Wikipédia:Oracle/Archives/Physique

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Les éclairs et le tonnerre[modifier le code]


la lune gggglughfhhfyu

Plus vite que la lumière...[modifier le code]

Imaginons (cela est impossible, je l'explique plus bas, mais imaginez pour l'instant :P) que l'on produise un fil de nylon (ou d'autre chose, peu importe), assez long pour relier la Terre à la Lune. Sur Terre, un opérateur (en fait plutôt une machine) tiendrait une extrémité du fil, sur la Lune, une autre machine tiendrait l'autre extrémité. Le fil est supposé tendu, la distance Terre-Lune constante. La machine terrestre pourrait, en tirant le fil, transmettre des informations, d'ordre analogique ou numérique, à la seconde instantanément. Or, si on remplaçait ce dispositif en mettant à la place un faisceau laser (la lumière étant à ce jour ce qui se déplace le plus vite), le message mettrait un peu plus d'une seconde pour atteindre la Lune.

L'information pourrait-elle alors transiter plus vite (d'une seconde) que la lumière ?

2 jul 2005 à 18:12 (CEST) Vlad2i поговорить / أن يتحدّث

  • Quand tu tires sur un fil, la propagation n'est pas instantannée. Elle est même beaucoup plus lente que la lumière, de l'ordre de grandeur de la propagation d'un son . C'est le temps de propagation de groupe propre au fil que tu utilises. Next one? ArG@m% 2 jul 2005 à 18:29 (CEST)
  • Pas d'accord, quand je tire un fil rigide (métal si tu préfères), tu vas pas me dire qu'il y a un « temps » avant que l'autre bout du fil se déplace ??? 2 jul 2005 à 18:47 (CEST) Vlad2i поговорить / أن يتحدّث (qui ne comprend plus rien)
Si, bien sur, aucune matière n'est infiniment « rigide ». — NoJhan ♥! 3 jul 2005 à 15:57 (CEST)
  • Quand tu tires sur un bout les atomes de ce bout subissent une force qui les écartent de leur état d'équilibre, ils ont tendance à le retrouver en transmettant la force aux atomes voisins. Ceci n'est pas instantané. Mais pour mieux comprendre procède à l'inverse: tend très fort une très longue corde et coupe à un bout. Tu filmes avec une caméra et tu verras que l'autre bout reste tendu un court instant. Si tu n'es pas convaincu alors tu as inventé un moyen de transmission plus rapide que la lumière. nezumidiscuter 2 jul 2005 à 20:40 (CEST)


  • En fait toute matière est élastique , ainsi lorsque tu tire un fil rigide (métal si tu préfères) l' autre extrémité reste à sa place quelque temps où quelques micro-secondes . En d' autres termes le fil s' allonge pendant un bref instant invisible à l' oeil nue . Zigotodiscuter 3 jul 2005 à 15:14

Détermination du Zéro Absolu[modifier le code]

Salutation, Je me souvient vaguement avoir d"terminé le Zéro Absolu lors d'un TP de phisique en classe de 1er (c'ètait donc l'année dernière). Mais je ne ùe souvient du protocole expérimental qui nous avait permis de réaliser cet exploit. D'où ma question: Chères Oracles, Comment a t'on déterminé le Zéro Absolu? --++MEJDIEU++

Je me souviens avoir eu un cours théorique là dessus il y a bien longtemps... Un rapport avec les gaz farpaits dirais-je, su moins c'est peut etre ce qui a mis certains chercheurs sur la piste... 3 jul 2005 à 19:10 (CEST) Vlad2i поговорить / أن يتحدّث

Quand un gaz de volume constant est refroidi, sa pression décroît avec la température. Dans la pratique, on ne peut descendre en dessous du point de liquéfaction du gaz, mais la courbe expérimentale de la température en fonction de la pression peut être extrapolée jusqu’au point où la pression devient nulle et qui correspond au zéro absolu. Cette détermination expérimentale est cohérente avec les définitions théoriques du zéro absolu. L’état de zéro absolu a été approché par différents procédés, mais n’a jamais pu être atteint effectivement.

En théorie, lorsqu’un ensemble d’atomes est refroidi à la température du zéro absolu, ceux-ci restent animés de mouvements de translation, vibration et rotation. Cependant, ils se retrouvent tous dans le même état d’énergie : l’état fondamental. Lorsque la température est différente du zéro absolu, chaque atome peut être dans différents états d’énergie. La température mesurant une moyenne, plusieurs configurations peuvent donner la même mesure de température. Or le nombre de configurations que peut prendre un système à une température donnée est appelée entropie, qui mesure le désordre dans le système. Le zéro absolu peut ainsi être défini également comme étant la température à laquelle l’entropie de tout système est nulle. rondoudou 3 jul 2005 à 21:45 (CEST)

Je me souvient maintenant!!
pV=nRT, dont T = k*V
Avec k une constante si l'on considère un cas avec n et p sont invariants.
Avec un chauffe ballon et un système de mesure de volume gazeux (bassine d'eau+tuyau+éprouvette renversée) on peut alor tracer la droite représentant T=k*V et en déduire k.
Deux nouvelles questions me viennent alors :-)):
(Scusé, la présentation est vraiment pas terrible mais je sais pas encore faire un retour à la ligne ni de liste ni et de menu déroulant; alors vous comprenez...)
(o) Est-ce-qu'avec ce protole expérimentale la pression est bien contante?
(o) Est-ce que l'équation des gaz parfait est bien antèrieur a la détermination du Zéro Absolu? ( 0Kelvin=-273,25°C )
--++MEJDIEU++ 4 jul 2005 à 00:50 (CEST)
  1. La première question est évidente : ayant fait l'expérience l'année dernière et l'ayant fait sans pressurisé les éléments de l'expérience je dirais que la pression est restée constante à 1 atm (1015 Hpa).
  2. va voir sur [[1]] (Kelvin) et sur [[2]] pour Boyle-Mariotte (ou gaz parfaits). Ainsi tu apprendra que Lord Kalvin n'a inventé son échelle qu'au XIXème et Mariotte (bien que le site pointé soit confu dans ses dates) à lui vécu au XVIIème : antériorité majeure pour la loi des gaz parfait.Adtech
Merci à tous!--++MEJDIEU++ 5 jul 2005 à 14:11 (CEST)


Particules et forces[modifier le code]

Bonjour

J'ai commencé à lire les articles de physique de votre encyclopédie. Je ne suis pas moi-même physicien, ni d'ailleurs scientifique. J'aimerais avoir l'avis d'un physicien sur un point que je ne comprends pas. Dans l'article Matière, il y a écrit: Les bosons (avec, parmi eux, le photon), qui transportent les quatre forces fondamentales, ne sont donc pas considérés comme de la matière, même s'ils possèdent une énergie et une masse.

Ce que je ne comprends c'est comment la force est transportée. Ce problème resurgit (en tout cas pour moi) dans d'autre cas :

   * le photon transmet la force électromagnétique,
   * les gluons transmettent la force nucléaire forte,
   * les bosons faibles transmettent la force nucléaire faible,
   * le graviton transmettrait la force gravitationnelle.

Excusez moi si je parais ignorant (ce que je suis en fait!) mais l'idée d'une force transportée par des particules m'évoque l'image de petits bonhommes qui déplacent quelque chose avec leurs petits bras. C'est assez obscur. Mais je suppose que cela tient à la vulgarisation, et non à la théorie. Peut-on se représenter tout cela d'une manière moins anthropomorphique et moins scolastique ? En vous remerciant, Erik.

