Discussion:Roger V Bacon/Admissibilité
- Admissibilité
- Neutralité
- Droit d'auteur
- Article de qualité
- Bon article
- Lumière sur
- À faire
- Archives
- Commons
L'admissibilité de la page « Roger V Bacon » est débattue.
Consignes quant à cette procédure :
- Qui peut participer ?
- Le créateur de la page et les contributeurs ayant un compte ayant fait au moins cinquante contributions aux articles (espace principal) de fr.wikipedia.org au lancement de cette procédure peuvent exprimer leur avis.
- Les avis des personnes n’ayant pas de compte ou un compte ayant moins de 50 contributions sont déplacés dans « Avis non décomptés » et ne sont en principe pas pris en considération. Lors de la clôture, les avis sans argumentaire sont également déplacés et ne sont pas pris en compte.
- Durée de la consultation
- Si un consensus clair s'est dégagé le 14 février après l'expiration de sept jours pleins de débat (168 heures), un contributeur ayant réalisé au moins 500 modifications et ayant 3 mois d'ancienneté (utilisateur autopatrolled) qui n'aura pas pris part au débat peut clore la proposition et indiquer si la page est conservée ou supprimée (la suppression devant être demandée à un administrateur). Dans le cas contraire, la discussion se poursuit et peut être close à partir du 21 février.
Important
- Copiez le lien *{{L|Roger V Bacon}} et collez-le dans la section du jour de la page principale « Débat d'admissibilité » . Attention, un décalage d'un jour est possible en fonction de la mise en page.
- Avertissez le créateur, les principaux contributeurs de l’article et, si possible, les projets associés en apposant le message {{subst:Avertissement débat d'admissibilité|Roger V Bacon}} sur leur page de discussion.
Conclusion
Proposé par : Fred [blabla] 7 février 2011 à 00:52 (CET)
Cette demande est effectuée dans le cadre de la maintenance de la Catégorie:Admissibilité à vérifier, en effet un bandeau d'admissibilité est posé sur cet article depuis février 2010 et il est dommage de garder :
Vous êtes donc invités à donner votre avis, dans le cadre des critères d'admissibilité des articles, cet article doit-il être conservé ou supprimé ? |
Discussions[modifier le code]
Toutes les discussions vont ci-dessous.
Page sur la maison[modifier le code]
Maison de Molay Bacon à reprendre par les connaisseurs au vu des sérieux problèmes chronologiques entre les sources ; tirer au clair les différentes maisons, issues ou non de bâtardises et les différents blasons ; je pense qu’il y a du boulot…
schlum =^.^= 15 février 2011 à 03:43 (CET)
Avis[modifier le code]
Entrez ci-dessous votre avis sur l’admissibilité du thème à l’aune de l’existence de sources extérieures et sérieuses ou des critères d'admissibilité des articles. Il est recommandé d'accentuer l'idée principale en gras (conserver, fusionner, déplacer, supprimer, etc.) pour la rendre plus visible. Vous pouvez éventuellement utiliser un modèle. N’oubliez pas qu’il est obligatoire d’argumenter vos avis et de les signer en entrant quatre tildes (~~~~).
