Hôpital Ambroise-Paré (Boulogne-Billancourt)
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| Hôpital Ambroise-Paré | |
 Entrée principale. | |
| Présentation | |
|---|---|
| Coordonnées | 48° 50′ 57″ nord, 2° 14′ 08″ est |
| Pays |  France |
| Ville | Boulogne-Billancourt |
| Adresse | 9 avenue Charles-de-Gaulle |
| Fondation | 1er novembre 1923 |
| Site web | ambroisepare.aphp.fr |
| Affiliation | Université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines |
| Services | |
| Nombre de lits | 468 |
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L'hôpital Ambroise-Paré est un hôpital universitaire de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) situé à Boulogne-Billancourt dans les Hauts-de-Seine, affilié à l'université Paris-Saclay.
Il porte le nom d'Ambroise Paré, chirurgien du roi, considéré comme le père de la chirurgie moderne.
Histoire[modifier | modifier le code]
Il a reçu ce nom en 1921 quand l'APHP a racheté avec l'aide financière de la municipalité le sanatorium du docteur Paul Sollier, situé entre la Seine et la rue Castéja, alors célèbre maison de santé, quelque peu mondaine, qui avait accueilli Marcel Proust[1].
En 1944, il fut prévu de reconstruire l'hôpital Ambroise-Paré, détruit par des bombardements durant la Seconde Guerre mondiale, à l'emplacement de la cour, elle aussi endommagée, du château Rothschild situé dans la commune. La décision, entérinée 1948 par le ministère de la Reconstruction, fut opposée par la propriétaire Miriam-Alexandrine de Rothschild[2]. En 1951, le classement aux monuments historiques du petit château de Buchillot, situé dans le domaine, puis le classement du parc du château aidèrent à protéger le domaine[3],[4],[2]. Finalement, la baronne accepta en 1962 l'expropriation et céda les six hectares demandés[2]. L'édification de l'hôpital commença en 1965 et fut terminée en 1969[2].
Il a été agrandi en 2007 par adjonction d'une nouvelle aile de chirurgie viscérale[5].
L'hôpital emploie[Quand ?] 1 922 personnes dont 431 de personnel médical et 1 492 de personnel non médical[6].
L'hôpital est partenaire de l'université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines en cancérologie et onco-hématologie[7].
Personnalités liées à l'hôpital Ambroise-Paré[modifier | modifier le code]
- Hachimi Nait-Djoudi y a exercé
- Denis Savignat
- Eddie Barclay
- Claude Jade
- L'universitaire Jacqueline de Romilly y est décédée[8].
- Georges Mathieu
- La résistante Carme Ballester (1900-1972) y est décédée[9].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Hôpital Ambroise-Paré », sur histoire.inserm.fr, INSERM (version du sur Internet Archive).
- Françoise Bédoussac, « Ambroise-Paré : La genèse d’un hôpital de pointe », Boulogne-Billancourt Information, (version du sur Internet Archive), p. 53.
- « Château de Buchillot », notice no PA00088072, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château Rothschild », notice no PA92000003, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Hôpital Ambroise Paré », no 30744, sur PSS-archi.
- « Nos partenaires », sur juste-humain.fr.
- « Biomarqueurs en Cancérologie et Onco-Hématologie (BCOH) », sur uvsq.fr, Université de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines.
- « L’académicienne Jacqueline de Romilly est décédée - Elle », sur elle.fr, (consulté le )
- (ca) « Carme Ballester narra la detenció de Lluís Companys en un manuscrit inèdit trobat a Amsterdam – Documents INÈDITS de Lluís Companys i Carme Ballester » (consulté le )
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressource relative à la santé :
