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École supérieure d'organisation professionnelle

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École supérieure d'organisation professionnelle

Histoire et statut
Nom original École d'application des collaborateurs et secrétaires de syndicats patronaux - en 1937, EOP (École d’organisation professionnelle)
Fondation 1937
par Roger-Jean Gaulon
Type institution puis association
Particularités En 1941, ESOP (École supérieure d'organisation professionnelle ) - en 1944, ENOES (École nationale d’organisation économique et sociale) - en 1953, ENOES (École nouvelle [et non plus nationale] d’organisation économique et sociale).
Administration
Président Jean-Louis Coudrillier (2012-)
Études
Population scolaire 1684 élèves (2023)
Enseignants 200 enseignants (2023)
Diplômes requis BAC
Niveaux délivrés enseignement supérieur
Localisation
Ville Paris
Pays France
Site web https://enoes.com/

L'École supérieure d'organisation professionnelle est une institution française.

Elle est créée en 1937 sous le premier nom de École d'application des collaborateurs et secrétaires de syndicats patronaux à l'instigation du Comité central de l'organisation professionnelle avec le soutien moral et financier de la Confédération générale du patronat français.

Elle est l'ancêtre de l’ENOES, école aux statuts associatifs qui forme encore aujourd'hui des professionnels de la comptabilité et de l'audit, du BTS jusqu'au plus haut niveau (Diplôme d'Expert-Comptable - DEC)[1].[1][2][2],[3]

Contexte historique

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En juillet 1936, dans un contexte d’effervescence politique et de débats (Front populaire), quelques hommes - universitaires, experts, théoriciens - fondent le Comité central des organisations professionnelles (CCOP). Ils portent l’idée qu’entre le libéralisme marqué par la Grande Dépression de 1929 et l’hyper-étatisme de l’URSS, il existe une troisième voie, celle dite de «l’organisation professionnelle»[4].

Pour eux, il faut donner les moyens à chaque profession de s’organiser, de développer des syndicats professionnels, de maîtriser en son sein des relations de collaboration entre salariés et patrons et, enfin, de se doter d’instruments de liaisons interprofessionnels.

Autrement dit, ils prônent ce qu’ils appellent une économie organisée, où l’État reste présent comme régulateur mais dans laquelle le véritable pouvoir est institué au sein de chaque profession. Ils sont mus par l’idéal corporatiste, un marqueur très fort de la fin des années 1920, début des années 1930[5].

Le CCOP (Comité central des organisations professionnelles) est alors ce que l’on pourrait appeler aujourd’hui un «think tank». Beaucoup de grands patrons et de grands intellectuels de l’époque en furent membres[6].

Ce comité est chargé d'organiser la profession par la profession et décide de créer une école proposant un enseignement complémentaire à ceux qui se destinent au syndicat patronal[7]puis, sous le régime de Vichy, aux dirigeants des comités d'organisation[8]et de l'Office central de répartition des produits industriels. En 1941, sous l'impulsion de Georges Lutfalla, cette école devient l'École Supérieure d'Organisation Professionnelle (ESOP) puis, en 1944, l'Ecole nationale d'organisation professionnelle.

Auguste Detoeuf

Création et fondation

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L’école naît dans les locaux du CCOP au 23 de la rue Chauchat dans le 9e arrondissement de Paris.

Le 16 novembre 1937, pour donner corps à leurs projets, les fondateurs du CCOP décident de créer, avec l’appui moral et financier de la Confédération générale du patronat français (CGPF), «l’École d’application des secrétaires et collaborateurs des syndicats patronaux»[9].Celle-ci sera fondée par Roger-Jean GAULON, directeur général du CCOP, et dépendra de la section dite de l’organisation syndicale du CCOP, dirigée par Auguste Detoeuf[10].

L’école est connue sous le nom d’École d’organisation professionnelle (EOP).

La volonté est claire. Il s’agit de promouvoir un enseignement concret à destination de deux publics : des étudiants diplômés du juridique ou d’écoles scientifiques, désireux de se consacrer à des tâches d’organisation professionnelle et des salariés expérimentés dans la direction et le contrôle des organisations, souhaitant renforcer leur culture générale.

L’école ouvre ses portes avec un cycle de conférences hebdomadaires données à 18h15, heure à laquelle les salariés – directeurs d’entreprises, de groupements, cadres des syndicats professionnels et des ententes – peuvent y assister.

Les intervenants sont de grands dirigeants de syndicats professionnels, des industriels, des hauts fonctionnaires de l’État et des professeurs d’enseignement supérieur.

