Discussion:Groupe Proximus

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons


L'ADSL de Belgacon n'est pas un monopole, le seul monopole dont dispose Belgacom est sur la boucle locale. Les autres sociétés sont libres de mettre en place des infrastructures directement reliées à la boucle locale.

La télévision numérique remplit les premiers objectifs, mais pose différents problèmes juridiques qui ralentissent la croissance des ventes. cfr Test-achat, ministère de l'économie, ...

Skynet a été absorbé par Belgacom et est donc en quelque sorte un département de Belgacom.

Le VDSL est en place depuis + de 6 mois, l'ADSL2+ par contre est en phase d'analyse auprès de l'IBPT, le régulateur des télécoms au niveau national.

La Belgique fut une pionnière dans la large bande (largement devant ses voisins), cependant elle n'arrive plus à suivre à cause de la taille de son marché national. En effet la Belgique ne peut compter sur un nombre maximum de connexion très inférieur à la France ou l'Allemagne. De ce fait, elle ne peut profiter d'effet d'échelle, de réductions des coûts et d'effet d'expérience. Même si la concurrence entre les FAI est très forte, surtout depuis l'arrivée de concurrents tel que Talesa, les technologie par cable, ... De plus la législation belge impose des contraintes aux FAI qui limite l'augmentation des vitesses disponibles en large bande dans l'état actuel des instalations et de la technologie.

=-=-

Est ce que l'emploie du réseau ADSL pour la télévision numérique n'empêche-t-il pas d'augmenter le débit (bande passante) existant pour la bande passante internet? Et est ce que belgacom ne profiterait pas de son monopole de "provider internet adsl" pour ne pas augmenter la bande passante et le garder pour la TV numérique... et dc rentabiliser encore plus leur installation!!!( vu que les utilisateur payent 2 abonnement 1 pour la TV et 1 pour l'adsl) par exemple, si la capacité des ligne sont de max 20mbps... il utiliserai 4 mbps pour l'adsl ... et le reste de la bande passante (16mbps) pour la TV numérique!

En Belgique, depuis 4 ans la vitesse n'a fait que quadrupler ( passer de 1,1 mbps à 4 mbps) alors que en France en 4 ans il sont passé de 0,5 mbps A 20 mbps SOIT une amélioration de la bande passante de 40 fois...

Bonsoir,

Le fait de citer le site de l'ambassade du Kazakhstan à Bruxelles est un travail inédit puisque seul Notification Lirreductible : et aucune source secondaire ne relève l'exemple.

Concernant l'intervention au Sénat de Belgique par Benoit Hellings, seul cette source, même primaire, dit ce qui dit le texte. La source amoi.be est une lettre ouverte d'un client Swing, dont certainement pas neutre. Que Belgacom y réponde ou non. La réponse est de toute façon non sourcée.

Pour le reste, l'info est sourcée et en l'état acceptable. Inutile donc d'en rajouter.

Bien à vous.

--H2O(discuter) 29 juin 2014 à 22:21 (CEST)[répondre]

En accord complet avec H2O.--Lefringant (discuter) 30 juin 2014 à 13:11 (CEST)[répondre]

// Réponse ajoutée ici par Laurent Gendarme : "Cette réponse a été fournie par le service presse Belgacom, la signature a simplement été retirée comme suggéré à l'intervenant avant publication"

Veuillez bien relire svp la définition Wikipedia du "travail inédit". Ce n'est ici nullement le cas et est une information accessible au publique et donc non confidentielle.

Le fait de citer "le site web de l'ambassade du Kazakhstan" est un fait et est vérifiable par simple visite du site.[modifier le code]

Voir en bas à gauche sur leur site.

Tout comme vous vérifiez n'importe quelle info sur un site d'un journal "connu".

Quel journal ? --H2O(discuter) 29 juin 2014 à 22:28 (CEST)[répondre]

C'était un "Exemple"... si je vous dis que la méthode de contact de la Radio Télévision Belge Francophone est visible sur www.rtbf.be et bien la méthode de contact de l'ambassade du Kazakhstan à Bruxelles est visible sur le site internet de cette dite ambassade. Vous pouvez donc constater que la méthode de contact dans ce cas est une adresse @swing.be CQFD

Je pense que cet utilisateur est donc un bel exemple d'utilisateur de "haut niveau". Cette référence est donc tout à fait justifiée.

Même réflexion concernant l'ex sénateur cité également qui était toujours en fonction à ce moment là et dont l'adresse mail est mentionnée sur le site web du sénat Belge. http://www.senat.be/www/?MIval=/showSenator&ID=107&LANG=fr

Ensuite, si vous voulez un peu d'éléments sur le sujet, je peux vous en citer :

Dont un sur le site de la RTBF

http://www.rtbf.be/info/medias/detail_migration-des-clients-de-swing-be-vers-skynet-belgacom-a-t-il-mal-gere?id=8188519

Et enfin, il est vérifiable par n'importe quel utilisateur même avec très peu de notions informatique, que l'adresse www.swing.be redirige actuellement sur le site web d'une société de vente/location matériel audio/vidéo.

Pas d'interprétation ici mais uniquement des citations de faits vérifiés et vérifiables via références citées.

merci de ne pas passer en force et de ne pas ajouter d'éléments sans consensus. Cordialement.--Lefringant (discuter) 30 juin 2014 à 13:51 (CEST)[répondre]

Merci de considérer que (sauf erreur de ma part) vous êtes contributeur au même titre que moi et je ne me soumet donc pas à votre seul jugement, car je suis également libre d'estimer que cette citation d'élément primaire est nécessaire.

Je te rappelle que moi même et un autre utilisateur ne sommes pas favorables à cette insertion, pour différentes raisons qui t'ont déjà été expliquées. Tu préfères donc passer en force et imposer ta version. Ce n'est pas vraiment la manière de fonctionner ici. Je ne peux que te recommander la lecture des liens qui t'ont été fournis sur ta page utilisateur.--Lefringant (discuter) 30 juin 2014 à 14:23 (CEST)[répondre]
Ne le prenez pas mal mais le "vouvoiement" s'impose svp. (on ne se connait pas personnellement je pense)
J'écris en Français et vous demande de contribuer un tout petit peu plus en justifiant de façon bien détaillée svp la raison de la suppression. :::Votre justification étant pour moi et à ce stade insuffisante, je ne suis pas de votre avis. C'est permis ça ?
Je mets en doute la pertinence du choix de la section (Historique) et du titre de la section concernant swing.be. ::::--H2O(discuter) 30 juin 2014 à 14:46 (CEST)[répondre]
Perso je tutoies ici, je vais donc continuer si ça ne te déranges pas. La raison de la suppression t'as été expliquée plusieurs fois. On est pas d'accord, pour le moment ton point de vue est minoritaire, il convient donc de trouver une version qui fait consensus. tu ne veux pas, il me semble que tu en fait une affaire personnelle, certains liens apportés auparavant me conforte dans cette idée. Faute de convaincre tu préfères passer en force, c'est un choix, mais ce n'est pas ainsi que cela fonctionne. Les ajouts sontt parfaitement acceptables quand ce qui y figure est appuyé par une site internet de qualité (type presse idéalement), malheureusement ce n'est pas le cas. Je rejoins donc parfaitement l'avis de H2O et moi aussi doute de la pertinence globale de cette section.--Lefringant (discuter) 30 juin 2014 à 14:50 (CEST)[répondre]

Même si votre commentaire vient évidement après ce petit différent, je suis du même avis que vous pour ce qui est de la section. Que proposez-vous ? La politesse en français est que l'on vouvoie une personne que l'on ne connait pas.

Ensuite je vous ai cité un lien RTBF et du journal Le Soir, vous en voulez encore, vous avez La Libre Belgique.

Maintenant que vous préférez un site web développé à l'aide de finance publique c'est votre choix mais ça n'enlève en rien l'authenticité et la véracité des faits mentionnés sur www.amoi.be.

Tout ce qu'il y a de plus pertinent et impartial même si initié par une personne directement concernée.

Proposition[modifier le code]

Ci-dessous un proposition de refonte du texte. Il convient de modifier le titre du chapitre et de contextualiser expliquer le comment/pourquoi/quand Swing devient une part de Belgacom.

-debut du texte-

Swing.be, nom de domaine de l'ancien fournisseur d'accès Internet Swing dont les services de messageries électroniques et hébergements web ont été repris par Belgacom et sont toujours assurés par celui-ci. (Section à développer (quand et comment swing est repris par Belgacom avec sources et dates)

Le 19 décembre 2013, des perturbations de services sont constatées par des utilisateurs qui adressent une lettre ouverte à Belgacom (sources secondaires !). Le site web de DNS Belgium renseigne que l'opérateur publique n'est plus propriétaire du nom de domaine swing.be (sources). La presse en fait mention en février 2014 (sources) et le 20 février 2014, la revente du nom de domaine swing.be fait l'objet d'une intervention au Sénat de Belgique (sources).

-fin du texte-

Bien à vous.

--H2O(discuter) 30 juin 2014 à 15:52 (CEST)[répondre]

Je suis de votre avis pour votre proposition, mais je maintiens que l'exemple de l'ambassade voir même de l'ex sénateur utilisateur (à titre professionnel pour l'un, privé pour l'autre) sont nécessaire afin que le lecteur comprenne quel est le type d'utilisateur concerné.

Il s'agit ici de services utilisés dans les faits tant par des professionnels que des privés.

Ceci est important car le paramètre déterminant l'acheminement des communications des serveurs mails avait été modifié. (source: mxtoolbox.com / modifications les plus anciennes visibles = serveurs non belgacom mais de la société combell) sans parler du fait que immédiatement après la fin de service annoncée pour Aout 2014, tout prochain mail transmis vers n'importe quelle adresse @swing.be (donc y compris celle de l'ambassade) pourrait "techniquement" être accessible au nouveau propriétaire et/ou aux personnes accédants aux serveurs mails de l'entreprise gérant actuellement le nom de domaine.
Je réfléchis pour l'intitulé/section où je suis bien du même avis que vous.
Merci.
Plein accord avec cette proposition de rédaction, à insérer telle quelle accompagnée de liens vers les sources de presse qui permettent de vérifier et d'appuyer le tout. Complétement opposé à l'insertion des deux exemples proposés par l'IP ci-dessus qui ne correspondent pas aux usages et exigences de l'encyclopédie encyclopédique. --Lefringant (discuter) 30 juin 2014 à 16:54 (CEST)[répondre]
Cher Monsieur "Lefringant", une autre IP vous répond et ajoute :
Même si un contributeur ne s'authentifie pas et/ou ne respecte pas tous les usages, cela ne signifie pas pour autant que le contenu n'est pas pertinent et qu'il n'a pas sa place ici.
Comment voulez-vous prouver le type d'utilisateur concerné mieux qu'en citant deux exemples tel qu'une ambassade et un ex sénateur ?
Le site web d'une ambassade et le site web du sénat Belge (pour l'adresse mail mentionnée sur la fiche du sénateur) sont des éléments primaires mais nécessaires et sont bien plus parlant que n'importe quel site web avec un contenu retravaillé par un journaliste.
De plus, un journaliste a sa propre vision des faits.
Signé : l'IP qui vous veux du bien => lirréductible.
Je vous ai peut-être vexé... et si tel est le cas je m'en excuse mais n'ai pas apprécié que vous supprimiez plusieurs fois des parties de mes contributions sans entamer la discussion "au préalable" qui plus est !
Il n'y avait là aucunes informations confidentielles ou portant atteinte à qui que ce soit qui nécessitait la suppression immédiate.
Vous estimez que cela ne respecte pas le type de contenu de l'encyclopédie, wow 1 phrase qui vous gènes et vous supprimez directement sans en parler avant, j'estime que cela n'est pas très sympathique.
Sur ce, je ne vous en veux absolument pas de vouloir intervenir pour contribuer et vous en remercie d'ailleurs.
Je crois qu'il y a surtout un problème fondamental de compréhension de ce qu'est ou n'est pas wikipédia. On est pas ici pour prouver ou illustrer par nous même, que les exemples soient pertinents ou pas. Les seules sources acceptables sont secondaires. Ecrire un paragraphe discutable, car discuté, en sourcant par un site en demandant de se rendre dessus pour vérifier, ce n'est tout simplement pas encyclopédique. Après que vous contribuiez sous IP pourquoi pas? mais quel intérêt de ne pas la faire sous votre pseudo? De plus votre ajout ne faisant toujours pas consensus il est fortement susceptible d’être remplacé par la proposition supra.--Lefringant (discuter) 30 juin 2014 à 20:06 (CEST)[répondre]

Comme je vous l'ai déjà précédemment cité, il n'est pas indiqué sur ce site que la mention de source primaire est interdite. Relisez bien.

