Coutoubea ramosa

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Coutoubea ramosa
Description de cette image, également commentée ci-après
Coutoubea ramosa peinte par José Joaquim Freire (pt) en 1785[1]
Classification APG III (2009)
Règne Plantae
Clade Angiospermes
Clade Dicotylédones vraies
Clade Astéridées
Clade Lamiidées
Ordre Gentianales
Famille Gentianaceae
Tribu Helieae
Genre Coutoubea

Espèce

Coutoubea ramosa
Aubl., 1775

Synonymes

selon tropicos :

  • Coutoubea purpurea Lam.
  • Coutoubea racemosa G. Mey.
  • Coutoubea ramosa fo. racemosa (G. Mey.) Jonker
  • Coutoubea ramosa fo. vulgaris (Benth.) Jonker
  • Coutoubea ramosa var. latifolia Griseb.
  • Coutoubea ramosa var. longifolia Benth.
  • Coutoubea ramosa var. racemosa (G. Mey.) Benth.
  • Coutoubea ramosa var. vulgaris Benth.
  • Exacum racemosum (G. Mey.) Roem. & Schult.
  • Exacum ramosum (Aubl.) Vahl[2]

selon GBIF :

  • Coutoubea arenaria Willd.
  • Coutoubea arenaria Willd. ex Griseb.
  • Coutoubea arenaria Willd. ex Schult. & Schult.f.
  • Coutoubea purpurea Lam.
  • Coutoubea ramosa f. vulgaris (Benth.) Jonker
  • Coutoubea ramosa var. latifolia Griseb.
  • Coutoubea ramosa var. longifolia Benth.
  • Coutoubea ramosa var. vulgaris Benth.
  • Exacum arenarium (Willd. ex Schult. & Schult.fil.) Schult. ex Griseb.
  • Exacum arenarium Schult. & Schult.f.
  • Exacum ramosum (Aubl.) Vahl[3]

Coutoubea ramosa est une espèce de plante herbacée, néotropicale, appartenant à la famille des Gentianaceae.

On l'appelle en Guyane centaurée rouge[4], centauree rouge de Cayenne[5], centorel, santorèl (Créole), a'apoã laãnga (Wayãpi), atit βan (Palikur), diambarana (Portugais)[6], mamanwã puã (Wayãpi)[7], kibiwara-koton (Arawak)[8], bita, kapua-bita (Nenge tongo), koichi-bita (Paramaka), au Guyana kubiorakoton (Arawak), au Suriname bita (Saramaka)[9], bradi-bita (Sranan tongo), diabita, dosumadodo pikin nengre bita (Ndjuka), segotro-wiwiri[10], centorel[11], ou au Brésil lombrigueira (Abaetetuba, Pará)[12], ou encore au Pérou genciana[13].


Description[modifier | modifier le code]

Coutoubea ramosa est une plante herbacée à base ligneuse, haute de 30-150 cm. La tige, cylindrique à quadrangulaire, lisse, très ramifiée, atteint 0,2-0,5 cm de diamètre à sa base. Les entre-nœuds mesurent 0,5-6 cm de long.

Les feuilles sont sessiles, semi-amplexicaules, charnues (characées à membraneuses), de forme étroitement elliptiques, étroitement ovales-elliptiques ou linéaires, à base atténuée à étroitement cunéiforme. La nervure primaire est plate, enfoncée ou légèrement proéminente au-dessus, proéminente en dessous.

L'inflorescence est en racème terminal ou axillaire. Les bractées et bracteoles sont de forme ovales, acuminées (parfois en forme de feuille).

Les fleurs sont horizontales à quelque peu dressées, pédicellées, lâches, décussées. Le calice est coriace, à lobes acuminés. La corolle est chartacée à membraneuse.

Les fruits sont étroitement ellipsoïde ou ovoïde.

Les graines de couleur brun pâle, sont triangulaires avec 3 côtés creux ou parfois presque globuleuses[10],[14].

taxons infraspécifiques[modifier | modifier le code]

On distingue 3 variété au sein de Coutoubea ramosa[10] :

