring voices of his generation, and possibly the greatest voice to emerge from grunge, and he could stretch it to work in any context. He even improbably made melisma sound cool in hard rock. Ultimately, there were many Chris Cornells. He could be looking California, feeling Minnesota or seeking a friend for the end of the world, depending on the song. Music fans knew David Bowie’s, Tom Petty’s and Prince’s genius at the times of their deaths, but Cornell died underappreciated. ‘Chris Cornell’ Attempts to Bring the Grunge Icon’s Musical Career Into Focus New box set collects music from Soundgarden, Temple of the Dog, Audioslave and Cornell's various solo projects BY KORY GROW NOVEMBER 20, 2018

- discographie

-blind dogs

- sa guitare : File:Chris Cornell's Guitar.jpg

- refaire l intro

- la presse internationale et de nombreux artistes rendent hommage

    • JIMMY PAGE

http://rockandrollgarage.com/jimmy-page-opinion-on-chris-cornell/

- un résumé sur les 4 avant leur rencontre comme rage again

- ados en colere. cheveux longs. les jeunes s habillent comme eux, chaussures, chemises. Ont une image differente de ce qu'ils sont vraiment. Ont tj fui la starisation

- susan silver : tout a tj ete plus difficile pour eux

- paroles : contre la société

- guitare thayil


[1]. Les musiciens déclarent que {{toutes les offres de rachat de nos intérêts ont été non sollicitées et carrément rejetées

Dans une nouvelle déclaration, Soundgarden a répondu au procès de Vicky Cornell : « L'offre de rachat qui a été exigée par l'Estate a été grossièrement mal interprétée et nous sommes convaincus que la clarté ressortira devant le tribunal. Toutes les offres de rachat de nos intérêts ont été non sollicitées et carrément rejetées. Depuis plus d'un an, les comptes de médias sociaux de Soundgarden ont été piratés ; tromper et confondre nos fans. En tant que groupe de l'État de Washington depuis 1984, nous sommes fiers de l'héritage musical, du travail et de la carrière de Soundgarden. Nous sommes impatients de terminer le dernier album de Soundgarden.

Vicky Cornell a déposé une autre plainte contre les membres survivants de Soundgarden, demandant cette fois à un juge de régler un différend sur la valeur de sa participation dans le groupe, héritée de feu Chris Cornell.

Selon des documents judiciaires obtenus par Rolling Stone, la dernière salve dans la querelle en cours entre la veuve de Chris Cornell et le reste du groupe est survenue après que Soundgarden a présenté une offre d'un tiers anonyme cherchant à acheter le catalogue de musique enregistrée du groupe. L'offre aurait été d'une valeur de 16 millions de dollars, mais Vicky affirme que le groupe a proposé d'acheter la participation de Chris "pour le chiffre horriblement bas de moins de 300 000 dollars".

Pour mettre ce chiffre en perspective, le procès affirme que l'offre initiale est bien inférieure aux redevances que Vicky a reçues en 2018 pour les seuls enregistrements maîtres de Soundgarden (par exemple, sans compter les redevances supplémentaires de l'édition). En outre, le procès prétend que Soundgarden a proposé le chiffre à travers une "évaluation qui est incompatible avec les coutumes et les normes de l'industrie et criblée de défauts méthodologiques, réduit les actifs de partenariat précieux et ne tient pas compte du fait que, lorsqu'un artiste emblématique de la stature de Chris meurt, le la valeur de la bande augmente.

Marty Singer, un avocat de Vicky Cornell, a déclaré dans une déclaration à Rolling Stone : « L'affirmation du groupe selon laquelle ce différend n'est en quelque sorte pas une question d'argent pour eux est absurde et hypocrite. Bien sûr, il s'agit d'argent et de leur cupidité. Ils ont reçu une offre d'un tiers pour acheter seulement une partie de leurs intérêts pour 16 millions de dollars, et ont pourtant proposé par la suite de racheter les intérêts de Chris pour seulement 278 000 $. Et puis Vicky a offert 21 millions de dollars pour leurs actions, ce qu'ils ont refusé – non pas parce qu'ils voulaient préserver l'œuvre de leur vie, mais parce qu'ils savent qu'ils tireront encore plus de l'exploitation future de la musique que Chris a écrite et de l'héritage qu'il a créé. (qui leur a rempli les poches pendant des années).