Conserver[modifier le code]
- Conserver Il est vrais qu'il y a très peu de références sur Roger V Bacon mais cette article est indissociable des autres articles de la Catégorie:Maison de Molay Bacon.--lynntoniolondon (d) 7 février 2011 à 09:31 (CET)
- Conserver Personnage de l'Histoire de la Normandie --Jbdeparis (d) 7 février 2011 à 21:56 (CET)
Supprimer[modifier le code]
- Supprimer et créer avec tous ces articulets un article Maison de Molay Bacon qui lui aurait sa place sans discussion. « Admissibilité Non Démontrée » en temps que tel.. Et en cas de doute, l'admissibilité est à prouver, pas l'inverse. Chris a liege (d) 7 février 2011 à 12:46 (CET)
- Supprimer. Mêmes raisons. --LapinDeLaForet [Caressez-moi] 7 février 2011 à 14:32 (CET)
- Supprimer Comme Chris a liege (d · c · b), je suis pour la création d’un article Maison de Molay Bacon contenant l’histoire de la famille et son arbre généalogique à partir des faibles sources qui existent (notamment le nobiliaire de Normandie de Gabriel O'Gilvy [1]) ; par ailleurs, je me permets de répéter qu’il y a beaucoup d’incohérences temporelles dans ces articles, ça me paraît refléter le manque de sources fiables. schlum =^.^= 8 février 2011 à 03:02 (CET)
- Supprimer pour un article familial comme dit ci-dessus --Fred [blabla] 8 février 2011 à 08:22 (CET)
- Supprimer en accord avec les avis ci-dessus (d'autant que l'article sur la Maison de Molay Bacon a été créé donc tout est pour le mieux). Olyvar (d) 20 février 2011 à 12:11 (CET)
Neutre[modifier le code]
- Si l'article est supprimé, Chris a liege (d · c · b) se fera certainement un plaisir à créer l'article Maison de Molay Bacon qu'il suggère plus haut, pour y regrouper les personnalités concernées. Sinon, il faut laisser en l'état. Liger (d) 12 février 2011 à 10:11 (CET)
Avis non décomptés[modifier le code]
Exception étant faite pour le créateur de l’article, les avis d’utilisateurs récemment inscrits (moins de cinquante contributions...) ou non identifiables (IP, opinions non signées...) ne sont en principe pas pris en compte. Si vous êtes dans ce cas, vous pouvez toutefois participer aux discussions ou vous exprimer ci-dessous pour information :
Exemple[modifier le code]
Cela pourrait donner quelque chose comme ça :
Maison de Molay Bacon
Guillaume I[modifier le code]
Guillaume I du Molay Bacon (écrit aussi Molley Bacon ou simplement Bacon) fut un baron normand, seigneur du fief du Molay[1].
Biographie[modifier le code]
Guillaume Ier Bacon, seigneur du Molay a combattu aux côtés de Guillaume le Conquérant à Hastings en 1066[2][3]. Son nom est inscrit sur la liste de Falaise parmi les 315 compagnons de Guillaume le Conquérant.
Robert Wace confirme sa présence au combat : « Cil de Combrai et cil d'Alnée et les sires de Fontenei de Rebercil et del Molei vant demandant hérault li rei as Engleiz dient : çà entez : a est li reis ke vos serviez, ki a Guillaume est le perjurez morz est s'il est trovez ».[4].
Traduit en français actuel en : « Le seigneur de Combray ; celui d'Aulnay, les sires de Fontenay, de Rubercy et du Molay couraient vers le hérault de Harold, le questionnant : « Où est donc le roi que vous servez ? Le parjure qui a manqué de foi à Guillaume ! Si nous pouvons le trouver sa mort est certaine. » »[1].
Mariages et descendance[modifier le code]
Guillaume I eut deux connus : un fils, Guillaume II Bacon et une fille qui prit le voile en l'abbaye de la Sainte Trinité à Caen.[1].
Guillaume II[modifier le code]
Guillaume II du Molay (écrit aussi Molley) Bacon fut un seigneur normand, baron de Normandie. Chevalier banneret, c'est à lui que l'on doit les premières indications sur les armes de la famille Bacon qui flottait sur leur bannière à la tête de leur ost (six roses d'argent posées trois, deux, et une sur fond de gueule)[5]. Claude Pézeril indique même : qu'un atelier de brodeuses venu de Sicile pour les fêtes lui confectionna sa bannière en lin[1].
Guillaume III[modifier le code]
Guillaume III du Molay Bacon fut un seigneur normand, baron de Normandie.
Mariage et descendance[modifier le code]
Il épousa, en 1126, Mathilde de Chester, fille (illégitime ?) de Ranulph le Meschin, vicomte du Bessin et comte de Chester[6][7].
