Centre hospitalier Guillaume-Régnier

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Centre hospitalier Guillaume Régnier
Image illustrative de l’article Centre hospitalier Guillaume-Régnier
Image illustrative de l’article Centre hospitalier Guillaume-Régnier
Entrée de la direction du CHGR
Présentation
Coordonnées 48° 06′ 00″ nord, 1° 40′ 01″ ouest
Pays France
Adresse 108, avenue du Général Leclerc
35703 Rennes
Fondation 1627
Site web http://www.ch-guillaumeregnier.fr/
Organisation
Type Centre hospitalier spécialisé
Services
Standards 02 99 33 39 00
Service d’urgences 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7
Nombre de lits 2 000
Spécialité(s) Psychiatrie
addictologie
Gériatrie
handicap
(Voir situation sur carte : Rennes)
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
(Voir situation sur carte : Bretagne (région administrative))
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)

Le centre hospitalier Guillaume-Régnier de Rennes, plus communément appelé le C.H.G.R. est un établissement public de santé mentale situé à Rennes dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne spécialisé en psychiatrie, addictologie, handicap physique et mental et gériatrie.

Le centre hospitalier Guillaume Régnier assure des missions de prévention, de diagnostic, de soins, de réinsertion sociale, d'enseignement et de recherche (deux services hospitalo-universitaires et quatre professeurs des universités-praticiens hospitaliers).

Il accueille des patients de tous âges et atteints de toutes sortes de pathologies psychiatriques, avec ou sans leur consentement selon les dispositions légales en vigueur.

Historique

Vers la moitié du XVIe siècle, vivait à Rennes une famille patriarcale qui avait pour membre principal Guillaume Régnier, conseiller au Parlement de Bretagne en 1559. Marié à Mademoiselle Mignot, il eut d’elle plusieurs enfants : l’un deux appelé Guillaume comme son père, borna toute son ambition à l’éducation chrétienne de sa famille, et consacra son temps et sa fortune en œuvre de charité et en dévouement pour les autres.

À cette époque, de nombreux pèlerins, atteints d’une affection particulière que l’on a pu nommer « le mal de Saint-Méen », décrite comme "une manière de lèpre, nommée par les médecins prosa, qui est une forte gale ou rogne qui ronge les os", à moins qu'il ne s'agisse de l'ergotisme, dû à l'ergot du seigle. Le moyen d'éviter le mal de l'atténuer consistait pour ces malades à faire le pèlerinage de Saint-Méen de Gaël. La confusion phonétique se faisant alors entre "méen" (prononcer main) et douleur de la main. Rennes était la dernière étape pour ceux qui venaient de loin et devaient trouver à tous un abri. Devant la détresse et la misère des pèlerins se rendant à Saint-Méen-le-Grand,(appelé alors St Méen de Gaël) Guillaume Régnier acquiert auprès du seigneur Guy de Lopriac le 4 septembre 1627 au lieu-dit le Tertre de Joué, divers bâtiments relevant de l'abbaye de Saint-Georges et leur offre gîte et couvert pour une nuit ("une passade")[1].D'où l'appellation populaire qui a longtemps eu cours de "petit St Méen" pour cet établissement.

Bâtiment administratif du Centre Hospitalier Guillaume Régnier de Rennes

Suite à la Révolution Française, et à la question de la Liberté et du Libre-arbitre, la discipline qu'on appellera plus tard psychiatrie va apparaître et progresser à la fois sur le plan scientifique (classification des maladies…etc.) et sur les modalités de prise en charge (traitement moral…etc.). Cela se marquera notamment par la loi fondatrice de 1838 qui organise au moins un asile spécialisé pour les « aliénés », par département. Le premier médecin aliéniste nommé par le ministre à Rennes sera le Dr Chambeyron qui se heurtera rapidement au pouvoir local établi des congrégations.

C'est ainsi qu'en 1852, l'institution rattachée aux Hospices Civils de Rennes, est vendue au Département et devient « asyle départemental »[2].

En 1938, c'est l’appellation hôpital qui est précisée par un règlement intérieur. Les congrégations religieuses (alternativement Sœurs de la Charité, St Thomas de Villeneuve, St Vincent de Paul) , arrivées en 1735, partent définitivement en 1958. L'hôpital dispose alors de 2000 lits et emploie 4 médecins des hôpitaux psychiatriques.

Après la deuxième guerre mondiale, en réaction à ce qu'on a appelé plus tard « l'extermination douce », grâce aux progrès de la chimiothérapie mais aussi des psychothérapies, sur l’initiative d'un petit nombre militant de médecins et d'équipes de psychiatrie, vont profondément se modifier les modalités de soins à l'intérieur des asiles et s'instaurer progressivement la politique de secteur, psychiatrie dans la cité, spécialité de la psychiatrie publique française. Celle ci a été initiée initiée par une simple circulaire en 1960 grâce à la persévérance du Pr Aujaleu, directeur de la santé au ministère et de Rose Mamelet au bureau des maladies mentales, sous l'impulsion militante d'une poignée très minoritaire de psychiatres engagés (Daumézon, Le Guillant, Follin, Bonnafé, Paumelle..etc.)