A la place de vous concentrer sur "source primaire", "source secondaire", pouvez-vous faire une meilleure proposition afin de démontrer le type d'utilisateur concerné par ces services ? Lirreductible (discuter)

Une source primaire est inutile et peut être supprimée par n'importe-qui sans discussion. Une source secondaire est nécessaire.
Le tutoiement étant d'usage sur internet, il n'y a pas lieu de s'en formaliser. Merci de signer (même sous IP) et d'indenter pour qu'on puisse (tenter de) suivre une discussion. 90.20.115.31 (discuter) 1 juillet 2014 à 01:33 (CEST)[répondre]
No comment, une source primaire sert dans ce cas à apporter un élément probant de la citation.
Le tutoiement n'est pas d'usage quand votre correspondant vous vouvoie.
Je suis connectée depuis la Belgique, mais cette règle de politesse élémentaire me semble la même en France cher Monsieur.
Signature rapide, Lirreductible.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 91.176.112.184 (discuter)

Avertissement très clair à la personne qui collabore soit sous IP , soit sous l'identité de Lirreductible qui se dit être Laurent Gendarme[modifier le code]

Bonsoir,

Si Lirreductible = Laurent Gendarme et collabore sous divers IP sans signer ses commentaires, c'est ingérable.

J'exige de la clarté, sinon, je demande une vérification d'IP et éventuellement un blocage. Parce que des messages comme Laurent Gendarme (écrit en vitesse donc non authentifié => mais n'hésitez pas => l'utilisateur "lirreductible" c'est moi. tel que mis sur la page de discussion de Lefringant, non, je n'accepte plus.

--H2O(discuter) 30 juin 2014 à 20:27 (CEST)[répondre]

Juste pour vous faire plaisir.
Et cessez svp de supprimer simplement et sans justification correcte.
Merci.
Je n'ai pas encore appris à bien maitriser Wikipedia (manque de temps) ce pourquoi je signe rapidement
Lirreductible ou Laurent Gendarme c'est kif kif et vu la toute petite contribution faite jusqu'ici ça me semble suffisant.
Je pense qu'il s'agit ici d'un conflit non pas d'édition mais de "fierté personnelle de celui qui veux avoir raison".
Vous ne seriez pas informaticien par hasard ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Lirreductible (discuter)
Et vous, j'ai l'impression que vous avez un œuf à peler avec Belgacom et que vous instrumentaliser Wikipédia pour vous créer une tribune. Je vous rappelle que Wikipédia est une encyclopédie, pas un forum ni une page personnelle. --H2O(discuter) 30 juin 2014 à 22:12 (CEST)[répondre]
Pour répondre directement à votre commentaire, je n'ai absolument pas d'oeuf à peler avec l'opérateur.
Je suis informaticien, pas cuisinier !
La tribune, c'est vous qui la créé avec ce type de commentaire dans la discussion.
En lisant uniquement ma contribution, je vous invite à me citer ce pourquoi vous dites cela.
Et soyez précis svp — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Lirreductible (discuter)
Merci, j'apprends. Lirreductible (discuter)
En même temps avant vos ajouts pour partie avec un site qui si l'on vous suit bien est le votre, on est quand même un peu dans le domaine de la tribune et dans la volonté d'utiliser wiki. --Lefringant (discuter) 30 juin 2014 à 22:47 (CEST)[répondre]
Non ma contribution n'est absolument pas une "tribune" mais une introduction de faits dont on a parlé dans la presse ainsi qu'au Sénat.
Que l'introduction soit faite par une personne concernée ne signifie pas d'office qu'il y a "volonté d'utiliser wiki".
Je comprend votre commentaire mais c'est là votre "interprétation" pas un "fait".
La mention amoi.be n'est pas indispensable, vu que la seule mention de ce site vous permet de dire qu'il s'agit d'une "tribune".
Mon but n'est nullement que mon site ou mon nom soit cité, ceci étant simplement des éléments d'informations que j'ai estimé nécessaire à la compréhension. En effet, il m'a été fait part de risque de problèmes juridiques avec Belgacom si je continuais à maintenir mes dires auprès de journalistes. Cela est un "fait" important et qui ne me concerne pas uniquement, dans le sens où il s'agit là d'une question de "principe" d’intérêt publique.
Lirreductible (discuter)
Une fois de plus tu ne conçois que ta propre vision, la seule que tu "estimes nécessaire". Là ou moi et un autre utilisateur allons dans le sens d'une version factuelle et sourcée correctement. Dans la mesure ou seule ta version compte pour faire valoir un point de vue, il y a, à mon sens, une utilisation qui s'apparente à de la tribune.--Lefringant (discuter) 30 juin 2014 à 23:13 (CEST)[répondre]

Ce n'est pas parce que deux personnes ne comprennent pas l'importance de citer un exemple d'utilisateur de haut niveau, que je dois me plier à leurs exigences.

Je vous demande à nouveau de faire une proposition qui démontrerait que ce type d'utilisateur est toujours actif et concerné par les services swing.be. Au lieu de supprimer, soyez constructif, faites des suggestions pour l'amélioration et non la diminution de l'information.

En vous remerciant. Lirreductible (discuter)

Vous ne manquez pas de culot. J'ai fait une proposition. Mais c'est vous qui vous vous obstinez. Sans sources secondaires votre exemple d'utilisateur de haut niveau n'est que travail inédit. Et je vous prie de cesser de me, de nous parler avec condescendance, Monsieur l'informaticien autoproclamé. Votre seule intervention sur Wikipédia, sauf preuve du contraire, semble être de vous créer une notoriété. Ce qui est contraire aux recommandations de Wikipédia. La manière dont vous insinuez être Laurent Gendarme indique que vous utilisez Wikipédia comme caution, comme faire valoir dans votre action contre Belgacom. Nous en resterons donc là. --H2O(discuter) 30 juin 2014 à 23:52 (CEST)[répondre]

Non, votre proposition ne mentionnait aucun élément indiquant que des utilisateurs de hauts niveaux étaient utilisateurs de services SwinG. Au contraire, vous supprimiez cette information purement et simplement.

Monsieur l'informaticien "non autoproclamé" Laurent Gendarme (source déjà citée à plusieurs reprise) http://www.rtbf.be/info/medias/detail_migration-des-clients-de-swing-be-vers-skynet-belgacom-a-t-il-mal-gere?id=8188519 n'utilise pas Wikipedia comme caution pour faire valoir une quelconque action contre Belgacom ou se créer une "notoriété".

Tenir compte du fait que la référence au site web amoi.be a été retirée et que je n'ai pas insisté sur ce point car j'ai pu comprendre que les deux utilisateurs intervenus ici sur le sujet avaient des doutes sur les informations y étant reprises.

Mes démarches jusqu'ici étaient même "pour l'opérateur" et non contre. En dehors de WIKIPEDIA, mon action n'a pas pour but de réclamer un dédommagement, mais simplement d'attirer l'attention sur des questions d’intérêt général.

Ma contribution qui vous gène tant comporte moins de "10 lignes" et est totalement impartiale (la citation de sources primaires est autorisées dans certains cas). La discussion que vous avez entrainé ici est considérable. (tout ça pour votre question de source primaire/secondaire) Le bon sens me dit que vous contribuez peut être hélas sur un sujet que vous ne maitrisez pas suffisamment (avis personnel).

Quel accueil en tout cas ! Et là, je ne vous dis pas merci. Lirreductible (discuter)

Le mode de fonctionnement de Wikipédia est de s'appuyer sur des sources secondaires et indépendantes, jamais sur des sources primaires.
Donc le problème n'est pas de savoir s'il est ou non important de citer un "utilisateur de haut-niveau", mais d'abord de savoir ce qui peut être fait dans les limites des principes et des règles de Wikipédia.
  • Le site www.amoi.be est une source primaire : il ne contient aucune information utilisable telle quelle sur Wikipédia. Même la "Réponse reçue d'un intervenant Belgacom" est inexploitable puisque qu'elle n'est pas datée et que l'"intervenant Belgacom" n'est pas précisé.
  • Le site officiel de Belgacom est une autre source primaire : il ne peut pas non plus servir pour référencer votre information.
  • En voulant exploiter une mention sur la page d'un sénateur vous êtes en plein travail inédit car vous interprétez un fait primaire : c'est totalement incompatible avec les principes de Wikipédia. J'ai plein d'autres interprétations en tête ; par exemple, la page n'a pas été mise à jour.
  • C'est la même chose pour l'ambassade du Kazakhstan.
Pour pouvoir écrire dans Wikipédia qu'il y a une "affaire swing.be", il faut trouver une source secondaire qui écrit qu'il y a une "affaire".
Ce blog est une source légèrement plus valable pour Wikipédia : il y a plusieurs liens vers des articles sur le sujet. Il y a aussi une page sur le site de la rtbf. Je n'ai pas accès à votre article du Soir qui est réservé à ses abonnés.
Cordialement. -- Habertix (discuter) 1 juillet 2014 à 01:02 (CEST).[répondre]
PS Ce qui est libre sur Wikipédia, c'est la licence CC-BY-SA ; par contre, aucun contributeur n'est libre de transformer un article en tribune quel qu'en soit le sujet. Comme dit le proverbe, à Rome, on fait comme les Romains.
Cher Habertix, bien que votre comparaison avec le blog cité soit peut-être faite dans le seul but de tenter de m'irriter.
Sachez que je ne m'approprie aucun monopole et vous remercie que vous citiez celui-ci, il y a également un site avec une pétition n'hésitez pas à le citer !
Réponse à votre commentaire où vous justifiez votre préférence pour le blog par : "il y a plusieurs liens vers des articles sur le sujet"
Ceci démontre que vous avez rédigé votre critique sans même prendre la peine de consulter la première page de mon site.
En effet, des liens vers des articles de presse + sénat y sont présent.
RTBF; La Libre; Le Soir; Information de l'agence de presse Belga sur site web RTL.
+ 2 sites web spécialisés.
Peut-être n'avez-vous consacré pas plus de 5 secondes à visionner un site que vous critiqué
C'est là que les romains s'empoignèrent... attention, j'ai de la potion magique ^ ^ !
Lirreductible (discuter)
Lorsque je cite le site web du sénat de Belgique + d'une ambassade afin que puisse être vérifié la mention d'adresse mail concernée par les services dont il est ici question, je ne fais aucune "interprétation".
Lirreductible (discuter)
Je crois que tu ne comprends décidément pas les messages qui te sont adressés, ou que tu ne veux pas. Ces deux mentions et la manière dont cela est inséré dans le texte actuel, ne sont pas acceptable sur wikipédia pour les différentes raisons exposés ci dessus en de nombreux endroits. Tu peux persistez, mais à ce rythme non collaboratif la ça ne risque pas de durer encore longtemps. De toute façon il y a un consensus sur la non admissibilité de ce passage en l'état. Des changements vont donc devoir être opérés. Tu peux bien sur y participer dans une optique de travail collaboratif, mais l'obstruction et les passage en force pour maintenir unilatéralement ta version ne te mèneront nulle part.--Lefringant (discuter) 1 juillet 2014 à 09:46 (CEST)[répondre]
  • No comment* déjà répondu suffisamment.
Vous assumez pleinement votre pseudo "Lefringant". (et j'assume le mien, mais ça je savais déjà)
Lirreductible non authentifié pour cause de réponse rapide. J'accepte ça ^ ^ !
Et si ce n'était pas accepté, l'authentification serait rendue obligatoire.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 91.176.112.184 (discuter)
Si c'est d'un véritable no comment qu'il s'agit, tu aurais bien pu te contenter de ne pas intervenir, concernant le pseudo ça doit pas être si bien assumé que cela, car ici on se perd dans ces interventions entres différentes IP et un compte enregistré. Il n'est pas interdit de contribuer sous IP, en revanche il st assez mal vu de changer régulièrement au sein d'une même discussion. En fin pour plus de clarté n'oublie pas de signer et de mettre en page tes interventions (aller à la ligne). Cela fait aussi partie du savoir vivre sur wikipédia.--Lefringant (discuter) 1 juillet 2014 à 10:27 (CEST)[répondre]
Cher monsieur Lefringant qui donne des leçons de savoir vivre sur Wikipedia, vous semblez ne même pas lire ce que je vous répond et procédez directement à des suppressions / avertissements / demandes de blocages.
Ceci alors même que mes contributions ici sont uniquement des citations de faits incontestables.
Votre dernière suppression de la phrase suivante en était un parfait exemple bien sourcé.
Belgacom communiquera par la suite "Skynet a cédé le nom de domaine swing.be à la société Swingverkoop en novembre 2010".
cf. Communication du médiateur des télécoms (et non de Belgacom) via www.amoi.be/140703.htm
Et oui cher Monsieur, vous qui aviez cité votre préférence pour un autre blog auparavant, en écrivant que mes références ne sont pas suffisante, vous affichez simplement ouvertement votre mépris envers mon site web. C'est là votre choix.
Cependant, vu votre attitude à mon égard, vous ne serez pas surpris que je ne vous réponde plus.
Je déplore totalement votre façon de procéder et afin de vous faire plaisir "je vous laisse votre petite victoire".
Lirreductible (discuter)

┌─────────────────────────────────────────────────┘
Mépris envers votre site web ? Non. Mais votre site présente des sources primaires, et « L'usage de sources primaires non appuyées par des sources secondaires est particulièrement déconseillé dans les articles controversés ou polémiques. » (source). Utilisez donc des sources secondaires, seules acceptables. Votre obstination à vouloir utiliser votre site comme source donne l'impression que vous vous voulez instumentaliser Wikipédia dans le conflit qui vous oppose à Belgacom en donnant une tribune à ce site. Wikipédia n'est pas une tribune de propagande ou de promotion. --H2O(discuter) 4 juillet 2014 à 16:01 (CEST)[répondre]

En contredisant bien entendu la polémique générée par plusieurs intervenants ici sur mes "minimes contributions", je peux comprendre que vous ayez "l'impression que je veuille instrumentaliser Wikipédia", cependant rien dans ce que j'ai cité dans mes contributions ne devait il me semble vous permettre d'affirmer cela.
En effet, si tel était ici mon but, j'aurais publié bien plus d'information et de réflexion.
Vous m'avez fait un procès d'intention.
Lorsque je cite mon site web, c'est simplement parce que j'y ai publié des informations et liens vers des sources secondaires.
Je constate que dès que je cite une référence publiée sur mon site, cela dérange certains ici.
Par contre un autre BLOG ou site web cela convient.
Comme quoi, ce n'est probablement pour l'un ou l'autre qu'une question de "vouloir à tout prix avoir le dernier mot ou se montrer grand maître de la WIKIPEDIA". Mais ce n'est pas grave, je ne suis plus à ça près.
Lirreductible (discuter)
Il y a actuellement un seul blog utilisé comme source : le votre. Qui n'est pas neutre, puisque vous être partie prenante dans l'affaire.
Quand vous écrivez : « Belgacom communiquera par la suite "Skynet a cédé le nom de domaine swing.be à la société Swingverkoop en novembre 2010" » avec un lien vers une lettre adressé à vous par Belgacom, ce n'est pas une « Communication de Belgacom », c'est une lettre qui vous est adressé en privé, c'est donc une source primaire non acceptable dans cet article. Il apporte un document inédit, ni publié, ni utilisé par une source secondaire. Vous faite donc un travail inédit. Il convient d'utiliser uniquement des sources secondaires.
Et, je ne suis grand maître de la Wikipédia, ni quelqu'un d'autre dont vous qui êtes celui qui veut avoir le dernier mot en imposant vos "sources".
Et, merci à l'informaticien que vous êtes d'apprendre à indenter vos interventions sur cette page de discussion. Pour savoir comment, regardez comme les autres opèrent.
--H2O(discuter) 4 juillet 2014 à 21:33 (CEST)[répondre]

Encore une fois vous ne lisez pas ce que j'écris. Communication du "médiateur des télécoms" et non de "Belgacom" via www.amoi.be/140703.htm

La réponse de Belgacom ne m'a pas été adressée à "moi" mais au "médiateur des télécoms" et ce sur sa demande. C'est donc le médiateur qui relate ce qui lui a été dit et non moi.

Que cela soit moi qui publie cette communication du médiateur ne vous autorise pas à la mettre en doute. Accusez moi de faire un faux également tant que vous y êtes.

Par contre, je vous autorise bien entendu à préciser que c'est le médiateur des télécoms qui notifie cette réponse lui ayant été formulée par Belgacom dans le cadre de la plainte de Laurent Gendarme, un informaticien client Belgacom et utilisateur SwinG. N'hésitez pas. Vu la contradiction avec l'information de vente précédemment communiquée c'est un "fait important".

Le donneur de leçon que vous êtes veillera svp à lire correctement (surtout quand j'insiste à plusieurs reprises) Non mais "allo" quoi.

Lirreductible (discuter)

Qu'importe, le document est une source primaire, puisque une lettre adressée à vous.
Je vous informe que je n'accepte absolument pas ce type de dénigrement dans un résumé de modification.
Ni le ton de vos réponses dans cette page de discussion. Je vous invite à lire les Règles de savoir-vivre qui est un des cinq principes fondateurs qui définissent la nature de Wikipédia.
Et je ne demande aucune autorisation de votre part : pas plus que moi, vous n'être pas propriétaire de wikipédia.
--H2O(discuter) 4 juillet 2014 à 22:26 (CEST)[répondre]

Jamais je n'ai dis être "propriétaire de la Wikipédia" cher Monsieur.

L'autorisation que je vous donnais était pour citer "mon nom" via publication de la phrase proposée et non pour la modification d'un contenu de ce site.

Comme précédemment vous comprenez à votre manière. Le ton de mes réponses est adapté à plusieurs réactions et styles employés ici envers mes simples contributions de quelques lignes. En effet, supprimer à plusieurs reprises des "faits" correctement sourcé et ce sans même en discuter avant, ce n'est pas correct.

Et j'avais rapidement cité une communication de Belgacom dont j'avais obtenu autorisation pour publication sur mon site. Que l'intervenant à l'origine de celle-ci m'aie donné son accord pour que je la publie en retirant son nom et signature, cela perturbe évidemment la confiance portée envers mon site web, je vous le concède.

Je trouve étrange qu'un intervenant autorisé à communiquer officiellement pour le compte de Belgacom m'aie autorisé à cela d'ailleurs.

Lirreductible (discuter)

Belgacom et Swing[modifier le code]

Avec le recul, l'information est devenue, comme le dit Notification Nouill [1], anecdotique. Plus aucun écho. --H2O(discuter) 25 octobre 2014 à 19:42 (CEST)[répondre]

Je fais observer qu'un utilisateur sous IP, qui est probablement le même que celui qui a été bloqué plus haut, a ajouté un paragraphe similaire dans Proximus concernant swing.be (ce qui est encore moins pertinent qu'ici), en dépit de mes protestations (voir historique et pdd). — mro [d]
Au final oui c'est plus qu'anecdotique, et sur l'autre page c'est même selon moi complètement hors sujet.--Lefringant (discuter) 27 octobre 2014 à 09:10 (CET)[répondre]

Fusion SwinG et Groupe Proximus[modifier le code]

SwinG et Groupe Proximus == Demande de fusion suite à décision PàS (Voir la décision). Ceci n'est pas une demande de vote pour ou contre la fusion (la décision a déjà été prise lors de la PàS) mais uniquement une demande pour qu'un tiers effectue la fusion. --Olivier tanguy (discuter) 2 novembre 2015 à 11:30 (CET)[répondre]

✔️ Michel421 (d) 2 novembre 2015 à 21:03 (CET)[répondre]

Upload contenu page FR[modifier le code]

Bonjour,

Comme je suis bloqué. Je vous envoie le contenu à implémenter sur la page wikipedia FR de Proximus.

C'est ok pour vous ?

Merci d'avance


Le groupe Proximus

Création 1930
Dates clés création en 1930
Forme juridique Société anonyme de droit public
Action Euronext : PROX
Slogan Think possible
Siège social Bruxelles

Belgique

Direction CEO : Guillaume Boutin (27 novembre 2019)

Président du conseil d'administration : Stefaan De Clerck

Actionnaires État belge : 53,51%
Activité opérateur de télécommunications
Produits téléphonie fixe, mobile, internet, télévision, ICT, VoIP
Filiales , Connectimmo, Proximus Media House, Proximus Ada, Mobile Vikings, Tango, Telindus Luxembourg, Telindus Pays-Bas, Belgacom International Carrier Services (57,6 %), Belgacom Mobile, Skynet, Proximus Luxemburg S.A., Tunz (40 %),, Telesign, ClearMedia, Codit, Davinsi Labs, Proximus Spearit, Umbrio, Be-Mobile
Effectif 11532 (2021)
BCE 0202239951
Site web www.proximus.com
Total du bilan 9,233  millions d'euros (2021)
Revenus totaux 5 ,579 millions d'euros (2021)
Bénéfice net 443 millions d'euros (2021)


Le groupe Proximus est un fournisseur de services numériques et de solutions de communication actif en Belgique et sur les marchés internationaux. En Belgique, l’entreprise propose ses principaux produits et services sous les marques Proximus, Scarlet et Mobile Vikings. Le groupe opère également au Luxembourg sous la dénomination de Proximus Luxembourg SA, avec les marques  Tango et Telindus Luxembourg, et aux Pays-Bas par le biais de Telindus Nederland. Les activités de carrier international du groupe[CD1]  sont assurées par BICS et Telesign, l’un des principaux opérateurs vocaux au monde[2] et le plus grand fournisseur de services de données mobiles à l’échelle internationale. Proximus Accelerators, l’écosystème de partenaires IT (Be-Mobile, ClearMedia, Codit, Davinsi Labs, Proximus Spearit, Telindus et Umbrio), accompagne les entreprises dans leur transformation numérique.

Depuis le 31 décembre 2021, l’État belge détient 53,51 % du groupe Proximus. 4,52 % sont des actions propres de Proximus, les 41,97 % restants constituent le flottant[CD2] .


1.  Histoire


1.1       De 1879 à la Première Guerre mondiale : les débuts de la téléphonie en Belgique

Les services télégraphiques belges installent une ligne téléphonique au Parlement, en 1879. La même année, plusieurs entrepreneurs privés introduisent une demande en vue d’exploiter des réseaux téléphoniques dans certaines villes belges. En l’absence de législation pendant les premières années, les chances de réussite du développement du réseau téléphonique sont plutôt faibles. Cette situation contraint le gouvernement belge à élaborer un cadre législatif réglementant l’exploitation de la téléphonie en Belgique. Dès 1896, l’ensemble du secteur téléphonique passe sous le contrôle d’une entreprise publique.

En 1913, une grande partie de la Belgique est accessible par téléphone. Le nombre d’abonnés reste limité, mais la plupart des gares, des bureaux de poste et des bureaux télégraphiques sont équipés de cabines téléphoniques publiques.

1.2       De la Première Guerre mondiale à 1930 : la transition vers une entreprise publique autonome[modifier le code]

La Première Guerre mondiale met brusquement un terme au déploiement des télécommunications en Belgique, en raison de la dépendance financière de l’entreprise publique. Les dégâts et le démantèlement partiel des réseaux qui résultent de la guerre imposent d’énormes investissements à l’Administration de la télégraphie et de la téléphonie.

La RTT, la Régie nationale belge des Télégraphes et des Téléphones, est fondée le 19 juillet 1930[3]. Le téléphone s’invite dans les foyers d’une part croissante de Belges.

1.3       De 1930 à la Seconde Guerre mondiale : l’intégration de la RTT dans la politique industrielle de l’État[modifier le code]

Par le biais de la RTT, le gouvernement consent d’importants investissements dans le réseau téléphonique belge. Une proportion croissante de la population, issue de toutes les classes sociales, a désormais accès à la téléphonie.

Un autre phénomène survient dans le même temps, qui fait bientôt peser une lourde charge sur l’entreprise. Pendant la crise économique des années 30, le gouvernement intègre la RTT dans ses politiques industrielles et d’emploi. En forçant l’automatisation complète du réseau téléphonique belge, le gouvernement tente de réduire le taux de chômage élevé dans ce secteur. Cela réduit considérablement l’autonomie de la RTT.

La loi de 1930 stipulait clairement que l’entreprise pouvait concevoir et mettre en œuvre un programme d’investissement de manière indépendante. En imposant sa politique de l’emploi, le gouvernement est toutefois allé directement à l’encontre du principe fondamental de la loi, ce qui a rapidement posé un problème structurel à la RTT après la guerre.


1.4       De la Seconde Guerre mondiale à 1986 : d’une entreprise de haute technologie à la crise


Peu après la Seconde Guerre mondiale, la RTT doit faire face à d’importants dégâts et au démantèlement partiel des réseaux. Pour relancer rapidement le secteur, le gouvernement décide de la soutenir financièrement.

Tout au long de cette période, la demande de services de télécommunications augmente à un rythme rapide, tout comme le nombre d’abonnés : d’environ 350 000 en 1946 à 522 000 en 1951, il dépasse le million en 1965[4]. Cette croissance de la clientèle entraîne un taux d’investissement élevé, faisant de la RTT un leader du développement technologique et social à la fin des années 1960.

Cette politique d’expansion a toutefois aussi un côté sombre. Dès la fin des années 1960, les dettes commencent à s’accumuler. La crise économique qui frappe le monde à partir de 1973 ne facilite pas les affaires. L’entreprise est, en outre, impliquée dans un scandale de corruption : le scandale de la RTT. Sa santé financière continue à se détériorer. Dès le milieu des années 1970, la RTT doit donc procéder à d’importants programmes d’assainissement.

Tout au long des années 1980, le secteur des télécommunications se profile comme l’un des pôles de développement les plus importants de la fin du XXe siècle. À partir de 1981, la direction de la RTT entreprend donc une réorganisation en profondeur pour éliminer certains problèmes structurels de l’entreprise.

1.5       De 1987 à 2004 : la loi Belgacom et l’évolution du secteur sous l’influence de l’Europe[modifier le code]

Au même moment, un autre partenaire s’invite dans le débat : en 1987, la Commission européenne présente son Livre vert sur le développement du marché commun des services et équipements de télécommunications, qui met l’accent sur la libéralisation du marché. Ce Livre vert constitue la base de la loi belge du 21 mars 1991, qui crée un nouveau type d’entreprise publique dotée d’une plus grande autonomie. Le secteur belge des télécommunications est réorganisé et la RTT est remplacée par Belgacom PLC, une entreprise publique autonome, en 1992. L’entreprise et l’État concluent un contrat de gestion qui garantit la fourniture de certains services publics et donne à l’entreprise une plus grande autonomie que celle prévue par la loi de 1930.


Les processus de convergence européens s’accélèrent à partir de 1994. La Commission européenne stipule dans un nouveau Livre vert que l’exploitation des réseaux et la téléphonie doivent également être ouvertes à la concurrence. Belgacom PLC se transforme en une société anonyme de droit public. Le 1er juillet 1994, Belgacom lance le réseau mobile Proximus[5], qui sera bientôt confié à une filiale, Belgacom Mobile. Belgacom reste actionnaire à 75 %, les 25 % restants étaient détenus par Air Touch (Vodafone à partir de 1999).

En 1996, le gouvernement belge vend 50 % moins 1 action de Belgacom au consortium ADSB Telecommunications. Ce consortium est composé d’Ameritech (SBC), Tele Danmark et Singapore Telecom, ainsi que de 3 institutions financières belges : Sofina, Dexia et KBC.

Une division carrier & wholesale, Belgacom International Carrier Services (BICS), est créée en 1997. Vu la complète libéralisation du marché des télécommunications le 1er janvier 1998, Belgacom acquiert Skynet, le premier fournisseur d’accès à Internet en Belgique et l’un des plus grands portails web du pays. Ses activités Internet sont intégrées dans la marque Belgacom, qui lance l’ADSL sur le marché belge. En 2000, BICS ouvre des bureaux en Asie/Océanie, en Amérique et au Moyen-Orient, avant de lancer son offre mobile, en 2001.

Le plan BeST est lancé en 2001. Il vise à restructurer l’entreprise en la divisant en quatre business units. Belgacom cède également certaines activités, dont Belgacom France, Ben, son activité de sécurité et les opérations françaises d’Infosources. L’impact du plan BeST sur le personnel apparaît clairement en 2002 : l’effectif de Belgacom est trop important. Le plan poursuit donc plusieurs objectifs : une grande partie du personnel se voit proposer d’arrêter de travailler, de travailler à temps partiel ou de se reconvertir.

Dans un marché de plus en plus ouvert et où la concurrence est toujours plus agressive, Belgacom décide de changer radicalement son image en 2003. Un nouveau logo, de nouvelles couleurs et la volonté de se rapprocher du client doivent apporter un nouvel élan. Ces profonds changements dans la philosophie de l’entreprise préfigurent l’entrée en bourse de l’opérateur. Belgacom est cotée pour la première fois le 22 mars 2004. Il s’agit de l’une des opérations les plus importantes dans le secteur européen des télécommunications depuis l’introduction en bourse d’Orange, en février 2001. Le gouvernement belge reste le principal actionnaire avec 50 % + 1 de toutes les actions, tandis que le consortium ADSB cède l’intégralité de sa participation.

L’introduction en bourse permet à l’opérateur belge de dégager d’importantes ressources pour financer ses ambitions. Il est, en effet, temps d’offrir un accès fixe à l’internet via le haut débit et le financement du projet Broadway (pose de la fibre dans toute la Belgique) nécessite des investissements importants.

2004 est également l’année où l’opérateur réalise les premiers tests de télévision numérique dans plusieurs centaines de foyers, dans le but de générer de nouvelles sources de revenus sur un marché où la concurrence avec les offres triple play (télévision, téléphonie et Internet) telles que l’IPTV est de plus en plus vive.


1.6       De 2005 à 2009 : consolidation, convergence et premières offres groupées


En 2005, Belgacom et Swisscom Fixnet signent un accord de fusion de leurs activités de carrier international afin de consolider leur position sur le marché international. Belgacom TV est lancée sur le marché belge et Belgacom acquiert les droits de diffusion du football belge pour les trois prochaines saisons. L’offre de télévision numérique par ADSL de Belgacom est la première du genre en Belgique. Elle fait de Belgacom un opérateur quadruple play, offrant à la fois la téléphonie fixe, la téléphonie mobile, l’internet à haut débit et la télévision. Elle permet également à l’entreprise belge de s’assurer de nouvelles sources de revenus, dans un contexte où les marges bénéficiaires de ses autres activités se réduisent. En 2005, Proximus est également le premier fournisseur de téléphonie mobile en Belgique à offrir des services 3G au grand public.


En 2006, Belgacom acquiert Telindus et renforce ainsi son offre ICT et ses services d’intégration de réseaux pour les marchés des entreprises et des professionnels. Belgacom rachète également à Vodafone les 25 % restants de Proximus et acquiert Euremis, qui propose des services de CRM mobile aux entreprises des secteurs des biens de consommation courante (FMCG) et de la pharmacie. En avril 2007, Proximus et Belgacom lancent des « packs », leurs premières offres groupées. Belgacom continue également à développer son offre de télévision numérique.


L’année 2008 débute par les acquisitions de Scarlet et de Tele2 Luxembourg. Belgacom acquiert Scarlet SA[6], ce qui lui permet de pénétrer le segment de marché à bas prix. En juin 2008, l’opérateur rachète également Tango à Tele2, le principal opérateur alternatif opérant au Luxembourg et au Liechtenstein.


1.7          De 2010 à 2013 : TV Everywhere et le premier réseau 4G

En 2010, le Groupe Belgacom achève l’intégration complète de ses filiales Belgacom Mobile SA/Proximus, Telindus SA, Telindus Sourcing SA, des activités de Belgacom Skynet SA et des activités belges de Telindus Group SA dans Belgacom SA pour former une seule entité juridique. Les autres filiales restent des entités juridiques distinctes. La même année, des partenariats sont signés avec Jinni, In3Depth, Blinkx et OnLive pour poursuivre le développement de la plateforme de divertissement Belgacom TV. FON, la plus grande communauté Wi-Fi du monde, devient également un partenaire.


Après différents incidents, le CEO Didier Bellens est licencié en 2011. Ray Stewart et Stefaan De Clerck sont nommés CEO temporaires jusqu’à la désignation d’un nouveau CEO.


Toujours en 2011, Belgacom lance TV Everywhere, qui permet aux clients de regarder Belgacom TV sur n’importe quel appareil (TV, PC, tablette, smartphone) via le Wi-Fi et la 3G. Belgacom signe également un partenariat exclusif avec Deezer et étend ainsi son offre de contenu au streaming musical. BICS conclut un contrat de hub de roaming avec MTN Group, le plus grand opérateur mobile d’Afrique et du Moyen-Orient. Pour sa part, Telindus lance la marque Telindus Telecom avec des offres de connectivité et de centres de données pour le marché des entreprises et des professionnels.


En 2012, Proximus lance le premier réseau 4G en Belgique et Tango au Luxembourg. Avec le lancement d’Internet Everywhere, une solution intégrée pour la maison et les déplacements, Belgacom réinvente l’internet. Le groupe Belgacom acquiert la chaîne de magasins The Phone House[7].


En 2013, Proximus lance de nouveaux plans tarifaires mobiles attractifs basés sur le type de téléphone du client : Smart pour les clients qui possèdent un smartphone, Easy pour ceux qui ont un téléphone mobile classique. Belgacom acquiert un spectre de grande valeur pour la bande de fréquence 800 MHz afin de poursuivre le développement de son leadership en matière de 4G. Avec Home&Care, l’entreprise propose des solutions de sécurité grâce auxquelles les clients peuvent surveiller à distance leur domicile via leur smartphone ou leur tablette. De son côté, Scarlet lance TRIO, qui combine la téléphonie fixe, l’internet à haut débit et la télévision dans une formule triple play.


La même année, Belgacom crée Belgian Mobile Wallet SA, en collaboration avec d’autres opérateurs de télécommunications et des banques belges. Cette coentreprise vise à développer un produit de paiement mobile belge sous la marque Sixdots. L’objectif consiste à inciter les clients des banques à payer avec leur smartphone plutôt qu’avec leur carte de débit et leur lecteur de cartes. Le projet s’avère néanmoins infructueux et est interrompu en 2015.


1.8       De 2014 à 2019 : bye-bye Belgacom, hello Proximus


Le 9 janvier 2014, Dominique Leroy est nommée CEO du groupe Proximus et présidente du comité exécutif pour un mandat de six ans. Leroy renforce l’offre de l’entreprise et se concentre principalement sur la croissance avec sa stratégie « Fit for Growth ».


Il est décidé, en 2014, d’abandonner progressivement la marque Belgacom. Dès l’automne 2014, Proximus devient la nouvelle dénomination commerciale pour tous les produits fixes, mobiles et informatiques. D’autres marques, comme Scarlet, restent en place.


La même année, Belgacom lance Personal Cloud, qui permet aux clients de stocker leurs documents en toute sécurité, avec un accès à tout leur contenu via un PC, un ordinateur portable, une tablette, un smartphone ou Proximus TV. Le partage avec la famille et les amis et sur les médias sociaux s’en trouve grandement simplifié.

TV Replay voit le jour. Ce service permet aux clients de revenir jusqu’à 36 heures en arrière sur les chaînes de télévision linéaire les plus regardées. Grâce à de nouveaux partenariats et des accords exclusifs avec Apple et Samsung, entre autres, les clients peuvent désormais choisir les plus récents appareils mobiles parmi un large éventail de marques et de modèles. Et grâce au partenariat avec Netflix, les clients peuvent regarder Netflix directement sur Proximus TV. Belgacom est également le pionnier de la technologie 4G innovante en Belgique, en commençant le déploiement sur la côte belge et dans les plus grandes villes, dont Bruxelles.

En avril 2015, les actionnaires de l’entreprise approuvent le changement de nom de l’entreprise en Proximus. Ce changement est effectif à partir du 22 juin[8]. Outre la société de droit public belge Proximus, le groupe Proximus comprend les filiales Scarlet, Tango, BICS et Telindus International.

La dernière cabine téléphonique de Belgacom disparaît en juin 2015. Suite à une décision de l’Autorité belge de la Concurrence, Proximus doit également fermer certains de ses 39 magasins de téléphonie restants. Le groupe Belgacom transforme les magasins restants en Proximus Centers.

En 2016, Proximus fonde une entreprise unique de Smart Mobility baptisée Be-Mobile. Proximus réinvente également son offre commerciale avec l’introduction de nouveaux produits « all-in » : Tuttimus pour les clients résidentiels et Bizz All-in pour les petites entreprises. Proximus investit dans Citie, une plateforme de commerce de détail intelligent destinée à soutenir l’économie locale et à rapprocher les commerçants, les acheteurs et les autorités locales. En décembre 2016, Proximus annonce Fiber for Belgium, un plan d’investissement de 3 milliards d’euros sur les 10 prochaines années, visant à offrir la vitesse de la lumière aux personnes et aux entreprises. Sur les téléphones mobiles, Proximus lance les appels vocaux HD sur 3G et 4G. La 4.5G et la 5G, qui forment la prochaine génération de réseaux mobiles, sont testées avec succès.

Fiber for Belgium est déployé dans sept villes de Belgique pour la première fois en 2017. La même année, Proximus et Vodafone étendent leur partenariat pour la Belgique et le Luxembourg, et Proximus acquiert Davinsi Labs, renforçant ainsi sa position sur le marché en plein essor de la cybersécurité. À partir du 12 juin 2017, les clients de Proximus peuvent surfer, appeler et envoyer des SMS dans l’Union européenne comme à la maison, sans frais supplémentaires. L’application MyProximus est également lancée en 2017. Tandis que Proximus acquiert le développeur d’applications Unbrace, BICS finalise l’acquisition de Telesign, une entreprise américaine de services et de plateformes de communication. Le 29 décembre 2017, Proximus met un terme au télégramme, après plus de 150 ans de bons et loyaux services.

En 2018, Proximus acquiert Umbrio pour renforcer sa position sur le marché de l’informatique, des réseaux et de l’analyse. L’entreprise néerlandaise ION-IP rejoint aussi le groupe pour l’aider à renforcer sa position sur le marché en pleine croissance de la Managed Security au Benelux. L’acquisition de CODit et l’accord Wholesale Fiber-to-the-Business avec l’opérateur de télécommunications Destiny sont finalisés avec brio. 2018 est également l’année du premier essai extérieur réussi de la 5G en Belgique avec Huawei et du lancement du réseau NB-IoT pour la connexion des compteurs numériques de gaz et d’électricité pour Fluvius.

Au même moment, les principales banques et les opérateurs de téléphonie mobile belges, dont Proximus, lancent itsme. Cette application d’identification numérique permet aux citoyens belges de se connecter et de s’identifier auprès du gouvernement, des banques, des assureurs et d’autres entreprises privées.


1.9 De 2019 à aujourd’hui : le virage numérique

En 2019, Proximus annonce la stratégie #shifttodigital pour accélérer sa transformation, rester pertinente sur le marché belge et assurer l’avenir de l’entreprise. Le plan comprend également un volet social, ce qui entraîne des grèves et des protestations d’une partie du personnel. Après des mois de négociations, la direction et les organisations syndicales parviennent à un accord et le plan est approuvé par le conseil d’administration.

La promesse de marque « Think possible » est également lancée en 2019 et la plateforme de télévision numérique Proximus TV est rebaptisée Proximus Pickx. Proximus et Orange Belgique s’associent pour développer conjointement le réseau d’accès mobile du futur, sous le nom de MWingz[9]. Proximus Luxembourg SA regroupe les marques Tango et Telindus, tandis que l’application MyProximus atteint le cap du million d’utilisateurs actifs. Be-Mobile, le partenaire de mobilité intelligente de Proximus, développe l’application Flux pour un transport de marchandises plus fluide et plus sûr.

En septembre 2019, Proximus annonce la volonté de Dominique Leroy de quitter l’entreprise le 1er décembre en raison de plans de carrière internationaux. La CFO Sandrine Dufour reprend temporairement la direction générale. Le 1er décembre 2019, Guillaume Boutin est nommé nouveau CEO. Il travaillait chez Proximus en tant que Chief Consumer Market Officer depuis août 2017.


En collaboration avec DPG Media et Rossel, Proximus lance une offre de presse numérique sous le nom de My e-Press[10] et conclut un partenariat avec l’entreprise de construction BESIX autour des bâtiments intelligents. Les premières démonstrations de la 5G portent sur le streaming vidéo en direct, les robots industriels, les drones, la réalité virtuelle et le cloud gaming.


En février 2020, Proximus et le Port d’Anvers signent un protocole d’accord pour le projet « De Digital Schelde » afin de préparer la transformation numérique du port avec le développement d’un réseau 5G privé. En mars, le CEO Guillaume Boutin présente sa nouvelle stratégie #inspire2022. Le plan à long terme repose sur quatre piliers stratégiques : le déploiement de technologies gigabit fixes et mobiles, la transformation en une entreprise « digital native », le développement de partenariats et d’écosystèmes et un accent renforcé sur la gestion durable et numérique.


Dans le même temps, l’entreprise annonce son intention d’accélérer considérablement le déploiement de son réseau en fibre optique. Les accords de coentreprise avec EQT et Eurofiber conclus au cours de l’année élargissent grandement les ambitions de l’entreprise[11]. Le réseau en fibre optique est déployé dans 16 villes en décembre 2020 : Alost, Anvers, Bruxelles, Charleroi, Gand, Hasselt, Courtrai, Knokke-Heist, Louvain, Liège, Malines, Namur, Ostende, Saint-Nicolas, Roulers et Vilvorde.


Proximus lance le premier réseau 5G de Belgique et commercialise également « Flex », une nouvelle gamme de forfaits adaptables aux besoins de chaque membre de la famille. Un accord est signé avec Eurofiber et DELTA Fiber, en vue d’un partenariat pour étendre et accélérer le déploiement du réseau de fibre optique en Belgique. En juin 2020, Proximus conclut un partenariat stratégique avec Belfius pour créer une néo-banque, soit une banque Internet entièrement numérique. [12] Son nom : Banx. Proximus Codit et Unbrace fusionnent pour offrir des solutions informatiques complètes, tant pour le front-end que pour le back-end. Proximus signe également un accord avec Disney+ et est ainsi, depuis septembre 2020, le seul opérateur télécom en Belgique à offrir à ses clients un accès au service de streaming américain.

En 2021, Proximus fournit aux centres de vaccination COVID la connectivité, l’assistance informatique et des solutions IoT avancées pour surveiller les températures des vaccins. Proximus acquiert également Mobile Vikings et confirme ainsi sa stratégie multimarque sur le marché résidentiel, tandis que Banx, l’application numérique pour une banque durable, débarque sur le marché belge. L’application de téléconsultation Doktr est lancée et les membres de DigitAll (fondé par Proximus et BNP Paribas Fortis), signent une charte d’inclusion numérique. Proximus devient propriétaire à part entière de BICS, ce qui permet une réalisation plus flexible du développement et de la croissance de BICS et Telesign. Antonietta Mastroianni, Chief Digital & IT Officer, et Mark Reid, Chief Financial Officer, rejoignent le comité exécutif.

BICS conclut de nouveaux partenariats avec des acteurs numériques clés tels que Microsoft Azure et Google Cloud, qui s’ajoutent à ses partenariats existants avec Amazon Web Services et d’autres Tier 1 digital disruptors dans la zone APAC. BICS lance également des API vocales, une étape clé dans la fourniture de la communication en tant que service, grâce à laquelle les entreprises bénéficient d’une communication logicielle sécurisée et flexible.

De son côté, Telesign lance Messaging API, qui permet d’utiliser plusieurs canaux de communication avec une seule intégration API. Le modèle antifraude du produit Score est optimisé afin de marquer plus précisément la fraude et de réduire considérablement la probabilité de fausses notifications.


2.  Marques principales et activités du groupe

2.1       Proximus

Proximus est la marque la plus importante du groupe Proximus. L'entreprise la considère comme étant la marque de référence qui permet à tout un chacun de vivre et d'évoluer dans un monde numérique. La promesse de marque « Think possible » traduit cette mission. La marque Proximus actuelle regroupe entre autres les anciennes marques Proximus Mobile (Belgacom Mobile) et Proximus TV (Belgacom TV).