Mathilde apporte à Guillaume par une charte datée de Rouen : « les terres de la Fresnaye-Martinèze, Couvains et Plein-Forêts, qui consistaient en hommes, hommages, revenus, églises, bois, moulins, fours, viviers, soldats, vasseaux, vilains, bordages et autres dépendances, le fief de Blagny la Quièze accru du fief de Baynes, Bernesq, Mestry, Pleines-Œuvres, Saint Martin de Caumont, Sallen, Livry, Fresnay sur Mer et Martragny »[8].
Guillaume et Mathilde eurent cinq enfants connus :
- Roger III Bacon, seigneur de Molay et de Planquery
- Philippe de Colombières, seigneur châtelain du fief de Colombières[9]
- Guillaume
- Une fille devenue religieuse à l'abbaye de Mortain dans la Manche
- Richard qui fonda le prieuré de Roncester
Roger III[modifier le code]
Roger III du Molay Bacon fut un seigneur normand, baron de Normandie. Il est désigné comme "chevalier, sire et châtelain du Molay, seigneur du Breuil, Saon, Blay, Couvains, Planquery, Baynes, Blagny la Quieze, Matragny, Vaussieu, Sévans et St-Contest"[1].
Biographie[modifier le code]
En 1148, Roger III Bacon, fonda la commanderie templière de Baugy dans son fief de Planquery[1],[10]. Son frère Guillaume, leur abandonne une terre à « Brichesart » (aujourd'hui : Briquessard), une « masure » au Molay avec des droits de passage pour leurs porcs et, surtout, l'église de Saon avec ses revenus[11].
Il est cité dans le rôle de l'échiquier anglais de la quatrième année d'Henri II. Son nom se rencontre au bas de nombreuses chartes de ce roi, notamment d'une datée de Barfleur[12] et d'une autre datée de Bur[13].
Enfin un autre de ses frères Richard, fonda le prieuré de Rocester, dans le comté de Stafford[14].
Mariages et descendance[modifier le code]
Roger et Emme eurent deux fils connus[15] :
- Guillaume IV Bacon, futur seigneur de Molay
- Simon, seigneur de Formigny et de Bavent, épousera en première noce N. Tesson dame de Formigny puis Mathilde de Vassy et eux deux fils connus Guillaume seigneur de Formigny et Richard seigneur de Bavent[1].
- Marie ? épousa Ranulph de Matan, qui apporta comme dot la seigneurie de Jurques[16].
Guillaume IV[modifier le code]
Guillaume IV du Molay Bacon fut un seigneur du fief du Molay s'étendant sur la commune actuelle du Molay-Littry, du Breuil-en-Bessin, de Planquery, de Blay dans le Bessin en Basse-Normandie.
Biographie[modifier le code]
Il donna en 1166 les dîmes et patronages de Bley-le-Breuil et Saint Contest à l'abbaye d'Ardennes, 20 acres de terre à l'abbaye de Saint Etienne de Caen[17].
Il aumôna à l'abbaye Sainte-Marie de Longues-sur-Mer en 1200, les revenus de l'église de Martragny, et la moitié de ceux de l'église de Blagny[18] (paroisse sur l'actuelle commune de Sainte-Marguerite-d'Elle. Cette donation est confirmée par Henri II, evêque de Bayeux. En 1207, il donna la dîme et le patronnage de Couvains à l'Abbaye de Cerisy[19].
Guillaume IV Bacon pourrait être le Guillaume Bacon, seigneur du Molay Bacon, plusieurs fois mentionné dans le Roman de Renart. D'ailleurs, c'est bien sur ses terres que gîte le renard de Pierre de Saint Cloud[20], l'auteur présumé du roman.
Mariages et descendance[modifier le code]
Guillaume et Clémence eurent trois enfants connus[18] :
- Guillaume V Bacon
- Eustachie ou Austachie qui épousa Pierre de Meulan, prêtre en Angleterre (diacre de Wimborne) puis seigneur de Beaumont-Le-Roger et de Brionne, fondateur de la lignée des seigneurs de Courseulles-sur-Mer et de Bricqueville, branche appelée de Courcelle-de-Saint-Paer.