Le Docteur Suzy Rousset, psychiatre dans cet établissement de 1940 à 1960, est un des pionniers d'une psychiatrie humaniste et sociale. Une circulaire de 1958, par exemple, va permettre de développer des activités associatives, l'ergothérapie et de travailler à l'humanisation des hôpitaux.

La découverte du premier neuroleptique en 1952 (le LARGACTIL) va considérablement changer les modalités de soins. L'hôpital devient Centre Hospitalier Spécialisé puis Centre Hospitalier avec l'appellation commune d' Établissement public de Santé Mentale.

Le 18 juin 1996, le conseil d'administration entérine la proposition d'appellation actuelle : « Centre Hospitalier Guillaume-Régnier »[3].

L'Offre de soins (Hospitalisations, Consultations)

Aujourd’hui, le Centre Hospitalier Guillaume-Régnier gère un important dispositif de soins de plus de 2004 lits et places (au 31 décembre 2011) qui se répartissent entre 761 lits d’hospitalisation complète et 1243 places sanitaires et médico-sociales pour assurer les soins en psychiatrie et en santé mentale pour 80 % du département d’Ille-et-Vilaine.

Au niveau sanitaire, il dispose de 652 lits en Psychiatrie adulte, 44 en psychiatrie injanto-juvénile et 60 lits en USLD complété par 55 places en Famille et 3 places en appartements thérapeutiques[4].

La prise en charge en Hôpital de jour bénéficie de 406 places : 259 en psychiatrie générale, 127 en pédo-psychiatrie et 20 au SMPR. Par ailleurs, il faut noter que l’établissement dispose de 14 places en Hospitalisation de nuit.

En 2011, la file active (sans double compte) représente 27 156 patients dont 19 344 en psychiatrie générale et 4244 en psychiatrie infanto-juvénile. Cette même année, 484 836 journées ont été réalisées dont 307 768 en psychiatrie générale, 33 215 en psychiatrie infanto-juvénile, 72 057 en gériatrie (USLD et EHPAD), 70 287 sur le Pôle médico-sociale et 1 609 au CSAPA[5].

Il compte également plus de 60 structures ambulatoires dans le département, tel que des centre médico-psychologique (CMP), des centres d'accueil thérapeutique à temps partiel (CATTP) et des hôpitaux de jour (HJ) basées dans différentes autres communes importantes du département : Fougères, Bazouges-la-Pérouse, Antrain, Bain de Bretagne, Guichen, Saint-Jacques-de-la-Lande, Châteaubourg, Janzé, Vitré, Pacé, Saint-Aubin-d'Aubigné, Tinténiac, Mordelles, Montfort-sur-Meu, Bruz, Châteaugiron, Thorigné-Fouillard, Betton, Vezin-le-Coquet.

Centre Hospitalier Guillaume Régnier de Rennes

Tous les établissements de santé publics fonctionnent en France sur le principe de la sectorisation. En Ille-et-Vilaine, le département est découpé en 11 secteurs géographiques pour la psychiatrie adulte et 4 pour la psychiatrie infanto-juvénile. 9 secteurs adultes et 3 infanto-juvéniles sont actuellement gérés par le CHGR. Les 9 secteurs de psychiatrie adultes assurent la prise en charge d'un territoire de 852 835 habitants sur les 1 024 246 habitants (population totale 2011) que compte le département et 180 520 habitants âgés de moins de 16 ans pour les 3 secteurs de psychiatrie infanto-juvénile.

Avec 2317 agents non médicaux et médicaux (2191 ETP), le CHGR est l’un des principaux employeurs du département : 1717,28 ETP de soignants, 187,7 ETP d’agents techniques, 163,5 ETP d’agents administratifs, 107 ETP de praticiens hospitaliers et 15,2 ETP d’agents médico-techniques[5].

Le Budget du C.H.G.R. est de 143 millions d’euros en 2011 (dont 113 pour le Centre Hospitalier)[5].

Un redécoupage des secteurs, minutieusement préparé sur la base des bassins de vie, des pays, des circonscriptions d'action sociale, a été validé par l'ARH en 2007 et mis en oeuvre début 2009.

Psychiatrie adulte

9 secteurs de psychiatrie générale redéfinis en 7 pôles.