  • Coutoubea ramosa Aubl. var. racemosa (G. Mey.) Benth. in Hooker - La plantes adultes mesure 40 à 100 cm de haut, et les feuilles sont plus courtes que les inflorescences. Les fleurs sont régulièrement disposées sur des racèmes mesurant jusqu'à 30 cm de long, le plus souvent terminaux. Les bractées mesurent majoritairement 1-4 mm de long, sont rarement en forme de feuille au niveau des fleurs basales. Les lobes de la corolle sont plus grands que le tube. Les filets sont longs de 3-3,5 mm, avec des anthères de 2,5-3,5 mm de long. Le style est long de 5-6 mm.
  • Coutoubea ramosa Aubl. var. ramosa - La plantes adultes mesure 40 à 100 cm de haut, et les feuilles sont plus courtes que les inflorescences. Les fleurs sont irrégulièrement disposées sur des racèmes terminaux et axillaires pouvant atteindre 17 cm de long. Les bractées sont longues de 6-55 mm, en forme de feuille depuis la base et quasiment jusqu'au sommet du racème. Les lobes de la corolle sont plus courts que le tube. Les filets sont longs de 2-2,5 mm, et les anthères de 1,5-2 mm. Le style est long de 3 mm.
  • Coutoubea ramosa AubI. var. longifolia Benth. in Hooker - La plante adulte ne dépassa pas 30 cm de haut, et les feuilles supérieures sont plus longues que les inflorescences, et les cachent.

Répartition[modifier | modifier le code]

  • Coutoubea ramosa Aubl. var. racemosa (G. Mey.) Benth. in Hooker est présent au Venezuela, dans les Guyanes, en Amazonie brésilienne,
  • Coutoubea ramosa Aubl. var. ramosa est présent de la Colombie, au Brésil, en passant par le Venezuela, les Guyanes, et la Bolivie,
  • Coutoubea ramosa AubI. var. longifolia Benth. in Hooker est présent au Venezuela, au Guyana, et dans l'Amazonas (Brésil)[10].

Écologie[modifier | modifier le code]

  • Coutoubea ramosa Aubl. var. racemosa (G. Mey.) Benth. in Hooker pousse dans les savanes de sable, de roches ou d'argile, dans les endroits ouverts, marécageux ou inondés, sur les berges des rivières, jusqu'à 300 m d'altitude,
  • Coutoubea ramosa Aubl. var. ramosa pousse dans des savanes de sable, de roches ou d'argile, dans des endroits ouverts, ombragés, secs ou marécageux, sur les rives des rivières, à 30-500 m d'altitude,
  • Coutoubea ramosa AubI. var. longifolia Benth. in Hooker pousse le long des rivières ou des lacs dans des endroits inondés, sur le sable, à 400-550 m d'altitude[10].

On le trouve aussi dans des tourbières au Venezuela[15].

Plusieurs aspects de Coutoubea ramosa ont été étudiés :

Coutoubea ramosa fait partie des herbes et petits arbustes modernes qui caractérisent la zones de végétation de sable blanc dans le dépôt de "megafan (en)" Viruá, au nord de l'Amazonie (Pléistocène supérieur et Holocène)[20].

Usages[modifier | modifier le code]

En 1897, Heckel rapporte de Coutoubea ramosa qu'il s'agit d'une « Plante très amère, stomachique et vermifuge. »[4].

En Guyane, les Créoles et les Palikur emploient la décoction de feuilles Coutoubea ramosa comme antipyrétique, antipaludéen, vermifuge et désinfectant sur les blessures[6]. L'infusion aide à lutter contre les maux d'estomac, et on l'emploie comme fébrifuge amer[10]. Les Wayãpi l'emploient dans le traitement de la leishmaniose[7]

Au Suriname Coutoubea ramosa est utilisé pour les soins de la peau, notamment pour traiter les boutons[11]. Les Saramaka utilisent sa décoction pour baigner les bébé en soin général[9]

Au Guyana, les racines sont employées pour soigner la diarrhée, et les feuilles pour rendre le sang amer[10].

Au Brésil, les Kayapó se servent de ses propriétés anti-virales potentielles pour soigner le tep kanê ("maladie du poisson" qui associe des diarhées, le jaunissement du corps et des douleurs généralisées)[21]. Les Tiriyó l'emploient contre les maux de dents[22], ce qui implique des effets potentiels sur le système nerveux central[23]. La communauté traditionnelle du Rio Urubueua de Fátima (Abaetetuba) l'emploie en infusion vermifuge qui présente une forte concentration en fer[12].

Au Pérou, elle est employée pour ses propriétés antibactériennes, pour soigner les plaies, comme cicatrisant, contre les éruptions cutanées et les boutons de fièvre[13],[24],[25].

Cette plante serait par ailleurs toxique pour le bétail[10],[26],[27] en affectant le tube digestif[28].

Protologue[modifier | modifier le code]

Coutoubea ramosa par Aublet (1775) :
Planche 28.[29]
échantillon type de Coutoubea ramosa Aubl. collecté par Aublet en Guyane

En 1775, le botaniste Aublet en a proposé le protologue suivant[29] :

« 2. COUTOUBEA (ramoſa) foliis anguſtis, acuminatis, flore purpuraſcente. (Tabula 28.)

Hæc planta à pracedenti differt, caule ramoſo ; foliis minoribus, & anguſtioribus; floribus ſolitariis, ſubſeſſilibus ad axillas foliorum ; corolla purpureâ; capsula ſubcompreſſa, & foliis anguſtiſſimis, in extremitate ramuſculorum.

