Discussion:Montbazon

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

je trouve que la présentation faite n'a rien d'encyclopédique. On ne peux se contenter de on dit: " Les commercants du centre-ville faisaient généralement d'excellentes affaires les jours de grands départs." Je ne suis pas sure que des sources officiels puissent étayer de tels affirmation. "La quiétude fut retrouvée en 1977 avec l'ouverture du tronçon de l'autoroute A10 entre Chambray-lès-Tours et Poitiers" Cela supposerait que Montbazon ne connait plus d'enbouteillage?

"La ville fut un temps connu pour ses embouteillages, la Nationale 10( route reliant Paris à la côte Atlantique), la traversant en formant un goulet d'étranglement au niveau de la côte du Donjon." La cote du donjon et une appelation locale? Je pense qu'il s'agit de la cote faite par la nationale 10 (dans la direction de Poitier) en sortie de montbazon. Il faut, je pense reprendre cette partie pour la rendre plus universel.

— Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 84.99.247.31 (discuter), le 26 novembre 2006 à 21:21 GMT+2.

Sources potentielle[modifier le code]

Google books : Montbazon

Google news : Montbazon

X-Javier [ courriel | discuter ] 11 septembre 2016 à 19:24 (CEST)[répondre]

Avec beaucoup de retard, Merci X-Javier Émoticône pour toutes ces infos. J'ai la chance de pouvoir accéder (tant qu'elle n'est pas fermée pour des raisons sanitaires...) à une bibliothèque qui contient une très grande partie de ces documents, plus quelques autres. Au total, près de 80 concernent Montbazon. Il y a donc du pain sur la planche, mais au bout, l’éventualité de faire labelliser l'article. Bien toi, — Arcyon [Causons z'en] 14 mars 2020 à 09:18 (CET)[répondre]
Notification Arcyon37 : 80 sources !! Bon courage alors ; ) — X-Javier courriel | discuter ] 16 mars 2020 à 09:12 (CET)[répondre]
Merci X-Javier Émoticône mais le « boulot », comme tu dis, est largement différé : bibliothèque fermée... — Arcyon [Causons z'en] 16 mars 2020 à 09:15 (CET)[répondre]

Texte déplacé de l'article, en attente de recyclage[modifier le code]

Histoire[modifier le code]

Les seigneurs de Montbazon[modifier le code]