- Roger, seigneur de Planquery
Guillaume V[modifier le code]
Guillaume V, était un seigneur normand, baron de Normandie.
Mariages et descendance[modifier le code]
Guillaume V eut un fils connu :[21] :
Roger IV[modifier le code]
Roger IV du Molay Bacon fut un seigneur du fief du Molay s'étendant sur la commune actuelle du Molay-Littry, du Breuil en Bessin, de Planquery, de Blay.
Biographie[modifier le code]
Roger IV Bacon est enterré dans le sanctuaire de l'abbaye de Longues-sur-Mer où son épitaphe était encore visible à la fin du XVIe siècle[22].
Mariages et descendance[modifier le code]
Son fils et successeur est Roger V Bacon.
Roger V[modifier le code]
Roger V, était un seigneur normand, baron de Normandie du fief du Molay regroupant les communes actuelles du Molay-Littry, du Breuil-en-Bessin, de Blay, de Planquery.
Mariages et descendance[modifier le code]
Roger V eut deux fils connus :[23] :
- Guillaume VI Bacon
- Jean qui sera doyen de Lisieux
Guillaume VI[modifier le code]
Guillaume VI est un baron de Normandie, seigneur normand du fief du Molay fief regroupant les communes actuelles du Molay-Littry, Blay, Le Breuil-en-Bessin, Planquery.
Mariages et descendance[modifier le code]
Guillaume VI eut deux fils connus[24] :
- Roger VI Bacon
- Guillaume, seigneur de Blay qui finira exécuté à Paris pour acte de rebellion contre son roi
Roger VI[modifier le code]
Roger VI, seigneur normand, baron de Normandie fut un puissant seigneur de Normandie. Son autorité s'étendait sur un territoire recouvrant les communes actuelles du Molay Littry, du Breuil, de Blay, de Castillon, de Planquery, de Saon, de Colombières, de la Bazoque .... À sa mort, n'ayant point d'héritier mâle, se déclencha une véritable guerre civile dans l'ouest de la Normandie afin de récupérer la main de son unique fille Jeanne Bacon et son riche héritage.
Biographie[modifier le code]
Roger VI Bacon est le dernier baron du Molay en ligne direct, chevalier banneret (ayant droit de porter bannières à ses armes) il était "avec six chevaliers de haubert attachés à son ost" l'un des principaux seigneurs de Normandie.
Il érigea la chapelle Saint-Nicolas du château du Molay en paroisse la rendant ainsi accessible au peuple.
Il siégea en 1336 en tant que haut baron à l'Échiquier de Normandie au côté notamment de Geoffroy d’Harcourt, le boiteux sire de St-Sauveur-le-Vicomte en Cotentin.[25]
Roger est présent le 4 avril 1338, à la signature du traité entre le roi Philippe de Valois et la noblesse normande. Celle-ci s'engageait à prêter secours au roi de France pour la conquête de l'Angleterre en échange de la promesse du maintien de la Normandie dans ses libertés.[26],[27]
Il figure encore parmi la quinzaine de chevaliers représentant la noblesse normande à Rouen le 25 avril 1339 pour ratifier le traité entre le roi Philippe VI de France et son fils Jean, conférant à celui-ci le titre de Duc de Normandie.[28]
Roger VI a un frère connu, Guillaume sire de Blay, qui finira sur le billot, pour avoir soutenu Geoffroy d'Harcourt dans sa lutte contre les Bertrand soutenu par le roi Philippe VI, querelle régionale avec en toile de fond la lutte entre le roi d'Angleterre et de France. Il sera condamné et décapité à Paris en compagnie de Jean sire de la Roche Taisson et Richard de Percy : "Ils furent traîsnés du Châtelet de Paris aux halles et là, sur un eschaffaud eurent les testes coupées. Puis les corps pendus au gibet. Les testes furent envoyées pour être mises sur une roue au marché de Saint Lô où les dits seigneurs avaient faits assemblée et pour-parlers et traités des dites trahisons et alliances" (sous entendu au profit d'Edouard III d'Angleterre).[29]
Mariages et descendance[modifier le code]
Roger VI Bacon épousa Jeanne ou Joire de Villers, héritière de Villers Bocage et eu une fille unique Jehanne ou Jeanne, future héritière de la Maison de Molay Bacon. La mort de son père en fit l'unique héritière du fief de Molay Bacon, une véritable guerre privée pour la main de la riche héritière se déclencha entre la Maison d'Harcourt et la maison de Bertrand, descendant de la famille des Tancarville dont le père Robert Bertran est Maréchal de France et le frère évêque de Bayeux.