Floret quovis anni tempore.

Nomen Caribæum, COUTOUBEA.

Habitat in ſylvis Sinémarienſibus, & ad ripas rivulorum.


LA COUTOUBÉE purpurine. (Planche 28.)

Cette plante diffère de la précédente [Coutoubea spicata], en ce qu'elle eſt branchue ; rameuſe ; que ſes fleurs ſont portées ſur des pédoncules courts, & toujours deux à deux aux aiſſelles des feuilles : celles-ci ſont plus larges vers l'origine des branches & des rameaux, & diminuent à meſure qu'elles approchent de l'extrémité des rameaux, de manière qu'elles, ſont menues & étroites ; les dernières ne paroiſſent que comme de petites écailles.

Le fruit eſt plus large, plus renflé, & marqué d'un ſillon de chaque coté, dans toute ſa longueur; la couleur de la corolle eſt purpurine.

Toute la plante eſt amère. Elle s'emploie aux mêmes uſages que la précédente [Coutoubea spicata].

Cette eſpèce vient au bord des ruiſſeaux, dans les déſerts de la Guiane, ſur-tout à Sinémari. »

— Fusée-Aublet, 1775.








Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. José Joaquim Freire, Obra da coleção Brasiliana Iconográfica : Coutoubea ramosa, Aubl, Biblioteca Nacional (Brasil), (lire en ligne)
  2. (en) Référence Tropicos : Coutoubea ramosa (+ liste sous-taxons)
  3. (fr + en) Référence GBIF : Coutoubea ramosa
  4. a et b Édouard Heckel, Les plantes médicinales et toxiques de la Guyane française : catalogue raisonné et alphabétique, Mâcon, Protat frères, , 160 p. (lire en ligne), p. 112
  5. (en) Robert A. DEFILIPPS, Shirley L. MAINA et Juliette CREPIN, Medicinal Plants of the Guianas (Guyana, Surinam, French Guiana), Washington, DC, Department of Botany, National Museum of Natural History, Smithsonian Institution, , 477 p. (lire en ligne)
  6. a et b Pierre Grenand, Christian Moretti, Henri Jacquemin et Marie-Françoise Prévost, Pharmacopées traditionnelles en Guyane : Créoles. Wayãpi, Palikur, Paris, IRD Editions, , 663 p. (ISBN 978-2-7099-1545-8, lire en ligne), p. 158
  7. a et b (en) Guillaume Odonne, Franck Berger, Didier Stien, Pierre Grenand et Geneviève Bourdy, « Treatment of leishmaniasis in the Oyapock basin (French Guiana): A K.A.P. survey and analysis of the evolution of phytotherapy knowledge amongst Wayãpi Indians », Journal of Ethnopharmacology, vol. 137,‎ , p. 1228–1239 (DOI 10.1016/j.jep.2011.07.044, lire en ligne)
  8. (en) D. B. Fanshawe, « Glossary of Arawak Names in Natural History », International Journal of American Linguistics, vol. 15, Number,‎ , p. 57-74 (DOI 10.1086/464023)
  9. a et b (en) Sofie Ruysschaert, Tinde van Andel, Kobeke Van de Putte et Patrick Van Damme, « Bathe the baby to make it strong and healthy: Plant use and child care among Saramaccan Maroons in Suriname », Journal of Ethnopharmacology, vol. 121,‎ , p. 148–170 (DOI 10.1016/j.jep.2008.10.020, lire en ligne)
  10. a b c d e f g et h (en) L. Struwe, J. Allogio, L. Cobb, J .R. Grant, M.J. Jansen-Jacobs, M. Kinkade, K.B. Lepis, H. Maas-van de Kamer, P.J.M. Maas et M.I. Palmer, Flora of the Guianas : Fasc. 30. Gentianaceae, Kew, S. Mota de Oliveira. Royal Botanic Garden, coll. « Series A: Phanerogams », , 131  (ISBN 978-1-84246-507-3)
  11. a et b (en) Mans DR et Grant A., « A thing of beauty is a joy forever: Plants and plant-based preparations for facial care in Suriname », Clin Med Invest, vol. 2,‎ , p. 1-16 (DOI 10.15761/cmi.1000143, lire en ligne)
  12. a et b (en) de Moura, Patrícia H. B., Lucas, Flávia C. A., Tavares-Martins, Ana C. C., Germano, Carolina M. et Martins, Roberto C. C., « Metal content in medicinal teas used in the Urubueua de Fátima river community, Abaetetuba-Pará State, Brazil », Boletín Latinoamericano y del Caribe de Plantas Medicinales y Aromáticas, vol. 18, no 4,‎ , p. 378-391 (DOI 10.35588/blacpma.19.18.4.24, lire en ligne)