Dans une déclaration fournie à Rolling Stone, un représentant de Soundgarden a déclaré: "Comme demandé par la succession de Chris Cornell et comme l'exigent les lois de l'État de Washington, les membres survivants de Soundgarden ont soumis à Cornell Estate il y a quatre mois un rachat offre des intérêts de l'Estate dans Soundgarden calculée par l'expert en évaluation respecté de l'industrie de la musique Gary Cohen. Depuis lors, les membres du groupe ont continué à essayer de régler tous les différends avec le domaine Cornell et dans leurs nombreuses tentatives de règlement, les membres du groupe ont choisi d'offrir plusieurs fois plus que le montant calculé par Cohen. Ce différend n'a jamais été une question d'argent pour le groupe. C'est le travail de leur vie et leur héritage.

Sur Instagram, Cornell a abordé le nouveau dossier dans un article contenant une photo de Chris avec leurs deux enfants. "Ma vérité est plus forte que vos mensonges", a-t-elle écrit. « Ma volonté est plus forte que vos motivations. Mon amour est plus fort que ta haine.

The lawsuit goes on to claim that Soundgarden has repeatedly denied Vicky Cornell access to inventory and financial documents that would allow her to properly assess the value of the Soundgarden partnership. Without that information available, the lawsuit claims she countered Soundgarden’s $278,000 offer with a $12 million offer to buy out the collective interests of Kim Thayil, Matt Cameron and Ben Shepherd for $12 million (or $4 million each). After the surviving members of Soundgarden allegedly rejected that offer, Vicky claims she raised the total to $21 million (or $7 million each), adding that number could increase if she was given the underlying financial information. Soundgarden allegedly rejected the second offer as well.

Due to the disagreements over the valuation, Cornell has asked a judge to determine a proper buyout price based not only on the value of Soundgarden’s master recordings, but other assets as well. The suit states that a “good-faith valuation” would also account for future merchandise sales and “nostalgia-fueled projects,” such as potential tours with a replacement singer, hologram concerts and “deep-fake renditions of Chris’ vocals drawn from extant recordings by artificial intelligence that could mint brand new Soundgarden hits.”

In February 2021, Vicky Cornell filed another lawsuit claiming that the remaining members of Soundgarden have undervalued her share of the band, offering her “the villainously low figure of less than $300,000.”[147] Vicky claimed the band offered her $300,000 despite receiving a $16 million offer from another investor for the act's master recordings. Vicky said she counter-offered $12 million for the band's collective interests, equaling $4 million per surviving member, which they denied. She then offered them $21 million for the band’s interests, and that offer was also rejected.[147] Soungarden said in a statement that the "buyout offer that was demanded by the estate has been grossly mischaracterized and we are confident that clarity will come out in court. All offers to buy out our interests have been unsolicited and rejected outright." The band also noted that they also haven't had access to their social media accounts, which has resulted in "misleading and confusing our fans", leading the band to create new Twitter, Instagram and Facebook accounts under the name "Nude Dragons", an anagram for Soundgarden.[147] On March 19, 2021, a federal judge recommended that claims the surviving band members improperly withheld "hundreds of thousands of dollars" and that the band's manager breached his duty to look after Vicky's interests be dismissed, citing lack of evidence of the band withholding royalties.[147] On March 25, 2021, Soundgarden demanded the passwords for their social media and website.[147] On June 15, 2021, the band got their website and social media accounts back in a temporary agreement with Vicky


[2],[3].

https://www.chicagotribune.com/chi-soundgarden-album-review-king-animal-reviewed-20121110-column.html Greg Kot Album review: Soundgarden, 'King Animal' 12 NOV https://www.bostonglobe.com/arts/music/2012/11/27/review-soundgarden-king-animal/w0C6hfATBxCxDhZFI5JqzN/story.html 27 NOC Scott McLennan "King Animal" is not so much a roaring comeback for Soundgarden as it is a pleasant return. There's nothing bad about these 13 tracks, but nothing remarkable either. It's been 16 years since singer Chris Cornell, guitarist Kim Thayil, bassist Ben Shepherd, and drummer Matt Cameron applied their combined talents to new songs, and while the old chemistry sounds intact (though can we get more from the drummer, please?) the material is not particularly combustible. Soundgarden picks up where it left off, meaning more polish and less menace. On the lead track "Been Away Too Long," Cornell ponders the band's relevance all these years removed from the grunge glory days, and nothing that follows renders the point moot. This collection conjures the band's breadth — there's the trippy "By Crooked Steps"; the riffage of "Blood on the Valley Floor"; lean 'n' sinewy "Attrition"; and the haunted mid-tempo rock of "Black Saturday" — but overall is a pretty tame animal. (Out now)