Biographie[modifier le code]
En 1096, il accompagna Robert Courteheuse lors de la première croisade en Terre sainte[1],[30],[31]. Roger de Montfréard (vassal de Guillaume) est cité dans les rangs de l'armée du duc de Normandie[1].
Une de ses soeurs pris l'habit de religieuse en l'abbaye de Mathilde, la Sainte Trinité de Caen, Guillaume en assura même ses besoins : à raison de deux portions de dîme et d'un vilain à prendre chaque année sur sa paroisse de Blay. dans une charte datée de 1082 et signée du dit baron[32].
Guillaume II est le « sire du Molai » cité dans le roman de Rou de Wace[33].
Mariages et descendance[modifier le code]
Guillaume II eu un fils connu Guillaume III[1].
Jeanne Bacon[modifier le code]
Jeanne Bacon est la fille de Roger VI Bacon seigneur normand et baron de Normandie. Son demi-frère et son frère étant morts, elle est l'unique héritière du fief de la famille Molay Bacon. À sa mort n'ayant point d'enfant, la lignée directe des Molay Bacon s'éteint et l'héritage de la maison de Molay est dispersé entre les descendants indirects de la famille[34].
Biographie[modifier le code]
Jeanne Bacon est née du second mariage entre Roger VI Bacon et Jeanne de Villiers (ou de Villers-Bocage). Elle eut un demi-frère Robert, mort en bas-âge, né du premier mariage de Roger avec Achis d'Asnières, son autre frère Guillaume est lui aussi mort en bas âge[1].
Ces deux coups du sort en font l'unique héritière du vaste domaine familiale. Sa main (et son héritage) va donc être grandement convoitée par les fils de bonne famille normande. Deux grandes familles se disputent alors la main de Jeanne, les Bertran(d) de Briquebec et les d'Harcourt.
Jeanne fonde de son propre chef le 1er août 1366, le prieuré hospitalier de Sainte-Élisabeth à Villers-Bocage. Dans cet endroit seront reçus et soignés les pauvres, les passants, les femmes enceintes et les orphelins jusqu’à l’âge de sept ans[35]. Pour commémorer cet acte de bienfaisance, une rue de la ville de Villers Bocage porte encore son nom aujourd'hui.
Jeanne décède en 1376 et est inhumée dans l'abbaye de Saint-Évroult dans l'actuel département de l'Orne.
Mariages et descendance[modifier le code]
Jeanne épouse en premières noces en 1340, Guillaume Bertran(d), Vicomte de Rocheville, second fils de Robert VIII Bertrand de Bricquebec et de Laurence du Merle (fille du maréchal Foulques du Merle). Son époux meurt au cours de la bataille de Mauron en Bretagne le 14 août 1352.[36]
En secondes noces, elle épouse Jean Ier de Luxembourg-Ligny († 1364)[37], fils de Waléran II de Luxembourg-Ligny, seigneur de Ligny-en-Barrois, de Roussy et de La Roche.
