Chigné

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Chigné
Chigné
L'église Saint-Pierre-Saint-Paul.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Commune Noyant-Villages
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Nathalie Boutruche
2020-2026
Code postal 49490
Code commune 49098
Démographie
Gentilé Chignois
Population 312 hab. (2014)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 35′ 04″ nord, 0° 05′ 17″ est
Altitude 78 m
Min. 47 m
Max. 86 m
Superficie 25,22 km2
Élections
Départementales Beaufort-en-Vallée
Historique
Fusion 15 décembre 2016
Commune(s) d'intégration Noyant-Villages
Localisation
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Chigné
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Chigné

Chigné est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire. Le , la commune devient une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Noyant-Villages[1].

Cette commune rurale se situe dans le Baugeois, au nord de la ville de Noyant, en limite du département de la Sarthe.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce village angevin de l'ouest de la France se situe dans l'est du Baugeois, sur la route D 138 entre Broc (6 km) et Genneteil (3 km). Baugé se trouve à 15 km et Saumur à 38 km[2],[3]. Son territoire est essentiellement rural.

Le Baugeois est la partie nord-est du département de Maine-et-Loire. Elle est délimitée au sud par la vallée de l'Authion et celle de la Loire, et à l'ouest par la vallée de la Sarthe[4].

Aux alentours[modifier | modifier le code]

Les communes les plus proches sont Genneteil (3 km), Savigné-sous-le-Lude (5 km), Dissé-sous-le-Lude (6 km), Broc (6 km), Chavaignes (6 km), Chalonnes-sous-le-Lude (7 km), Dénezé-sous-le-Lude (7 km), Auverse (8 km), Lasse (8 km) et Noyant (8 km)[3].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie de 47 à 86 mètres[5], pour une altitude moyenne de 78 mètres, et son territoire s'étend sur plus de 25 km2 (2 522 hectares)[5].

Chigné se situe sur un haut plateau, sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[6]. Le relief du Baugeois est principalement constitué d'un plateau, aux terrains sablonneux, siliceux ou calcaires[7], caractérisés par de larges affleurements sédimentaires, crétacés, sables et calcaires aux teintes claires.

Une partie de la commune est classée en zone naturelle d'intérêt écologique, floristique et faunistique (ZNIEFF), pour les zones du Perchard, de la vallée de la Marconne, du vallon humide en forêt de Bareilles, et de la forêt de Bareilles, forêt privée, constituée de chênes hêtres et charmes[8].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est traversé par la rivière la Marconne[2].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat angevin est tempéré, de type océanique. Il est particulièrement doux, compte tenu de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés. Le climat du Baugeois est plus continental : plus sec et chaud l'été[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Morphologie urbaine : le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

En 2009 on trouvait 177 logements sur la commune de Chigné, dont 67 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 75 % des ménages en étaient propriétaires[9]. En 2013, on y trouvait 173 logements, dont 71 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 78 % des ménages en étaient propriétaires[10].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Formes anciennes du nom : Ecclesiam de Chigniaco en 1149[11], Chaigné en 1445[12], pour devenir ensuite Chigné[13].

Origine du nom : vient du nom d'homme latin Canius, suivi du suffixe -acus[14].

Nom des habitants : les Chignois[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Menhir de l'Aurière.
Menhir de l'Aurière.

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Sur la commune, en limite de celle de Broc, on trouve un site mégalithique, le menhir et le dolmen de L'Aurière (ou Lorrière)[15]. Le dolmen est de forme de base avec un tablier unique reposant sur quelques piliers, quasi-carré voir rectangulaire[11].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La paroisse est constituée avant le XIe siècle, date de l'église, qui appartient au début du XIIe siècle à l'évêque d'Angers[11].

Au Moyen Âge la paroisse relève de la baronnie de La Flèche[11].

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Au XVIe siècle, Mathurin Ier de Rougé des Rues est châtelain de Chigné.

Sous l'Ancien Régime, la commune dépend pour partie de la sénéchaussée angevine de Baugé, et pour une autre de celle de La Flèche. La paroisse relève du diocèse d'Angers et de l'archiprêtré du Lude[11].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, la commune est rattachée en 1790 au canton de Genneteil puis au canton de Noyant[11]. Il est intégré au district de Baugé, puis en 1800 à l'arrondissement de Baugé, et à sa disparition en 1926, à l'arrondissement de Saumur[13].

