Hôtel de Montmorency

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 24 juillet 2021 à 20:49 et modifiée en dernier par VVVCFFrance (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.
L'hôtel de Montmorency du boulevard des Capucines. Architecte : Claude-Nicolas Ledoux.
L'hôtel de Montmorency-Luxembourg : façade sur le jardin vue depuis le boulevard Montmartre. Architecte : Pierre Cailleteau dit « Lassurance ».

L'intitulé hôtel de Montmorency renvoie à plusieurs hôtels particuliers parisiens ayant appartenu à la maison de Montmorency.

Rue Sainte-Avoye

Boulevard des Capucines

Rue Notre-Dame-des-Champs

Rue Saint-Marc

Rue du Cherche-Midi

  • L'hôtel de Montmorency-Bours, dit également Petit hôtel de Montmorency, situé no 85, rue du Cherche-Midi : Constitué en 1743 par rassemblement de plusieurs maisons, ce qui explique l'irrégularité de ses façades, cet hôtel fut acquis en 1752 par le comte Joseph-Alexandre de Montmorency (†1759), dit « comte de Montmorency-Bours » qui lui a donné son nom. C'est aujourd'hui le musée Hébert, dépendant du musée d'Orsay, et fermé depuis 2004 en attente de travaux de consolidation. Les façades sur rue sont inscrites au titre de monuments historiques[2].

Modèle:Message galerie

Rue de Tournon

  • L'Hôtel de Montmorency-Fosseux, au 2 & 4 rue de Tournon, était construit depuis longtemps avant d'appartenir à François d'Harville, marquis de Palaiseau et ses sœurs: Anne de Harville, épouse de François de Béthune, comte puis duc d'Orval et Isabelle de Harville (1629-1712) épouse de François de Montmorency-Fosseux, (1614-1684) marquis de Bois-Ruffin, Thury, Fosseux, Courtalain et Baron de Neuilly.

Rue de Montmorency

Hôtel de Montmorency ou Hôtel Thiroux de Lailly 5 rue de Montmorency. Propriété de l'État, service de la Direction générale des Finances publiques.

Notes et références

Sources

  • Alexandre Gady, Les Hôtels particuliers parisiens, Paris, Éditions Parigramme, 2008, p. 313-314

Articles connexes