L'école se veut différente de Sciences Po, s'inspirant plutôt du Centre de préparation aux affaires. Le but est de donner aux élèves un complément de formation, s'inspirant uniquement des véritables besoins pratiques des organismes syndicaux. Elle est dirigée en 1938 par Robert Buron[11].

L’école grandit rapidement et déménage au 31, avenue Pierre-Ier-de-Serbie dans le 16e arrondissement de Paris.

Très vite, les conférences s’entrecroisent avec des cours et des travaux pratiques destinés aux étudiants. L’EOP a mis en place un système de stages à réaliser dans des groupements patronaux afin de donner un caractère pratique à l’enseignement.

À la fin de l’année, l’attribution des diplômes récompense les qualités de pensée, de style, la faculté d’expression, l’ordonnance d’un rapport.

En septembre 1939, la très grande majorité des adhérents du CCOP est mobilisée. L’école ferme ses portes.

Elle les rouvrira en novembre 1940, en plein conflit planétaire, la Seconde Guerre mondiale.

De l'EOP à l'ESOP

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Règlement de l'ESOP

En instituant les Comités d’organisation (C-O) par la loi du 16 août 1940, le régime de Vichy fait de l’organisation professionnelle une pièce maîtresse de sa politique.

Cette loi suivie d'un décret d'avril 1941 rattachent l'EOP au Centre d'information interprofessionnel (CII), fondé en 1941 par Pierre Pucheu, secrétaire d'État à la production industrielle. Le CII est l'organe de liaison et de documentation des comités d'organisation (C-O). Ses statuts sont signés en juillet 1941 par Jean Bichelonne, alors commissaire du gouvernement auprès du CII, et par les dirigeants du CII (Antoine de Tavernost, Gérard Bardet et Robert Weinmann[12]).

On retrouve plusieurs des professeurs de l'EOP ou des membres du CCOP dans les comités de Vichy : Maurice Olivier à la fonderie, Auguste Detœuf à la construction électrique, Roger-Jean Gaulon au cuir, Robert Buron au cinéma, etc.

Eu égard à l’évolution contextuelle, l'école est rebaptisée École supérieure d’organisation professionnelle (ESOP) et s’installe au 62, rue de Miromesnil où elle se trouve encore aujourd’hui !

La voici désormais chargée de « compléter et adapter les connaissances théoriques et pratiques des candidats aux fonctions de direction d’administration ou de contrôle, dans les comités d’organisation et les organismes professionnels publics et privés »[13],[14],[15].

Cours et conférences portent alors sur la conduite des entreprises, l’administration des organismes professionnels – publics et privés – et préparent à l’étude de l’organisation économique et du fonctionnement des services de direction et de contrôle[16],[17][3]

Sur un plan plus conceptuel, la véritable mission de l’école est de former des « économistes d’action », à savoir des économistes de haut niveau, pas seulement théoriciens mais très ancrés dans la réalité, qui seront appelés à de hautes fonctions de direction. On parlerait sans doute aujourd’hui d’école supérieure de management.

Pour former de tels hommes, l’école s’organise en deux sections, celle dite de production industrielle et celle de contrôle comptable, créée en juillet 1941. Cette répartition correspond aux « caractères d’une organisation professionnelle rationnelle ».

Robert Buron est le directeur des travaux pratiques de la production industrielle et Paul Caujolle, celui du contrôle comptable.

L'école dans la guerre

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L'école est dirigée par Achille Dauphin-Meunier de 1941 à 1945.

La création de l’Ordre national des experts-comptables en avril 1942 induit une nouvelle donne. À la suite de la promulgation de la loi réglementant la profession d’expert-comptable, un décret d’avril 1942 crée un nouveau diplôme d’expert-comptable. L’école adapte sa formation. Le candidat doit passer un examen avec dissertation, soutenir un mémoire d’expertise comptable et suivre cinq ans de stage pratique.

L’organisation des examens et leur préparation relèvent désormais du conseil national de l’Ordre soutenu par les conseils régionaux.

Seule en France à préparer alors à la profession d’expert-comptable, la section du contrôle comptable est adoubée par l’Ordre, lequel alloue une subvention à l’école. Une chaire d’expertise comptable voit le jour[18].

Elle est confiée à une autre figure de l’école, Maurice Aydalot, futur premier président de la Cour de cassation.