Pendant la Première Guerre mondiale, 27 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, aucun habitant n'est tué[16].

Un rapprochement intervient en 2016. Le 15 décembre, les communes de Auverse, Broc, Breil, Chalonnes-sous-le-Lude, Chavaignes, Chigné, Dénezé-sous-le-Lude, Genneteil, Lasse, Linières-Bouton, Meigné-le-Vicomte, Méon, Noyant et Parçay-les-Pins, s'associent pour former la commune nouvelle de Noyant-Villages. Chigné en devient une commune déléguée[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Administration actuelle[modifier | modifier le code]

Depuis le , Chigné constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Noyant-Villages et dispose d'un maire délégué[1].

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
décembre 2016 mai 2020 Pascal Louis[17]    
mai 2020 en cours Nathalie Boutruche[18]    
Les données manquantes sont à compléter.

Administration ancienne[modifier | modifier le code]

La commune est créée à la Révolution. Municipalité en 1790[13]. Le conseil municipal est composé de 11 élus[19].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1965 2001 Claude Amis   Agriculteur
mars 2001 décembre 2016 Pascal Louis[20]   Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune ne comporte pas de jumelage[21].

Ancienne situation administrative[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie jusqu'en 2016 de la communauté de communes canton de Noyant. Créée en 2000, cette structure intercommunale regroupe les quinze communes du canton, dont Broc, Chavaignes et Genneteil[22],[23]. L'intercommunalité est dissoute le [1].

La communauté de communes était membre du Pays des Vallées d'Anjou, structure administrative d'aménagement du territoire, comprenant six communautés de communes : Beaufort-en-Anjou, Canton de Baugé, Canton de Noyant, Loir-et-Sarthe, Loire Longué et Portes-de-l'Anjou.

La commune fait également partie du SICTOD Nord Est Anjou, membre du SIVERT, syndicat intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’Est Anjou, qui se trouve à Lasse[24]. Elle faisait également partie du SIVU AEP de la région de Noyant pour le traitement de l'eau potable[22].

Autres circonscriptions[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 2014, Chigné fait partie du canton de Noyant et de l'arrondissement de Saumur[25]. Ce canton compte alors les quinze mêmes communes que celles de la communauté de communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton de Beaufort-en-Vallée, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[26].

La commune fait partie de la troisième circonscription de Maine-et-Loire, composée de huit cantons, dont Baugé et Longué-Jumelles. Cette circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28],[Note 1].

En 2014, la commune comptait 312 habitants, en augmentation de 2,97 % par rapport à 2009 (Maine-et-Loire : 3,2 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
655569702729740735736680684
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
662718730680685669647663677
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
678674683659676661620550522
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
489448363296302271295303312
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (23,1 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (53,8 % contre 48,4 % au niveau national et 48,6 % au niveau départemental).

Pyramide des âges
Pyramide des âges à Chigné en 2007 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90  ans ou +
0,0 
6,1 
75 à 89 ans
6,4 
16,6 
60 à 74 ans
17,1 
20,9 
45 à 59 ans
22,1 
21,5 
30 à 44 ans
22,1 
12,9 
15 à 29 ans
12,1 
22,1 
0 à 14 ans
20,0 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2007 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90  ans ou +
1,2 
6,3 
75 à 89 ans
9,2 
11,8 
60 à 74 ans
13,0 
19,9 
45 à 59 ans
19,4 
20,6 
30 à 44 ans
19,5 
20,3 
15 à 29 ans
19,1 
20,6 
0 à 14 ans
18,6 

Vie locale[modifier | modifier le code]

Services publics présents sur la commune : mairie, école maternelle. Située dans l'académie de Nantes, un regroupement pédagogique intercommunal a été créé en 1973 avec les communes de Broc, Genneteil et Chalonnes-sous-le-Lude (RPI)[22]. Pour les autres services publics, il faut se rendre à Noyant.

Sur la commune on pratique la boule de fort[22].

L'hôpital local le plus proche se trouve à Baugé (95 places) ainsi que plusieurs maisons de retraite[33].

La collecte des déchets ménagers (tri sélectif) est organisée par la Communauté de Communes du canton de Noyant[24].

Économie[modifier | modifier le code]

Tissu économique[modifier | modifier le code]

Commune principalement agricole, en 2009, sur les 25 établissements présents sur la commune, 54 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 18 % sur le département)[34]. L'année suivante, en 2010, sur 32 établissements présents sur la commune, 53 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 3 % du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 25 % de celui du commerce et des services et 9 % du secteur de l'administration et de la santé[9].

