Utilisateur:Groupir !/La Zizanie

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ANECDOTE : La Zizanie serait un plagiat d'un précédent projet de Jean-Pierre Mocky proposé à Louis de Funès et Annie Girardot.

Franck et Jérôme Gavard-Perret, « Chronique d'un film : La Zizanie », Chroniques de films, sur Autour de Louis de Funès (consulté le ).

Pour le premier tour des élections municipales françaises de 2026

La Zizanie[modifier | modifier le code]

https://www.avoir-alire.com/la-zizanie-la-critique-du-film

Intro[modifier | modifier le code]

Après le grand succès de L'Aile ou la Cuisse (1976), qui marqua son retour au cinéma après des problèmes de santé, Louis de Funès poursuit sa collaboration avec le réalisateur Claude Zidi et le producteur Christian Fechner.

Le film raconte les mésaventures de Guillaume Daubray-Lacaze, industriel et maire d'une petite ville, qui doit concilier le sauvetage de son entreprise, en tentant de réaliser une grosse commande à temps, et ses rapports avec son épouse Bernadette, défenseuse de la nature, que l'élargissement sauvage de l'usine exaspère. Après plusieurs confrontations avec son mari, Bernadette finit par se présenter face à lui aux prochaines élections municipales.


La sortie du film est perturbée par un procès pour plagiat intenté par le réalisateur Jean-Pierre Mocky qui avait écrit un scénario similaire pour le même duo d'acteurs.


Sorti ... après les élections législatives, le film aborde des thèmes d'actualité en ce début de l'année 1978, comme l'écologie et la place des femmes en politique. Le premier thème résonne avec la pratique de l'agriculture biologique par Louis de Funès et le second avec le féminisme constituant la plupart des rôles d'Annie Girardot.

Synopsis[modifier | modifier le code]

remporte l'élection à une voix près, celle de Guillaume.

Production et réalisation[modifier | modifier le code]

Genèse et développement[modifier | modifier le code]

Fechner et de Funès, infarctus, relations, lancement de L'Aile ou la Cuisse

L'Aile ou la Cuisse est un énorme succès avec au moins douze millions d'entrées en Europe[1].

un article sur L'Animal

L'Animal Jean-Paul Belmondo

Pour réunir ce budget colossal, alors le plus grand du cinéma français, Fechner sollicite une avance auprès des exploitants de salles en échange de l'exclusivité sur ce succès annoncé. La méthode, alors peu pratiqué, ne convainc pas totalement les exploitants, L'Express explique qu'« Alors, en prime, Fechner leur a “vendu” un autre film en lointain devenir, le prochain de Funès-Zidi ».

https://books.google.fr/books?id=b4o9DwAAQBAJ&lpg=PT219&pg=PT220#v=onepage&q&f=false

Annie Girardot en 1974.


Depuis un double infarctus en mars 1975, Louis de Funès

Après son retour au cinéma dans L'Aile ou la Cuisse en 1976, il est sous contrat pour trois films — qui seront La Zizanie, L'Avare et La Soupe aux choux — avec le jeune producteur Christian Fechner, qui s'est battu pour lui obtenir une assurance, lui permettant ainsi de reprendre le chemin des plateaux de tournage après ses graves problèmes de santé. Désormais, il tourne en étant suivi de près par des médecins, à un rythme de travail ralenti, apparaissant dans un film par an, et suit un régime alimentaire drastique. Sa seule possibilité de jouer L'Avare serait donc un projet pour l'écran, au cinéma voire à la télévision[2],[cit. 1].


Jean-Jacques Jelot-Blanc, Louis de Funès, une légende, Paris, éditions Anne Carrière, , 345 p. (ISBN 2-910188-07-8), p. 269. : Girardot et de Funès n'avaient travaillé ensemble qu'une seule fois, brièvement, lors du spectacle Ah ! les belles bacchantes des Branquignols, durant la période où l'actrice remplaçait Colette Brosset.