"King Animal" n'est pas tant un retour en force pour Soundgarden qu'un retour agréable. Il n'y a rien de mal dans ces 13 titres, mais rien de remarquable non plus. Cela fait 16 ans que le chanteur Chris Cornell, le guitariste Kim Thayil, le bassiste Ben Shepherd et le batteur Matt Cameron ont appliqué leurs talents combinés à de nouvelles chansons, et bien que l'ancienne chimie semble intacte (mais pouvons-nous obtenir plus du batteur, s'il vous plaît ?) le matériau n'est pas particulièrement combustible. Soundgarden reprend là où il s'était arrêté, ce qui signifie plus de polissage et moins de menace. Sur le morceau principal "Been Away Too Long", Cornell s'interroge sur la pertinence du groupe pendant toutes ces années éloignées des jours de gloire du grunge, et rien de ce qui suit ne rend le point discutable. Cette collection évoque l'étendue du groupe - il y a le trippant "By Crooked Steps"; le riffage de "Blood on the Valley Floor" ; "Attrition" maigre et musclé ; et le rock mi-tempo hanté de "Black Saturday" - mais dans l'ensemble, c'est un animal assez apprivoisé. (Dehors maintenant)


https://www.chicagotribune.com/chi-soundgarden-album-review-king-animal-reviewed-20121110-column.html Greg Kot Album review: Soundgarden, 'King Animal' 12 NOV Soundgarden's bulldozer riffs were rarely served straight. And so it goes on the best moments from the quartet's first album since 1996, "King Animal" (Seven Four Entertainment/Republic Records). Even as the hard-charging "Been Away Too Long" flirts with hard-rock convention, it never succumbs – unsettling textures flicker in and out of the Neanderthal stomp.

All of which testifies to the ongoing inventiveness of the band's core '90s lineup: drummer Matt Cameron finds the groove in even the zaniest time signatures; Ben Shepherd plays bass lines that clear out the carnage; and Kim Thay il's guitar never met a metal cliché it couldn't twist into something strange. But there's not enough of the band on "King Animal," with a few exceptions: the all-enveloping black cloud of "Non-State Actor," the menacing slow burn of "Eyelids Mouth," the Eastern-tinged psychedelia of "A Thousand Days Before."

Otherwise, this feels a lot like the Chris Cornell show. After wasted years in wayward solo projects and the increasingly linear conservatism of Audioslave, the singer tries to slip back into Soundgarden's heavy-yet-sensual mystique. But he strains for notes he once pierced on the heavier songs, and settles too easily for substandard, low-volume mood pieces such as "Bones of Birds," "Taree," "Halfway There" and "Black Saturday." They sound more like singer-songwriter leftovers from his solo albums than the stuff of which big rock-band comebacks are made.

Les riffs de bulldozer de Soundgarden étaient rarement servis directement. Et ainsi de suite les meilleurs moments du premier album du quatuor depuis 1996, "King Animal" (Seven Four Entertainment/Republic Records). Même si le dur "Been Away Too Long" flirte avec les conventions du hard-rock, il ne succombe jamais - des textures troublantes scintillent dans et hors du piétinement néandertalien.

Tout cela témoigne de l'inventivité continue de la composition des années 90 du groupe : le batteur Matt Cameron trouve le groove même dans les signatures rythmiques les plus loufoques ; Ben Shepherd joue des lignes de basse qui effacent le carnage ; et la guitare de Kim Thayil n'a jamais rencontré un cliché du métal qu'elle ne pouvait transformer en quelque chose d'étrange. Mais il n'y a pas assez du groupe sur « King Animal », à quelques exceptions près : le nuage noir enveloppant de « Non-State Actor », la combustion lente et menaçante de « Eyelids Mouth », le psychédélisme teinté d'Orient de « A Mille jours avant."