Sur 29 établissements présents sur la commune à fin 2013, 38 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 35 % de celui du commerce et des services et 10 % du secteur de l'administration et de la santé[10].

Un seul commerce est présent sur Chigné, regroupant les activités de bar, restaurant, dépôt de pain et articles de pêche[22].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Liste des appellations présentes sur le territoire[35] :

  • IGP Bœuf du Maine, IGP Porc de la Sarthe, IGP Volailles de Loué, IGP Volailles du Maine, IGP Œufs de Loué,
  • IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église de Chigné.
Église de Chigné.

Bâtiments inscrits aux monuments historiques[36] :

  • L'église Saint-Pierre-Saint-Paul, des XIe, XIIe, XVe et XVIe siècles, Monument historique classé par arrêté du 03 mai 1974 (PA00109050)[37].
  • Le menhir et dolmen de l'Aurière, du Néolithique, Monument historique classé par arrêté du 1er juillet 1983 (PA00109051)[15].

Autres ouvrages inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel[36] :

  • L'ensemble fortifié, du XIe ou XIIe siècle, dont ne subsistent que la motte et les douves ;
  • Plusieurs maisons et fermes, des XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Le manoir le Bien, des XVe et XVIIe siècles.

Autres lieux :

  • Le plan d'eau.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Mathurin Ier de Rougé des Rues (mort en 1596), chevalier de la maison de Rougé, châtelain de Chigné au XVIe siècle.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 745-746.
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 1 (A-C), Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd., p. 695-697.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Arrêté préfectoral no  DRCL-BSFL-2016-151, du 7 décembre 2016, « Recueil des actes administratifs de Maine-et-Loire, du 8 décembre 2016, p. 5-7 », sur Préfecture de Maine-et-Loire.
  2. a et b IGN et BRGM, Géoportail Chigné (49), consulté le 19 mai 2012
  3. a et b Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Chigné (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 19 mai 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  4. P.Wagret J.Boussard J.Levron S.Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Paris, Horizons de France, coll. « Provinciales », (BNF 31614504), p. 10.
  5. a et b IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011 — Données consultables sur WikiAnjou.
  6. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58-71 — Données consultables sur WikiAnjou.
  7. a et b Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Le climat de Maine-et-Loire », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011
  8. DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, consultées le 19 mai 2012.
  9. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Chigné (49), mis à jour le 13 janvier 2013.
  10. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Chigné (49), consultées le 20 juillet 2016.
  11. a b c d e et f Célestin Port 1965, p. 745-746.
  12. Célestin Port 1874, p. 695-697 — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
  13. a b et c École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Chigné, consultée le 19 mai 2012 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  14. a et b Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 63.
  15. a et b Ministère de la Culture, Inventaire général du patrimoine culturel, base Mérimée consultée le 19 mai 2012 - Menhir et dolmen dits L'Aurière, classé MH en 1983 (PA00109051).
  16. Memorialgenweb.org - Chigné : monument aux morts, consulté le 21 décembre 2013.
  17. « Les adjoints au maire », sur Mairie de Noyant-Villages (consulté le ).
  18. « Procès verbal du conseil municipal - Réunion du 26 mai 2020 », sur Mairie de Noyant-Villages, (consulté le ).
  19. Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
  20. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
  21. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  22. a b c d et e C. C. Noyant, Communauté de communes, consulté le 19 mai 2012.
  23. Insee, Composition de l'EPCI du Canton de Noyant (244900015), consulté le 7 juillet 2013.
  24. a et b SIVERT Est Anjou, SICTOD Nord Est Anjou, consulté le 6 février 2011 - Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères et des déchets de la région Nord-Est d’Anjou regroupant dix-huit communes.
  25. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Chigné, consultée le 21 février 2015.
  26. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  27. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  31. « Évolution et structure de la population à Chigné en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  32. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  33. Fédération Hospitalière de France, Hôpital intercommunal du Baugeois et de la Vallée (Baugé), consulté le 9 novembre 2011.
  34. Insee, Statistiques locales 2009 du territoire de Chigné, consultées le 19 mai 2012.
  35. INAO, Fiche de Chigné (49), consultée le 19 mai 2012 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
  36. a et b Ministère de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, base Mérimée consultée le 3 février 2011.
  37. « Église », notice no PA00109050, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.