  • Le Pôle Hospitalo-Universitaire de Psychiatrie Adulte (réunit les Secteurs 35G03, 35G09, 35G12 et le SPAO) : son territoire correspond au secteur nord de Rennes et à un territoire situé à l'est et au sud-est de Rennes. Ce secteur est sous la responsabilité médicale du Professeur DRAPIER, Professeur des Universités-Praticien Hospitalier.
  • Le Pôle 35G04 Pays de Fougères. Chef de pôle et de secteur : Dr ARESU
  • Le Pôle 35G05 : Centre ville et quartiers ouest de la ville de Rennes. Chef de pôle et de secteur : Dr LEMARIE
  • Le Pôle 35G06 Pays de Vitré et La Guerche. Chef de pôle et de secteur : Dr GALLINAND
  • Le Pôle 35G07 Communes nord ouest et Rennes Métropole Nord. Chef de pôle et de secteur : Dr ROUBINI.
  • Le Pôle 35G08 Pays de Brocéliande et Rennes Métropole Ouest. Chef de pôle et de secteur : Dr BINEAU-ELLEOUET
  • Le Pôle 35G10 Rennes sud : Chef de pôle et de secteur : Dr PISTIEN
  • Le CHGR dispose également d'un Service intersectoriel psychiatrique d'Accueil et d'Orientation (SPAO) qui accueille les patients de 9h à 22h en vue d'une orientation.
  • Les Urgences psychiatriques sont assurées au sein des Services des Urgences générales et pédiatriques du Centre hospitalier universitaire de Rennes (sites Sud et Pontchaillou) des Centres Hospitaliers de Fougères, de Vitré; Les psychiatres et les infirmiers interviennent également en psychiatrie de liaison au sein des unités de soins de ces établissements.

Psychiatrie Enfants et Adolescents

Centre de pédopsychiatrie du Bois Perrin

3 pôles de psychiatrie infanto-juvénile.

  • Pôle 35I02 : son secteur correspond au nord/nord-est de la ville de Rennes et du département de l'Ille et Vilaine. Le Dr FOUQUERE est Chef de pôle et d'intersecteur.
  • Pôle 35I03 : son secteur correspond à l'ouest de la ville de Rennes et du département de l'Ille et Vilaine. Le Dr LEVENEZ chef de pôle et d'intersecteur.
  • Pôle Hospitalo-Universitaire de l'enfant et de l'adolescent I04-I09 : son territoire correspond au sud de la ville de Rennes et du département de l'Ille et Vilaine. Le Pr TORDJMAN est chef de pôle associant l'intersecteur I04 et le service intersectoriel pour adolescents et jeunes adultes I09.

Les hospitalisations des jeunes se déroule au sein du site hospitalier du Bois Perrin, site de pédo-psychiatrie situé près du site principal et regroupant les unités d'hospitalisation, de consultations et d'hôpitaux de jour.

Par ailleurs, le C.H.G.R a développé une prise en charge spécifique et intersectorielle des Adolescents et Jeunes adultes avec notamment d'une unité spécialisée pour cette population, un centre de consultation, une maison des adolescents, des Points santé pour les étudiants des universités Rennes I et Rennes II et un accueil au sein des urgences de pédiatrie de l'Hôpital Sud.

Enfin, le C.H.G.R. a développé plusieurs spécialisations avec :

  • Un Service d’Éducation et de Soins Spécialisés à Domicile. Le SESSAD "Mille Sabords" intervient à domicile dans un rayon de 30 km autour de Rennes.
  • Un espace autisme et autres TSA. Il existe à Rennes depuis le 1er septembre 2011 et s'adresse aux enfants et adolescents jusqu’à 16 ans pour dépister et/ou diagnostiquer porteurs d’un TED.
  • Une unité de consultation pour enfants à haut potentiel en difficulté scolaire (Pr TORDJMAN)
  • Une unité de consultation de stress post traumatique

Pôle Addictions et Précarité

Centre L'Envol du Centre Hospitalier Guillaume Régnier de Rennes

Chef de pôle : Dr LATREUILLE

Dans le domaine des addictions, le C.H.G.R [6] assure l'accompagnement, le suivi et les soins en Addictologie, Toxicomanie, Tabacologie. ainsi que des missions de santé publique, notamment dans le domaine de l’usage nocif et de la dépendance aux substances psychoactives (alcool, drogues et tabac).

  • le CSAPA l'Envol pour les toxicomanies
  • le CSAPA de la rue St Melaine à Rennes, l'unité d'hospitalisation Les Iris et l'Hôpital de jour pour l'Alcoologie
  • l'équipe de liaison en tabacologie;
  • l'équipe mobile de précarité (prise en charges des besoins en santé mentale pour les personnes en situation de précarité et d'exclusion)
  • une équipe inter-hospitalière (CHU, CHGR, clinique St Yves) coordonne les actions et les prises en charges des troubles alimentaires graves. Elle intervient aussi sous le format équipe mobile
  • enfin une unité intersectorielle mutualisée (UMA) entre les pôles 35G05, 35G08 et 35G10 assure les soins aigus en alcoologie aux patients de ces 3 secteurs.

