Utilisateur:Erasmus Craven/Bureau
- → N'hésitez pas à publier sur le brouillon un texte inachevé et à le modifier autant que vous le souhaitez.
- → Pour enregistrer vos modifications au brouillon, il est nécessaire de cliquer sur le bouton bleu : « Publier les modifications ». Il n'y a pas d'enregistrement automatique.
Si votre but est de publier un nouvel article, votre brouillon doit respecter les points suivants :
- Respectez le droit d'auteur en créant un texte spécialement pour Wikipédia en français (pas de copier-coller venu d'ailleurs).
- Indiquez les éléments démontrant la notoriété du sujet (aide).
- Liez chaque fait présenté à une source de qualité (quelles sources – comment les insérer).
- Utilisez un ton neutre, qui ne soit ni orienté ni publicitaire (aide).
- Veillez également à structurer votre article, de manière à ce qu'il soit conforme aux autres pages de l'encyclopédie (structurer – mettre en page).
- → Si ces points sont respectés, pour transformer votre brouillon en article, utilisez le bouton « publier le brouillon » en haut à droite. Votre brouillon sera alors transféré dans l'espace encyclopédique.
ESPACE DE TRAVAIL À USAGE PERSONNEL
>> Brouillons, traductions, tableaux, mémos, gribouillis... <<
Cthulhu
[modifier | modifier le code]Traduction de en:Cthulhu Mythos arcane literature afin d'enrichir l'article Ouvrages fictifs du Mythe de Cthulhu.
Ouvrages
[modifier | modifier le code]Les Incantations Dhol
[modifier | modifier le code]Les Incantations Dhol sont mentionnés pour la première fois dans le court récit L'Horreur dans le musée (1933) de H.P. Lovecraft et Hazel Heald. Il y est fait allusion comme une série semi-mythique d'incantations attribuée au peuple presque humain de Leng. Les incantations elle-mêmes ne sont jamais décrites, ni n'apparaissent dans d'autres travaux de Lovecraft. Plus tard August Derleth utilise les incantations dans ses histoires. La bibliothèque de l'université de Miskatonic dit détenir une copie des Incantations Dhol.
Références
[modifier | modifier le code]- L'Horreur dans le musée, de H.P. Lovecraft et Hazel Heald ((en) The Horror in the Museum, 1933)
- Le Rôdeur devant le seuil, d'August Derleth ((en) The Lurker at the threshold, 1945)
- La Fenêtre à pignon, d'August Derleth ((en) The Gable Window, 1957)
- L'Ombre venue de l'espace, d'August Derleth ((en) The Shadow out of space, 1957)
- (en) Yohk the necromancer, de Gary Myers, 1975, inédit à ce jour en français
- Spaghettis, de Brian Lumley ((en) Spaghetti, 1985)
Cthäat Aquadingen
[modifier | modifier le code]Le Cthäat Aquadingen (traduction possible : Les Choses de l'eau) est créé par Brian Lumley dans sa courte histoire Le Coquillage de Chypre (1968). Ce texte, d'un auteur inconnu, traite de Cthulhu et d'autres horreurs des mers, tel Inpesca. Il recèle également les Sathlattae, des rituels et sortilèges liés à Ubbo-Sathla. Le Cthäat Aquadingen apparaît une première fois dans le nord de l'Allemagne aux alentours du IVe siècle. Une version latine a apparemment été écrite entre le XIe et XIIe siècle, une traduction anglaise est apparue quelques temps plus tard au XIVe siècle.
Références
[modifier | modifier le code]- Le Coquillage de Chypre, de Brian Lumley ((en) The Cyprus shell, 1968)
- (en) Billy's oak, de Brian Lumley, 1970, inédit à ce jour en français
- Ceux qui se terrent dans les tréfonds, de Brian Lumley ((en) The Burrowers beneath, 1974)
- L'Horreur dans l'asile, de Brian Lumley ((en) The Horror at Oakdeene, 1977)
- (en) The Kiss of Bugg-Shash, de Brian Lumley, 1978, inédit à ce jour en français
- (en) The House of the Temple, de Brian Lumley, 1981, inédit à ce jour en français
- (en) The Return of the deep ones, de Brian Lumley, 1984, inédit à ce jour en français
Le Culte des Goules
[modifier | modifier le code]Le Culte des Goules est créé par Robert Bloch. August Derleth a clamé avoir inventé le texte de fiction mais cela fut nié par Lovecraft et Bloch lui-même[1]. C'est un livre de magie noire écrit par François-Honoré Balfour, comte d'Erlette (clin d'œil à August Derleth), en 1702. Il est publié en France et plus tard dénoncé par l'église. Seule une poignée d'exemplaires traversèrent les siècles. L'un des exemplaires connu a été gardé pendant 91 ans dans la bibliothèque ésotérique de l'église de Starry Wisdom à Providence, Rhode Island. Après la mort mystérieuse de Robert Blake en 1935, le docteur Ambrose Dexter a fait disparaître le grimoire et l'a ajouté à sa propre bibliothèque.
Références
[modifier | modifier le code]- L'Expérience de James Allington, de Robert Bloch ((en) The Suicide in the Study, 1936)
- La Grimace de la goule, de Robert Bloch ((en) The Grinning Ghoul, 1936)
- Celui qui hantait les ténèbres, de H.P. Lovecraft ((en) The Haunter of the Dark, 1936)
- Dans l'abîme du temps, de H.P. Lovecraft ((en) The Shadow out of time, 1936)
- (en) The Adventure of the six silver spiders, d'August Derleth, 1950, inédit à ce jour en français
- (en) The Caller of the black, de Brian Lumley, 1971, inédit à ce jour en français
- Ténèbres est mon nom, d'Eddy C. Bertin ((en) Darkness, my name is, 1976)
De Vermis Mysteriis
[modifier | modifier le code](titre français identique, également appelé les mystères du ver)
Les Écrits de Ponape
[modifier | modifier le code](titre français à confirmer)
Les Fragments de Celaeno
[modifier | modifier le code]Les Fragments de Celaeno sont crédités à August Derleth. Dans sa nouvelle La Maison de Curwen Street, Celaeno se réfère à une planète lointaine hébergeant une immense bibliothèque de littérature extraterrestre. Le professeur Laban Shrewsbury et ses compagnons voyagent à maintes reprises jusqu'à Celaeno pour échapper aux serviteurs de Cthulhu. Shrewsbury écrit plus tard les Fragments de Celaeno, une transcription de ce qu'il se rappelle de ses traductions des livres de la grande bibliothèque de Celaeno. Il soumet la transcription, laquelle comptait une cinquantaine de pages, à la bibliothèque de l'université de Miskatonic en 1915.
Références
[modifier | modifier le code]- La Maison de Curwen Street, d'August Derleth ((en) The House on Curwen Street, 1944)
- La Fenêtre à pignon, d'August Derleth ((en) The Gable Window, 1957)
- Derrière le masque, de Lin Carter ((en) Behind the mask, 1987)
Les Fragments de G'harne
[modifier | modifier le code]De nouveaux tests scientifiques sur les Fragments de G'harne avait révélé leur âge pré-triasique et leur existence, sous une autre forme que de la poussière séculaire, était impossible à expliquer.
—Brian Lumley, Le Rempart de béton, traduction de Claude Gilbert
Les Fragments de G'harne apparaissent dans les œuvres de Brian Lumley. Ils y sont décrit comme un ensemble de morceaux d'obsidienne ou d'une quelconque roche noir miraculeusement préservés témoignant de l'existence des pré-humains dans la cité africaine de G'harne. La cité perdue est localisée quelque part dans le sud du Sahara et fréquemment hanté par les chthoniens. Les chercheurs Sir Amery Wendy-Smith et Gordon Walmsley trouvèrent la mort dans leur tentative de traduire les fragments.
Références
[modifier | modifier le code]- Le Rempart de béton, de Brian Lumley ((en) Cement surroundings, 1969)
- L'Avant-poste des Grands Anciens, de Brian Lumley ((en) In the vaults beneath, 1971)
- Ceux qui se terrent dans les tréfonds, de Brian Lumley ((en) The Burrowers beneath, 1974)
- La Transition de Titus Crow, de Brian Lumley ((en) The Transition of Titus Crow, 1975)
- (en) Name and number, de Brian Lumley, 1987, inédit à ce jour en français
Le Livre de Dzyan
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- Celui qui hantait les ténèbres, de H.P. Lovecraft ((en) The Haunter of the Dark, 1936)
- La Fenêtre à pignon, d'August Derleth ((en) The Gable Window, 1957)
Le Livre d'Eibon
[modifier | modifier le code]Il s'était remémoré, en particulier, l'existence du Livre d'Eibon, le plus étrange et le plus rare de tous les ouvrages occultes oubliés, celui dont on prétend qu'il est parvenu jusqu'à nous à travers une suite de traductions très diverses d'un manuscrit original préhistorique, rédigé dans la langue perdue d'Hyperborée.
—Clark Ashton Smith, Ubbo-Sathla, traduction de Claude Gilbert
Le Livre d'Eibon, ou Liber Ivonis, est attribué à Clark Ashton Smith. Il apparaît dans plusieurs récits de Lovecraft, tels Celui qui hantait les ténèbres (Liber Ivonis), La Maison de la sorcière (Livre d'Eibon) et Dans l'abîme du temps (Livre d'Eibon).
Le livre est écrit par Eibon, un sorcier d'Hyperborée. C'est un immense texte regroupant ses connaissances ésotériques. Il contient, entre autres, un compte-rendu détaillé des exploits d'Eibon, incluant ses voyages à la vallée de Pnath et sur la planète Shaggai, ses rituels pour vénérer Zhothaqquah (le dieu protecteur d'Eibon), et ses formules magiques, dont des incantations pour asservir les horreurs d'autres mondes. Malheureusement, seuls des fragments incomplets ont traversé les âges. Cependant, des traductions existent en anglais, français, grec ancien et latin. Liber Ivonis est le titre de la traduction latine[2].
Références
[modifier | modifier le code]- La Bête d'Averoigne, de Clark Ashton Smith ((en) The Beast of Averoigne, 1932)
- Le Colosse d'Ylourgne, de Clark Ashton Smith ((en) The Colossus of Ylourgne, 1933)
- La Maison de la sorcière, de H.P. Lovecraft ((en) The Dreams in the witch-house, 1933)
- La Sainteté d'Azédarac, de Clark Ashton Smith ((en) The Holiness of Azédarac, 1933)
- Ubbo-Sathla, de Clark Ashton Smith ((en) Ubbo-Sathla, 1933)
- Celui qui hantait les ténèbres, de H.P. Lovecraft ((en) The Haunter of the Dark, 1936)
- Les Montagnes hallucinées, de H.P. Lovecraft ((en) At the mountains of madness, 1936)
- Le Monstre sur le seuil, de H.P. Lovecraft ((en) The Thing on the Doorstep, 1937)
- La Venue du ver blanc, de Clark Ashton Smith ((en) The Coming of the white worm, 1941)
- (en) The Adventure of the six silver spiders, d'August Derleth, 1950, inédit à ce jour en français
- (en) The Horror from the bridge, de Ramsey Campbell, 1964, inédit à ce jour en français
- (en) In the vale of Pnath, de Lin Carter, 1975, inédit à ce jour en français
- (en) The Life of Eibon according to Cyron of Varaad, de Lin Carter, 1988, inédit à ce jour en français
- (en) Papyrus of the Dark Wisdom, de Lin Carter, 1988, inédit à ce jour en français
- (en) The Shadow from the stars, de Lin Carter, 1988, inédit à ce jour en français
Le Livre de Iod
[modifier | modifier le code]Le Livre de Iod est une création de Henry Kuttner et apparaît pour la première fois dans sa courte nouvelle Les Cloches de l'horreur (sous le pseudonyme de Keith Hammond). L'original du Livre de Iod, dont il n'existe qu'une seule copie, est écrit dans une "ancienne langue", probablement une combinaison de grec ancien et de copte. Bien que ses origines soient inconnues, le livre peut avoir été écrit par le mystérieux auteur Khut-Nah, nom qui sonne remarquablement comme Kuttner. Le Livre de Iod rapporte des détails au sujet de Iod, le Chasseur étincelant, Vorvados et Zuchequon. La Bibliothèque Huntington de San Marino en Californie dit posséder une traduction expurgée, probablement en latin, de Johann Negus[3].