Le problème tient en fait de la représentation d'objet à la fois ondes et particules. En effet on peut parler d'ondes gravitationnelles comme d'ondes éléctro-magnétique. La force ne serait alors que la résultante des actions qu'exercent ces particules porteuses d’interaction fondamentale sur les atomes qu'elles rencontrent. Ainsi il faudrait concevoir que chaque atome (ou pour être plus précis chaque particule élémentaire ayant une masse) émet des gravitons qui attiraient les autres particules rencontrées. Il en iraient de même pour la forces forte dont l'action est cependant limité au sein du noyau (toujours pour plus d'exactitude elle ne s'exerce qu'entre quarks, et puisque les noyaux contenant les quarks sont très éloignés les uns des autres par rapport à la taille des quarks, cette attraction n'a de réel effet que sur les quarks agglutinés au sein du noyau, la force étant décroissante avec la distance). Petite précision certains partisans de la théorie de la relativité générale contestent toujours l'existence des gravitons qui reste encore théorique. Cependant une démonstration empirique de l'existence des ondes gravitationnels sera bientôt menée en Italie par le système VIRGO (comment on a aucun article précis sur le sujet ????) qui est expliqué ici (oh râge ! oh désespoir ! un lien externe) Si la semoule que je vous livre n'est pas claire, il faudra faire plein de beaux schémas. Mais pour vous aidez à comprendre, abandonnez l'image de chaque particule portant une mini-force et imaginez plutôt un champ de système automatique de projection multidirectionnelle de balles de tennis (oui je sais avec les heures mes analogies se dégradent) les forces ne seraient que les résultantes des innombrables collisions entre ces balles de tennis (bosons) fusant dans tout les sens et les projecteurs (les fermions). Les projectiles étant trop petit pour se rencontrer dans un si vaste espace (les bosons n'étant qu'en une seule dimension, ils ne peuvent pas entrer en collision, c'est à dire intéragir entre eux) Wart dark discuter 4 jul 2005 à 21:13 (CEST)

Merci, c'est déjà plus clair, même si je ne comprends pas comment la science rend intelligible ces interactions. Par exemple (au risque d'abuser de votre temps) : «il faudrait concevoir que chaque atome (ou pour être plus précis chaque particule élémentaire ayant une masse) émet des gravitons qui attiraient les autres particules rencontrées.» D'autre part, si une force est résultante des actions des particules, qu'est-ce qui est le plus fondamental, de la force ou de la particule ? Et où est la force lorsqu'elle n'agit pas (lorsqu'il n'y a pas encore d'interactions) ? Sinon, n'existe-t-il pas des articles de vulgarisation sur votre encyclopédie, je veux dire des articles qui permettraient d'avoir une vision d'ensemble des notions de la physique ? Erik 5 jul 2005 à 14:18 (CEST)

Il pourrait être rédigé, si quelqu'un se lance dedans ! Personellement je pars en vacances pendant 1 mois et demi hors d'atteinte de toutes technologies dépassant le simple téléphone fixe (véridique) et je m'occupe actuellement de sujets de chimies et d'histoire antique. Mais ces articles pouvant être améliorés par tous, je pense que si vous revenez dans quelques mois ce sera déjà beaucoup mieux. Par rapport à la question « où est la force lorsqu'elle n'agit pas ? » la réponse est simple dans une telle situation la force n'existe pas, c'est un peu comme si vous aviez posé la question « où est le mouvement lorsque l'objet est immobile ? » Nul part tout simplement. Par rapport à la question qu'est ce qui est le plus fondamentale de la force ou de la particule, il faut comprendre qu'une force particulière est la conséquence d'un ensemble de particules particulières, ainsi une force de gravitation n'est que le résultat à l'échelle macroscopique des intéractions de particules à l'échelle microscopique. Il s'agit du même phénomène, seul l'angle de vue est différent. On définit une force par le système (l'objet) sur lequel elle agit, sa direction, son sens, et sa norme (son intensité). Mais tout ceci ne dépend bien que de la somme de toutes ces intéractions. Une force pourrait être résumé par l'action d'une ou plusieurs particules (en pratique seulement plusieurs). L'analogie avec le mouvement me parait vraiment très bonne, la particule n'est qu'un projectile, et la force son mouvement si on simplifie beaucoup la chose. Après il faut comprendre que ce mouvement implique nécessairement d'autres particules par des collisions. Une sorte de billard géant, la table étant l'univers. Wart dark discuter 5 jul 2005 à 21:16 (CEST)


Le mystère du vélo[modifier le code]

Ô Oracle,

Une question me tourmente depuis que je fais du vélo: pourquoi est-ce plus facile de garder l'équilibre sur un vélo en mouvement que sur un vélo à l'arrêt?

Merci des éventuelles lumières

Bonjour, l'effet qui est la cause de cet équilibre porte le nom d'effet gyroscopique (un article malheureusement pas encore créé), qui anime également les toupies, et dérive du gyroscope. Le mouvement rotatif des roues du vélo centre les forces sur un axe haut-bas (pour simplifier), ce qui fait que les forces axeés gauche-droite sont moins importantes. 9 juillet 2005 à 18:10 (CEST) Vlad2i поговорить / أن يتحدّث
J'avais un léger doute... ayant l'impression que l'important dans cet équilibre c'était plutôt la force centrifuge. Une petit recherche sur google : vélo + effet gyroscopique m'amène ici où tout est très bien expliqué. HB 9 juillet 2005 à 18:44 (CEST)[répondre]
La force centrifuge te pousse vers l'extérieur dans les virages (comme en moto :) GôTô #4 [+] 9 juillet 2005 à 23:07 (CEST)[répondre]

Merci, Ô Oracle. J'ai consulté tes scriptures, et j'en retire qu'en mouvement, le vélo a tendance à tourner vers le côte de la chute. Cette inclinaison produit alors une force centrifuge qui permet le rétablissement du vélo, et ainsi de suite... Cymbaloum 10 juillet 2005 à 01:21 (CEST)[répondre]

Bon sang, et dire que je me suis tapé des études scientifiques juste pour entendre la réponse a cette question, et que je l'apprends aujourd'hui ! MERCI l'Oracle !! le Korrigan | bla 11 juillet 2005 à 10:40 (CEST)[répondre]
La force centrifuge n'explique pas pourquoi le vélo reste stable quand on ne tourne pas. Comme le disait Vlad2i, c'est bien la stabilité gyroscopique des roues qui fait qu'on ne se casse pas la figure. Cette stabilité gyroscopique veut que l'axe des roues garde la même direction. On peut s'imaginer le vélo avec une barre de fer dans l'axe de chaque roue (je ne sais pas si je suis clair, là...), donc on est stable. Corollaire: il est difficile de tourner les roues quand elles sont en rotation, et plus elles rotatent vite plus c'est difficile. Neuceu 13 juillet 2005 à 10:23 (CEST)[répondre]
As-tu lu le site que j'avais mis en référence qui explique qu'un vélo va rarement tout droit, que c'est l'instinct du cycliste déplaçant la roue du côté de la chute qui rétablit les déséquilibres et que "en pratique, les forces gyroscopiques ne sont appréciables qu'avec une roue massive tournant très vite, ce qui n'est pas le cas de la bicyclette. L'ingénieur anglais David Jones construisit il y a une quarantaine d'années un vélo dont la roue avant était doublée d'une roue de même masse tournant en sens contraire. Étant opposés, les deux couples gyroscopiques s'annulaient : cette bicyclette s'avéra pourtant aussi stable qu'une machine normale." ? HB 13 juillet 2005 à 11:34 (CEST)[répondre]
C'est bien un mélange de force centriguge et de stabilité gyroscopique qui nous fait tenir sur un vélo. Et je ne suis pas sûr qu'un vélo « aille rarement tout droit », au contraire même. La force centrifuge est facile à appréhender, puisque nous pouvons en faire l'expérience soit directement( quand une voiture prend un virage serré par exemple) soit indirectement (en faisant tournoyer un sac par exemple). Il en va autrement pour la stabilité gyroscopique, le seul exemple qui me vient à l'esprit est la rotation d'un patineur à la fin de son spectacle. Ce n'est pas donné à tout le monde de tournoyer aussi vite. Donc je comprends la question posée en omettant la force centrifuge puisqu'elle me paraît naturelle et allant d'elle-même.
Et c'est bien la stabilité gyroscopique qui rend le vélo stable quand il va tout droit, la force centrifuge n'a rien alors rien à y voir. Neuceu 13 juillet 2005 à 12:23 (CEST)[répondre]

Petite intervention sans prétention. Quand j'étais adolescent (il y a un siècle environ) je m'amusais avec mon cousin à faire des trucs avec la roue avant de mon vélo. Je la démontais et je la faisais tourner vivement dans les airs e nretenant l'essieu. Je la maintenais ensuite seulement en posant un bout de son essieu sur le côté de mon index. La roue continuait de tourner et son axe se maintenait tout à fait horizontal comme s'il avait été fixé à ses deux extrémités. C'était très rigolo (bien que dur pour la peau des doigts) et nous ne comprenions absolument pas alors pourquoi la roue tombait (l'axe s'inclinait) lorsqu'elle cessait de tourner. Nous avons ensuite appris à l'école l'existence de l'effet gyroscopique et sommes devenus brillants!