Sinon, cela ressemble beaucoup au spectacle de Chris Cornell. Après des années perdues dans des projets solo capricieux et le conservatisme de plus en plus linéaire d'Audioslave, le chanteur tente de retomber dans la mystique lourde mais sensuelle de Soundgarden. Mais il s'efforce de trouver des notes qu'il a déjà percées sur les chansons les plus lourdes et se contente trop facilement de morceaux d'ambiance de qualité inférieure et à faible volume tels que "Bones of Birds", "Taree", "Halfway There" et "Black Saturday". Ils ressemblent plus aux restes de l'auteur-compositeur-interprète de ses albums solo qu'à ceux dont sont faits les retours des grands groupes de rockTexte en gras'


https://www.washingtonpost.com/entertainment/music/album-review-king-animal-by-soundgarden/2012/11/12/c8b6aaba-2cf6-11e2-9ac2-1c61452669c3_story.html Album review: ‘King Animal,’ by Soundgarden “King Animal” is the first album from Soundgarden since the Seattle alt-rock group broke up 15 years ago and, incredibly, only the sixth proper release in its existence. (Michael Lavine) By Allison Stewart November 12, 2012 Soundgarden King Animal It’s likely that 2012 will go down as the Year the Band Got Back Together, if not always with spectacular results. (We hardly knew ye, Van Halen 4.0.) “King Animal” is the first album from Soundgarden since the Seattle alt-rock group broke up 15 years ago and, incredibly, only the sixth proper release in its existence.

It’s the best and rarest kind of reunion disc, one in which members of a band’s classic lineup make an album that sounds like a reasonable version of the albums they made before, without wallowing in nostalgia or bringing in contemporizing touches like electro beats or duets with Ne-Yo.

A glowering compound of the band’s per-usual lite punk, hard rock and heavy folk, “King Animal” picks at the remains of mid-and-later period Soundgarden classics: The bone-rattling opener “Been Away Too Long” and the vaguely political “Non-State Actor” (“You are the tank and rockets / I am the bomb,” sings Chris Cornell, who is half right) might have shown up on 1994 breakthrough “Superunknown”; “Bones of Birds” recalls a gentler, trippier, even more rueful “Black Hole Sun.”

Cornell’s skills, like those of his compatriots, have only sharpened in the off years. It’s probably his fault that the disc’s few clunkers sound like Audioslave outtakes, which means they’re technically skillful, utterly soulless and expensive-sounding.

If the worst songs here belong to Cornell, the best ones belong to history — they tap into everything the band did well in its prime while simultaneously making an argument for its continuing relevance. This isn’t merely the year’s least-embarrassing reunion disc — it’s the best Soundgarden album of 1999.


https://www.theguardian.com/music/2012/nov/08/soundgarden-king-animal-review Soundgarden: King Animal – review / 8 NOV 2012 / Dave Simpson en Soundgarden singer Chris Cornell unveiled his Timbaland-produced R&B solo album three years ago, he insisted that reuniting the 90s grunge kings would risk "tarnishing their legacy". However, with baffled fans mostly of the opinion that the grunge icon's crunk opus did just that, Soundgarden are indeed back. Still, their first new album since 1996 makes a surprisingly good fist of plugging back into the sound that made them the moodiest and heaviest of the Seattle grunge bands: anvil-heavy riffs, crunching collisions of punk and hard rock, and psychedelic explorations. With storming opener Been Away Too Long sounding like a manifesto, 52-year-old guitarist Kim Thayil reels off blistering solos with a juvenile's glee. Grunge-era nostalgia mixes with classic rock and, on the eerie Rowing, experimental mantras. Cornell's reference to being "born again" on Black Saturday may raise more than an eyebrow, but the rocker-father has powerfully traded twentysomething darkness for middle-aged uncertainty and fear. His confession on beautiful slowie Bones of Birds that "Time is my friend … well it ain't, it runs out" really is quite touching.


https://www.rollingstone.com/music/music-album-reviews/king-animal-122563/ King Animal 13 NOV 2012 BY JON DOLAN “I GOT NOWHERE to go ever since I came back,” Chris Cornell growls over a warped-alloy guitar charge on “Been Away Too Long,” the lead single from the first Soundgarden album since 1996. He’s singing about Seattle, about coming home after years away and feeling out of place in his own hometown. He’s also talking about a sound: the grunge his band helped define, and which once dominated rock’s mainstream. Now, there isn’t much of a rock mainstream left to dominate; big, heavy, high-protein bands like Soundgarden are all but extinct. Which is exactly why King Animal is a weirdly cool beast to encounter in 2012 – like running into a mastodon in a Melvins T-shirt.

The band’s sound manages to be as ageless as it is anachronistic. Soundgarden were the crusty hard-rock true believers amid alt-rock’s self-appointed revolutionaries: If Nirvana wanted to shred your world and Pearl Jam strove to redeem it, Cornell, guitarist Kim Thayil, bassist Ben Shepherd and drummer Matt Cameron wanted to take you out in the woods with a six-pack and headbang to Sabbath Bloody Sabbath. King Animal shows they haven’t forgotten how to stomp out the jams: Thayil is still a warlock guitar conjurer of the first order, and Cornell rolls around his multi-octave vocal range like some kind of backwoods metal-Mariah.

The album follows their root sound down all kinds of mossy paths – from the South Asia-meets-New Orleans blues burn of “Black Saturday” to “A Thousand Days Before,” a snake-hipped meditation on the impermanence of life. Naturally, its centerpiece moment is its heaviest: “Blood on the Valley Floor,” where sumptuously evil riffs fall like redwoods as Cornell spools out images of war as mindless decadence. “The blood dries while we spill,” he sings. “Endless summer.”

It’s a quintessentially Soundgarden moment: overpowering but self-loathing. What made them “grunge” and not just a new kind of old metal was their dire, brutal despair. The band’s greatest songs – miasmic punishers like “Black Hole Sun” or “Fell on Black Days,” from their 1994 watershed, Superunknown – undercut massive music with lyrics about helplessness and depression. impuissance et dépression

Being Seattle in the Nineties, that helplessness suggested drug abuse. But King Animal was recorded by sober dudes in their forties – the hymnlike “Bones of Birds” is about the challenges of parenting, and “Halfway There” is a matter-of-fact take on class stagnation: “Something to eat?/I would say you’re doing better than most, though maybe not as well as some,” Cornell observes.

Steven Tyler Accused of Sexual Assault of a Minor in New Lawsuit Over a Decades-Old Claim Breaking Down Andrew Tate's Batshit Greta Thunberg Response Video Men's Rights Influencers Andrew and Tristan Tate Detained in Romania on Suspicion of Human Trafficking ‘Glass Onion’ and ‘Babylon’ Have Broken People’s Brains That line could describe Cornell’s years post-Soundgarden: supergroup success with Tom Morello in Audioslave, then a decade wandering the post-alt-rock solo wilderness, complete with a Timbaland-produced electro-rock puzzler (2009’s Scream). After years of failed reinvention, the guy on King Animal sounds content to be himself. “Don’t know where I’m going/I just keep on rowing,” he moans like a mantra, awash in black swirls of industrial-strength murk on the album’s closing track. It’s that old-time sludge that carries him home.


2014 POLOGNE Dans une interview d'octobre 2018 avec le Seattle Times , Thayil a exclu la possibilité de continuer sous la bannière Soundgarden. "Nous ne l'envisageons pas pour le moment. Et quand je dis « pour le moment », je veux probablement dire jamais (…) Je ne sais pas vraiment ce qui est possible ou ce que nous allons envisager dans le futur, mais probablement aucune de ces choses. L'équipe, c'était nous quatre, et maintenant nous sommes trois." [ 141]

Le 16 janvier 2019, un concert spécial dédié à la mémoire du chanteur - I Am the Highway : A Tribute to Chris Cornell - a eu lieu au Kia Forum à Inglewood . De nombreux artistes y ont participé, dont Adam Levine , Geezer Butler , Jeff Ament et Stone Gossard (Temple of the Dog, Pearl Jam), Jerry Cantrell et William DuVall (Alice in Chains), Joshua Homme , Perry Farrell , Tom Morello et Brad Wilk (Audioslave) et les groupes Foo Fighters, Les Melvins et Metallica. Thayil, Shepherd et Cameron se sont également produits sous la bannière de Soundgarden, interprétant plusieurs chansons du répertoire du groupe avec la participation d'invités. Tous les profits du concert ont été reversés à une association luttant contre l' épidermolyse bulleuse [142] .