Bibliographie[modifier le code]
- Abbé Gervais de la Rue, Essais historiques sur les bardes, les jongleurs et les trouvères normands et anglo-normands: suivis de pièces de Malherbe, qu'on ne trouve dans acune édition de ses oeuvres, Mancel, (lire en ligne)
- Claude Pézeril, Le Bessin oublié, C. Pézeril, , 318 p. (lire en ligne)
- Claude Pézeril, Le Bessin oublié, C. Pézeril, , 318 p. (lire en ligne)
Notes et références[modifier le code]
- Claude Pézeril, Le Bessin oublié, 1991
- M.Beziers curé de Saint André de Bayeux, Journal historique sur les matières du temps, t. 91, Paris, (lire en ligne)
- Comte de Pontgibaud Chartrier de Fontenay. Le Berseur de Fontenay, le Vte de Blangy, de Moré de Pontgibaud, Caen, Impr. de H. Delesques, 1734-1892
- Robert Wace, Le Roman de Rou, vers 1175
- M.Beziers curé de Saint André de Bayeux, Journal historique sur les matières du temps, t. 91, Paris, (lire en ligne)
- M. de Laheudrie, Histoire de Trévières, page 359, 1988
- Paul Leportier, Familles Médiévales Normandes, page 111
- Claude Pézeril, Le Bessin oublié, 1991.
- « Site du château de Colombières , Saon.mairie.histoire.église. » (consulté le )
- Arcisse de Caumont, Statistique monumentale du Calvados, t. 3 : Arrondissements de Vire et de Bayeux, Caen, Hardel, (lire en ligne), p. 321
- « Site officiel de l'Intercom Balleroy Le Molay-Littry , Saon.mairie.histoire.église. » (consulté le )
- M.Lechaudé,Extrait des chartes , tome 2, page 159
- Cartulaire de Saint-Nicotas-de-la-Chénaie, n°. 1
- James Robinson Planché,The Conqueror and his companions , 1874,
- Comte de Pontgibaud Chartrier de Fontenay. Le Berseur de Fontenay, le Vte de Blangy, de Moré de Pontgibaud, Caen, Impr. de H. Delesques, 1734-1892
- Arcisse de Caumont, Statistique monumentale du Calvados, Volume 3, page 217
- Richard Seguin, Histoire archéologique des Bocains, Vire, (lire en ligne)
- Claude Pézeril, Le Bessin oublié, 1991
- Richard Seguin, Histoire archéologique des Bocains, Vire, (lire en ligne)
- Abbé Gervais de la Rue 1834, p. 376
- Claude Pézeril, Le Bessin oublié, 1991
- Claude Pézeril 1991, p. 167
- Claude Pézeril, Le Bessin oublié, 1991
- Claude Pézeril, Le Bessin oublié, 1991
- Bulletin des antiquaires de Normandie, Vol.XI (1881-1882), page 130 (Archives départementales du Calvados
- Cochon, Pierre (1390?-1456?), Chronique normande de Pierre Cochon, notaire apostolique à Rouen, 1870, p.57
- A.Canel, Recherche sur les anciens états de la province de Normandie, XIVe siècle, p.4-5-9
- Claude Pézeril, Le Bessin oublié, 1991, p.172
- Froissard "Chroniques Normandes" Traduction Siméon Luce
- Comte de Pontgibaud Chartrier de Fontenay. Le Berseur de Fontenay, le Vte de Blangy, de Moré de Pontgibaud, Caen, Impr. de H. Delesques, 1734-1892
- Histoire du duché de Normandie, Volume 3, page 436, par Ignace-Joseph-Casimir Goube
- http://books.google.fr/books?id=avRaAAAAQAAJ&pg=PA513&dq=guillaume+bacon&hl=fr&ei=mrHVTLHGMJe8jAeGjfzQCQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=10&ved=0CFcQ6AEwCQ#v=onepage&q=guillaume%20bacon&f=false
- James Robinson Planché, The Conqueror and his companions, 1874,
- Gabriel O'Gilvy, Nobiliaire de Normandie, Londres (lire en ligne), p. 76
- Site officiel de la commune de Villers-Bocage.
- Dictionnaire de la noblesse, t. 1, Paris (lire en ligne)
- Richard Seguin, Histoire archéologique des Bocains, Vire, (lire en ligne)