  • Selon les érudits Jean-Louis Chalmel[1] et Georges Touchard-Lafosse[2], sous réserve de confirmation, le château de Montbazon, érigé par les comtes d'Anjou depuis Foulque Nerra au XIe siècle sur une terre de l'abbaye de Cormery, est confié à des châtelains, par exemple Geoffroi, Aldegaire, ou Hugues époux d'Adenarde, fl. 1095. De plus, une première famille seigneuriale de Montbazon émerge avec Guillaume de Mirebeau, doté de Montbazon par Foulques Nerra. Son fils Aymery/Hémery (Ier) Payen de Mirebeau, qu'on dit mari de Bélutea/Bellutia, fille de Josselin le Poitevin de Ste-Maure Geoffroi, Archambaud et de leur frère Jean Ier de Montbazon, fl. 1126, qui aurait épousé Cassinote de La Haye (veuve de Gosselin/Josselin — ou plutôt Hugues — de Ste-Maure, petit-fils du Poitevin). Jean serait le père d'Hugues de La Haye (d'où la suite des sires de La Haye), et de Pierre (Ier) de Montbazon, père de Jean II qui dut (vers 1115 ?) céder Montbazon à Foulques le Jeune, dont les successeurs furent les rois Plantagenêt. Ainsi, Montbazon fit partie du douaire de la reine Bérengère (1163-1230), femme en 1191 de Richard Cœur-de-Lion.
  • La victoire de Philippe Auguste sur le frère cadet de Richard Cœur-de-Lion, Jean sans Terre, redistribue les cartes : le Capétien confie Montbazon au tout début du XIIIe siècle (vers 1204) à Philippe/Philibert Savary seigneur de Co(u)lombiers/Villandry, qui meurt rapidement, dès 1204-1205 (était-il apparenté aux anciens Mirebeau-Montbazon ? : en tout cas les prénoms de Pierre, Hémery, rencontrés chez les anciens sires de Montbazon comme on vient de le voir, vont se retrouver dans la deuxième famille seigneuriale, et les sires de La Haye, réputés une branche cadette de la première famille, possèdent aussi un Philippe/Philibert). Lui succède son probable fils ou petit-fils Pierre (II) Savary, sire de Montbazon et de Co(u)lombiers, aussi doté à Bois-Robert sur la paroisse de Savonnières. La suite de ces personnages est donné à l'article consacré aux seigneurs de Montsoreau, Pierre (II), † après 1238, ayant épousé l'héritière de Montsoreau, Ferronis/Ferrie, fille héritière de Gautier II ou IV de Montsoreau (1170-après 1229) :
    • leurs fils Emery (II) (père de Philippe/Philibert (II), † 1250, et de Pierre), et Pierre (III) († après 1271)
      • Geoffroi Payen Savary (fils de Pierre III ; † après 1302), père de Renaud archevêque de Tours en 1291-1313, et de Barthélemi Ier († 1347 ; il acquiert Savonnières vers 1330), père lui-même de Barthélemi II, † vers 1362/1364.
  • Le fils de Bartélemy II, Renaud de Montbazon (~1325-~1383 ; frère cadet de Barthélemy III) obtient Moncontour et Marnes, et se marie avec une fille de la puissante Maison de Craon, Jeanne/Aléonor de Craon (~1330-~1385 ; fille de Maurice VI ou VII de Craon, petite-fille d'Amaury III de Craon et sœur cadette d'Isabeau de Craon). Leur fille Jeanne de Montbazon est par son père Renaud : dame de Montbazon, Colombiers/Villandry, Savonnières, du Brandon, Montsoreau, Moncontour, Marnes, et par l'héritage des Craon venu de sa mère Jeanne/Aléonor : dame de Sainte-Maure, Nouâtre, Pressigny et Ferrière-Larçon, Ferrière, Verneuil, Châteauneuf, Jarnac. Elle épouse en 1372 son cousin Guillaume II de Craon (vers 1342/1345-† 1410), vicomte de Châteaudun et sire de Marcillac. Deux de leurs enfants se partageront l'essentiel de l'héritage : Marie de Craon obtient Villandry, Montsoreau, Moncontour, Jarnac, Le Grand Pressigny, Ferrière-Larçon, qu'elle transmet à son mari Louis Ier Chabot de La Grève ; sa sœur aînée Marguerite de Craon reçoit Montbazon, Savonnières et Le Brandon, Sainte-Maure et Nouâtre, Marcillac et Châteauneuf-sur-Charente. Née vers 1370, Marguerite se marie en 1395 à Guy VIII, seigneur de La Rochefoucauld (~1355-~1428).
  • Montbazon et Le Brandon, Ste-Maure, Nouâtre passent à leur fils cadet, Aymar de La Rochefoucauld († aux alentours de 1460 ; x Jeanne de Martreuil dame de Hérisson-en-Gâtine), et successivement à trois des enfants d'Aymar et Jeanne de Martreuil : Jean († 1465), Françoise (x Jean d'Estouteville de Torcy, prévôt de Paris en 1446, Maître des Arbalétriers de France en 1449), puis Jeanne de La Rochefoucauld. Laquelle, † vers 1500, épouse Jean du Fou, Grand-bouteiller en 1470, bailli de Touraine. Leur fille, Renée du Fou, est la femme de 1° 1482 Louis III de Rohan-Guéméné, † 1498, puis 2° Guillaume de La Marck, † 1516. Ses descendants Rohan-Guéméné sont comtes (1547, Louis VI) puis ducs de Montbazon (1588, Louis VII ; duché érigé sur Montbazon, Sainte-Maure, Nouâtre, Le Brandon et La Haye). En 2019, au décès de son cousin le prince Albert de Rohan, duc de Montbazon, le prince Charles VI Raoul de Rohan, né en 1954, lui succède comme duc de Montbazon.
  1. « Montbazon, p. 182-192 », sur Histoire de Touraine, t. III, par Jean-Louis Chalmel, chez A. Aigre libraire à Tours, 1841
  2. « Montbazon, p. 186-189 », sur La Loire historique, t. IV, par Georges Touchard-Lafosse, chez Pornin à Tours, 1843

— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Arcyon37 (discuter), le 14 mars 2020 à 09:27 (CET)[répondre]

Section Risques majeurs[modifier le code]

Bonjour à tous. Le texte suivant est généré par un bot et s'appuie sur les dernières données connues. Il peut être fusionné avec celui de la section Risques de l'article.

Risques majeurs[modifier le code]

Le territoire de la commune de Montbazon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[1]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[2].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Bourdin et l'Indre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1985, 1999, 2000 et 2016[3],[1].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Montbazon-Larçay, est classée au niveau de risque 3, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[4].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montbazon.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[5]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 767 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1750 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[6],[7].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 1992, 1993, 1996, 1997, 2005, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999, 2001, 2011 et 2019[1].

Cordialement.Roland45 (discuter) 4 septembre 2022 à 19:05 (CEST)[répondre]

  1. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Montbazon », sur Géorisques (consulté le )
  2. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  3. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  4. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le )
  5. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  6. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  7. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )