Breil (Maine-et-Loire)

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Breil
Breil (Maine-et-Loire)
Lac de Rillé - Retenue de Pincemaille
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Commune Noyant-Villages
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Martine Constantin
2020-2026
Code postal 49490
Code commune 49044
Démographie
Gentilé Breillois
Population 271 hab. (2014)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 28′ 32″ nord, 0° 09′ 29″ est
Altitude 81 m
Min. 60 m
Max. 119 m
Superficie 15,09 km2
Élections
Départementales Beaufort-en-Vallée
Historique
Fusion 15 décembre 2016
Commune(s) d'intégration Noyant-Villages
Localisation
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Breil
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Breil
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Breil

Breil est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire. Le , la commune devient une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Noyant-Villages[1].

Cette commune rurale se situe dans le Baugeois, au sud-est de la ville de Noyant, en limite du département d'Indre-et-Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce village angevin de l'ouest de la France se situe dans l'est du Baugeois, entre Noyant (5 km) et Parçay-les-Pins (4 km), à 21 km de Baugé et à 30 km de Saumur[2],[3]. Son territoire est essentiellement rural.

Le Baugeois est la partie nord-est du département de Maine-et-Loire. Il est délimité au sud par la vallée de l'Authion et celle de la Loire, et à l'ouest par la vallée de la Sarthe[4].

Aux alentours[modifier | modifier le code]

Les communes les plus proches sont La Pellerine (3 km), Méon (4 km), Parçay-les-Pins (4 km), Meigné-le-Vicomte (5 km), Noyant (5 km), Dénezé-sous-le-Lude (6 km), Linières-Bouton (6 km), Rillé (7 km), Lublé (8 km) et Channay-sur-Lathan (8 km)[3].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie de 60 à 119 mètres[5], pour une altitude moyenne de 81 mètres. Le relief du Baugeois est principalement constitué d'un plateau, aux terrains sablonneux, siliceux ou calcaires[6], caractérisés par de larges affleurements sédimentaires, crétacés, sables et calcaires aux teintes claires.

Son territoire s'étend sur plus de 15 km2 (1 509 hectares)[5]. Breil se situe sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[7]. Une partie de la commune est classée à Natura 2000, pour la zone de protection spéciale du lac de Rillé et les forêts avoisinantes, en zone importante pour la conservation des oiseaux, pour la zone du lac de Rillé et les forêts avoisinantes, en zone naturelle d'intérêt écologique, floristique et faunistique (ZNIEFF), pour les zones des massifs forestiers de la Breille, de Pont-Ménard, de la graine de sapin et des zones de transition[8].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

On trouve plusieurs cours d'eau sur la commune : ruisseau de Graboteau, ruisseau le Pouillet et la rivière le Lathan (en rive droite), sur laquelle on trouve le barrage des Mousseaux, à l'origine du lac de Rillé.

La rivière du Lathan, d'une longueur de 57,9 km, traverse également les communes de Noyant, Méon, La Pellerine et Linières-Bouton. Son cours s'écoule d'est (Indre-et-Loire) en ouest, pour se terminer dans l'Authion, dont il est un affluent[9].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat angevin est tempéré, de type océanique. Il est particulièrement doux, compte tenu de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés. Le climat du Baugeois est plus continental : plus sec et chaud l'été[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Morphologie urbaine : le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

En 2009 on trouvait 179 logements sur la commune de Breil, dont 71 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 79 % des ménages en étaient propriétaires[10].

En 2013, on y trouvait 179 logements, dont 73 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 79 % des ménages en étaient propriétaires[11].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Du gaulois Brolium, parc boisé[12]. Formes anciennes du nom : Brel en 1147[13], Brolium en 1330, Breuil[14] puis Breil[15] aux XVIIIe et XIXe siècles

Deux autres communes françaises comportent le nom de « Breil », Breil-sur-Roya dans les Alpes-Maritimes et Le Breil-sur-Mérize dans la Sarthe. À ne pas confondre avec La Breille-les-Pins, commune de Maine-et-Loire située dans le canton d'Allonnes.

Dans le département on retrouve la trace de plusieurs lieux-dits au nom de Breil : le Breil, ancien domaine sur la commune de Beaupréau, le Breil, lieu-dit sur la commune d'Échemiré, le Breil, métairie sur la commune de Longué, le Breil, hameau sur la commune du Louroux-Béconnais, le Breil, hameau sur la commune de Montilliers, le Breil, prairie sur la commune de Saint-Hilaire-Saint-Florent, le Breil, château sur la commune de La Salle-de-Vihiers, le Breil, ancien fief sur la commune de Vaulandry, le Breil, ancien fief sur la commune de Vezins, le Bas Breil, ancien fief sur la commune de Freigné, le Grand Breil, hameau sur la commune de Chanteloup-les-Bois, le Grand Breil, ancien fief sur la commune de Saint-Germain-des-Près, le Grand Breil, ancien fief de la commune de Thorigné-d'Anjou, le Haut Breil, ancien fief sur la commune de Freigné, le Petit Breil, ancien fief sur la commune de Saint-Florent-le-Vieil[13].

Nom des habitants : les Breillois[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La paroisse existe déjà au XIIe siècle, date de la construction de l'église. Au Moyen Âge, il semble qu'il existe une seigneurie dépendant de la baronnie de Rillé[13].

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, la commune dépend de la sénéchaussée angevine de Baugé et du diocèse d'Angers.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, la commune est rattachée en 1790 au canton de Noyant. Il est intégré au district de Baugé, puis en 1800 à l'arrondissement de Baugé, et à sa disparition en 1926, à l'arrondissement de Saumur[15].

Pendant la Première Guerre mondiale, 18 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, trois habitants sont tués, dont un déporté[16].

Un rapprochement intervient en 2016. Le 15 décembre, les communes de Auverse, Breil, Broc, Chalonnes-sous-le-Lude, Chavaignes, Chigné, Dénezé-sous-le-Lude, Genneteil, Lasse, Linières-Bouton, Meigné-le-Vicomte, Méon, Noyant et Parçay-les-Pins, s'associent pour former la commune nouvelle de Noyant-Villages. Breil en devient une commune déléguée[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Administration actuelle[modifier | modifier le code]

Depuis le , Breil constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Noyant-Villages et dispose d'un maire délégué[1].

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
décembre 2016 mai 2020 Bénédicte Bussonnais[17]    
mai 2020 en cours Martine Constantin[18]    
Les données manquantes sont à compléter.

Administration ancienne[modifier | modifier le code]

La commune est créée à la Révolution. Municipalité en 1790[15]. Le conseil municipal est composé de 11 élus[19].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 1995 Benoit de La Bouillerie    
1995 2005 Robert Naulet   Professeur retraité
2005 décembre 2016 Bénédicte Bussonnais[20]   Comptable
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune ne comporte pas de jumelage[21].

Ancienne situation administrative[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie jusqu'en 2016 de la communauté de communes du canton de Noyant. Créée en 2000, cette structure intercommunale regroupe les quinze communes du canton, dont Linières-Bouton, Méon, Noyant, Parçay-les-Pins et La Pellerine[22],[23]. L'intercommunalité est dissoute le [1].

La communauté de communes était membre du Pays des Vallées d'Anjou, structure administrative d'aménagement du territoire, comprenant six communautés de communes : Beaufort-en-Anjou, Canton de Baugé, Canton de Noyant, Loir-et-Sarthe, Loire Longué et Portes-de-l'Anjou.

La commune faisait également partie du SICTOD Nord Est Anjou, membre du SIVERT, syndicat intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’Est Anjou, qui se trouve à Lasse[24]. Elle faisait également partie du SIVU AEP de la région de Noyant pour le traitement de l'eau potable[22].

Autres circonscriptions[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 2014, Breil fait partie du canton de Noyant et de l'arrondissement de Saumur[25]. Ce canton compte alors les quinze mêmes communes que celles de la communauté de communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton de Beaufort-en-Vallée, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[26].

Breil fait partie de la troisième circonscription de Maine-et-Loire, composée de huit cantons, dont Baugé et Longué-Jumelles. Cette circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28],[Note 1].

En 2014, la commune comptait 271 habitants, en diminution de −1,09 % par rapport à 2009 (Maine-et-Loire : 3,2 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
614641687749769760730720720
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
711695720674653631621588585
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
592596593531555577562541587
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2014
524459414308289309274280271
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (36,1 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,7 % contre 48,4 % au niveau national et 48,6 % au niveau départemental).

Pyramide des âges
Pyramide des âges à Breil en 2007 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90  ans ou +
1,5 
10,8 
75 à 89 ans
11,9 
24,5 
60 à 74 ans
23,7 
25,2 
45 à 59 ans
17,0 
15,1 
30 à 44 ans
15,6 
10,8 
15 à 29 ans
10,4 
13,7 
0 à 14 ans
20,0 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2007 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90  ans ou +
1,2 
6,3 
75 à 89 ans
9,2 
11,8 
60 à 74 ans
13,0 
19,9 
45 à 59 ans
19,4 
20,6 
30 à 44 ans
19,5 
20,3 
15 à 29 ans
19,1 
20,6 
0 à 14 ans
18,6 

Vie locale[modifier | modifier le code]

Services publics présents sur la commune : mairie, poste. Située dans l'académie de Nantes, on trouve sur la commune une unité pédagogique regroupant les écoles de Breil, Meigné-le-Vicomte et Méon[22]. Les autres services publics se trouvent à Noyant.

L'hôpital local le plus proche se trouve à Baugé (95 places) ainsi que plusieurs maisons de retraite[33].

La collecte des déchets ménagers (tri sélectif) est organisée par la Communauté de communes du Canton de Noyant[24].

Tous les ans, le 15 août, s'y déroule la Fête de la chasse et de la vénerie[22], dont 2014 a été la 44e édition[34].

Économie[modifier | modifier le code]

Tissu économique[modifier | modifier le code]

La commune est principalement agricole. En 2009, 28 établissements étaient présents sur la commune, dont 50 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 18 % sur le département)[35]. L'année suivante, en 2010, sur 29 établissements présents sur la commune, 48 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 3 % du secteur de l'industrie, 14 % du secteur de la construction, 28 % de celui du commerce et des services et 7 % du secteur de l'administration et de la santé[10].

Sur 32 établissements présents sur la commune à fin 2014, 31 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), 3 % du secteur de l'industrie, 19 % du secteur de la construction, 41 % de celui du commerce et des services et 6 % du secteur de l'administration et de la santé[11].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Liste des appellations présentes sur le territoire[36] :

  • IGP Bœuf du Maine, IGP Porc de la Sarthe, IGP Volailles de Loué, IGP Volailles du Maine, IGP Œufs de Loué ;
  • IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton ;
  • IGP Val de Loire blanc, IGP Val de Loire rosé, IGP Val de Loire rouge.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Sites inscrits aux monuments historiques[37] et sites protégés[38] :

  • Le château de Lathan, domaine créé aux XVIIe et XVIIIe siècles, dont il ne reste qu'une tour avec meurtrière du château ancien, Monument historique classé par arrêté du 14 mai 1999 (PA00109424)[39].
  • Le moulin à eau de Jau, d'origine médiévale et plusieurs fois reconverti (blé, foulon, tan, blé), plurifonctionnel il est identifié comme moulin à tan, son activité a cessé en 1952, Monument historique inscrit par arrêté du 21 décembre 1984 (PA00108987)[40].
  • Le parc du château de Lathan, s'étend sur 50 hectares avec couverts, allées, cours d'eau, jardin ordonnancé, canal et fabriques, site protégé inscrit par arrêté du 16 février 1966 et portant le label « jardin remarquable ».

Autres ouvrages inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel[37] :

  • L'église Notre-Dame, des XIIe, XIIIe, XVe et XVIe siècles ;
  • Plusieurs maisons et fermes des XVe XVIe XVIIe et XVIIIe siècles ;
  • Le manoir la Cigogné, des XVIIe et XIXe siècles ;
  • Plusieurs moulins des XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Le prieuré de Bénédictines Saint-Denis-Sainte-Geneviève, des XIIe et XVIIIe siècles.

Autres lieux :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 506-508.
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 1 (A-C), Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd., p. 481-482.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Arrêté préfectoral no  DRCL-BSFL-2016-151, du 7 décembre 2016, « Recueil des actes administratifs de Maine-et-Loire, du 8 décembre 2016, p. 5-7 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Préfecture de Maine-et-Loire.
  2. IGN et BRGM, Géoportail Breil (49), consulté le 9 mai 2012
  3. a et b Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Breil (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 9 mai 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau)
  4. P.Wagret J.Boussard J.Levron S.Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Paris, Horizons de France, coll. « Provinciales », (BNF 31614504), p. 10.
  5. a et b IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011 — Données consultables sur WikiAnjou.
  6. a et b Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Le climat de Maine-et-Loire », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
  7. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58-71 — Données consultables sur WikiAnjou.
  8. DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, consultées le 30 janvier 2011.
  9. Sandre, Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau, consulté le 30 janvier 2011.
  10. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Breil (49), consultées le 9 décembre 2012
  11. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Breil (49), consultées le 11 décembre 2016.
  12. Célestin Port 1874, p. 481-482 — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
  13. a b et c Célestin Port 1965, p. 506-508.
  14. a et b Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 38.
  15. a b et c École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Breil, consultée le 9 mai 2012 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  16. Célestin Port, Édition révisée de 1965 (op. cit.), p. 506.
  17. « Les adjoints au maire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Mairie de Noyant-Villages (consulté le ).
  18. « Procès verbal du conseil municipal - Réunion du 26 mai 2020 », sur Mairie de Noyant-Villages, (consulté le ).
  19. Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
  20. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 18 avril 2014.
  21. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  22. a b c et d C. C. Noyant, Communauté de communes, consulté le 7 mai 2012.
  23. Insee, Composition de l'EPCI de la C.C. du canton de Noyant (244900015), consulté le 7 juillet 2013.
  24. a et b SIVERT Est Anjou, SICTOD Nord Est Anjou, consulté le 6 février 2011 - Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères et des déchets de la région Nord-Est d’Anjou regroupant dix-huit communes.
  25. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Breil, consultée le 21 février 2015.
  26. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  27. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  31. « Évolution et structure de la population à Breil en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  32. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  33. Fédération Hospitalière de France, Hôpital intercommunal du Baugeois et de la Vallée (Baugé), consulté le 9 novembre 2011.
  34. Ouest-France, Aujourd'hui, Breil devient la capitale de la chasse, article du 15 août 2014.
  35. Insee, Statistiques locales 2009 du territoire de Breil, consultées le 10 mai 2012.
  36. INAO, Fiche de Breil (49), consultée le 10 mai 2012 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
  37. a et b Ministère de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, base Mérimée consultée le 30 janvier 2011
  38. Service Départemental de l'Architecture et du Patrimoine, Maine-et-Loire, consulté le 30 janvier 2011.
  39. « Chateau de Lathan », notice no PA00109424, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Moulin a tan de Jau », notice no PA00108987, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.