Fonctionnement des ohmètres analogiques[modifier le code]

Ô Oracle, je viens te demander ton aide pour mon examen d'électricité. Je sais qu'un ohmmètre analogique est constituée d'une source de tension connue, d'un galvanomètre et d'une résistance variable. Mais le reste m'est bien flou. J'aimerai avoir davantage d'explications sur les ohmmètres simples (à générateur de tension fixe et résistance interne connue). Pouvez-vous m'expliquer le montage des trois composants en série et parallèle ? Quand faut-il utiliser un ohmètre du premier type ou du deuxième type ? De quelle façon l'aiguille est-elle déviée ? Au fait, quand est apparu le premier ohmètre ?--youssef 14 juillet 2005 à 19:56 (CEST)[répondre]

Bonjour :) Je ne saurais vous éclairer que sur l'ampèremètre (qui mesure le courant, et donc d'après la loi d'Ohm - U = R.I - la tension). L'influence d'un champ magnétique dépend du courant. Une aiguille est donc plus ou moins attirée / repoussée selon que le courant est plus ou moins intense. 15 juillet 2005 à 00:24 (CEST) Vlad2i поговорить / أن يتحدّث
Les deux articles dont vous mettez les liens expliquent très bien le fonctionnement, et de l'ohmmètre et du galvanomètre. Que demander de plus ? --Serged 15 juillet 2005 à 12:07 (CEST)[répondre]

Chasse d'eau[modifier le code]

Bonjour, Je voudrais savoir dans quel sens tourne l'eau lorsqu'on tire la chasse d'eau d'un WC situé exactement sur l'équateur. Quand on est dans l'hémisphère Nord l'eau tourne dans le sens des aiguilles d'une montre et dans l'hémisphère Sud c'est l'inverse donc pour l'équateur je sais pas ! Merci d'avance.216.216.32.6 25 juillet 2005 à 14:11 (CEST)[répondre]

C'est une légende urbaine basée sur des extrapolations de la force de Coriolis où quelque chose de ce genre. L'eau tourne donc dans n'importe que sens quel que soit l'hémisphère ou sur l'équateur. Pmx 25 juillet 2005 à 14:29 (CEST)[répondre]
Voir force de Coriolis#Idée reçue et le lien cité dans le paragraphe [3]. Et un autre en anglais [4]. Merci d'avoir posé la question ! J'ai appris quelque chose :-) Raph 25 juillet 2005 à 14:33 (CEST)[répondre]
C'est pas compliqué, pourtant, d'aller regarder des WC ou une baignoire et de constater que ça tourne n'importe comment. :D — Poulpy 25 juillet 2005 à 14:49 (CEST)[répondre]
Pas tous le monde n'abite sur l'équateur ! :P ~ þaצo  25 juillet 2005 à 15:42 (CEST)[répondre]
Gneuh ? — Poulpy 25 juillet 2005 à 16:04 (CEST)[répondre]
Pas si simple à observer. Le sens de rotation n'est pas toujours évident à voir et il dépend - entre autre - du récipient et du robinet utilisés. Du coup à moins de faire de nombreux essais dans plusieurs lavabos, on peut facilement avoir l'impression que l'eau tourne effectivement toujours dans le même sens. Avec un peu de malchance, le lavabo choisi se vide trois ou quatre fois de suite dans le même sens que les cyclones à la télé et l'expérience improvisée est un fiasco complet… ;-) GL 26 juillet 2005 à 20:12 (CEST)[répondre]

Waaaah, merci pour toutes vos réponses, c'est super rapide en plus. Je me suis créée un compte du coup. Ce site est très bien, j'ai déjà appris plein de trucs ! Bon bah pour la chasse d'eau désolé je croyais moi aussi à cette légende comme quoi faut pas se fier à tout.Galadrielle 25 juillet 2005 à 16:22 (CEST)[répondre]

Bienvenue parmi nous, alors ! — Poulpy 25 juillet 2005 à 18:05 (CEST)[répondre]

Si ce n'est pas la position qui détermine le sens de rotation de l'eau dans l'évier, qu'est-ce qui le détermine alors ? VIGNERON * discut. 26 juillet 2005 à 08:58 (CEST)[répondre]

La physique ! Le sens de l'écoulement initial de l'eau par exemple, la forme de l'évier, de l'orifice d'écoulement, etc. Tu peux lire l'article cité en lien, il explique cela dans le détail les forces mises en jeu. Petite expérience toute simple : dans un récipient sphérique (genre une bassine) tu perces un trou (petit au début, tu peux l'agrandir par la suite pour voir l'effet de sa taille), puis, tu mets de l'eau. Tu lui donne une légère rotation de départ, tu débouches et tu regardes. Miracle, le sens d'écoulement dépent du sens de rotation de départ ! Tu peux tester avec des récipients de différentes formes, certains provoquent un écoulement préférentiel dans un sens. — NoJhan ♥! 26 juillet 2005 à 10:49 (CEST)[répondre]

Et tu as perdu une bassine !

Force vive et force morte[modifier le code]

( à propos de l'inertie j'ai une thèse pour relier l'inertie à la gravitation, ce que jusque-là n'a pas été fait. allez sur http://members.aol.com/cnouvellon/francais.htm puis sur inertie )

Oracle, ô bel Oracle, j'aurais besoin d'un historien de la physique qui pourrait m'expliquer (en mots compréhensible par un élève de Terminale) quel était le fameux (?) débat sur la force morte et la force vive qui opposa Leibniz et ses prédécesseurs. (j'ai découvert ce débat en créant un article sur Vincenzo Riccati, je n'ai pas 3500 euros pour acheter son livre et de plus je ne comprends pas l'italien). La personne qui viendra à bout de cette quête aura mon infinie admiration. HB 27 juillet 2005 à 21:18 (CEST)[répondre]

Je ne suis pas un historien de la physique, ni même un historien ou un physicien, mais je peux peut-être donner un début de réponse.
Tout tourne autour de ce qu'on appellerait maintenant la conservation de l'énergie cinétique totale d'un système. Leibniz avait constaté que pour beaucoup de systèmes, la valeur (avec les notations physiques usuelles) se conservait et la nomma force vive (il s'agit donc du double de ce que, de nos jours, on nomme énergie cinétique). Leibniz lui opposait la force morte, qui correspondrait grosso modo à ce qu'on nomme maintenant énergie potentielle mécanique. La force morte représentait, pour Leibniz, une "force" en quelque sorte extérieure au système (une "sollicitation à bouger", comme par exemple la gravité), tandis que la force vive accompagnait le mouvement du système, une "force" interne en quelque sorte (je mets le terme "force" entre guillemets car il n'avait pas chez Leibniz la même signification physique qu'il a à l'heure actuelle). La force vive résulte bien entendu de la force morte et les deux sont liées.
Au contraire de Leibniz, d'autres physiciens préféraient prendre en compte la conservation de la quantité de mouvement d'un système mécanique . Le débat porta donc sur la véritable nature de la force vive : conservation de l'énergie cinétique ou de la quantité de mouvement ? Il fut particulièrement fructueux puisqu'il permit de clarifier la notion d'énergie et qu'une fois raffiné, le concept de Leibniz donna naissance à la première loi de la thermodynamique et à tout un pan nouveau de la physique.
Voilà, j'espère ne pas m'être trop trompé dans mon résumé et d'avoir répondu à la question. :) — Poulpy 27 juillet 2005 à 23:34 (CEST)[répondre]
Superbe! L'Oracle m'étonnera toujours. Merci. HB 28 juillet 2005 à 09:48 (CEST)[répondre]
Magnifique ! Ca mérite un article ! Neuceu 28 juillet 2005 à 21:09 (CEST)[répondre]

Ne pas agiter avant d'ouvrir[modifier le code]

Bonjour mon oraclounet !

Je me pose une question. Pourquoi agiter une bouteille contenant un liquide gazeux (soda, champagne, etc) juste avant de l'ouvrir provoque-t'il un événement... intéressant ?

En tant que plongeur, je suis parfaitement au courant des Loi de Mariotte, de Dalton et de Henry régissant le comportemant des gaz en relation avec les pressions, mais je n'arrive pas à m'expliquer cette décompression explosive. Une bouteille étant un milieu clos, les pressions devraient en permanence être dans un état d'équilibre (sauf en cas d'apport d'énergie de l'extérieur), mais il semblerait que cet état d'instabilité provoqué par une agitation perdure plusieurs minutes après la fin de l'exitation.

Donc, mon petit oraclounet, je voudrais avoir ton avis sur la question. LT-P 28 juillet 2005 à 22:37 (CEST)[répondre]

En fait, le CO2 est en état d'équilibre avant de secouer : la pression est la même dans le liquide et dans l'air de la bouteille, comme expliqué ici. En secouant, tu provoques une augmentation des rencontres des bulles, qui s'agglutinent et forment des ensembles de volume de plus en plus important, donc d'interface gaz/eau de plus en plus grande, ce qui fait que le gaz ne peut plus être dissous dans l'eau (phénomène sans doute analogue à la surfusion). Résultat, le gaz s'accumule dans l'air de la bouteille, et cela provoque la détonation à l'ouverture. Pmx 29 juillet 2005 à 00:51 (CEST)[répondre]

Dans le même style, une blague bien connue est de taper sur le goulot d'une canette de bière déja ouverte, pour voir la mousse sortir... Mon interprétation, certainement naïve, est de dire que quand la canette est ouverte, la pression du CO2 dans la bière est plus forte que la pression du CO2 dans l'atmosphère. Pour une raison ou pour une autre, l'évacuation du CO2 en excès est lente, mais quand on tape sur la bouteille, ca acélère l'évacuation des bulles de C02 qui emportent avec elles de précieux millilitres de liquide ambré... J'ai faux dans quelle mesure? Arnaudus 29 juillet 2005 à 11:47 (CEST)[répondre]


Plus dur : Pourquoi quand on ajoute du sel a du coca-cola il y'a formation de mousse ?

Ben c'est pareil qu'au-dessus (cf d'ailleurs le lien donné, qui cause de petites particules), les bulles s'accrochent aux grains et forment des ensembles plus grands (toujours cette histoire d'interface), etc., etc. Pmx 29 juillet 2005 à 14:06 (CEST)[répondre]
C'est la raison immédiate. S'y ajoute le phénomène de solubilité concurrentielle : l'eau étant plus chargée en sels, elle peut dissoudre moins de gaz et celui-ci, (encore plus) sursaturé, dégaze. Airelle 30 juillet 2005 à 13:20 (CEST)[répondre]

OK, merci à tous ! LT-P 29 juillet 2005 à 18:20 (CEST)[répondre]

Zoom Optique[modifier le code]

Hyvää Päivää, Ô Râcle,

Si on perce une feuille de carton assez rigide à l'aide d'une aiguille et que l'on regarde à travers le trou (0.7 mm environ) un objet relativement proche, il apparait plus gros et on peut apercevoir des détails sur sa surface (dans mon expérience, des grains de sels).

Un simple trou semble donc avoir un effet de zoom optique, rien de très flagrand, on atteint pas ×2, mais tout de même il est surprenant que l'abscence de dispositif optique puisse justement avoir un effet...

En bon scientifique, je me suis dit que ca ne pouvait pas avoir de rapport avec la courbure de l'espace-temps, trop faible à cette échelle, mais que c'était peut être lié à la diffraction de la lumière... qu'en penses tu ? 20 juillet 2005 à 03:45 (CEST) Vlad2i поговорить / أن يتحدّث


Le trou sténopéique est un truc connu par les ophtalmo. Comme son nom l'indique, c'est basé sur le principe du sténopé. Si tu vois mieux à travers le trou, tu as probablement un petit trouble de la réfraction. ske

Mmh ce n'est pas que je vois "mieux", c'est que je vois "plus gros". Ce sténopé m'intrigue en effet, mais sais tu d'où vient ce phénomène (puisqu'il est apparemment connu) ? 20 juillet 2005 à 16:23 (CEST) Vlad2i поговорить / أن يتحدّث

Rajoute une goutte d'eau et tu verra vraiment mieux. Papillus 27 juillet 2005 à 21:49 (CEST)[répondre]

Ca n'aurait pas un rapport avec la diffraction sur l'arete constituée par le bord du trou ? Traroth | @ 28 juillet 2005 à 15:56 (CEST)[répondre]

Boussole dans l'hémisphère sud...[modifier le code]

Bonjour,

Dans la suite du siphon de chasse d'eau, ou du lavabo...

Est-ce qu'une boussole, dans l'hémisphère sud, indique le nord aussi, ou bien le pôle... sud ?? Rien là-dessus dans l'article sur la boussole ! Merci aux marins, astronomes, ou autres scientifiques plus calés que moi de me renseigner !

--Grain de sel 28 juillet 2005 à 22:23 (CEST)[répondre]

Une boussole se comporte de façon identique dans les deux hémisphères. Le nord magnétique reste le nord magnétique. LT-P 28 juillet 2005 à 22:35 (CEST)[répondre]
Plus précisément, l'aiguille de la boussole s'aligne sur les lignes du champ magnétique terrestre et on peut considérer que ces lignes sont à peu près parallèles au sol pour la plupart des points de globe, sauf près des pôles magnétiques : par conséquent, le même côté de l'aiguille d'une boussole indique le pôle nord magnétique qu'on soit dans l'hémisphère nord ou dans l'hémisphère sud. — Poulpy 28 juillet 2005 à 23:06 (CEST)[répondre]

Quelle précision, merci ! (Dommage, je n'ai pas l'occasion d'aller vérifier...) ;-) --Grain de sel 29 juillet 2005 à 00:18 (CEST)[répondre]

Il existe un endroit de l'hémisphère sud où n'importe quel instrument indiquera le nord : c'est au pôle Sud : toute direction conduit au pôle Nord ! Airelle 30 juillet 2005 à 13:17 (CEST)[répondre]
Non. Au pôle Sud l'aiguille Nord indiquera la direction inverse du pôle sud magnétique (différent du pôle Sud géographique). Au pôle Sud magnétique, l'aiguille de ta boussole sera tout bêtement... verticale. --Serged 3 août 2005 à 18:20 (CEST)[répondre]

NB : Que tu sois dans l'hémisphère nord ou sud n'a aucune espèce d'influence sur le sens de rotation de l'eau dans ta baignoire qui se vide. C'est une idée reçue du même genre que celle voulant que l'on voie la Grande Muraille de Chine depuis la lune.
Oxag อ๊อกซัก 1 août 2005 à 01:09 (CEST)[répondre]

Supernova (du bistro)[modifier le code]

qu'est-ce qu'une supernova?

Yan 10 ans.

Bonjour Yan, l'article Supernova donne beaucoup de détails. Il s'agit de l'état de certaines étoiles en fin de vie, la lumière qu'elles dégagent devient alors très intense. D'autres Wikipédiens pourront te donner plus d'indications que moi :) le Korrigan bla 24 juillet 2005 à 19:46 (CEST)[répondre]

Bonjour.

On m a offert un telescope,et je voudrais savoir s il est normal que la vision d un ojectif dans la lunette, soit à l envers. Merci d avance de votre réponse.

En effect l'image se retrouve a l'envers dans la plupars des telescopes a couse des jeu de miroirs l'image se retrouve entierement a l'enver!
Utilisateur:rousskof

Coucher de soleils...[modifier le code]

Double coucher de Soleil ?

Bonjour, J'ai pris ce cliché (garanti réel et sans retouche !) lors d'un coucher de soleil, le reflet du soleil dans les nuages fait penser à un 2ème soleil(ce n'était pas la lune); quelqu'un connait-il ce phénomène, il paraît qu'il a un nom, mais nous l'avons oublié ?.. Si c'est le cas la photo peut servir à un article (à moins qu'on en trouve une meilleure...)! Merci de vos cogitations. --Grain de sel 29 juillet 2005 à 12:08 (CEST)[répondre]

Je pense tout simplement que le nuage était assez épais (cf couleur foncée) et qu'un "trou" dans ce nuage a permis le passage des rayons, ce qui fait penser à un deuxième soleil. FredB 29 juillet 2005 à 13:58 (CEST)[répondre]
Sinon, le phénomène de double Soleil existe vraiment et se nomme une parhélie, c'est une tache décalée de 22° par rapport au Soleil, correspondant à la diffraction de la lumière par les cristaux de glace de l'atmosphère, comme les halos. — Poulpy 29 juillet 2005 à 20:02 (CEST)[répondre]

Il peut y avoir ainsi trois soleils. Et dans la littérature çe phénomène a ses titres de gloire, car Müller dans son "Voyage d'hiver" (mis en musique par Schubert) en a fait un de ses plus poignants poèmes:

Die Nebensonnen

Drei Sonnen sah ich am Himmel steh'n,
Hab' lang und fest sie angeseh'n;
Und sie auch standen da so stier,
Als wollten sie nicht weg von mir.
Ach, meine Sonnen seid ihr nicht !
Schaut ander'n doch ins Angesicht !
Ja, neulich hatt' ich auch wohl drei;
Nun sind hinab die besten zwei.
Ging nur die dritt' erst hinterdrein !
Im Dunkel wird mir wohler sein.

Vikipedien:Eliott


Ce phénomène de parhélie, ça m'a l'air très proche de celui qui est à l'origine des mirages. N'est-ce qu'une apparence, ou les mirages sont en fait la version "traditionnelle" de ce même phénomène? PieRRoMaN - Discuter 29 juillet 2005 à 21:34 (CEST)[répondre]
Pas tout à fait : les mirages sont un phénomène de réfraction de la lumière causé par un gradient de température de l'air à l'approche du sol, tandis que les halos résultent d'une diffraction de cette lumière par des cristaux de glace à une distance conséquente du sol. — Poulpy 29 juillet 2005 à 21:46 (CEST)[répondre]

Dixit Google :«Selon le Lexis, un Parélie ou Parhélie est "un phénomène lumineux qui, comme celui du halo, est produit par la réflexion et la réfraction de la lumière solaire dans les petits cristaux de glace qui se trouvent en suspension dans l'atmosphère." Il s'agit, semble-t-il, d'un phénomène cosmique très rare.»

Et le Petit Robert :« Parhélie ou parélie, n.m., Image du soleil (dite aussi faux-soleil) due au phénomène de réfraction qui produit en même temps le halo.»

Larousse confirme : «phénomène optique (tache colorée) dû à la réflexion de la lumière solaire sur un nuage de petits cristaux de glace en suspension»

Merci et bravo à Poulpy pour l'info ! ... on en apprend tous les jours sur Wiki ! ;-) --Grain de sel 7 août 2005 à 23:03 (CEST)[répondre]

De rien. Mais l'info était déja présente sur Wikipédia, je n'ai pas de mérite. :) — Poulpy 7 août 2005 à 23:25 (CEST)[répondre]

carborandite[modifier le code]

j'ai crée un site internet sur les mineraux[(http://stoneworld.fr.fm/) (mon site)] pour determiner la dureté d'une carborandite, j'ai essayé de la rayer ou de rayer un autre minéral avec

elle a reussit a reyer du quartz mais n'a pas pu rayer du corindon, puis vis versa j'ai essayé de la rayer avec le corindon, et la elle a resisté

doit-je en conclure qu'elle est de meme dureté que le corindon? etant tres dure cette pierre poura t'elle mener a de nouvelles utilisation en raison de son cout peut elevé? quelle experience faire pour en determiner la composition?

merci d'avance

mon e-mail: rousskof (chez) free (point) fr

Pas compétent en matière de minéraux mais il semblerait que c'est un résidu de haut-fourneau. J'ai créé une ébauche d'article Carborandite avec ce que j'ai pu glaner sur la toile mais c'est à vérifier. Je crois que ta conclusion sur sa dureté est juste. Roby 22 juillet 2005 à 11:47 (CEST)[répondre]


Idem, ça semble être un déchet industriel assez joli à regarder. Si quelqu'un sait comment ça s'appelle en anglais, ça pourrait être un pas en avant. — Poulpy 22 juillet 2005 à 13:32 (CEST)[répondre]
(Nous ne répondons pas par e-mail) : "La dureté de la carborandite est de l'ordre de celle du corindon, soit 9 sur l'échelle de Mohs." < ce passage date-t-il d'avant ou d'après votre question ? Pour le mot anglais, c'est également Carborandite, mais la Wikipédia anglophone ne possède pas d'article dessus. 22 juillet 2005 à 16:30 (CEST) Vlad2i поговорить / أن يتحدّث


d'apres l'article sur le sujet, peut on dire que c'est un carbonate de silicium?PS je me suis inscrit:Utilisateur:rousskof


Je ne connaissais pas le terme de carborandite, qui laisse supposer qu'il s'agit du minerai de carborandum, ce qui est évidemment absurde (parle-t-on d'une mine de bronze ?). Mais pourquoi pas ! Ce serait alors un résidu riche en carbure de silicium, dont la dureté est intermédiaire entre celle des corindons (tels le rubis) et du diamant. Airelle 30 juillet 2005 à 12:47 (CEST)[répondre]


d'apres Airelle cette jolie pierre serait de dureté 9.5, le blem c'est que un mineral de cette dureté aurait rayé le corindon,or il ne l'a pas fait.De plus apres avoir lu l'article une chose m'a frapé,vs avez ecrit que cette pierre se rapproche de certain verres volcaniques,je n'ai observé aucune cassure conchroidale et encor moin de systeme cristalin amorphe,a l'inverse elle presente des cristaux tipiquement monoclinique,long mais fin de 0.5mm et en paradoxisme avec sa grande dureté une solidité sans faille.d'apres de nombreux sites la carborandite est d'origine indistruelle,dechet d'un certain metal,peut etre qu'elle est composé de carbure se silice mais differente du carborandum,sinon ce ne serait pas un dechet! Utilisateur:rousskof

Le terme d'intermédiaire n'était pas à prendre au sens strict : je ne sais si la dureté est exactement de 9,5 ; de toute façon, l'echelle de Mohs n'est que semi-quantitative et la différence entre les duretés 9 et 10 est, par exemple, bien plus importante que la différence entre les duretés 8 et 9.
La cassure conchoïdale est caractéristique d'une pâte minérale, non d'un cristal ; or, les cristaux sont toujours plus durs que les composés similaires amorphes.
Le carborundum est un carbure de silicium et, comme d'autres carbures, particulièrement dur. Par exemple, on utilise couramment le carbure de tungstène dans les forets. De même, l'on pourrait considérer le diamant comme du carbure de... carbone, d'où son extraordinaire dureté.
La qualité de déchet est souvent relative : un déchet pour une industrie ne l'est pas forcément pour une autre et peut même constituer une matière première, tel le soufre dans le gaz naturel. Airelle 5 août 2005 à 18:28 (CEST)[répondre]


Resumé:dureté 9; systeme monoclinique; trait bleu; cassure (reste a explorer( because: en coquille comme conchroidale mais n'est pas lisse mais intensement fissuré et rugueuse); densité: tres legere; composition: carbure de silicium(ou silicate de carbone¿?); description:se presente en long et fin cristaux noir et bleuté,dur mais très resistant, ne reagit pas avec les acide faible(c'est le premier article complet au monde sur la carborandite!!)utilisateur:rousskof

Compressibilité de la glace[modifier le code]

En discussion avec mon petit-fils: J'enferme une quantité d'eau dans un récipient absolument indéformable en ne laissant aucun espace de dilation à cette eau. Je congèle ce récipient; l'eau ne pouvant se dilater que devient-t'elle? Quelle sera le maximum de pression au cm²que va développer cette eau? Merci à celui qui pourra me renseigner. Rayjane

Le mieux est de consulter l'article sur la glace.
Mais pour répondre rapidement, si le conteneur est réellement indéformable (par rapport aux contraintes exercées, entendons-nous), alors une glace dense devrait se former dans celui-ci. En ce qui concerne la pression, je ne suis pas sur qu'elle augmente. À voir avec les physiciens de wikipédia. LT-P 13 août 2005 à 20:57 (CEST) (moi, je plonge dans l'eau non pas dans la glace :)[répondre]
Petite lecture du diagramme de phase de l'article glace.
Au fur et à mesure que tu refroidis ton récipient indéformable et incassable, la glace normale (Ih, densité 0,9, quasiment incompressible) aura de plus en plus «envie» de se former mais n'aura pas la place. L'eau restera liquide tandis que la pression augmentera de plus en plus. À un certain point, -22,0°C et 2043 atmosphères, il pourra se former un mélange 64%:36% de glace Ih (densité 0,92) et de glace III (densité 1,14). Si tu refroidis davantage, tu te retrouves avec un mélange 68%:32% de glace Ih et de glace II (densité 1,17), ça a lieu à -34,7°C et 2092 atmosphères. Ensuite tu gardes ton mélange et la pression décroit au fur et à mesure que tu refroidis. Ce qui se passe à moins de -201°C est en revanche moins clair.
Régis Lachaume 22 août 2005 à 15:17 (CEST)[répondre]

Ô racle le fond[modifier le code]

Hello racle,

Je me demandais pourquoi l'altitude 0 (altitude moyenne ?) est elle directement et totalement liée et dépendante du niveau de la mer ? La profondeur la plus importante sur Terre est -12 000 mètres (en gros hein !) et l'altitude maximale est + 8800 mètres. Si je fait la moyenne cela me donne une altitude moyenne d'environ - 1600 mètres. Ce qui m'interroge c'est que le niveau de la mer est une variable (qui va bouger d'autant plus vite dans l'ère qui s'annonce et qui est inévitablement engagée) donc l'origine, l'altitude 0, est une variable donc toute altitude ou profondeur exprimé ainsi est une variable ! Ce qui me parait assez approximatif... Or la sciences est censée être précise, absolue. Pourquoi donc ne pas avoir pris l'altitude 0 égale à l'altitude moyenne, ce qui donnerait le point le plus bas à -10400 mètres et le plus haut à 10400 mètres ? Est-ce que c'est parce que l'approximation est plus importante en considérant les mouvements terrestres qu'en considérant les mouvements océanique (en gros est-ce que la mer monte plus ou moins vite que l'everest) ? Sachant que la Terre bouge et que l'Everest grimpe, la fosse des mariannes se creusent-elle ?

Sur ces questions d'une profondeur abyssale, bien le bonsoir.--•Šªgε• | | ♂ 24 août 2005 à 16:24 (CEST)[répondre]

C'est pour des raisons historiques : chaque pays a décidé son zéro de base dans son coin (sur sa mer, plutôt) ^^, et tant pis pour les autres (ça peut varierde plusieurs mètres quand même!). Pour ce qui est de la précision, consulter Géodésie. Pmx 24 août 2005 à 16:28 (CEST)[répondre]
L'article sur le niveau de la mer pourrait également répondre à certaines questions. En gros : la détermination d'un point 0 d'altitude à l'échelle du globe est un problème complexe, qui nécessite de connaître en tout lieu l'accélération de la pesanteur. On utilise à l'heure actuelle un géoïde de référence, une sorte de modélisation de la forme de la Terre.
Il y a des considérations pratiques, également : par exemple, la mer a 20 cm de différence d'altitude aux deux bouts du canal de Panama, par rapport au géoïde de référence lui-même. Si on le prend pour base des altitudes, un point pourra donc se situer à 10 cm d'altitude à un côté et être pourtant sous l'eau.
Par contre, une fois choisi (et là, c'est vraiment une question de choix ; plusieurs niveaux de référence peuvent même coexister pour un même endroit selon les systèmes qu'on utilise), le niveau de la mer est supposé constant et il est possible de faire des mesures locales avec. Evidemment, le niveau de la mer n'est pas constant sur le long terme, mais à l'échelle des civilisations humaines acutelles, personne n'a encore eu besoin de le prendre en compte. Comme tu le notais, il est possible que celà change...
Maintenant, pourquoi ne pas avoir pris la valeur moyenne des altitudes ? Déjà parce que, pour mesurer les altitudes maximales, il faut prendre un niveau de référence... Ensuite parce qu'on peut gloser à l'infini sur quelle moyenne utiliser. Et puis parce que considérer que la mer est à l'altitude 1 600 m irait à l'encontre de quantités de traditions, y compris culturelles. Sans compter que le système actuel marche bien, finalement.
Donc, finalement, pourquoi avoir pris le niveau 0 au niveau de la mer ? Tout simplement parce qu'il était jusqu'à peu impossible de trouver une valeur de référence autrement qu'en mesurant la moyenne de l'altitude de la mer. — Poulpy 24 août 2005 à 17:10 (CEST)[répondre]
Sur le mode anecdotique, le point d'altitude 0 au niveau international (comme le méridien de Greenwich pour le temps) est formalisé dans le port d'Amsterdam, et celui pour la France dans le Vieux-Port de Marseille. Et me demandez pas comment je connais et me souviens de ça !! ;) Vincent alias Fourvin (Discuter) 24 août 2005 à 17:18 (CEST)[répondre]
L'article anglais en:Sea level mentionne quant à lui que le niveau de la mer moyen est défini au Royaume-Uni à Newlyn, en Cornouailles. Pour la France, il y a effectivement un marégraphe à Marseille, mais il n'est pas dans le vieux-port. Je ne sais pas s'il donne toujours l'altitude 0. — Poulpy 24 août 2005 à 17:34 (CEST)[répondre]

Autre question[modifier le code]

Après la mer et la terre j'ai une question sur l'atmosphère. Bon la terre tourne et blablabla, la gravité donc etc. Je comprends très bien qu'un solide en contact avec le sol soit emmené au même train-train que le Terre par elle-même en revanche un solide dans l'atmosphère me fait un peu perdre la tête. Si on considère un solide léger comme un balon de baudruche gonflé à l'hélium, sa légéreté le rend totalement soumis à l'atmosphère qui va ainsi le faire tourner et puis les vents auront une très grande influence sur sa route...

Mais si on considère un solide très lourds, dont la masse est par exemple supérieur à celle de l'atmosphère (un très gros hélicoptère devrait faire l'affaire) serat-il également emmené ou pourrat-il lutter et ainsi réussir à être statique dans l'atmosphère et voir tourner la Terre sous lui ce qui signifie qu'il se déplacerait par rapport à la Terre sans se déplacer lui-même ?


En vrac, quelle est la masse de l'atmosphère ? Quelle est la masse minimal qu'un solide doit avoir pour réussir à lutter contre la Terre en étant dans l'atmosphère terrestre ? De même un avion très rapide peut il dépasser la Terre, par exemple faire 2 tours pendant que la terre en fait un ? Pourquoi un avion longeant la ligne d'équateur ne va pas plus vite lorsqu'il tourne en sens inverse de la terre, ne profite-t-il pas d'un double mouvement ?

--•Šªgε• | | ♂ 24 août 2005 à 16:50 (CEST)[répondre]

Cours de physique de seconde : Inertie. Désolé. Pmx 24 août 2005 à 16:57 (CEST)[répondre]
Bah ça ne répond pas à mes question !!!--•Šªgε• | | ♂ 24 août 2005 à 17:06 (CEST)[répondre]
Ce n'est pas l'atmosphère qui fait tourner le solide, c'est juste le fait qu'il bougeait déja dans le même sens que la Terre avant de quitter le sol. En gros, un solide n'est pas emmené par la Terre et l'atmosphère, il continue juste sur sa lancée initiale en même temps que tout le reste.
Bon, c'est vrai que c'est un concept un peu délicat, mais qui trouve son explication physique dans le concept de référentiel. Le truc à comprendre, c'est qu'il n'y a pas de vitesse absolue : toute vitesse se mesure par rapport à une autre.
Dans le cas d'un avion immobile au sol, à l'équateur : du point de vue de la Terre, la vitesse de l'avion est nulle. Du point de vue d'un type qui se trouverait dans l'espace et ne bougerait pas par rapport au centre de la Terre et la verrait tourner sur elle-même (ça serait dur, mais bon, on va dire que c'est possible), l'avion se déplace à environ 1 600 km/h, en même temps que le reste.
Maintenant, si l'avion décole et se met à voler à 1 600 km/h dans le sens contraire de la rotation de la Terre, le type dans l'espace le verrait effectivement être immobile par rapport à lui tandis que le reste de la Terre tourne.
Et si l'avion décole et vole à 1 600 km/h dans le même sens que la Terre, s'il a assez d'essence, le type dans l'espace le verra repasser au même point (pour lui) 12 h après (mais l'avion n'en sera qu'à la moitié de son tour du monde).
Donc, oui, un avion longeant la ligne d'équateur va plus vite lorsqu'il tourne dans le même sens que la Terre, mais uniquement pour quelqu'un qui n'est pas sur Terre.
Sinon, on estime que l'atmosphère pèse environ 5,1×1018 kg. — Poulpy 24 août 2005 à 17:28 (CEST)[répondre]

Bon, d'accord, la version longue (on n'a plus le doit à l'humour?) En fait, en supposant qu'il y a pas de vent et que l'air est géostationnaire (c'est bien sûr faux), il y a 2 cas : objet soumis à lui même et objet auto-propulsé, dans les deux cas, l'inertie est fondamentale. :

  • Tout seul : Ton solide, même détaché de la Terre, conserve sa vitesse initiale si la somme vectorielles de forces qui s'appliquent à lui est nulle (désolé pour cet air livresque). En gros, on cherche la densité de ton objet et sa surface exposée telles que l'air commence à avoir une influence sur sa trajectoire et/ou sa vitesse. Ça doit dépendre de la viscosité cinématique de l'air. Après, les calculs, je les connais pas, mais il faut un objet sans doute peu dense et très exposé (style ballon ou cerf-volant, et encore...)
  • Auto-propulsé:Il fait ce qu'il veut, sauf que le mouvement inverse de la terre l'aide pas, pisqu'il l'a déjà à cette vitesse.

Ai-je bien résumé? Pmx 24 août 2005 à 17:21 (CEST)[répondre]

Oui, oui bien résumé... alors quel est la masse de l'atmosphère ? Cependant une chose m'intrigue, une fusée est assez puissante pour s'arracher à la Terre alors quelle puissance faut-il développer pour lutter et réduire la vitesse initiale imposée par la Terre et est-ce possible (de la réduire cette vitesse suivons) ? De même un solide auto-propulsé venant de l'espace, donc sans vitesse induite autre que celle conférée par ses moteurs lorsqu'il pénètre dans l'atmosphère n'est pas soumis à la vitesse induite par la Terre donc il pourrait remonter le sens de la Terre, non ?--•Šªgε• | | ♂ 24 août 2005 à 17:28 (CEST)[répondre]

La fusée s'aide un peu de la vitesse de la terre en fait (on la fait juste tourner beaucoup plus vite la placer en orbite basse et de toute façon la vitesse de mise en orbite est d'environ 25000 km/h, à comparer aux 1800 km/g de vitesse de rotation à l'équateur). Pour le corps venant de l'extérieur, il subira une force importante de l'atmosphère à la fois verticale (vitesse d'impact) et horizontale (rotation de la terre). D'ailleurs cette force de frottement suffit à faire cramer un vaisseau sans revêtement spécial lors de l'entrée dans l'atmosphère (cf. le flippage à propos de Challenger) ou un météore (étoile filante). — Régis Lachaume 24 août 2005 à 22:50 (CEST)[répondre]
Notez que c'est pour ça que les bases de lancement sont situés près de l'équateur. — NoJhan ♥! 25 août 2005 à 09:17 (CEST)[répondre]
C'est loin d'être la raison principale : il s'agit surtout de pouvoir placer des satellites en orbite équatoriale ! — Régis Lachaume 25 août 2005 à 15:33 (CEST)[répondre]
Je profite de l'occasion pour dire que ce ne sont pas les frottements qui chauffent les météores et provoquent leur désintégration, mais la compression de l'air en avant du bolide. D'ailleurs, l'article étoile filante a tout faux. Hop. — Poulpy 25 août 2005 à 18:38 (CEST)[répondre]
Bah, la fusée, elle lutte pas vraiment contre la vitesse de la terre : elle fait avec. Et pis l'astéroïde, effectivement, il remonte la terre. Pour l'énergie nécessaire pour contrer la vitesse de la terre, ben on peut la calculer facile :

{RTSG}

  • Soit m la masse du solide et E l'énergie pour l'amener à contrer la vitesse de rotation de la terre sur elle même.
  • Soit v la vitesse de la terre : en gros, en m/s
  • Or E=mv²/2, ça vaut donc environ... beaucoup ^^. Pmx 24 août 2005 à 17:45 (CEST)[répondre]

rupture de spaghetti (non cuit)[modifier le code]

qui pourrait m'éclairer ? je prends un spaghetti et le saisit à chaque extrémité - je le courbe jusqu'à la rupture et j'obtiens 3 morceaux et pas 2; Pourquoi ? Danparis le 18 08 2005

Expérience à l'appui, mes spaghettis se coupent parfois en trois morceaux et parfois en deux morceaux. Donc pas de règle générale. Il faut dire aussi que le spaghetti est un matériau non homogène et qu'on ne peut donc pas lui appliquer les règles de la résistance des matériaux. Il me semble que le spaghetti va se rompre à l'endroit où 1) la flexion est importante, 2) la résistance comporte une faiblesse; Il est parfois possible que ces deux conditions se retrouvent en deux points différents. D'où la double rupture. HB 19 août 2005 à 16:57 (CEST)[répondre]

L'onde de relaxation produite lors de la rupture d'objets filaires ayant une certaine souplesse peut engendrer des nœuds de pression qui les brisent en d'autres points que le point médian, selon leur propriété de résonance. Ces points étant situés au tiers d'un spaghetto normal, il est donc cassé en environ trois morceaux. Il me semble que P.-G. de Gennes avait travaillé sur le sujet avant de plus se consacrer à la matière molle (peut-être les spaghetti cuits, d'ailleurs !). Airelle 19 août 2005 à 19:30 (CEST)[répondre]

Une équipe de modélisation en mécanique de Jussieu vient de soumettre un article à ce sujet dans la revue Physical Review Letters étudiant le phénomène. En gros, leur conclusion est qu'il y a une première rupture en un point aléatoire du spaghetti, et que le stress causé par le relâchement soudain de la pression produit une onde de choc qui se propage sur le reste du spaghetti et augmente la courbature de celui-ci jusqu'à ce que ces nouveaux morceaux cèdent. A priori et d'après ce que je comprends de leur modèle, plus le spaghetti est long, plus il devrait se briser en de nombreux morceaux. Popo le Chien (ouah ouah) 2 septembre 2005 à 21:44 (CEST)[répondre]
La courb(at)ure des spaghetti : excellent ! Airelle 4 septembre 2005 à 23:02 (CEST)[répondre]



Faut il courir ou marcher lorsqu'il pleut ?[modifier le code]

Afin de se mouiller le moins possible: Faut il courrir ou marcher lorsqu'il pleut ?

Considerez que l'eau tombe verticalement (absence de vent). Sinon cela doit compliquer la reponse en fonction de la vitesse et direction du vent

Ben, d'après [5], il vaut mieux courir, de toute façon. Et j'avais lu une étude portant sur le sujet qui disait, expérience à l'appui, qu'il valait mieux courir. Pmx 23 août 2005 à 16:51 (CEST)[répondre]

Quand on court, on expose visiblement plus de surface à la pluie. D'un autre côté, on reste moins longtemps sous la pluie. Apparemment, il vaut mieux rester moins longtemps sous la pluie. — Poulpy 23 août 2005 à 16:55 (CEST)[répondre]

D'un point de vue simpliste plus tu vas vite moins tu reste sous la pluie,
Mais pour un temps égale je pense que l'«on reste autant sous l'eau» en marchant qu'en courant.
Imaginons que l'on marche ou courre sur un dallage, on croisera autant de dalles en marchant, courant ou rampant, me tromperé-je ?

VIGNERON * discut. 23 août 2005 à 17:01 (CEST)[répondre]
Nan, pour un temps égal, il vaut mieux marcher (le lien ci-dessus dit que la quantité sur la tête ne change pas avec la vitesse, mais celle sur le corps oui, ou l'inverse, sais plus ^^). Pmx 23 août 2005 à 17:05 (CEST)[répondre]
ça n'apporte rien, mais je me souvient que dans une émission, Jérôme Bonaldi avait expliqué qu'il valait mieux courir que marcher. Il y avait eu une étude à l'époque.... Pingos 23 août 2005 à 17:13 (CEST)[répondre]
Par l'expérience, du deux roues, je dirai que l'on se mouille plus en allant plus vite, mon buste est trémpé par la pluie en moto, ce qui n'est pas le cas a pied sur la même distance.--Akhen 23 août 2005 à 17:16 (CEST)[répondre]


Au moins un article a été publié, dans les années 1990 je crois, par des physiciens : la réponse dépendait du vent et du sens de la marche : en présence de vent, il vaut mieux courir dans le sens du vent (tant pis pour vous si vous vous éloignez !) ; sans vent, je ne sais plus. Airelle 23 août 2005 à 19:11 (CEST)[répondre]

Le mieux c'est d'investir dans un bon parapluie, je me mouille pas trop la ;) Jef-Infojef 23 août 2005 à 21:36 (CEST)[répondre]

(Déplacé dans la bonne section : TP 23 août 2005 à 22:17 (CEST))[répondre]

Assimilons l'homme à un parallélipède rectangle de hauteur h, largeur l et profondeur p, se déplaçant à une vitesse vhomme. On considère une pluie tombant avec un débit D, avec le vent vvent et une vitesse de chute en l'absence de vent vpluie... — Régis Lachaume 23 août 2005 à 21:49 (CEST)[répondre]

Je crois que le mieux, c'est d'avoir un parapluie!!! 24 aout 2005 2:10 (mtl)

Par exemple, pour un cycliste (c'est assez dangereux de se rouler à vélo en tenant un parapluie) il vaut mieux ne pas chercher à aller très vite, et rejoindre le premier abri disponible où l'on pourra tranquillement attendre la fin de l'ondée (en France, les averses inopinées sont rarement très longues) : http://www.geocities.com/veloptimum/divers/lecon_physique.html
-- AlNo (m'écrire) 24 août 2005 à 14:21 (CEST)[répondre]

Je n'ai pas trouvé la référence de la publication, mais j'ai voici quelques solutions (aqueuses !) :

  • L'historien : que d'eau, que d'eau !
  • Le biologiste : l'eau, c'est la vie !
  • Le chimiste : il suffit de s'enduire de déhydroperlimpinpinate de dodécylsilane afin de se rendre hydrofuge ;
  • Le géographe : question idiote : en Antartique, il ne pleut jamais !
  • Le mathématicien : supposons que l'eau ne mouille pas...
  • Le mystique : ce déluge est l'expression de la volonté divine : la solution est de prier !
  • Le philosophe : un peu d'eau n'a jamais tué personne !
  • Le physicien : modélisons le corps humain comme un hyperboloïde à quatre rebroussements d'un volume de 50 dm3 et chaque goutte d'eau comme une sphère d'un volume de 10-7 dm3. Si la composante horizontale du vecteur vitesse moyen de la pluie est...
  • Le statisticien : le corps humain est composé à 63,1 +- 0,9 % d'eau ; mouillé, sa teneur en eau est de 63,2 +- 0,9 % : à 99 % de confiance, il n'y a aucune différence significative. Il n'y a donc pas de problème.

Airelle 24 août 2005 à 19:15 (CEST)[répondre]

Réponse toute simple par raisonnement par l'extrème : Marche à 0.00002 ms-1 à l'allée puis court à 300 000 kms-1 au retour et compares. A mon avis il vaut mieux courir! --Lisaëlcauser 3 septembre 2005 à 00:36 (CEST)[répondre]



Soleil + Nuage = ?[modifier le code]

Cher Ôracle Comment se nomme les rayons du soleil traversant les nuages ? Des lointains souvenir m'indiquait le quelquechose d'un archange mais ...
Pour avoir une représentation visuelle ici ici aussi, , même à l'envers
Prière de ne pas répondre rayon de soleil, sous-peine de décridibilisation et chute d'estime...

VIGNERON * discut. 23 août 2005 à 19:04 (CEST)[répondre]
Des rayons crépusculaires (en anglais : Crepuscular rays). Ils ne se produisent pas forcément au crépuscule, juste plus souvent à ce moment là. — Poulpy 23 août 2005 à 19:25 (CEST)[répondre]

Mouais, j'avais un prénom en tant style lance de Michel, Larme de Gabriel... un truc plus poétique quoi
Cette photo est encore mieux

VIGNERON * discut. 23 août 2005 à 20:14 (CEST)[répondre]
« Échelle de Jacob » ? — Poulpy 23 août 2005 à 20:31 (CEST)[répondre]

Bien tenter, mais ce n'est pas ça !
En passant, quelqu'un a une traduction pour «Sunpillar» ?

VIGNERON * discut. 23 août 2005 à 21:10 (CEST)[répondre]
Colonne lumineuse. Je m'étais cogné quelques traductions dans les articles Phénomène optique et Halo (phénomène optique), il y a quelques temps. Pas sûr d'avoir toujours trouvé les bons termes. Au passage, les anglo-saxons disent vraiment Jacob's ladder pour les rayons évoqués ci-dessus. — Poulpy 23 août 2005 à 21:32 (CEST)[répondre]
Je sais, c'est d'ailleur pour ça que j'y ai pensé dans l'autre sens ! VIGNERON * discut. 23 août 2005 à 22:25 (CEST)[répondre]
La dernière fois que Moïse a vu ça, Dieu lui a dicté les dix commandements, dont le sixième : «Tu ne commettras pas l'adultère.» On appelle donc cela un «empêchement de tourner en rond». Désolé, TP 23 août 2005 à 21:41 (CEST)[répondre]
En Charente-Maritime, on dit « le Soleil a des jambes » (enfin au moins du côté de Sainte-Soulle)
Cdang | m'écrire 24 août 2005 à 11:19 (CEST)[répondre]
Dans ma famille on appelle ça une gloire. Je n'ai jamais entendu parler d'un archange, mais l'idée est belle. Cæsius 29 août 2005 à 18:30 (CEST)[répondre]