Philippe Brigaud, déjà apparu dans un petit rôle dans Les Aventures de Rabbi Jacob[3]

Tournage[modifier | modifier le code]

La salle des mariages de l'hôtel de ville d'Asnières-sur-Seine.

http://cinema.encyclopedie.films.bifi.fr/imprime.php?pk=57113 : du 14 novembre 1977 au 20 janvier 1978

Lors de la scène avec le préfet, il reprend de nombreuses fois les moments de destruction du billard pour obtenir les effets justes[3].

très grand décor[3]

Philippe Brigaud, dans la seule scène qu'il tourne, se souvient d'un metteur en scène très effacé[3]

https://www.bfmtv.com/people/louis-de-funes-ses-dernieres-annees-racontees-par-ses-anciens-partenaires_AN-202007150076.html : Pierre-Olivier Scotto, l'imitateur


https://www.facebook.com/lieuxdetournageLouisdeFunes/posts/pfbid02SuXj18CQxJHpxfXRRieNn4Zs8LiT7uA2WCQdAv9ap7hQnnocxi2s7QYvjGjdJEHAl : la salle du billard du préfet est au château du Domaine de St François d’Assise à La Celle-Saint-Cloud

Bande originale[modifier | modifier le code]

Un homme d'une soixantaine d'années posant en tournant le dos à un orchestre, la baguette de chef à la main, dans un studio d'enregistrement.
Vladimir Cosma, ici en 2007, compose la musique de La Zizanie.

Vladimir Cosma compose la bande originale de La Zizanie, après L'Aile ou la Cuisse

[4],[5],[b]. Louis de Funès avait adoré le travail de Cosma sur Les Aventures de Rabbi Jacob (1973) et le réalisateur Gérard Oury prévoyait de le reconduire pour Le Crocodile[4],[b]. Cosma avait par ailleurs mis en musique pour Claude Zidi La moutarde me monte au nez (1974) et La Course à l'échalote (1975), L'Animal (1977)[b].


https://www.soundtrackcollector.com/title/25249/Zizanie%2C+La

Cosma explique qu'« il n'y avait pas trop de place pour la musique car le film était riche en dialogues avec des conflits permanents au sein du couple. En dehors de quelques moments mémorables comme la scène du billet de banque qui s'envole, et de quelques séquences sentimentales, la partition contenait des plages fonctionnelles »[6].

projet de générique de fin « pour enrichir l'ensemble »[7]

selon les sources, idée de Cosma ou de Fechner

chanson de Pierre Perret, On sème la zizanie, aux paroles trop grivoises pour de Funès. Enregistrée et Vladimir Cosma l'a publiée dans le second coffret de son anthologie.

Le Zizi

« La Zizanie : la chanson refusée de Pierre Perret », sur pressreader.com, Monaco-Matin, .

Un homme aux cheveux frisés, souriant.
Pierre Perret, ici en 1985, écrit et interprète On sème la zizanie pour le générique d'ouverture, une chanson finalement refusée par Louis de Funès.
Audio externe
L'album L'Aile ou la Cuisse (bande originale du film) sur le compte YouTube de Vladimir Cosma.

Accueil[modifier | modifier le code]

Procès Mocky-Fechner, promotion et sortie[modifier | modifier le code]

Jean-Pierre Mocky, ici lors d'un tournage en 1965, accuse Zidi et Fechner d'avoir plagié un scénario qu'il avait écrit pour Annie Girardot et Louis de Funès.

créer une page sur le procès ?

« Cour d'appel de Paris (1re Chambre) 23 mars 1978 : Jean-Pierre Mocky et autre c/ Sté Films Christian Fechner et autres » (synthèse de jurisprudence), Revue internationale du droit d'auteur, no 101,‎ , p. 127-130 (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]).

Les biographes de Louis de Funès ne se prononcent pas sur la possibilité d'un plagiat entre les deux histoires et projets (revoir chaque bio pour voir comme l'affaire est traitée). Christian Fechner, explique ... directement embauché Mocky si le scénario les avait séduit

Thibault Decoster

« Jean-Pierre Mocky Interview 27 : La Zizanie », L'abécédaire Jean-Pierre Mocky, sur Allociné, .