Références
[modifier | modifier le code]- Les Cloches de l'horreur, de Henry Kuttner ((en) Bells of horror, 1939)
- Sous la pierre tombale, de Robert M. Price ((en) Beneath the tombstone, 1984)
Les Manuscrits Pnakotiques
[modifier | modifier le code](titre français confirmé)
Le Necronomicon
[modifier | modifier le code]On the sending Out of the soul
[modifier | modifier le code](titre français à chercher)
Les Parchemins de Pnom
[modifier | modifier le code](titre français à confirmer)
Les Révélations de Glaaki
[modifier | modifier le code](titre français confirmé)
Le Roi en jaune
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- Le Blanchisseur de réputations, de Robert W. Chambers ((en) The Repairer of reputations, 1895)
- L'Emblème jaune, de Robert W. Chambers ((en) The Yellow Sign, 1895)
- Dans la cour du dragon, de Robert W. Chambers ((en) In the court of the dragon, 1895)
Les Sept livres secrets de Hsan
[modifier | modifier le code](titre français confirmé)
Les Tablettes de Zanthu
[modifier | modifier le code](titre français à confirmer)
Les Tessons d'Eltdown
[modifier | modifier le code]Autrefois, il avait lu quelque chose à ce sujet, qui concernait ces inquiétants fragments d'argile, objet de bien des contreverses, qu'on appellait les Tessons d'Eltdown. On les avait extraits, trente ans plus tôt, de couches pré-carbonifères du sud de l'Angleterre. Leurs formes, les marques qu'ils portaient semblaient si bizarres que certains érudits refusèrent d'y voir des objets naturels, et se lancèrent dans de folles conjectures relatives à leur origine. De toute évidence, ils venaient d'une époque à laquelle aucun être humain ne pouvait exister sur le globe - mais leur apparence comme leurs motifs restaient déconcertants.
—Howard Phillips Lovecraft, Le Défi d'outre-espace, traduction de Jean-Paul Mourlon
Les Tessons d'Eltdown sont mentionnés dans de nombreux récits mythiques. Ils sont les fragments de poteries mystérieuses trouvés en 1882 et nommés d'après le lieu où ils ont été découverts, Eltdown dans le sud de l'Angleterre. Les tessons datent de la période du Trias et sont couverts de symboles étranges considérés comme intraduisibles. Néanmoins, plusieurs auteurs ont partagé leurs propres interprétations des inscriptions, y compris Gordon Whitney et son Les Tessons d'Eltdown : Une traduction partielle. Beaucoup de ces travaux, ainsi que nombre de textes non-académiques, ont circulé parmi des cultes secrets.
La traduction de Whitney est remarquablement similaire aux Manuscrits Pnakotiques, un texte rédigé par la Grand-Race de Yith. La traduction décrit Yith, la planète d'où vient la Grande Race, et la rencontre fatidique entre les Yekubians et la Grande Race. Une formule magique sur le dix-neuvième tesson sert à l'invocation du Gardien de la Connaissance. Malheureusement, le rituel de révocation est illisible rendant toute invocation extrêmement risquée. Malgré ses liens avec la Grande Race, les Tessons d'Eltdown furent probablement modelés par les Grands Anciens qui enterrèrent les céramiques en Angleterre quand celle-ci faisait parie du supercontinent Pangée[4].
Références
[modifier | modifier le code]- (en) The Sealed Casket, de Richard F. Searight, 1935, inédit à ce jour en français
- (en) The Warder of knowledge, de Richard F. Searight, ?, inédit à ce jour en français
- Le Défi d'outre-espace, de C. L. Moore, Abraham Merritt, H. P. Lovecraft, Robert E. Howard et Frank Belknap Long ((en) The Challenge from beyond, 1935)
- Dans l'abîme du temps, de H.P. Lovecraft ((en) The Shadow out of time, 1936)
- Le Journal d'Alonso Typer, de William Lumley et H.P. Lovecraft ((en) The Diary of Alonzo Typer, 1938)
- L'Horreur dans la galerie, de Lin Carter ((en) The Horror in the gallery, 1976)
- (en) Wrath of the wind-walker, de James Ambuehl et Robert M. Price, 1998, inédit à ce jour en français
Le Testament de Carnamagos
[modifier | modifier le code](titre français à confirmer)
Le Texte de R'lyeh
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- La Fenêtre à pignon, d'August Derleth ((en) The Gable Window, 1957)
L'Unaussprechtlichen Kulten
[modifier | modifier le code](titre français confirmé)
Références
[modifier | modifier le code]- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Cthulhu Mythos arcane literature » (voir la liste des auteurs).
Notes
[modifier | modifier le code]- Robert M. Price, « H. P. Lovecraft and the Cthulhu Mythos », Crypt of Cthulhu #35 : A Pulp Thriller and Theological Journal, vol. 5, no 1, halloween 1985, p. 11, note #11, Cryptic Publications.
- Daniel Harms, « Book of Eibon » in The Encyclopedia Cthulhiana, pp. 30–3.
- Daniel Harms, « Book of Iod » in The Encyclopedia Cthulhiana, p. 33.
- Daniel Harms, « Eltdown Shards » in The Encyclopedia Cthulhiana, pp. 102–3.