2.2       Scarlet

La marque Scarlet voit le jour en 1992 aux Pays-Bas. Elle s'est imposée comme une marque pragmatique destinée aux clients en quête de prix compétitifs et voulant consommer de manière plus consciente.


2.3       Mobile Vikings

La clientèle de Mobile Vikings se compose principalement d'« enfants du numérique ». L'offre de la marque est attrayante pour les jeunes utilisant des données mobiles de manière intensive. En juin 2021, Proximus a reçu l'approbation, sans conditions, de l'Autorité belge de la Concurrence concernant l'acquisition de Mobile Vikings, qui inclut aussi la marque JIM Mobile.


2.4       Proximus Media House (PmH)

Proximus Media House est le partenaire du groupe Proximus qui dispose de la créativité, de la technologie, du savoir-faire et des solutions de pointe nécessaires pour le traitement, la diffusion, la production (live) et les activités médias sur chaque plateforme. PmH gère ainsi intégralement les chaînes numériques Pickx, Pickx+, Pickx+ Sports et Pickx Live.


2.5       Connectimmo

Connectimmo est la société immobilière du groupe Proximus. Elle gère les aspects commerciaux, financiers, juridiques et techniques du portefeuille immobilier du groupe (qui compte plus de 1 000 biens/sites).


2.6       Doktr

Doktr rend les soins hybrides possibles grâce à la consultation vidéo. L'entreprise est soutenue par Proximus, Solidaris/Socialistische Mutualiteiten et la Mutualité chrétienne/Christelijk Mutualiteit. Elle permet de consulter un médecin via smartphone. Il peut aussi bien s'agir de votre propre médecin généraliste (s'il est disponible sur la plateforme) que d'un autre médecin certifié.


2.7       Proximus Ada

Proximus Ada est un centre d'excellence belge combinant intelligence artificielle et cybersécurité. C'est une filiale détenue à 100 % par Proximus. L'expertise de l'entreprise soutient les différentes entités du groupe et bénéficie donc également à ses clients.


2.8       Tango

Tango est la marque sous laquelle le groupe Proximus commercialise ses produits et services au Luxembourg. L'entreprise est spécialisée dans les services de téléphonie fixe et mobile, d'Internet et de télévision destinés aux particuliers et aux petites entreprises de moins de 10 personnes.


2.9       Telindus

Telindus a été reprise par Belgacom en 2006. En 2010, cette dernière met un terme aux activités de Telindus en tant qu'entité juridique distincte et l'intègre à Belgacom SA. Le nom de la marque est cependant toujours utilisé au Luxembourg et aux Pays-Bas.

Au Luxembourg, Telindus fournit des services de télécommunication, des infrastructures ICT, du multicloud, des solutions de financement numérique, des services de cybersécurité, des applications métier et des services managés et de formation aux moyennes et grandes entreprises ainsi qu'aux administrations publiques.

Aux Pays-Bas, Telindus est active en tant que partenaire IT stratégique qui aide les organisations à se préparer pour l'avenir et à être innovantes en leur proposant des solutions et services d'infrastructures IT, le but étant de leur permettre de travailler de manière flexible.


2.10     BICS (Belgacom International Carrier Services)

BICS (Belgacom International Carrier Services) a été fondée en 2005 en tant que coentreprise entre Belgacom, Swisscom Fixnet et MTN Group. BICS est une entreprise ayant des activités de télécommunication internationales, l'un des principaux opérateurs de communication vocale au monde et un fournisseur de services de données mobiles à l'échelle mondiale. BICS veut connecter les personnes, les applications et les objets, où qu'ils se trouvent.

2.11     Telesign

Telesign est une entreprise spécialisée dans les services d'identité digitale et l'authentification. Elle propose des solutions en matière de sécurité, d'authentification, de détection des fraudes, de gestion de la conformité, de scores de réputation et de communication sûre. En décembre 2021, Telesign a annoncé son intention d'entrer en bourse à une valorisation de 1,3 milliard de dollars américains, par une fusion avec North Atlantic Acquisition Corporation.[QK(1] [QK(2] [QK(3]


Structure du groupe

En 2022, le groupe Proximus se compose de 9 entités distinctes : le département du CEO, Consumer Market, Enterprise Market, Corporate Affairs, Network & Wholesale, Customer Operations, Human Capital, Digital & IT et Finance.


Structure de l'actionnariat


Situation du 31 janvier 2021:

·       Belgische staat: 53.51%

·       Belgacom NV/SA: 4.52%

·       Free float: 41.97%

Données financières

Données financières en millions d’euros.

Year 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021


Revenus totaux (en millions EUR)

6462 6318 6112 6012 5873 5802 5829 5697 5481 5579


Bénéfice net

(en millions EUR)

712 630 654 482 523 522 508 373 564 443


L'attaque du GCHQ

En 2012/2013, Belgacom a été la cible d'une cyberattaque du service britannique de renseignements électroniques, le GCHQ. Des informations qu'a fait fuiter le lanceur d'alerte Edward Snowden en 2013 ont révélé que le GCHQ est à l'origine de l'attaque baptisée Operation Socialist lors de laquelle il a infiltré le réseau informatique de Belgacom à l'aide du logiciel malveillant Regin. Grâce à cette attaque, l'entreprise a pris conscience de l'importance d'une attention constante pour la cybersécurité. En 2020, Proximus a investi 7,5 millions d'euros dans son programme de cybersécurité d'entreprise et a fondé Proximus Ada en 2022, une nouvelle filiale dédiée à l'intelligence artificielle et à la cybersécurité.


Références

2.     « Proximus acquires full ownership of BICS, securing the flexibility to execute the development and growth path of BICS and TeleSign » . Consulté le 20 février 2021

3.     « History of BELGACOM – FundingUniverse » . Consulté le 20 février 2021

4.     « La Régie, aux prémices de Belgacom »  . Consulté le 20 février 2021

5.     « Our history » . Consulté le 20 février 2021

6.     « Belgacom approved Scarlet takeover; network to be divested » . Consulté le 20 février 2021

« Belgacom announces acquisition of the phone house Belgium » . Consulté le 20 février 2021

« Proximus » . Consulté le 20 février 2021

« MWINGZ » . Consulté le 20 février 2021

« Proximus Offers Access to Complete Digital Content via My e-Press with Extra Data » . Consulté le 20 février 2021

« Proximus to step up fibre-optic rollout in Kortrijk » . Consulté le 20 février 2021

« Post | AION Consulting 2020 » . Consulté le 20 février 2021 IOJenniferVR (discuter) 7 décembre 2022 à 17:08 (CET)[répondre]

manque de sources secondaires, site officiel, communiqués de presse…--Arroser (râler ou discuter ?) 7 décembre 2022 à 17:31 (CET)[répondre]
Hi @Kirham & @Lebrouillard, my colleague @IOJenniferVR uploaded the content we would like to add to the 'Groupe Proximus'. Could you please review? Thanks in advance! :) Lili Buysse (discuter) 9 décembre 2022 à 10:17 (CET)[répondre]
Not by me, it's not a subject that I know. But this information might eventually end in the article, if someone not linked to the companies deems it relevant. Kirham qu’est-ce que c’est? 9 décembre 2022 à 15:24 (CET)[répondre]
Hi @Kirham, thanks for your respons. Who can approve this content? Or is this something other Wikipedia users need to do? It's not clear to me what the next steps are in order to get this on the page. Thanks in advance. Lili Buysse (discuter) 12 décembre 2022 à 12:27 (CET)[répondre]
There’s no formal process; however, did you notice the comment from Arroser? She points out the fact that there’s a lack of secondary source. The info comes from the official website and from press releases. Which tells that the information would be irrelevant to an encyclopedia. Do you have sources where it’s not the company that gives the info? Kirham qu’est-ce que c’est? 12 décembre 2022 à 20:39 (CET)[répondre]
Hi @Kirham, no I missed that. Thanks for pointing it out. 178.132.10.138 (discuter) 14 décembre 2022 à 13:16 (CET)[répondre]
Hi @Arroser, if I understand you correctly, adding extra internal link to other pages on WIkipedia won't be sufficient. We would really need to rewrite the copy and add independent sources, correct?
I'm rather new to the wikipedia way of working so thanks for pointing these things out. 178.132.10.138 (discuter) 14 décembre 2022 à 13:33 (CET)[répondre]
I'll reply for Arroser... you understood correctly. At best, if the info from other wiki pages are backed with sources, please re-use those sources. I guess the link en:WP:RSPRIMARY works and will enlighten you on the problem. The rule is basically the same here. Kirham qu’est-ce que c’est? 14 décembre 2022 à 15:30 (CET)[répondre]
Hello, Is it possible for me to add content if it contains more sources ? Thanks for letting me know 2A02:A03F:C10C:E500:5488:D110:EC01:368B (discuter) 3 avril 2023 à 11:27 (CEST)[répondre]
Hi @Kirham,
I took over the project from my colleague who you've been in contact with . I have new sources available, could you let me know if I can submit those to you for review and let me know if those would be relevant enough to be added in an updated content?
Also,
Thank you Adeline iOagency (discuter) 7 avril 2023 à 13:46 (CEST)[répondre]
Go ahead in the form of bullet points
- infosource Kirham qu’ouïs-je? 7 avril 2023 à 15:43 (CEST)[répondre]

De la Régie des Télégraphes et Téléphones à Proximus en passant par Belgacom[modifier le code]

Au fil des redirections, l'histoire est effacée.

C'est un manque de rigueur historique et une attitude non encyclopédique.

Résultat, un article croupion qui manque de sources.

--H2O(discuter) 18 juillet 2023 à 20:07 (CEST)[répondre]

Comme suggéré ci-dessus, une traduction de l'article en néerlandais me semble la bonne solution [2] --H2O(discuter) 18 juillet 2023 à 20:34 (CEST)[répondre]
Madame, Monsieur,
Le terme "Croupion", dont @H2O a ici fait usage, pourrait-être perçu par certain comme un moyen d'Humilier et d'Insulter "Publiquement" l'auteur de l'écrit.
Ce qui peut Provoquer des conflits par Provocation d'Émotions.
J'invite chacun à y prêter attention et tenir compte de cette réflexion de manière à faire de Wikipedia un espace collaboratif agréable. 2A02:A03F:A11D:BD00:1890:C3D3:71E3:CA4F (discuter) 14 août 2023 à 14:58 (CEST)[répondre]
Humiliant ? Uniquement pour ceux qui manque de vocabulaire et de connaissance historique. Le mot est à comprendre dans le sens de Parlement croupion, une chose dont on a enlevé tellement d'éléments qu'il n'est plus représentatif de ce qu'il censé l'être. Comme cet article, qui ne présente plus du tout la longue histoire de la téléphonie en Belgique. Rien de choquant. Cordialement. --H2O(discuter) 14 août 2023 à 15:17 (CEST)[répondre]
"Rien de choquant" pour vous H2O
Vous vous exprimiez sur une page dont les lecteurs potentiels n'ont pas nécessairement connaissance du même vocabulaire et connaissance historique que vous.
Je vous suggère d'être à l'avenir plus empathique envers les lecteurs potentiels et vous exprimer dans un vocabulaire plus usité.
Je ne comprends pas non plus votre phrase "au fil des redirections".
Voulez-vous dire par là "au fil des versions" ?
Si tel est le cas, je vous suggère d'émettre une idée constructive.
Exemple : restauration de page (version à préciser); ajout de texte (à fournir)
... 2A02:A03F:A11D:BD00:1890:C3D3:71E3:CA4F (discuter) 14 août 2023 à 18:04 (CEST)[répondre]

Adaptation page Proximus Group[modifier le code]

Est-ce que je peux ajouter cette partie ci? 1918-1970 Après la Première Guerre mondiale, la Belgique a dû restructurer ses télécommunications en raison de la demande croissante. L'insuffisance des fonds publics pour moderniser le réseau téléphonique a conduit à la recherche d'une gestion commerciale indépendante. En 1925, l'International Telegraph and Telephone Company (ITT) a tenté d'acquérir le réseau belge. Malgré l'opposition du parti ouvrier, craignant la privatisation, la Régie des Télégraphes et des Téléphones a été créée en 1930, offrant une solution de compromis. La Régie, distincte de l'État, a reçu la propriété des infrastructures télécoms et une autonomie financière. Un fonds spécial de 600 millions de francs a été alloué pour son fonctionnement. La Régie a assumé la responsabilité du financement de ses projets sans intervention du Trésor, et elle a été autorisée à émettre des emprunts. Les règles d'exploitation ont été fixées par la loi de 1930.