[vidéo] Jean-Pierre Mocky 15 mars 2014 On n'est pas couché #ONPC sur YouTube, On n'est pas couché.

https://books.google.fr/books?id=QhPJBwAAQBAJ&pg=PT102&lpg=PT102&dq=jules+borkon+louis+de+funes&source=bl&ots=Fs1bgS9c8O&sig=WkRRSDVQiJknhAnfAph9TbwCaUU&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiHw9CF4_bbAhVB7RQKHbVVBqoQ6AEIVjAN#v=onepage&q=jules%20borkon%20louis%20de%20funes&f=false

Saisie-contrefaçon

Jean-Pierre Mocky

https://www.telestar.fr/culture/la-zizanie-le-film-de-louis-de-funes-accuse-de-plagiat-par-jean-pierre-mocky-40077

La promotion du film est marquée par le procès. Ainsi, alors qu'il accueille Louis de Funès et Annie Girardot dans son émission Les Rendez-vous du dimanche le 19 mars 1978, Michel Drucker ne peut paradoxalement pas parler du film puisqu'il est saisi, et consacre donc la rencontre aux carrières respectives de l'actrice et de l'acteur ; l'interview que n'est illustré que par des séquences de précédents films, L'Aile ou la Cuisse pour de Funès et Tendre Poulet pour Girardot, les images de La Zizanie étant saisies.

https://www.ina.fr/video/I00005304

Accueil critique[modifier | modifier le code]

Malgré son avis sur le film, le jeune Didier Decoin est dithyrambique sur les qualités de jeu de Louis de Funès dans sa critique.

La Zizanie reçoit des critiques contrastées[9],[10]. Les années antérieures, Louis de Funès bénéficiait d'un certain répit de la part de la critique dû à des projets plus appréciés comme La Folie des grandeurs (1971) ou Les Aventures de Rabbi Jacob (1973), après avoir déchaîné la critique dans la décennie précédente[c]. De toute façon, la presse cinéphilique est alors davantage accaparée par les triomphes colossaux de Jean-Paul Belmondo et d'Alain Delon, le succès du cinéma porno et la vague des films catastrophes[d].

Le film déçoit voire déplaît mais Louis de Funès et Annie Girardot sont généralement épargnés[9],[10]. Quelques journaux sont positifs[9]. Robert Chazal, soutien indéfectible de l'acteur, livre comme à son habitude une critique positive dans France-Soir[9]. Max Dumas dans Le Quotidien de Paris célèbre l'association de ce duo : « De Funès sait donner un rythme étonnant aux dialogues qu'il ponctue d'expressions à nulles autres comparables. Et Girardot, stimulée par un partenaire aussi débordant d'énergie, n’est pas en reste. Ses sautes d’humeur ou crises de colère viennent en exact contrepoint de celles de son partenaire »[11]. Jean Rochereau dans La Croix ajoute qu'ils « composent en finesse cet homme et cette femme que tout sépare apparemment, que tout unit au tréfonds… S'ils n'étaient là, l'un et l'autre, La Zizanie ne serait que lourde artillerie comique. Mais voilà, ils y sont et même plus qu'un peu »[11]. Les avis de L'Aurore et Minute sont également favorables[9].

Le reste de la presse se désole ou s'insurge[9]. Louis Chauvet, pourtant vieux soutien de l'acteur dans Le Figaro, titre « Platitudes » et revient sur le procès : « Il n'y a pas vraiment de quoi se disputer la paternité du scénario ! (…) Suffit-il de mettre en présence deux vedettes aimées du public, de leur prêter un tendre désaccord, et de consacrer à leur duo des capitaux astronomiques pour assurer au spectateur une heure et demie de fou rire ? Hélas ! »[9]. Jean de Baroncelli dans Le Monde considère qu'« il manque l'essentiel : l'élan, le rythme, la verve, sans quoi il n'est pas de vraie réussite comique »[12],[11]. Jugeant le thème et les idées de gags mal exploitées et à l'exécution confuse, Gilles Dagneau déclare dans La Revue du cinéma que « La Zizanie est un film non contrôlé et de ce fait, le sujet, plutôt intéressant, avorte lamentablement », pâtissant de dialogues « faibles » et d'un « manque de rigueur dans l'élaboration du comique »[13]. Le Canard enchaîné questionne : « Même si on traite de la pollution sur le mode comique, est-il permis d'en tirer d'aussi laborieuses pitreries ? »[14].