À partir de 1942, le rôle de la section de contrôle comptable est donc de former les membres du conseil supérieur de l’Ordre national des experts-comptables, les agents financiers des Comités d’organisation, les directeurs et inspecteurs des Banques populaires (avec lesquelles un accord a été passé), les directeurs comptables et les commissaires de sociétés. Pour ces derniers, les liens étroits avec le ministère ouvrent les portes d’une reconnaissance officielle qui vaut à l’école, dès le 15 octobre 1942, de figurer sur la liste des enseignements reconnus par l’État pour exercer les fonctions de commissaires de sociétés.

L’école est alors rattachée au ministère de la Production industrielle.

Profil des étudiants du CESOP in La formation des techniciens de l'Organisation professionnelle, publié par l'ESOP en 1944. p. 59

En 1941, avec l’accord du Comité central d’assistance aux prisonniers de guerre, la direction de l’école s’attache à préparer les prisonniers de guerre au rôle qu’ils auront à jouer dans la reconstruction de la France. Il faut agir rapidement et dans les camps de captivité eux-mêmes.

La direction de l’école se rend en Allemagne pour voir comment envisager la formation des experts-comptables parmi les prisonniers de guerre. Une première section de l’ESOP, appelée CESOP (Centre d’études supérieures d’organisation professionnelle), est mise en place à l’Oflag IV D (camp des officiers) situé à Elsterhorst en Silésie. Ce camp compte déjà 250 enseignants, des salles d’études, trois facultés, un institut de médecine, un institut agricole et un groupement d’études coloniales[19]. Le niveau des étudiants est très élevé. L’ESOP l’alimente en documents et en livres, rassemblés avec le soutien de la Commission d’aide intellectuelle aux prisonniers de guerre[20].

Des actions de promotion du métier ont lieu sur place. Elles sont couronnées de succès. L’ESOP ouvrira des sections dans près d’une vingtaine de camps, Oflag (officiers) et Stalag (soldats). En 1943, 563 étudiants déclarent leur intention de s’orienter vers l’expertise comptable. Près de 400 sont inscrits comme stagiaires sur les tableaux de l’Ordre. Dès février, un jury d’examen a été institué pour faire passer les épreuves sur place.

Ainsi l’école traverse-t-elle la guerre, développant sa pédagogie, formant les cadres des comités d’organisation, les commissaires aux comptes, les experts-comptables et toute une myriade de métiers techniques et d’encadrement dont l’économie a alors besoin.

Pour former des promotions rapidement opérationnelles, la scolarité de la section production industrielle a exceptionnellement été réduite à un an et les chaires d’enseignement adaptées.

En 1942, l’école est reconnue par l’État.

Georges Lutfalla, futur président de l’école, anime une chaire d’économie du risque. À la demande du secrétaire d’État à l’Économie nationale, l’ESOP est en outre affectée à la formation professionnelle des statisticiens. Pour cela elle s’adjoint les services du démographe Alfred SAUVY, lequel contribue à la formation des administrateurs de troisième classe, des élèves administrateurs du service national des statistiques ou des statisticiens à l’OCRPI.

Parmi les enseignants de renom présents à l’ESOP à l’époque, on citera, notamment, l’économiste et journaliste Bertrand de JOUVENEL et les professeurs de droit Henry LAUFENBURGER et Maurice PATIN.

À cette époque, l’ESOP publie un nombre important d’ouvrages et que l’on trouve encore dans les bibliothèques du monde entier. Une recherche sur le site Worldcat en atteste.

Nombreux sont les journaux d’alors à faire connaître l’activité de l’école notamment en publiant les extraits de cours ou des comptes rendus de conférences. L’école est bien atypique pour l’époque !

Résistance et Libération

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Pendant cette période historique complexe, l’école réunit des personnalités multiples, sympathisantes ou opposées au régime de Vichy, germanophobes pour certaines, collaboratrices ou résistantes.

Robert Buron est, pendant la guerre, membre de l’Organisation civile et militaire (OCM), un mouvement de résistance patronal très actif, dont le responsable de la propagande est Jacques Rebeyrol, un de ses proches amis. L’ESOP est alors, pour le mouvement, un lieu et un vivier d’échanges et de rencontres.

"C’était l’époque curieuse, où l’école, inféodée aux ordres de Vichy, régie par des militants de la foi officielle de l’époque, comptait en son sein une majorité de résistants qui se rencontraient là plus facilement qu’ailleurs. Avec Jacques Rebeyrol, mon vieil ami, avec l’ami Gabriel Ferrier et quelques autres nous complotions dans les couloirs.

C’était pour l’OCM un lieu de rencontre aisé et c’est ce qui a permis à l’école, à la Libération, d’être prise en main par le corps des professeurs résistants, très simplement, facilement et sympathiquement." Robert BURON

Après-guerre : l'ENOES

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Publicité pour l'Enoes parue en 1945 dans la presse
Publicité pour l'Enoes parue dans la presse en 1945
Dévolution des biens du CNIE à l'association qui gère l'école

Avec quelques autres très actifs (Jean Cambournac, Georges Lutfalla, Gaël Fain, Jean-Philippe Dubois, Bernard Chenot et Gabriel Ferrier notamment), tous anciens élèves ou enseignants, Robert BURON réorganise l’école .

Par arrêté du 27 janvier 1945 du ministre de la Production industrielle, l’école tourne la page des organisations professionnelles et s’appelle désormais École nationale d’organisation économique et sociale (Enoes).

Elle est rattachée au ministère de l’Économie nationale. Georges Luftalla, alors PDG des compagnies d’assurance «La Nationale» et membre du Conseil économique, en prend la présidence.

1948, la naissance de l'association

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En 1948, la dissolution du Centre national d’information économique - CNIE (précédemment Centre d’information inter professionnel-CII), qui chapeautait l'école depuis 1941, implique sa disparition. Une solution d’urgence s’impose.

Le 29 novembre 1948, Georges Lutfalla crée l’association de gestion de l’Enoes et Robert Buron, alors secrétaire d’État aux Affaires économiques, signe l’arrêté qui promulgue la dévolution du titre et des biens de l’école du CNIE à l’association de gestion de l’Enoes. (voir texte officiel à droite).

Désormais indépendante, elle reprend les biens du CNIE, parmi lesquels le bail d'une partie de l'immeuble situé 62, rue de Miromesnil Paris 8e, où l’école se trouve encore aujourd’hui.

L’association de gestion est composée de quarante-cinq membres. Certains d’entre eux siègent dans les différents organes de l’école tels que le comité directeur ou le conseil des études.

Logo multicolore de l'école

Les années 1950

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En tant qu’établissement d’enseignement libre, l’Enoes ne peut prétendre au qualificatif de national, réservé aux institutions d’État. En 1953, il lui faut changer de nom. Enoes signifiera désormais École nouvelle (et non plus nationale) d’organisation économique et sociale[1].

Après guerre, l’Enoes ouvre de nombreuses sections. Entre l’enseignement à distance et l’enseignement sur place, elle forme de 600 à 1 200 élèves dans les différents niveaux. De très loin, la section de contrôle comptable, adoubée par l’Ordre des experts-comptables, est la plus importante : elle compte 1 039 élèves en 1948.

L’économie appliquée (ex-production industrielle), qui a été la base motrice de l’Enoes, ne forme que 62 élèves. Il faut ajouter à cela deux autres sections, celle des transports (ouverte en 1945) et celle de la Mutualité agricole avec 102 élèves.

Toutes les sections n’auront pas le même succès. C’est en 1957 que l’association de gestion de l’Enoes acquiert la forme qu’elle conservera, avec trois centres d’études : celui des experts-comptables et commissaires aux comptes, l’EST (École supérieure des transports) et le Centre de perfectionnement aux fonctions du personnel (CPFP), future Enoes RH (créée en lien avec l’Association nationale des directeurs et chefs de personnel - ANDCP en 1956).

L’Enoes crée son premier logo pour son 50e anniversaire puis le modifie au début des années 1990. L’oiseau en vol reste cependant son symbole mais n'est plus multicolore. Le bleu devient la couleur de l’école.

Liste des directeurs de l'école

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Jacques Desmyttere (1911-1982)