Automatisation

Au début du XXe siècle, la plupart des réseaux téléphoniques en Belgique nécessitaient l'intervention manuelle des opératrices pour établir des communications locales, régionales et interurbaines. Cependant, dans les années 1920, les grandes villes comme Bruxelles, Anvers, Liège et Gand ont progressivement introduit les premières centrales automatiques. Ces avancées ont permis à environ 51% des abonnés de bénéficier d'une connexion automatique d'ici 1930. Entre 1930 et 1935, d'autres réseaux majeurs ont été automatisés, suivis d'un projet visant à automatiser l'ensemble du pays. La Seconde Guerre mondiale a ralenti les progrès, mais entre 1945 et 1950, la Régie des Télégraphes et des Téléphones a entrepris une importante expansion, construisant de nombreux nouveaux bâtiments pour accueillir les équipements nécessaires à l'automatisation. La Belgique a utilisé deux systèmes pour ses centrales automatiques : le système Rotary et le système Strowger. En 1956, la Belgique a inauguré le premier service international automatique au monde entre Bruxelles, Paris et Lille. En 1970, la R.T.T. acheva l'automatisation totale du réseau téléphonique belge, lancée quarante ans plus tôt. Le nombre d'abonnés passa de 225 000 à 1 370 000 durant cette période. Par la suite, la R.T.T. entreprit un projet de modernisation en équipant le réseau de centraux semi-électroniques.

Source: Inventaire des archives de Belgacom et de ses prédécesseurs, 1809-2001 https://search.arch.be/nl/?option=com_rab_findingaids&view=findingaid&format=pdf&eadid=BE-A0510_004692_005609_FRE An Leuven (discuter) 13 mars 2024 à 21:04 (CET)[répondre]

Bonjour. Il me semble que ces archives émanent de Belgacom (ou un autre nom). Ce ne me semble donc pas une source secondaire, indépendante. De plus, il reste conseillé d'éviter les "majeurs", "importante", "nombreux", commencez par lire WP:ELS --Arroser (râler ou discuter ?) 13 mars 2024 à 21:44 (CET)[répondre]
Bonjour, la source est le gouvernement Belge, pas Belgacom. Voici le link principale: https://search.arch.be/nl/. Alors c'est bien une source secondaire, non?
J'ai aussi adapté le texte comme vous avez conseillé. (pas majeurs, importante, nombreux etc)
Est-ce que le texte est bon pour publication? Bonne journée
1918-1970
Après la Première Guerre mondiale, la Belgique a dû restructurer ses télécommunications en raison de la demande croissante. L'insuffisance des fonds publics pour moderniser le réseau téléphonique a conduit à la recherche d'une gestion commerciale indépendante. En 1925, l'International Telegraph and Telephone Company (ITT) a tenté d'acquérir le réseau belge. Malgré l'opposition du parti ouvrier, craignant la privatisation, la Régie des Télégraphes et des Téléphones a été créée en 1930, offrant une solution de compromis. La Régie, distincte de l'État, a reçu la propriété des infrastructures télécoms et une autonomie financière. Un fonds spécial de 600 millions de francs a été alloué pour son fonctionnement. La Régie a assumé la responsabilité du financement de ses projets sans intervention du Trésor, et elle a été autorisée à émettre des emprunts. Les règles d'exploitation ont été fixées par la loi de 1930.
Automatisation
Au début du XXe siècle, la plupart des réseaux téléphoniques en Belgique nécessitaient l'intervention manuelle des opératrices pour établir des communications locales, régionales et interurbaines. Cependant, dans les années 1920, les villes comme Bruxelles, Anvers, Liège et Gand ont progressivement introduit les premières centrales automatiques. Ces avancées ont permis à environ 51% des abonnés de bénéficier d'une connexion automatique d'ici 1930. Entre 1930 et 1935, d'autres réseaux ont été automatisés, suivis d'un projet visant à automatiser l'ensemble du pays. La Seconde Guerre mondiale a ralenti les progrès, mais entre 1945 et 1950, la Régie des Télégraphes et des Téléphones a entrepris une expansion, construisant de nouveaux bâtiments pour accueillir les équipements nécessaires à l'automatisation. La Belgique a utilisé deux systèmes pour ses centrales automatiques : le système Rotary et le système Strowger. En 1956, la Belgique a inauguré le premier service international automatique au monde entre Bruxelles, Paris et Lille. En 1970, la R.T.T. acheva l'automatisation totale du réseau téléphonique belge, lancée quarante ans plus tôt. Le nombre d'abonnés passa de 225 000 à 1 370 000 durant cette période. Par la suite, la R.T.T. entreprit un projet de modernisation en équipant le réseau de centraux semi-électroniques.
Inventaire des archives de Belgacom et de ses prédécesseurs, 1809-2001
https://search.arch.be/nl/?option=com_rab_findingaids&view=findingaid&format=pdf&eadid=BE-A0510_004692_005609_FRE An Leuven (discuter) 14 mars 2024 à 09:55 (CET)[répondre]
Voici le link principale en français: https://search.arch.be/fr/ An Leuven (discuter) 14 mars 2024 à 09:56 (CET)[répondre]
Bonjour Arroser, j'ai bien adapté le texte. Est-ce que vous pouvez le contrôler? Bonne journée An Leuven (discuter) 16 mars 2024 à 13:02 (CET)[répondre]
@Arroser et @GZPAnonymous
Pouvez-vous s'il vous plaît examiner mon texte et ma question ci-dessus ? J'ai modifié le texte comme demandé et la source est bel et bien une source secondaire (les archives nationales du pays Belgique). An Leuven (discuter) 21 mars 2024 à 09:26 (CET)[répondre]
Bonjour @An Leuven,
Sachant que la référence est un pdf de plus de 100 pages, il vous faudra l'utiliser au plus près des informations que vous allez ajouter en indiquant le numéro de la page sourçant l'information. GPZ Anonymous (discuter) 21 mars 2024 à 13:57 (CET)[répondre]
@GPZ Anonymous: Merci pour la clarification. Voici la source avec les pages:
Inventaire des archives de Belgacom et de ses prédécesseurs, 1809-2001, pages 14-18
https://search.arch.be/nl/?option=com_rab_findingaids&view=findingaid&format=pdf&eadid=BE-A0510_004692_005609_FRE
Est-il maintenant possible de publier le texte ? Cordialement. An Leuven (discuter) 25 mars 2024 à 15:09 (CET)[répondre]
Bonjour @An Leuven
Je vous ai dit oui, à condition que vous utilisez cette référence avec le numéro de page pour chaque information sourcée de l'article. Sur le modèle un paragraphe, une source avec n° de page.
Cordialement, GPZ Anonymous (discuter) 25 mars 2024 à 15:21 (CET)[répondre]
Comme ça?
1918-1970
Après la Première Guerre mondiale, la Belgique a dû restructurer ses télécommunications en raison de la demande croissante. L'insuffisance des fonds publics pour moderniser le réseau téléphonique a conduit à la recherche d'une gestion commerciale indépendante. En 1925, l'International Telegraph and Telephone Company (ITT) a tenté d'acquérir le réseau belge. Malgré l'opposition du parti ouvrier, craignant la privatisation, la Régie des Télégraphes et des Téléphones a été créée en 1930, offrant une solution de compromis. La Régie, distincte de l'État, a reçu la propriété des infrastructures télécoms et une autonomie financière. Un fonds spécial de 600 millions de francs a été alloué pour son fonctionnement. La Régie a assumé la responsabilité du financement de ses projets sans intervention du Trésor, et elle a été autorisée à émettre des emprunts. Les règles d'exploitation ont été fixées par la loi de 1930. (1)
Automatisation
Au début du XXe siècle, la plupart des réseaux téléphoniques en Belgique nécessitaient l'intervention manuelle des opératrices pour établir des communications locales, régionales et interurbaines. Cependant, dans les années 1920, les villes comme Bruxelles, Anvers, Liège et Gand ont progressivement introduit les premières centrales automatiques. Ces avancées ont permis à environ 51% des abonnés de bénéficier d'une connexion automatique d'ici 1930. Entre 1930 et 1935, d'autres réseaux ont été automatisés, suivis d'un projet visant à automatiser l'ensemble du pays. La Seconde Guerre mondiale a ralenti les progrès, mais entre 1945 et 1950, la Régie des Télégraphes et des Téléphones a entrepris une expansion, construisant de nouveaux bâtiments pour accueillir les équipements nécessaires à l'automatisation. La Belgique a utilisé deux systèmes pour ses centrales automatiques : le système Rotary et le système Strowger. En 1956, la Belgique a inauguré le premier service international automatique au monde entre Bruxelles, Paris et Lille. En 1970, la R.T.T. acheva l'automatisation totale du réseau téléphonique belge, lancée quarante ans plus tôt. Le nombre d'abonnés passa de 225 000 à 1 370 000 durant cette période. Par la suite, la R.T.T. entreprit un projet de modernisation en équipant le réseau de centraux semi-électroniques. (2)
(1) Inventaire des archives de Belgacom et de ses prédécesseurs, 1809-2001 pages 14 et 15 https://search.arch.be/nl/?option=com_rab_findingaids&view=findingaid&format=pdf&eadid=BE-A0510_004692_005609_FRE
(2) Inventaire des archives de Belgacom et de ses prédécesseurs, 1809-2001 pages 15 et 16 https://search.arch.be/nl/?option=com_rab_findingaids&view=findingaid&format=pdf&eadid=BE-A0510_004692_005609_FRE An Leuven (discuter) 25 mars 2024 à 15:50 (CET)[répondre]
@GPZ Anonymousmerci pour votre réponse An Leuven (discuter) 25 mars 2024 à 15:58 (CET)[répondre]
Non, en utilisant la manière de sourcer propre à Wikipedia : Aide:Insérer une référence GPZ Anonymous (discuter) 25 mars 2024 à 16:03 (CET)[répondre]
@An Leuven GPZ Anonymous (discuter) 25 mars 2024 à 16:03 (CET)[répondre]
@GPZ Anonymous, j'ai lu les pages concernant l'ajout de sources, mais je n'arrive pas à le visualiser correctement chez 'références' (avec le nom de la sources et les pages concernées). Pourriez-vous me détailler comment procéder ? J'ai vraiment lu toutes les informations concernant l'ajout de sources.
Voici ma tentative pour ajouter correctement les sources.
1918-1970
Après la Première Guerre mondiale, la Belgique a dû restructurer ses télécommunications en raison de la demande croissante. L'insuffisance des fonds publics pour moderniser le réseau téléphonique a conduit à la recherche d'une gestion commerciale indépendante. En 1925, l'International Telegraph and Telephone Company (ITT) a tenté d'acquérir le réseau belge. Malgré l'opposition du parti ouvrier, craignant la privatisation, la Régie des Télégraphes et des Téléphones a été créée en 1930, offrant une solution de compromis. La Régie, distincte de l'État, a reçu la propriété des infrastructures télécoms et une autonomie financière. Un fonds spécial de 600 millions de francs a été alloué pour son fonctionnement. La Régie a assumé la responsabilité du financement de ses projets sans intervention du Trésor, et elle a été autorisée à émettre des emprunts. Les règles d'exploitation ont été fixées par la loi de 1930.[1]
Automatisation
Au début du XXe siècle, la plupart des réseaux téléphoniques en Belgique nécessitaient l'intervention manuelle des opératrices pour établir des communications locales, régionales et interurbaines. Cependant, dans les années 1920, les villes comme Bruxelles, Anvers, Liège et Gand ont progressivement introduit les premières centrales automatiques. Ces avancées ont permis à environ 51% des abonnés de bénéficier d'une connexion automatique d'ici 1930. Entre 1930 et 1935, d'autres réseaux ont été automatisés, suivis d'un projet visant à automatiser l'ensemble du pays. La Seconde Guerre mondiale a ralenti les progrès, mais entre 1945 et 1950, la Régie des Télégraphes et des Téléphones a entrepris une expansion, construisant de nouveaux bâtiments pour accueillir les équipements nécessaires à l'automatisation. La Belgique a utilisé deux systèmes pour ses centrales automatiques : le système Rotary et le système Strowger. En 1956, la Belgique a inauguré le premier service international automatique au monde entre Bruxelles, Paris et Lille. En 1970, la R.T.T. acheva l'automatisation totale du réseau téléphonique belge, lancée quarante ans plus tôt. Le nombre d'abonnés passa de 225 000 à 1 370 000 durant cette période. Par la suite, la R.T.T. entreprit un projet de modernisation en équipant le réseau de centraux semi-électroniques.[2]
références An Leuven (discuter) 26 mars 2024 à 09:27 (CET)[répondre]
Bonjour @An Leuven
Il faut plus détailler ce que vous mettez dans la référence, mais le principe est bon. Il vous faut ajouter un titre explicatif et un numéro de page dans la référence :
<ref>{{lien web|url=https://search.arch.be/nl/?option=com_rab_findingaids&view=findingaid&format=pdf&eadid=BE-A0510_004692_005609_FRE|titre=Inventaire des archives de Belgacom et de ses prédécesseurs, 1809-2001. p. 14|éditeur=Archives de l'Étaten Belgique|consulté le=25-03-2024}}</ref> .
Voilà ce que cela donne lorsque vous êtes en version source.
Cordialement, GPZ Anonymous (discuter) 26 mars 2024 à 13:14 (CET)[répondre]
@GPZ Anonymous, j'essaie de suivre vos instructions ;-)
Voici ma tentative pour ajouter correctement les sources.
1918-1970
Après la Première Guerre mondiale, la Belgique a dû restructurer ses télécommunications en raison de la demande croissante. L'insuffisance des fonds publics pour moderniser le réseau téléphonique a conduit à la recherche d'une gestion commerciale indépendante. En 1925, l'International Telegraph and Telephone Company (ITT) a tenté d'acquérir le réseau belge. Malgré l'opposition du parti ouvrier, craignant la privatisation, la Régie des Télégraphes et des Téléphones a été créée en 1930, offrant une solution de compromis. La Régie, distincte de l'État, a reçu la propriété des infrastructures télécoms et une autonomie financière. Un fonds spécial de 600 millions de francs a été alloué pour son fonctionnement. La Régie a assumé la responsabilité du financement de ses projets sans intervention du Trésor, et elle a été autorisée à émettre des emprunts. Les règles d'exploitation ont été fixées par la loi de 1930.[3]
Automatisation
Au début du XXe siècle, la plupart des réseaux téléphoniques en Belgique nécessitaient l'intervention manuelle des opératrices pour établir des communications locales, régionales et interurbaines. Cependant, dans les années 1920, les villes comme Bruxelles, Anvers, Liège et Gand ont progressivement introduit les premières centrales automatiques. Ces avancées ont permis à environ 51% des abonnés de bénéficier d'une connexion automatique d'ici 1930. Entre 1930 et 1935, d'autres réseaux ont été automatisés, suivis d'un projet visant à automatiser l'ensemble du pays. La Seconde Guerre mondiale a ralenti les progrès, mais entre 1945 et 1950, la Régie des Télégraphes et des Téléphones a entrepris une expansion, construisant de nouveaux bâtiments pour accueillir les équipements nécessaires à l'automatisation. La Belgique a utilisé deux systèmes pour ses centrales automatiques : le système Rotary et le système Strowger. En 1956, la Belgique a inauguré le premier service international automatique au monde entre Bruxelles, Paris et Lille. En 1970, la R.T.T. acheva l'automatisation totale du réseau téléphonique belge, lancée quarante ans plus tôt. Le nombre d'abonnés passa de 225 000 à 1 370 000 durant cette période. Par la suite, la R.T.T. entreprit un projet de modernisation en équipant le réseau de centraux semi-électroniques.[4] An Leuven (discuter) 8 avril 2024 à 22:40 (CEST)[répondre]
@GPZ AnonymousCe n'est pas le but d'avoir 4 références. Seulement les 2 derniers doivent rester An Leuven (discuter) 8 avril 2024 à 22:43 (CEST)[répondre]
Bonjour @An Leuven.
Ca me parait correct. @Arroser Qu'est ce que tu en dis ? GPZ Anonymous (discuter) 8 avril 2024 à 23:14 (CEST)[répondre]
Bonjour GPZ Anonymous. Comme je suis en wikislow et peu dispo, j'ai complètement perdu le fil de ce sujet. Je te laisse voir Émoticône. Amicalement, --Arroser (râler ou discuter ?) 8 avril 2024 à 23:16 (CEST)[répondre]
Bonjour @An Leuven,
C'est ok pour moi. Vous pouvez procéder aux modifications. GPZ Anonymous (discuter) 9 avril 2024 à 16:15 (CEST)[répondre]
@GPZ Anonymous Merci pour votre aide mais je n'ai plus d'accès pour modifier la page. Est-ce que vous pouvez demander à Lomita de m'accorder des droits pour modifier la page. Si vous voulez, je peux toujours vous demander de contrôler mes adaptations avant que je les publie. Bonne journée An Leuven (discuter) 15 avril 2024 à 09:36 (CEST)[répondre]
Bonjour @An Leuven, @Lomita.
Est-il possible de déprotéger la page Groupe Proximus de manière qu' An Leuven puisse répercuter les modifications ci-dessus ?
Merci. GPZ Anonymous (discuter) 15 avril 2024 à 14:28 (CEST)[répondre]
Bonjour Notification GPZ Anonymous et An Leuven : - Bonjour, pas tout lu, je vous fais confiance, si nouveau problème je reprotège -- Lomita (discuter) 17 avril 2024 à 11:56 (CEST)[répondre]
  1. https://search.arch.be/nl/?option=com_rab_findingaids&view=findingaid&format=pdf&eadid=BE-A0510_004692_005609_FRE
  2. https://search.arch.be/nl/?option=com_rab_findingaids&view=findingaid&format=pdf&eadid=BE-A0510_004692_005609_FRE
  3. « Inventaire des archives de Belgacom et de ses prédécesseurs, 1809-2001. p. 14 », Archives de l'État en Belgique (consulté le )
  4. « Inventaire des archives de Belgacom et de ses prédécesseurs, 1809-2001. p. 15 », Archives de l'État en Belgique (consulté le )
  5. GPZ Anonymous (discuter) 18 avril 2024 à 13:36 (CEST)[répondre]