Le 21 juillet, un double single contenant les morceaux "New Damage" et "Blind Dogs" [143] est sorti, qui faisait la promotion du concert blu-ray Soundgarden - Live from the Artists Den sorti cinq jours plus tard par Universal , en coopération avec UM e . L'album était un enregistrement du concert du groupe le 17 février 2013 au Wiltern Theatre de Los Angeles, qui a eu lieu dans le cadre de la série américaine Live from the Artists Den , présentant des performances d'artistes musicaux dans des cadres intimistes. La sortie a été publiée en plusieurs versions, y compris sur CD et vinyle coloré, ainsi qu'en éditions limitées, contenant en outre, entre autres, entretiens avec les membres de l'équipe[144] .

Le 15 octobre 2019, Soundgarden figurait parmi de nombreux artistes (dont Judas Priest , Motörhead , Nine Inch Nails et Thin Lizzy ) nominés pour être intronisés au Rock and Roll Hall of Fame [145] .

https://blabbermouth.net/news/kim-thayil-says-new-soundgarden-album-is-being-mastered

PHOTO VOODOO 2011 https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Soundgarden_at_Voodoo_2011.jpg

Références[modifier | modifier le code]

  1. (en) Dylan Smith, « Hipgnosis Spent Over $1 Billion on Catalogs in FY 2021 — As Net Debt Approached $500 Million », sur stereoboard.com, (consulté le ).
  2. (en) Joe Robinson, « Soundgarden spring 2013 tour dates », sur diffuser.fm, (consulté le ).
  3. (en) Jon Stickler, « Soundgarden Announce Autumn 2013 UK Live Dates & Tickets », sur stereoboard.com, (consulté le ).



Christopher Cornell, dit Chris Cornell, né Christopher Boyle le à Seattle dans l’État de Washington et mort le à Détroit dans le Michigan, est un auteur-compositeur-interprète américain.

Il est le chanteur et guitariste rythmique des groupes Soundgarden et Audioslave. Il mène également une carrière solo et contribue à des bandes originales de films. Cornell est également le fondateur et leader du groupe Temple of the Dog créé en hommage à son ami Andrew Wood, chanteur du groupe Mother Love Bone décédé d'une overdose.

Chris Cornell est l'une des personnalités importantes de la musique grunge émanant de Seattle dans les années 1990. Il est reconnu pour ses qualités discographiques en tant qu'auteur-compositeur et pour ses qualités vocales. Il possède une voix puissante de quatre octaves qui est considérée comme l'une des plus grandes voix de sa génération[1]. En solo il sort quatre albums studio Euphoria Morning (1999), Carry On (2007), Scream (2009) et Higher Truth (2015), un album live Songbook (2011) et une compilation The Roads We Choose (2007). Il est nominé aux Golden Globes pour sa chanson The Keeper en 2012 pour le film Machine Gun Preacher et co-écrit et interprète la chanson You Know My Name, pour la bande originale du film de James Bond Casino Royale (2006).

Chris Cornell a vendu plus de 14,8 millions d'albums, 8.8 millions de titres digitales, 300 millions de streamings aux Etats-Unis et plus de 30 millions d'albums dans le monde[2],[3]. Il a été nominé 18 fois aux Grammy Awards et en a gagné 3. Il a été élu meilleur chanteur de rock par les lecteurs de Guitar World[4], il est classé n°4 des 100 meilleurs chanteurs de Heavy metal de tous les temps par Hit Parader[5], n° 9 sur la liste de Meilleur chanteur de tous les temps par Rolling Stone[6] et n°12 des 22 plus grandes voix sur MTV[7].

Chris Cornell se suicide par pendaison dans la nuit du 17 au à l'âge de 52 ans, à Détroit (Michigan) dans sa chambre d'hôtel, après avoir donné un concert au Fox Theatre avec son groupe Soundgarden[2].

