Clérac

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Clérac
Clérac
La mairie de Clérac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Jonzac
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Saintonge
Maire
Mandat
Michel Quod
2020-2026
Code postal 17270
Code commune 17110
Démographie
Gentilé Cléracais
Population
municipale
979 hab. (2021 en diminution de 1,11 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 10′ 51″ nord, 0° 13′ 40″ ouest
Altitude Min. 27 m
Max. 116 m
Superficie 43,08 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Trois Monts
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Clérac
Liens
Site web www.ville-clerac.fr

Clérac est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Cléracais et les Cléracaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Clérac est située à la pointe sud du département, dans la région de la Haute Saintonge.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Clérac est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,3 %), zones agricoles hétérogènes (20,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,6 %), prairies (4,5 %), mines, décharges et chantiers (2,3 %), cultures permanentes (2,3 %), zones urbanisées (0,7 %)[7]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme provient du nom de propriétaire gallo-romain Clarius, suivi du suffixe -acum.

Histoire[8][Interprétation personnelle ?][modifier | modifier le code]

Quelques traces d'habitants dès la Préhistoire : des noms de lieux (comme «  Haute Borne ») un silex taillé, des scories de métaux et des débris de poteries attestent d’une présence humaine remontant au moins à

Au temps des Romains : première véritable occupation humaine : des hommes sont installés à l’est de actuel bourg de Clérac et dans quelques autres lieux de la commune, profitant de la présence de plusieurs voies romaines, dont le « chemin de Charlemagne » sur les hauteurs de la rive gauche du Lary. Ils construisent vers le Ve une première église dédiée à saint Vivien.

XIe siècle : fondation du prieuré de Clérac : Adoïcus, le seigneur du lieu, donne à l’abbaye de Guîtres l’église Saint-Vivien de Clérac et les terres avoisinantes, à charge pour les religieux de les défricher et de les cultiver. L'église est reconstruite avec une seule nef à trois travées terminée par une abside semi circulaire.

Guerre de 100 ans : l’église est fortifiée, une forteresse dépendante de la seigneurie de Montguyon est construite à Auvignac (près de l’actuel village des Bertrands). Des combats détruisent une partie de l’église et du prieuré, ravagent les cultures et réduisent les habitants à la famine.

XVe siècle : création de la seigneurie de Clérac et reconstruction

En 1462, pour le remercier des services rendus, Hardoin de Maillé et son épouse Marguerite de La Rochefoucauld, dame de Montguyon, donnent à un chevalier de leur entourage, Bertrand Ardilhon, les «hostels, domaines et seigneurie de Clérac», soit une partie de la paroisse de Clérac, sur la rive droite du Lary. Par héritage, la seigneurie de Clérac passe en 1492 à la famille Potier de Caillères (originaire de l’Angoumois), qui la posséda jusqu’à la Révolution. Bertrand Ardilhon construit au centre de sa seigneurie, un manoir, connu depuis sous le nom de « château de Caillères ». Pour restaurer son domaine, il recrute des laboureurs sur place ou dans les régions du nord moins touchées par les guerres : ces nouveaux tenanciers sont chargés de remettre en état les terres et les bâtiments qui leur sont confiés. À la même époque, l’église Saint-Vivien est restaurée, les voûtes et le chevet sont reconstruits (à plat, avec une fenêtre gothique), une chapelle est ajoutée au sud en l’honneur de saint Antoine. La maison du prieur, entourée de son enclos de vigne, à l’est de l’église, est également remise en état.

XVI et XVII s : nouveaux troubles : les efforts de mise en valeur sont en partie anéantis par les nombreux troubles que connaît la région : guerres de Religion (presque tous les habitants ont adopté la religion réformée et plusieurs affrontements ont lieu à proximité), combat de Montguyon pendant la Fronde en 1652, puis révolte des paysans de la seigneurie de Montguyon contre le receveur fiscal en 1661.

Au XVIIIe siècle : une vie difficile

Plusieurs seigneurs : la plus grande partie de la paroisse de Clérac relève de la seigneurie de Montguyon : d’abord aux mains des La Rochefoucauld, elle passe dans les biens de la famille de Rohan qui possédait déjà les baronnies de Montendre, Montlieu et Saint-Aulaye. Trois autres seigneuries, vassales de celle de Montguyon, se partagent le reste du territoire : la plus grande est celle de Clérac (propriété des Caillères) ; La Valade aussi appelée Vieille Court s’étend en partie aussi sur Saint-Martin-d’Ary (propriété des du Ban de Coulon, elle entre par mariage dans les possessions des Caillères) ; Rentier est la plus petite aux confins de la paroisse de Bédenac (d’abord possédée par la famille noble des Astruc, elle est achetée par Jacques Ragot, un simple « bourgeois de Neuvic », puis par Pierre Dubreuil, un laboureur de Clérac).

Des landes et quelques cultures : marécageuse, couverte de landes à taillis, toute la moitié ouest de la paroisse est vouée à l’élevage des moutons et des brebis. À l’est, les deux rives du Lary portent des cultures de céréales. Jusqu’à la construction de la route royale n° 10 (actuelle N 10) au milieu du XVIIIe siècle, les voyageurs allant de Paris à Bordeaux traversaient Clérac, entre Montguyon et Bédenac.

De pauvres habitants : au nombre d’environ 900 à la veille de la Révolution tous les Cléracais (du simple journalier jusqu'au seigneur) vivent modestement. La mortalité est très élevée, résultat de la médiocrité de l’agriculture, des mauvaises récoltes liées aux intempéries et des épidémies conséquences de l’insalubrité.

La Révolution provoque peu de remous : en 1789, le seigneur de Clérac, Louis de Caillères (fils de Charles de Caillères et de sa servante, Élisabeth Verrier) est un jeune orphelin qui se débat pour régler la maigre succession de son père; adulte, il s’engage dans les armées républicaines, et, à son retour il devient maire de Clérac. Son oncle et tuteur, Raphaël de Caillères, seigneur de La Valade, ancien officier des armées royales, est nommé commandant de la Garde Nationale de Clérac et se montre loyal envers le nouveau régime. Pourtant quelques Cléracais veulent s'emparer par la force de ses archives et il est obligé de quitter la commune pendant plusieurs années pour se réfugier en Gironde. Seul le curé, François de la Faye d’Ambérac, émigre.

À partir du XIXe siècle, une commune prospère

Forêt, vigne et élevage: pour assainir la partie ouest de commune, on sème des pins qui ensuite vont être gemmés pour produire de la résine. Le vignoble, orienté vers la production d’eau-de-vie, devient une des principales ressources de la commune dans la seconde moitié du XIXe siècle. Et l’élevage des moutons cède la place à celui des vaches laitières et des porcs.

Exploitation de «la terre blanche» : à une très ancienne poterie, puis à la verrerie de la Gélie et à la faïencerie de la famille Trijaud créées au XIXè s, Persick, un Alsacien réfugié à Clérac après la guerre de 1870 ajoute la fabrication de pipes en terre cuite : c’est le début de l’exploitation de « la terre blanche », qui sous l’impulsion de quelques hommes d’affaires entreprenants devient dans l’Entre-deux-guerres la principale activité cléracaise, employant plusieurs centaines d’ouvriers dans les carrières et dans les usines de traitement situées près de la gare de Clérac.

Développement des moyens de transport : Clérac profite de l’amélioration du réseau routier effectué au XIXe siècle (route Chevanceau - Libourne qui, passe à Simonneau ; route d’Orignoles à Valin qui traverse la commune du nord au sud le long du Lary; route Montendre – Guitres par Bédenac et Cercoux qui longe le sud de la commune) L’ouverture en 1907 de la voie ferrée Châteauneuf – Saint-Mariens permet d’exporter l’eau-de-vie vers Cognac, et la résine, le bois et l’argile réfractaire vers le port de Bordeaux.

Maximum démographique et immigration : conséquence de cette prospérité économique, la population dépasse 1500 habitants en 1861 ; elle va ensuite décroître lentement : beaucoup de Cléracais sans terre quittent la commune ; mais ils sont en partie remplacés par de nouveaux arrivants (Landais venus exercer leur savoir-faire dans le gemmage, Bretons spécialisés dans l’élevage, puis Italiens employés dans l’agriculture et l’artisanat).

Transformations du bourg et des villages : signe aussi de cette aisance nouvelle, le bourg et les villages se transforment  : la mairie et le groupe scolaire sont construits en 1886 ; l’église est restaurée et agrandie (on ajoute la chapelle de la Vierge au nord) ; quelques familles se font construire de belles maisons dont certaines ont l’allure de petits châteaux (comme celui de la famille Geneuil au centre du bourg, et surtout celui de l’Espie, édifié à la fin du XIXè s par Jules Nau). Et après la fin de la Seconde Guerre mondiale, des " maisons neuves" sont construites, soit par des particuliers, soit à l'initiative de la commune, pour faire face aux besoins nouveaux de la population.

À partir de la fin des années 1960, la commune entame une période difficile : l'exode rural s'accentue; l'agriculture décline; les usines de terres réfractaires, tout en continuant leurs activités, réduisent leurs mains-d’œuvre ; le trafic ferroviaire de marchandise s'arrête, la population passe pour la première fois depuis plusieurs siècles en dessous de 1000 habitants.

Un certain renouveau se fait jour depuis quelques années : Clérac a accueilli une des bases de travaux de la nouvelle ligne LGV et héberge aujourd'hui un centre de maintenance pour cette ligne ; les relations routières se sont améliorées avec Bordeaux et la commune entre dans l'aire d'influence de la métropole bordelaise; la population a recommencé à croître et de nouveaux lotissements ont vu le jour.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 ? Marc Poupelain DVG  chef D'entreprise
2001 En cours Guy Pasquet DVG[9] Chef des ventes retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[10].

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[12].

En 2021, la commune comptait 979 habitants[Note 2], en diminution de 1,11 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2701 1971 1471 2001 4341 3441 3471 4681 503
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5391 5581 5201 4881 4721 5211 5241 5171 511
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5051 5191 3631 2181 2311 3621 2241 1701 209
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 2711 1431 1321 097961937932931986
2018 2021 - - - - - - -
971979-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[14].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Industrie[modifier | modifier le code]

L'usine AGS.
  • Située à la gare de Clérac, la société Imerys exploite et traite les argiles de diverses carrières environnantes. Elle est le fruit de multiples regroupements de sociétés. Elle trouve son origine dans l'entreprise Boisson et Bourgoin, créée en 1912, puis dans les sociétés Argirec et Sogdar regroupées pour former AGS (aujourd'hui absorbée par le groupe Imerys). En 2010, AGS comptait encore deux cents personnes. Elle fait l'objet d'un inventaire pour figurer au registre du patrimoine industriel[15].
  • Au lieu-dit Petit-Fradon se trouvait une usine à chaux construite par Pierre Berteau à la suite de l'autorisation préfectorale qui lui en est faite le . Elle fait l'objet d'un inventaire pour figurer au registre du patrimoine industriel[16].
  • Au lieu-dit Teurlay-du-Lary, on trouvait une distillerie d'eaux-de-vie de cognac. Héritière de la distillerie fondée par Jules Nau au château de l'Espie, elle a longtemps été dirigée par Georges Nau puis par son fils Jacques Nau. La cessation d'activité remonte aux années 1990. Elle aussi fait l'objet d'un inventaire pour figurer au registre du patrimoine industriel[17].
  • Le lieu-dit Angenin était occupé par une distillerie de gemme fondée en 1924-25 par Hector Poupelain, la résine abondant dans les forêts de pins environnantes. En 1927, associé à M. Jacopy, il fait édifier, de l'autre côté de la route, une distillerie d'eaux-de-vie de cognac. La même année, il crée avec ses fils, Armand et Roger, une scierie, dont les locaux se trouvent à proximité de la distillerie de gemme, et qui est toujours en activité. Là encore, l'ensemble fait l'objet d'un inventaire pour figurer au registre du patrimoine industriel[18].