Psychiatrie en Milieu Pénitentiaire

Ce Pôle regroupe deux dispositifs de soins à destination des patients placés sous main de justice au sein des établissements pénitentiaires.

Chef de pôle : Dr HENRY

Le SMPR situé au Centre Pénitentiaire des hommes de Rennes-Vezin[7] intervient également au sein du Centre pénitentiaire des femmes situé à Rennes. Il assure une mission régionale et des actions au titre du postpénal auprès d’une population adulte.

Le SMPR met en œuvre des actions de prévention, d’aide au diagnostic, de soins des troubles mentaux au bénéfice de la population incarcérée dans l’établissement où le SMPR est implanté ou en provenance des établissements pénitentiaires relevant du secteur de psychiatrique en milieu pénitentiaire qu'est la Bretagne : établissements pénitentiaires de Brest, St Brieuc, St Malo, Vannes et Lorient-Ploemeur.

L'Unité Hospitalière Spécialement Aménagée est une unité de soins ouverte en septembre 2013 sur le site du Centre Hospitalier[8].

Cette unité assure l'hospitalisation des personnes placées sous main de justice et nécessitant des soins psychiatriques en hospitalisation complète. Les patients (prévenus et détenus) peuvent être accueillis avec ou sans leur consentement. L'UHSA de Rennes accueille des patients issus des établissements pénitentiaires des Régions Bretagne, Pays de la Loire et Basse-Normandie.

Pôle Médico-Technique

Il regroupe

  • la pharmacie (Pr BURGOT)
  • le laboratoire de biologie ( Dr CORITON)
  • le service des spécialités médicales (Dr MOREAU) réunissant une unité d'anesthésie, des consultations de cardiologie, pneumologie,gynécologie, ophtalmologie, radiologie, stomatologie et chirurgie dentaire, et la coordination de la médecine générale avec des médecins correspondants dans chaque pôle de psychiatrie générale.
  • une unité de kinésithérapie
  • une équipe de coursiers

Cellule d'Urgence Médico Psychologique (CUMP)

Le préfet d'Ille et Vilaine, Préfet de la Région Bretagne, a confié au CHGR la CUMP 35. Cette cellule est mobilisée par le Préfet dans le cadre des plans rouges et intervient en lien avec le SDIS ou le SAMU.

La CUMP 35 est en outre chargée d'une mission de coordination des CUMP de Bretagne.

Pôle Handicap Psychique et mental

Chef de pôle : Dr COREAU-GUILLET

Le CHGR a développé une offre médico-sociale par le biais notamment des Maisons d'Accueil Spécialisées (MAS) destinés aux personnes adultes atteintes d'un handicap psychique qui nécessitent une surveillance médicale et des soins constants.

  • La Maison d'Accueil Spécialisée du Placis Vert à Thorigné-Fouillard assure l'accueil permanent de 160 personnes.
  • La Maison d'Accueil Spécialisée Ty Héol à Betton assure l'accueil permanent de 60 personnes.

Personnes Âgées

Chef de pôle : Dr SHPAK

Le Pôle personnes âgées assure l’accueil au sein de 3 unités :

Ce Pôle assure également l'accompagnement et le suivi d'un dispositif "Accueil Familial et Social" à destination des personnes âgées et/ou handicapées pour proposer une alternative à l'hospitalisation. (30 places)

Structures d'aide à la réinsertion

Le CHGR participe à Maffrais-Services qui est un ESAT (anciennement CAT) avec Section annexe (SACAT) employant des travailleurs handicapés en vue de leur réinsertion dans des ateliers divers dont un atelier "éclaté" permettant des emplois protégés en milieu ordinaire.

Le CHGR participe également aux cotés de Fil Rouge à la recherche d'emplois adaptés pour des patients psychologiquement fragilisés.

L'institut de formation

Le Centre Hospitalier dispose d’un centre de formation qui regroupe notamment un Institut de Formation en Soins Infirmiers et un Institut de Formation Aide-Soignant situé en bordure du campus universitaire RENNES 1 et à proximité du site principal du C.H.G.R.

La formation des infirmiers est assurée dans l'établissement depuis les années 1950. Jusqu'en 1992 (date du diplôme unique), on y assurait la formation des infirmiers de secteur psychiatrique ; il comprenait déjà une école d'aides-soignants. Son infrastructure a su évoluer. Il a été agrandi et modernisé en 2003.

Notes et références

Lien externe

Le site internet du Centre Hospitalier : http://www.ch-guillaumeregnier.fr

Le site internet de l'Institut de formation du CHGR : http://www.ifsi-chgr.fr