    Continuation update[modifier le code]

    @GPZ Anonymous: est-ce que je peux continuer à mettre à jour la page Proximus? Et est-ce que je publie les textes d'abord ici ainsi que vous pouviez réviser avant publication? Je ne veux pas riquer d'être bloquer de nouveau. Bonne journée. An Leuven (discuter) 18 avril 2024 à 13:33 (CEST)[répondre]

    @An Leuven Je préférerai que vous publiez d'abord votre brouillon ici. GPZ Anonymous (discuter) 18 avril 2024 à 13:37 (CEST)[répondre]
    Avec plaisir! Ce sera pas pour aujourd'hui mais pour demain, le weekend ou la semaine prochaine. Bonne journée An Leuven (discuter) 18 avril 2024 à 13:40 (CEST)[répondre]

    @GPZ Anonymous

    1970 - 1991

    La crise économique mondiale de 1973 et le scandale de corruption, connu sous le nom de scandale de la RTT, plongent l'entreprise dans une détérioration financière croissante. À partir du milieu des années 1970, la RTT met en place des programmes d'austérité pour faire face à cette situation. Dans les années 1980, la conviction que le secteur des télécommunications sera crucial au XXIe siècle se renforce. En 1981, la direction de la RTT lance une réorganisation majeure pour résoudre les problèmes structurels de l'entreprise[1].

    Dans les années 1980, l'intervention croissante de la Communauté européenne dans les télécommunications a conduit à une refonte complète de la réglementation et de l'exploitation dans le secteur. La loi de 1989 visant à réformer certaines entreprises publiques économiques a transformé la R.T.T. en une entreprise publique autonome, connue sous le nom de Belgacom, en 1991. Cette évolution a mis fin au monopole absolu de la R.T.T. sur les équipements et services de télécommunications, octroyant à Belgacom une concession exclusive pour les télécommunications publiques. Cependant, la régulation et la surveillance sont désormais assurées par l'Institut belge des services postaux et des télécommunications (IBPT), tandis que la concurrence est autorisée pour toutes les activités hors de la concession exclusive. En résumé, Belgacom se retrouve en compétition pour maintenir sa position sur le marché existant tout en étant confronté à de nouveaux défis liés à la concurrence et à la réglementation[2].

    1. (nl) « Het miljardenschandaal dat een einde maakte aan de dominantie van de Anseeles », Het Nieuwsblad (consulté le )
    2. « Inventaire des archives de Belgacom et de ses prédécesseurs, 1809-2001. p. 18-19 », Archives de l'État en Belgique (consulté le )
    Bonjour @An Leuven.
    J'ai fait les modifications (de détail) directement dans votre texte, dans le message au dessus.
    Serait-il possible d'avoir un titre plus parlant que seulement "1970-1991" ? Par exemple "1970-1991 : les effets de la crise". --GPZ Anonymous (discuter) 23 avril 2024 à 13:33 (CEST)[répondre]
    J'ai aussi fait des modifications sur les sections 1918-1970 et 1874-1918 : de la Aide:Wikification. Il faudra le faire sur la section que vous allez ajouter,c'est important d'ajouter des liens sur les principaux mots-clefs dans Wikipedia. GPZ Anonymous (discuter) 23 avril 2024 à 13:57 (CEST)[répondre]
    Un tout grand merci pour votre aide. Je vais le mettre en œuvre demain. An Leuven (discuter) 23 avril 2024 à 22:10 (CEST)[répondre]