Audioslave[modifier | modifier le code]

En octobre 2000, le groupe Rage Against the Machine se sépare suite au départ du chanteur Zack de la Rocha. Les trois autres membres Tim Commerford, Tom Morello et Brad Wilk cherchent un nouveau chanteur pour former un nouveau groupe. Ils contactent Chris Cornell alors qu'il prépare son deuxième album [8].« Pour moi, dans un sens, c'était comme un autre Temple of the Dog. […] je ne savais pas que je pourrais avoir une relation comme ça avec d'autres gars [que Soundgarden], et cela m'a fait réaliser que plus tard, à n'importe quel moment de ma carrière, je ne devrais pas dire immédiatement non à une telle opportunité[9]. Je pense que l'une des principales raisons pour lesquelles j'ai toujours voulu un groupe comme Audioslave était de voir Rage en 1996, et je pensais qu'ils étaient l'un des meilleurs groupes live que j'ai jamais vus »[10]. Cornell trouve le nom du groupe suite à une vision[11].

En 2002 sort le premier album éponyme Audioslave. Il se classe n°7 au Billboard 200 et est le plus grand succès du groupe avec plus de 4 millions d'exemplaires vendus[12],[13],[14]. L'album reçoit un accueil critique mitigé : un disque « paresseux et prévisible »[15] ; « classique et frais qui rappelle le rock des années 70 de Led Zeppelin et de Black Sabbath »[16]. Cinq singles en sont extraits dont Like a stone qui sera le titre le mieux classé du groupe (n°31 du Billboard 200)[17]. Pendant l'enregistrement de l'album Chris Cornell passe deux mois en cure de désintoxication à cause de son alcoolisme qui dure depuis 20 ans[18]DEJA MIS. En 2003, le groupe part en tournée mondiale, se produisant notamment au Lollapalooza Festival où leur concert est très remarqué[19] et joue notamment à l'Olympia à Paris[20],[21]. L'album obtient 2 nominations aux Grammy Awards 2004 : Meilleure prestation hard rock pour Like a Stone et Meilleur album rock[22].

En 2005, sort le deuxième album Out of Exile. Il se classe n°1 au Billboard 200, le seul album du groupe à atteindre cette place et se vend à plus d'1 million d'exemplaires[12],[13]. Cet album est mieux accueilli par la presse. Le groupe a réussi la fusion de Soundgarden et de Rage Against the Machine et a trouvé son propre son[23]. Autour d'un single pop Be yourself jugé commercial, les autres titres alternent entre douceur et son plus agressif sur lesquels Cornell estime sa voix plus puissante suite à l'arrêt de l'alcool et du tabac, et ses paroles plus apaisées et personnelles grâce à sa nouvelle situation familiale (remarié et père d'un deuxième enfant)[24],[25],[26]DEJA MIS,[27]. Le 6 mai 2005, Audioslave joue un concert gratuit à La Havane à Cuba devant 70 000 personnes, devenant ainsi le premier groupe américain à s'y produire[28],[29]. S'ensuit une tournée européenne où Audioslave fait une halte au Zénith de Paris[14]. Le titre Doesn't Remind Me est nominé aux Grammy Awards 2006 dans la catégorie Meilleure prestation hard rock[30].