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  14. (en) Gabriela Barros Siqueira, Fabio da Silva do Espírito Santoa et Alessandro Rapini, « Flora da Bahia: Gentianaceae », Sitientibus série Ciências Biológicas, vol. 14,‎ , p. 33 (DOI 10.13102/scb295, lire en ligne)
  15. (en) Críspulo Marrero, Miguel Niño, Daniela Canelón, Franco Antonucci et Douglas Rodríguez-Olarte, Tropical wooded peat land in Delta Amacuro state, Venezuela, Marrero et al., 19 p. (lire en ligne)
  16. (en) Hian Carlos Ferreira de Sousa, Vania Gonçalves-Esteves et Cláudia Barbieri Ferreira Mendonça, « Pollen diversity in selected species of the tribe Chironieae (Gentianaceae Juss.) that occur in the Atlantic Forest, Brazil », Acta Bot. Bras., vol. 31, no 1,‎ (DOI 10.1590/0102-33062016abb0418)
  17. (en) Valdnéa Casagrande Dalvi, Renata Maria Strozi Alves Meira et Aristéa Alves Azevedo, « Extrafloral nectaries in neotropical Gentianaceae: Occurrence, distribution patterns, and anatomical characterization† », American Journal of Botany, vol. 100, no 9,‎ , p. 1779-1789 (DOI 10.3732/ajb.1300130)
  18. (en) ROBERT E. WOODSON, Jr., « Observations on the Floral Fibres of Certain Gentianaceae », Annals of Botany, vol. 50, no 200,‎ , p. 759-766 (lire en ligne)
  19. (en) Lena Struwe et Victor A. Albert, Gentianaceae: Systematics and Natural History, Cambridge, Cambridge University Press, (ISBN 9780511541865, DOI 10.1080/10635150490522322)
  20. (en) Dilce F. Rossetti, Rogério Gribel, Hanna Tuomisto, Carlos L.O. Cordeiro et Sonia H. Tatumi, « The influence of late Quaternary sedimentation on vegetation in an Amazonian lowland megafan », Earth Surface Processes and Landforms, vol. 43, no 6,‎ , p. 1259-1279 (DOI 10.1002/esp.4312)
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  23. (en) Priscila Yazbek, Thamara Sauini, Fernando Cassas, Giuseppina Negri et Eliana Rodrigues, « Plants Used for Central Nervous System Disorders by Brazilian Indians », dans Ethnobotany : Application of Medicinal Plants, José L. Martinez, Amner Muñoz-Acevedo, Mahendra Rai, , 13 p. (ISBN 9780429453137, DOI 10.1201/9780429453137)
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  25. (en) Bussmann, R.W., A. Glenn, D. Sharon, G. Chait, D. Díaz, K. Pourmand, B. Jonat, S. Somogy, G. Guardado, C. Aguirre, R. Chan, K. Meyer, A. Rothrock et A. Townesmith, « Proving that Traditional Knowledge Works: The antibacterial activity of Northern Peruvian medicinal plants », Ethnobotany journal, vol. 9,‎ , p. 67-96 (www.ethnobotanyjournal.org/vol9/i1547-3465-09-067.pdf)
  26. (pt) C. H. Tokarnia et J. Dobereiner, « Intoxicacao experimental por Coutoubea ramosa (Gentianaceae) em bovinos », Pesquisa Veterinaria Brasileira, vol. 1, no 2,‎ , p. 55-60 (lire en ligne)
  27. (pt) C. H. Tokarnia, J. Dobereiner et M. F. da Silva, Plantas toxicas da Amazonia a bovinos e outros herbivoros., vol. vii, Instituto Nacional de Pesquisas da Amazonia, , 95 p. (ISBN 978-85-211-0002-7)
  28. (en) Carlos Hubinger Tokarnia, Jürgen Döbereiner et Paulo Vargas Peixoto, « Poisonous plants affecting livestock in Brazil », Toxicon, vol. 40, no 12,‎ , p. 1635-1660 (DOI 10.1016/S0041-0101(02)00239-8, lire en ligne)
  29. a et b Jean Baptiste Christian Fusée-Aublet, HISTOIRE DES PLANTES DE LA GUIANE FRANÇOISE, rangées suivant la méthode sexuelle, avec plusieurs mémoires sur les différents objets intéreſſants, relatifs à la culture & au commerce de la Guiane françoiſe, & une Notice des plantes de l'Iſle de France. volume I, Londres et Paris, P.-F. Didot jeune, Librairie de la Faculté de Médecine, quai des Augustins, (lire en ligne), p. 72-74

Références taxinomiques[modifier | modifier le code]

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