Michel Perez est sévère dans Le Matin de Paris : « C'est d'un comique étriqué, mesquin, dépourvu, de chaleur humaine au-delà de l'imaginable. Et comment en serait-il autrement puisque cette rencontre de deux acteurs merveilleusement côtés au box-office n'est finalement qu'une opération financière dont la rentabilité paraît trop sûre pour qu'on prenne la peine de lui donner la moindre crédibilité artistique, le moindre impact émotionnel » [9]. Jean-Luc Douin se lamente dans Télérama qu'« on imagine sans peine ce qu'un Comencini aurait tiré par exemple d'une scène montrant le patron trépidant fêtant avec caviar et champagne son anniversaire de mariage au milieu de ses ouvriers. Et des rapports de classes sous-entendus par l'attitude du même patron qui, s'apercevant que sa femme s'est fait engager à la chaîne, se met à offrir le thé à tout le monde et vient déjeuner à la cantine »[9].

Dénonçant « une débauche de médiocrité » dans ce film à gros budget, François Chevassu de La Revue du cinéma estime que « De Funès et Girardot cabotinent sans entrain. Leurs personnages sont si insignifiants qu'ils ne parviennent jamais à leur donner quelque épaisseur. De là sans doute l'impression de ne les avoir jamais vus aussi mauvais qu'ici »[15]. Ailleurs, l'acteur principal et son jeu ne sont pas attaqués et le discours selon lequel Louis de Funès est bon même si ses films sont mauvais est plus présent qu'auparavant[9]. Didier Decoin de VSD, notamment, qualifie La Zizanie de « petit film banal (et banalisant) » et va jusqu'à faire un éloge de la vedette : « Il va tout de même falloir que quelqu'un ose l’écrire (…) : Louis de Funès est infiniment plus drôle que Stan Laurel et Oliver Hardy, plus précis que Chaplin, plus inventif que la tribu des Marx Brothers. Je blasphème ? Tant mieux ! Au moins, je ne suis pas snob, moi ! La France est ainsi faite qu'elle en veut à ses héros au point de les méconnaître. De les traiter par le mépris. Moi, je vous le dis : ce petit diable de Louis de Funès est le plus grand acteur comique que nous ayons jamais eu. Mais oui, supérieur à Fernandel, plus hilarant que Bourvil. J'attaque des morts ? Non, je reconnais les qualités inestimables d’un vivant »[9].


Cinéma 78



analyse ? postérité ? : Dans le Guide des films de Jean Tulard, le critique Claude Bouniq-Mercier estime que « l'explosion comique attendue de la rencontre de Funès-Girardot n'a donné qu'un pétard mouillé »[14].

Box-office[modifier | modifier le code]

Le score est également le plus bas des neufs films issus de la collaboration entre Zidi et Fechner (Les Fous du stade, Le Grand Bazar, La moutarde me monte au nez, La Course à l'échalote, L'Aile ou la Cuisse, L'Animal et Bête, mais discipliné)[16].


Tulard souligne ce résultat décevant dans sa bio de Zidi, échec qu'il attribue au fait que les publics respectifs des deux vedettes seraient très différents : Jean Tulard, Dictionnaire du cinéma, t. 1 : Les réalisateurs, Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 914 p. (ISBN 2-221-07320-7, lire en ligne), p. 912.

France[modifier | modifier le code]

http://www.boxofficestory.com/la-zizanie-louis-de-funes-et-annie-girardot-box-office-a127315608

La Zizanie sort le ... dans une combinaison importante de 227 salles en France, soit un large circuit de distribution. Ces méthodes de distribution encore récentes, qui consistent à tirer un grand nombre de copies pour sortir dans beaucoup de salles dès la première semaine, ont pour but de toucher d'emblée la majeure partie du public potentiel du film[e].

« Box-office France 1978 (entrées du 1er au 31 décembre 1978) », sur www.top-france.fr : 4e, 2 730 354, entrées du 1er au 31 décembre 1978

http://archives-box-office.eklablog.com/bo-france-28-mars-1978-a162496622

http://archives-box-office.eklablog.com/bo-france-4-avril-1978-a162505066

Box-office détaillé des premiers mois d'exploitation du film, semaine par semaine, en France
Source : « BO hebdo France 1978 » sur Les Archives du box-office
Semaine Rang Entrées Cumul no 1 du box-office hebdo.
1 au 1er 789 770 789 770 entrées La Zizanie
2 au 1er 513 795 1 303 565 entrées La Zizanie
3 au 1er 393 386 1 696 951 entrées La Zizanie
4 au 2e 251 111 1 948 062 entrées La Fièvre du samedi soir
5 au 3e 124 333 2 072 395 entrées La Fièvre du samedi soir
6 au 4e 146 090 2 218 485 entrées La Fièvre du samedi soir
7 au 4e 99 067 2 317 552 entrées La Fièvre du samedi soir
8 au 8e 74 619 2 392 171 entrées La Fièvre du samedi soir
9 au 17e 31 050 2 423 221 entrées La Fièvre du samedi soir
10 au 20e 20 551 2 443 772 entrées La Petite
11 au e entrées La Petite
12 au e entrées
13 au e entrées
14 au e entrées
15 au e entrées
16 Date invalide (1978-) au e entrées
17 Date invalide (1978-) au e entrées
18 Date invalide (1978-) au e entrées
19 Date invalide (1978-) au e entrées
20 Date invalide (1978-) au e entrées

Allemagne en 1979 : https://www.unifrance.org/actualites/13076/l-allemagne-decerne-un-ecran-d-or-au-bon-dieu

Paris[modifier | modifier le code]

Box-office détaillé des premiers mois d'exploitation du film, semaine par semaine, à Paris et en banlieueFrance
Source : « Box-office hebdomadaire Paris 1978 » sur Box-Office Story
Semaine Rang Entrées Cumul Salles no 1 du box-office hebdo.
1 au 1er 195 711 195 711 entrées 30 La Zizanie
2 au 1er 120 397 316 108 entrées 30 La Zizanie
3 au 2e 77 003 393 111 entrées 30 La Fièvre du samedi soir
4 au 3e 56 239 449 350 entrées 29 La Fièvre du samedi soir
5 au 6e 30 691 480 041 entrées 26 L'État sauvage
6 au 10e 26 046 506 087 entrées 16 La Fièvre du samedi soir
7 au e 12 785 518 872 entrées 9
8 au e 9 328 528 200 entrées 7
9 au e 4 313 532 513 entrées 5
10 au e 2 810 535 323 entrées 7 La Petite
11 au e 1 566 536 889 entrées 2 La Petite
12 au e 1 274 538 163 entrées 1 La Petite
13 au e 1 241 539 404 entrées 1 Robert et Robert

semaines manquantes de mai : http://www.boxofficestory.com/box-office-paris-du-24-05-1978-au-30-05-1978-a91174835

à l'étranger[modifier | modifier le code]

montrer ce logo : https://www.nordicposters.se/filmaffisch/Den-stora-fabriken-posters

Postérité[modifier | modifier le code]

Rapports entre Louis de Funès et Annie Girardot[modifier | modifier le code]

Philippe Lombard, « Louis de Funès en prison ! », Histoires de tournages, sur www.devildead.com, (consulté le )

Dans la réalité[modifier | modifier le code]

Le film est souvent rappelé à l'occasion d'élections municipales françaises, lorsque des couples se retrouvent l'un face à l'autre pour une même mairie. C'est le cas en ...

https://www.leparisien.fr/elections/municipales/municipales-au-barcares-quand-les-epoux-s-echarpent-c-est-la-zizanie-24-02-2020-8265669.php

Frédéric Taddei évoque également le film lorsque François Hollande est le candidat du Parti socialiste à l'élection présidentielle de 2012, après la candidature de son ex-femme Ségolène Royal en 2007.

Analyse[modifier | modifier le code]

peut être rapproché de la première candidature féminine à l'élection présidentielle, en 1974, avec Arlette Laguiller, ici en 2007.

photo en 2000 : https://multimedia.europarl.europa.eu/en/photo/tv-broadcast-in-the-european-parliament_20000200_061_002

Le jeu de Louis de Funès : Alain Kruger et Thibaut Bruttin, « “Son œil était sincère” : entretien avec Maurice Risch : », dans Catalogue de l'exposition à la Cinémathèque 2020, p. 214-217.

  • doit faire une sieste chaque après-midi
  • Maurice Risch explique que, dès lors, « il ne misait plus sur la vitesse pour éblouir mais sur l'intensité ».
  • « Il y un plan que j'ai suggéré : quand tout le monde a foutu le camp, j'étais le seul avec de Funès. J'ai voulu faire passer que j'étais le seul fidèle avec un peu de fraternité. Juste pour ce plan, j'étais content d'avoir fait le film. Parce que la situation du personnage rejoignait ma position vis-à-vis de Louis. »

féminisme : https://www.google.fr/books/edition/Le_cin%C3%A9ma_de_Claude_Zidi/b7G2DwAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1&pg=PA105&printsec=frontcover

Portis Larry, « L'État dans la tête et les pieds dans le plat. Hiérarchie et autorité dans les films de Louis de Funès », L'Homme & la Société, 2004/4 (n° 154), p. 31-50. DOI : 10.3917/lhs.154.0031. URL : https://www.cairn.info/revue-l-homme-et-la-societe-2004-4-page-31.htm

CHENILLE Vincent, GAUCHéE Marc, « L'infâme et le pantin. Patrons et hommes politiques dans le cinéma français (1974-2002) », L'Homme & la Société, 2004/4 (n° 154), p. 51-67. DOI : 10.3917/lhs.154.0051. URL : https://www.cairn.info/revue-l-homme-et-la-societe-2004-4-page-51.htm

name="cinedweller" Virgile Dumez et Frédéric Mignard, « La Zizanie : la critique du film (1978) », sur cinedweller.com (consulté le ).

« La Zizanie, Claude Zidi, 1978 », sur explicationdefilm.com, .

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/politique-fiction/politique-fiction-les-promesses-de-campagne-et-la-zizanie_2287190.html

Jérémy Gallet, « La Zizanie - la critique du film », sur www.avoir-alire.com, .

Louis de Funès, créature / créateur (https://www.youtube.com/watch?v=YoyA2UdqBzc, vers 17:00) : Bertrand Dicale remarque que le personnage de Daubray-Lacaze marque une évolution par rapport aux premiers rôles des débuts du vedettariat de Louis de Funès. Ceux-ci étaient des petits chefs, dont il nourrissait l'interprétation par ses souvenirs personnels de métiers passés durant sa période de galère, et il incarne désormais un important industriel à la tête d'une centaine d'ouvriers, dont Dicale suppose qu'il se sert de ses rencontres avec des puissants depuis qu'il est une célébrité.

<ref name="Dagneau"> de précieux éléments généraux d'analyse dans cette critique

<ref name="Chevassu" /> : quelques autres éléments d'analyse dans sa critique

Références[modifier | modifier le code]

  1. Renaud Soyer, « L'Avare », Box office Louis de Funès, sur Box Office Story, .
  2. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Première mars 1980
  3. a b c et d [vidéo] La Zizanie - Bonus Tournage sur YouTube, , interview de Philippe Brigaud.
  4. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cosma Première 1
  5. (en) « L'Aile Ou La Cuisse (1976) », sur SoundtrackCollector (consulté le ).
  6. Cosma 2022, chap. 12.
  7. Cosma 2022.
  8. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Album1978
  9. a b c d e f g h i j et k Dicale 2009, p. 474.
  10. a et b Loubier 2014, p. 427.
  11. a b et c Loubier 2014.
  12. Jean de Baroncelli, « La Zizanie de Claude Zidi », Le Monde, (consulté le ).
  13. Gilles Dagneau, « La Zizanie », La Revue du cinéma, no 328,‎ , p. 115 (lire en ligne).
  14. a et b Jean Tulard (dir.), Guide des films, t. 2 : L-Z, , 1221 p. (ISBN 2-221-90054-5, lire en ligne), p. 1155.
  15. François Chevassu, « La Zizanie », La Revue du cinéma, no 332 « La Saison cinématographique 78 »,‎ , p. 341-342 (lire en ligne).
  16. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées cinedweller


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