Anciens élèves

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Professeurs

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Notes et références

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  1. a et b Catherine GARCIA, L'Enoes : 80 ans (1937-2017), Paris, NH Impression, , 123 p. (ISBN 978-2-9563398-0-9)
  2. Joffrey Marcellin, « Le métier de l’audit dynamisé par la CSRD », Option Finance,‎ (lire en ligne)
  3. ONISEP, « ENOES, l'école de l'expertise-comptable et de l'audit », L'Etudiant, vol. Hors-série, no Annuaire de l'enseignement supérieur,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  4. COMITE CENTRAL DE L'ORGANISATION PROFESSIONNELLE, Pour que se développe et se réalise l'idée de l'organisation de la profession par elle-même, Paris, , 11 p.
  5. Auguste DETOEUF, Aperçu des services pratiques susceptibles d'être rendus par les syndicats patronaux sur le plan économique et social, Paris, , 16 p., in Supplément N°6 au Bulletin bimensuel du CCOP, N°47, 23 novembre 1938
  6. COMITE CENTRAL DE L'ORGANISATION PROFESSIONNELLE, Statuts du Comité central de l'organisation professionnelle approuvés par l’AG constitutive le 8 juillet 1936 et modifiés par l'assemblée générale extraordinaire du 18 janvier 1939, Paris, Brodard et Taupin, , 8 p.
  7. COMITE CENTRAL DE L'ORGANISATION PROFESSIONNELLE, « Vers la profession organisée : quelques exemples de collaboration sociale. [Introduction de Maurice Olivier] », Bulletin bimensuel du CCOP, N° 62,‎ , p. 32
  8. COMITE CENTRAL DE L'ORGANISATION PROFESSIONNELLE, « Le fonctionnement des comités d'organisation, liaison, contrôle », Supplément N°27 au Bulletin bimensuel du CCOP, N° 81,‎ , p. 56
  9. COMITE CENTRAL DE L'ORGANISATION PROFESSIONNELLE, « Memento à l’usage des secrétaires et collaborateurs des groupements patronaux », Bulletin bimensuel du CCOP, N°61,‎ , p. 160
  10. Auguste DETOEUF ; COMITE CENTRAL DE L'ORGANISATION PROFESSIONNELLE, Ecole d'application des collaborateurs et secrétaires de syndicats patronaux : règlement, programme des études, Paris, Editions du CCOP, , 15 p., Document N°12
  11. Marcel LAUNAY, Robert Buron, Paris, Beauchesne, , 208 p. (ISBN 2-7010-1276-7)
  12. Les Études sociales, janvier 1997
  13. Henri CULMANN, Les Principes de l'organisation professionnelle, Paris, Presses universitaires de France, , 246 p.
  14. François CHAPPELLU, Les expériences françaises d’organisation professionnelle [Thèse, Université de Lyon. Faculté de droit], Lyon, impr. de A. Rey, , 417 p.
  15. François HEPP, « Vicissitudes de l'organisation professionnelle en France de 1939 à 1946 », Organisation professionnelle, vol. Supplément Les Documents Jeune Patron,‎ , p. 48
  16. Louis BAUDIN ; Henri FAYOL ; Henri CULMANN ; Henry LAUFENBURGER, L’organisation économique actuelle : conférences d'information organisées en juillet-août 1941 par l'Ecole supérieure d'organisation professionnelle, Paris, Centre d'Information Interprofessionnel, , 128 p.
  17. Raymond BOISDE, Techniques de l'organisation professionnelle : cours professé à l'Ecole Supérieure d'Organisation Professionnelle, Paris, Presses universitaires de France, , 343 p.
  18. André BRENEAU, « L'élève quadragénaire prend conseil d'un professeur "moins de trente ans"… à l'Ecole supérieure d'organisation professionnelle », L'Homme Libre,‎ , p. 2 pages
  19. Du libéralisme à l'organisation professionnelle : travaux d'officiers prisonniers à l'Oflag IV D, 1940, Paris, Centre d'Information Interprofessionnel, , 362 p.
  20. La Formation des techniciens de l'organisation professionnelle : l'ESOP, les CESOP, l'Association des anciens élèves de l’ESOP. Lettre-préface de Jean Hugon, Paris, Centre d'Information Interprofessionnel, , 239 p.

Bibliographie complémentaire sur l'histoire de la comptabilité en général et la formation au métier

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Ouvrages

  • BARBE, Odile ; DIDELOT, Laurent. Si la compta m'était comptée ! Ordre des Experts-Comptables, 2013. 186 p. (L'Expert en poche). (ISBN 978-2-35267-265-4)
  • CAPRON Michel. La comptabilité. Paris : Ed. La Découverte, 2001. 125 p. (Repères). (ISBN 2-7071-1566-5)
  • DEGOS, Jean-Guy. Une brève histoire des diplômes d’expertise comptable français (1927-1997) [en ligne]. Technologie et management de l’information : enjeux et impacts dans la comptabilité, le contrôle et l’audit, mai 2002. 18 p. Disponible sur [4]> (consulté le 04/06/2018).
  • DEGOS, Jean-Guy. Histoire de la comptabilité. Paris : Presses universitaires de France, 1998. 120p. (Que sais-je). (ISBN 978-2130493785)
  • ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES. La marque Expert-Comptable au service de l'économie : 70 ans d'histoire. Paris : impr. Clerc, 2012. 159 p. (ISBN 2-909522-34-2).
  • WALTON, Peter. La comptabilité anglo-saxonne. Paris : Ed. La Découverte, 1985. 126 p. (Repères). (ISBN 978-2707153784)

Hors-séries et articles de presse - publications de l'Ordre des experts-comptables