Commerces[modifier | modifier le code]

Magasin multi-service, au bourg.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Culture[modifier | modifier le code]

  • La commune dispose d'un musée sur les vieux métiers en contrebas de l'église

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

  • L'église paroissiale, dédiée à saint Vivien, date du XIIe siècle et a été profondément restaurée aux XIXè et XXè siècles. Elle comporte un exceptionnel mobilier en pierre sculpté par le sculpteur Arnold au XIXe siècle (table sainte, autel et fonts baptismaux). Elle contient un Christ en croix et une Vierge en bois peint du XIXe siècle restaurés en 2007 et classés monument historique au titre objet depuis 1994[19]. La cloche en bronze date de 1636 et est aussi classée monument historique depuis 1908[20].
Wikimedia Commons présente d’autres illustrations sur l'église Saint-Vivien.

Fondé par Patrick Guy Truchemotte, Primat de l'Eglise Gallicane, dite Église des Rois de France. Truchemotte était également engagé dans les réseaux royalistes naundorffistes.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Château de l'Espie.
  • Le château de Caillères, datant du XVe au XVIIe siècle, est inscrit monument historique depuis 1949[21]; son jardin est en cours d'inventaire pour une inscription[22]. Il est resté dans la même famille (la famille de Caillères de la fin du XVe siècle au milieu du XXe siècle).
  • Le château de l'Espie est situé près du bourg, à l'est : il a été construit entre 1880 et 1900 dans un style néo classique par Jules Nau (riche homme d'affaires, maire de Clérac et conseiller général du canton de Montguyon)
  • Le " chemin de Charlemagne" dont on voit quelques traces à l'est de la commune entre la Haute Borne et Boischarles 'est une ancienne voie romaine qui a repris le tracé d'une très vieille route celtique (tronçon de la " route de l'étain" qui reliait la Bretagne à la Méditerranée).
  • Dans le cimetière se trouve le monument funéraire de la famille Geneuil dû au sculpteur Arnold.

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Voie verte[modifier | modifier le code]

Début de la piste cyclable.

Clérac marque le début de la voie verte qui va jusqu'à Barbezieux (Charente), et qui faisait partie de l'ancienne ligne de Châteauneuf-sur-Charente à Saint-Mariens - Saint-Yzan, dont la voie est encore en place entre Saint-Mariens et Clérac et qui dessert l'usine d'argile blanche.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Furcy de Lavault (1847-1915), artiste peintre, a vécu à Clérac et y est mort.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  8. Jean-Paul GRASSET, une commune de la lande saintongeaise : Clérac, Bordeaux, Université Michel de Montaigne,
  9. https://www.lemonde.fr/aquitaine-limousin-poitou-charentes/charente-maritime,17/clerac,17110/
  10. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  11. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  12. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  15. « Usine d'argile blanche », notice no IA17000420, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  16. « Usine de chaux Berteau », notice no IA17000450, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  17. « Distillerie de cognac Nau », notice no IA17000449, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  18. « Distillerie de gemme », notice no IA17000448, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  19. « Christ en croix et Vierge », notice no PM17000637, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  20. « Cloche de l'église », notice no PM17000076, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  21. « Château de Caillères », notice no PA00104653, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  22. « Jardins du château des Caillères », notice no IA17008846, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]