Violences sexuelles en république démocratique du Congo
La République démocratique du Congo, et particulièrement à l'Est du pays a été décrite[Par qui ?] comme "Capitale mondiale du viol", et de prévalence et l'intensité de toutes formes de violences sexuelles, ont été décrites comme les plus pires du monde[1],[2],[3],[4].
Human Rights Watch définit la violence sexuelle comme "un acte de nature sexuelle commis par la force, la menace de la force ou la coercition", et le viol comme "une forme de violence sexuelle au cours de laquelle le corps d'une personne est envahi, entraînant la pénétration, même légère, d'une partie quelconque du corps de la victime, avec un organe sexuel, ou de l'orifice anal ou génital de la victime avec un objet ou une autre partie corps"[5],[6].
Contexte historique
Formes de violences sexuelles
Auteurs
Conséquences
Notes & références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Sexual violence in the Democratic Republic of the Congo » (voir la liste des auteurs).
- « La RDC « capitale mondiale du viol » selon l’envoyée spéciale de l’ONU pour les violences faites aux femmes et aux enfants en zones de conflits », sur VOA (consulté le )
- « La RDC « capitale mondiale du viol » – Jeune Afrique », sur JeuneAfrique.com, (consulté le )
- « La RDC, «capitale mondiale du viol» », sur l-express.ca, (consulté le )
- « LE VIOL : ARME DE DESTRUCTION MASSIVE EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO », sur Humans for Women (consulté le )
- (en) « Soldiers Who Rape, Commanders Who Condone », sur Human Rights Watch, (consulté le )
- « Médecins Sans Frontières | Dictionnaire pratique du droit humanitaire », sur dictionnaire-droit-humanitaire.org (consulté le )