André Bonnaire
André Jean Marie Bonnaire | |
Fonctions | |
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Député français | |
– (2 ans, 10 mois et 16 jours) |
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Élection | 2 janvier 1956 |
Circonscription | 3e du Nord |
Législature | IIIe (Quatrième République) |
Groupe politique | RRRS |
Conseiller général du Nord | |
– (13 ans et 4 mois) |
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Circonscription | Canton de Landrecies |
Prédécesseur | Georges Lefèvre |
Successeur | Édouard Bantigny |
Conseiller départemental du Nord[1] | |
– (2 ans) |
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Prédécesseur | Louis Gillet |
Successeur | Georges Lefèvre |
Maires de Landrecies | |
– (14 ans et 9 mois) |
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Prédécesseur | Roger Robert |
Successeur | Édouard Bantigny |
– (3 ans et 9 mois) |
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Prédécesseur | Louis Gillet |
Successeur | Roger Robert |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Landrecies (Nord) |
Date de décès | (à 61 ans) |
Lieu de décès | Landrecies (Nord) |
Nationalité | Française |
Parti politique | RPF, Rad.soc. |
Profession | Employé des chemins de fer |
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Maires de Landrecies | |
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André Jean Marie Bonnaire, né le à Landrecies et mort le dans la même commune, est un homme politique français.
Biographie
[modifier | modifier le code]Employé des chemins de fer, André Bonnaire est maire de Landrecies, en France, à deux reprises : de décembre 1940 à septembre 1944, période où il est nommé conseiller départemental du Nord par le gouvernement de Vichy, et d'octobre 1947 jusqu'à son décès.
En octobre 1945, il est candidat sur la liste radicale-socialiste dans la troisième circonscription du Nord mais celle-ci n'obtient aucun élu. À nouveau candidat en juin 1946, sur la liste du Rassemblement des gauches républicaines (RGR), il n'a pas plus de succès.
André Bonnaire fait son entrée au conseil général en 1949, en étant élu dans le canton de Landrecies sous l'étiquette du RPF. Réélu en 1955, avec le Parti radical-socialiste, il reste sur les blancs de l'assemblée départementale jusqu'à sa mort.
Tête de liste du PRS aux élections législatives de 1956, il parvient à se faire élire député de la 3e circonscription en recueillant 42 389 voix et devient le premier élu (sous la IVe République) du Parti radical dans le département du Nord. Il ne se représente pas en 1958 après avoir échoué aux élections sénatoriales organisées quelques mois avant. Candidat de la Gauche démocratique un an plus tard, il recueille seulement 49 voix et ne réussit pas à entrer au Palais du Luxembourg.
Une place de Landrecies porte son nom.
Détail des fonctions et des mandats
[modifier | modifier le code]Mandat parlementaire
[modifier | modifier le code]- - : député du Nord
Mandats locaux
[modifier | modifier le code]- - : maire de Landrecies
- - : conseiller général du canton de Landrecies
- - : maire de Landrecies
Décorations
[modifier | modifier le code]- Officier d'Académie
- Officier de l'ordre du Mérite agricole
- Chevalier du Mérite social
- Médaille d'honneur de la SNCF
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressource relative à la vie publique :