Le groupe retourne en studio et sort un troisième album en 2006 Revelations. Il entre à la 2e place du Billboard et est certifié disque d'or[31],[32]. L'album s'inspire pour la première fois du funk, de la soul et du R&B ; Morello décrit ce nouveau son de « Led Zeppelin qui rencontre Earth, Wind & Fire »[33]. L'album est accueilli de la même manière que Out of Exile dont la majeure partie de la presse spécialisée prône l'intégrité du groupe[34]. Les nouveaux éléments de funk et de soul sont bien accueillis, AllMusic considérant l'album comme « plus coloré, varié, et consistant »[35]. D'autres, cependant, le perçoivent comme « rien de plus qu'un autre album rock »[36], et musicalement identique aux précédents albums du groupe[37].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées telegraph
  2. a et b Chris Cornell, Soundgarden Frontman, Dies at Age 52, sur variety.com, consulté le 24 novembre 2021
  3. Soundgarden's Chris Cornell adds second Auckland show, sur stuff.co.nz, consulté le 24 novembre 2021
  4. Guitar World Readers Vote Soundgarden's Chris Cornell Rock's Greatest Singer, sur guitarworld.com, consulté le 24 novembre 2021
  5. https://www.blabbermouth.net/news/rob-halford-robert-plant-bon-scott-ozzy-are-among-heavy-metal-s-all-time-top-100-vocalists/ ROB HALFORD, ROBERT PLANT, BON SCOTT, OZZY Are Among 'Heavy Metal's All-Time Top 100 Vocalists'], sur blabbermouth.net, consulté le 24 novembre 2021
  6. Rolling Stone Readers Pick the Best Lead Singers of All Time, sur rollingstone.com, consulté le 24 novembre 2021
  7. MTV's 22 Greatest Voices in Music, sur listology.com, consulté le 24 novembre 2021
  8. "Audioslave: Unshackled, Ready To Rage" , sur web.archive.org, consulté le
  9. How Temple of the Dog helped Soundgarden and Pearl Jam mourn, sur ultimateclassicrock.com, consulté le
  10. CHRIS CORNELL TALKS AUDIOSLAVE SPLIT, NIXES SOUNDGARDEN REUNION, sur mtv.com, consulté le
  11. Audioslave Works Out Settlement To Share Name With U.K. Band, sur music.yahoo.com, consulté le 23 octobre 2021
  12. a et b Audioslave, sur billboard.com, consulté le
  13. a et b Gold & Platinum Audioslave, sur riaa.com, consulté le
  14. a et b Audioslave : le disque "Out Of Exil", "Be Yourself", le "Zénith"..., sur musiqueradio.com, consulté le 23 octobre 2021
  15. Probably Not, sur villagevoice.com, consulté le
  16. Audioslave Audioslave Review, sur bbc.co.uk, consulté le
  17. Audioslave, sur billboard.com, consulté le
  18. Chris Cornell’s 2006 Interview on Audioslave, Addiction, and Reinventing Rock, sur spin.com, consulté le 9 octobre 2020
  19. An "Alternative" Kind of Day, sur mountainwestmusic.com, consulté le 7 juin 2021
  20. Audioslave tout en puissance, sur leparisien.fr, consulté le 7 juin 2021
  21. Recipe: Live Audioslave, sur popmatters.com, consulté le 7 juin 2021
  22. 46th Grammy Awards - 2004, sur rockonthenet.com, consulté le 7 juin 2021
  23. 15 YEARS AGO: AUDIOSLAVE REACH THE TOP WITH ‘OUT OF EXILE’, sur ultimateclassicrock.com, consulté le 23 octobre 2021
  24. Audioslave - Out Of Exile (Epic), sur musicomh.com, consulté le 23 octobre 2021
  25. Out of Exile, sur allmusic.com, consulté le 23 octobre 2021
  26. Q&A;: Chris Cornell, sur rollingstone.com, consulté le 23 octobre 2021
  27. AUDIOSLAVE Singer Says New Album Will Be 'One Of The Best Rock Records Ever' Made, sur roadrunnerrecords.com, consulté le 23 octobre 2021
  28. AUDIOSLAVE SLAY HAVANA WITH HISTORIC SHOW, sur mtv.com, consulté le 23 octobre 2021
  29. The cigar goes to Audioslave, sur latimes.com, consulté le 23 octobre 2021
  30. 48th Grammy Awards - 2006, sur rockonthenet.com, consulté le 10 novembre 2021
  31. AUDIOSLAVE, IRON MAIDEN, ALICE IN CHAINS: First-Week Sales Revealed, sur blabbermouth, consulté le 24 novembre 2021
  32. Revelations, sur riaa.com, consulté le 24 novembre 2021
  33. New Audioslave LP: 'Led Zeppelin Meets Earth, Wind & Fire, sur mtv.com, consulté le 20 décembre 2021
  34. D. Schiller, Brian, « Music Review: Audioslave: Revelations », Slant Magazine, (version du sur Internet Archive).
  35. Revelations review, sur allmusic.com, consulté le 20 décembre 2021
  36. Ackroyd, Stephen, « Audioslave – Revelations », Rocklouder (version du sur Internet Archive).
  37. Borzykowski, Brian, « Revelations review », NOW, (consulté le ).